A partir du 10 mai 2013, la Queen’s Gallery à Buckingham Palace se penche sur la mode au temps des Tudor et des Stuart, sous le titre « Fine style : The Art of Tudor and Stuart fashion ». Bijoux, robes et portraits composeront la première exposition sur le thème du vêtement jamais organisée au musée de la reine. (Copyright photos : The Royal Collection – Merci à Bertrand Meyer)
Sylvie-Laure
5 février 2013 @ 08:26
Les collections de la reine sont infinies. Sa Majesté inove ici en laissant « la Galerie de la Reine » offrir aux visiteurs, les détails de la mode de ses ancètres royaux.
La 2e photo est spectaculaire. Ce tableau et la robe présentée sont surprenants. Cette robe, les manches, et la fraise sont tout à fait hors norme. On n’ose imaginer porter ceci, rien que les manches creusées à deux niveaux, et terminées au poignet, par une petite fraise !! en tous cas ce sera une découverte, cette exposition Mode, au printemps.
Pour ma part, je file à Moulins (Allier) pour découvrir l’exposition du CNCS, sur le thème du Costume du pouvoir (article paru dans la rubrique « Expositions », et qui a déclanché le fameux bal de NR).
Encore merci à sa rédactrice.
Sylvie-Laure
5 février 2013 @ 08:27
Le premier tableau ne représente t-il pas la reine Elisabeth Ière, fille du roi Henri VIII ?
Mélusine
5 février 2013 @ 20:56
Sylvie-Laure
Le premier tableau est l’oeuvre de Marcus Gheeraerts Le Jeune, portraitiste préféré de Anne de Danemark (représentée sur cette toile dans ses somptueux atours), épouse de Jacques 1er d’Angleterre.
Pierre-Yves
5 février 2013 @ 10:11
On a toujours l’impression que la personalité et le corps sont niés sous la carapace des fanfreluches, les brocards chargés et volumineux, les fraises qui serrent le cou, le déluge des bijoux. Comme si cétait le costume qui devait être vu et pas la personne.
Assez incompréhensible pour nos yeux d’aujourd’hui.
Remarquez que dans un autre genre, l’habillement imposé aux femmes dans certains pays ne vaut pas mieux.
Valeska
5 février 2013 @ 11:44
L’expo côté mode doit être passionnante!
Mais je me suis souvent demandé si ce sont les peintres de l’époque passée(large fourchette de temps,école Clouet,etc…)qui n’étaient pas vraiment doués pour rendre les visages,peut-être soumis à des dictats en vogue bien spécifiques,ou alors…Si ces dames étaient vraiment fort vilaines,voire carrément moches!(Marie Tudor,Anne d’Autriche,les deux Médicis,toutes les plus ou moins célèbres,en vrac…)
Après la Renaissance,de délicieux portraits voient le jour,et j’ai dans le coeur surtout les règnes de Louis XIV et XV(Ah,les favorites,Mesdames de Montespan et de Pompadour :)!),avec les Rigaud,Quentin La Tour,ainsi que l’Empire et les oeuvres de David,Gérard…
Lesquels de ces artistes étaient les plus objectifs et réalistes?
Denis
5 février 2013 @ 13:48
la 2e photo ne représente pas un personnage Tudor ou Stuart… il s’agit d’un portrait espagnol , voire flamand de la même époque.Le vêtement est typique de la mode de ces deux pays.
marianne
6 février 2013 @ 08:08
Je me suis toujours demandé comment ces vêtements étaient nettoyés et d’ailleurs s’ils l’étaient .
Avec ces dentelles , broderies , perles cousues , ce ne devait pas être évident , étaient-ils en soie ?
Valeska
6 février 2013 @ 09:23
…Et les traines,chère Marianne,y avez-vous pensé?Toutes ces belles robes qui balayaient la poussière,ou qui trempaient allègrement dans boue,selon la météo…il suffisait d’une sortie et elles étaient bonnes pour le linge sale!Et ce,jusqu’au 20ème siècle!…Mystère quant au nettoyage,en effet… :o
Caroline
6 février 2013 @ 13:57
Marianne,j’ai pensé la meme chose que vous!loool!
Mais,les gens d’autrefois avaient l’habitude de superposer leurs sous-vetements pour garder leurs tenues ‘relativement’ propres!
Marie Christine
7 février 2013 @ 15:16
Ca devait sentir bon… :-(
Valeska
8 février 2013 @ 15:46
Marie-Christine:On usait de force baumes odoriférants,élixirs,parfums et essences des plus capiteuses qui soient pour »règler »le problème… !:( ;)
Sylvie-Laure
8 février 2013 @ 08:24
Mélusine, merci de votre information sur l’identité du 1er portrait ici.