Du 22 mars au 5 novembre 2023, le Grand Palais immersif (110, rue de Lyon à Paris) présentera l’exposition « Eternel Mucha ». Alfons Mucha (1860-1939) est un peintre, illustrateur, graphiste et professeur d’art de nationalité tchécoslovaque.
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Rainette
13 mars 2023 @ 07:03
Art nouveau et âme slave, nous nous réjouissons à l’avance de découvrir cette expo lors du week end de l’ascension. Merci pour ce rappel 😀
Anastasie
13 mars 2023 @ 08:14
Pour avoir vu son musée à Prague, c’est MAGNIFIQUE… et je ferais volontiers le déplacement à Paris…
Marnie
13 mars 2023 @ 08:28
Ah oui, encore un de ces trucs immersifs… non merci ! J’ai eu le bonheur, il y a quelques années, de voir une VRAIE expo Mucha au Musée du Luxembourg, avec de vraies oeuvres et un vrai discours scientifique.
Guizmo
13 mars 2023 @ 08:39
Une exposition qui est déjà inscrite sur mon agenda
😀Pistounette
13 mars 2023 @ 08:48
Pour éventuellement plus de précisions 😀 :
https://www.grandpalais.fr/fr/article/alphonse-mucha-figure-majeure-de-lart-nouveau-au-grand-palais-immersif-des-le-22-mars
Claudia
13 mars 2023 @ 09:00
J’ai vu une exposition consacrée à Mucha au Musée du Luxembourg il y a quelques années, que j’avais trouvée très intéressante. Je ne sais pas si cette nouvelle expo reprend les mêmes thèmes.
Marnie
13 mars 2023 @ 11:09
Ce n’est pas une expo, c’est un son et lumières. Vous ne verrez aucune oeuvre de Mucha mais des projections.
Passiflore
13 mars 2023 @ 09:57
Mucha quitte son pays à 17 ans. Il s’inscrit à l’Académie Jullian, en 1887, et y fréquente Bonnard et Sérusier. Il est influencé par Gustave Doré et Puvis de Chavannes.
Il se fait surtout fait connaître, en 1894, par son affiche représentant Sarah Bernhardt sous les traits de Gismonda dans la pièce de Victorien Sardou. Enthousiasmée, elle signe un contrat de six ans avec Mucha. Il la représente, ensuite, dans les rôles de La Dame aux camélias, Lorenzaccio, La Samaritaine, Médée, Hamlet, La Tosca, L’Aiglon. Pour son rôle de Médée il crée un bracelet-serpent qui fait sensation. Il devient affichiste pour le papier à cigarettes Job, les biscuits Lefèvre-Utile, le champagne Ruinart, les Bières de la Meuse.
Il s’associe avec le bijoutier Georges Fouquet, en 1898, et invente d’extraordinaires parures de princesses chargées d’or, d’émail, de perles baroques et d’ivoire. Il décore aussi sa boutique, 6, rue Royale en 1901, en un style Art Nouveau très raffiné. Démontée en 1923, on peut la voir au Musée Carnavalet. Le gouvernement autrichien lui confie la décoration du pavillon de Bosnie Herzégovine pour l’Exposition universelle de 1900. En 1918, il dessine les premiers billets et timbres de la jeune République tchèque et, en 1931, peint deux fenêtres représentant les saints Cyrille et Méthode pour la cathédrale Saint-Guy de Prague.
Il est arrêté par la Gestapo dès l’entrée des troupes allemandes à Prague, en 1939, et meurt quelques mois plus tard.