Du 10 octobre 2015 au 31 janvier 2016, le Museum Kunstpalast de Düsseldorf accueille l’exposition consacrée au peintre espagnol Francisco de Zurbaran (1595-1661). La reine Letizia sera d’ailleurs présente pour le vernissage le 9 octobre.
J’adore l’affiche; j’ai vu cette toile à Toledo : C’est Ste Casilda de Tolède; elle était la fille d’un roi musulman à Tolède et je me souviens d’avoir lu qu’elle était très bonne avec des prisonniers chrétiens; elle cachait des pains dans ses jupes pour les leur donner lorsqu’elle visitait les prisons. FdC
Je viens de voir cette exposition au musée Thyssen de Madrid..magnifique ! cette fameuse toile était d’ailleurs exposée…A voir aussi si vous passez par là, la serie des portraits dans le cloitre du monastére de Guadalupe province de Cacerés Estramadure.
« Contemporain et ami de Velasquez, Francisco de Zurbarán (1598-1664) est un peintre du siècle d’or espagnol et se distingue dans les peintures religieuses. D’abord très marqué par Le Caravage, son style austère et sombre évolue pour se rapprocher des maitres maniéristes italiens, ses compositions s’éclaircissent dans des tons plus acides » (Wikipedia).
Mon tableau préféré est celui de la sainte Apolline au Louvre, dans sa jolie robe rose et jaune et sa cape vert émeraude.
« Peinte de côté, dans une position où elle semble marcher, sainte Apolline regarde le spectateur.
Le regard est indécis, à la fois intéressé et neutre.
Il s’agit peut-être également d’un air de défi puisque la sainte porte la palme du martyre et soulève de sa main droite la pince qui lui a arraché les dents.
Ce sont là les attributs courants de sainte Apolline, suppliciée avec la mâchoire fracturée et les dents arrachées.
Les vêtements sont somptueux et se démarquent sur un fond sombre et non défini.
Il s’agit de vêtements contemporains du peintre, pratique courante comme déjà Le Caravage le faisait.
La sainte est également identifiée par une inscription dans le coin inférieur gauche.
L’œuvre était destinée au couvent San José de la Merced Descalza à Séville. Elle a été acquise par le Louvre en 1867 de la collection du maréchal Soult. »
(Wikipedia).
Merveilleux Zurbaran. La première fois que j’ai vu son » Saint François en méditation » de la National Gallery, je suis restée saisie par la puissance que dégageait sa peinture. Depuis j’ai découvert son œuvre, notamment ses natures mortes que j’apprécie énormément.
Francine du Canada
6 octobre 2015 @ 06:15
J’adore l’affiche; j’ai vu cette toile à Toledo : C’est Ste Casilda de Tolède; elle était la fille d’un roi musulman à Tolède et je me souviens d’avoir lu qu’elle était très bonne avec des prisonniers chrétiens; elle cachait des pains dans ses jupes pour les leur donner lorsqu’elle visitait les prisons. FdC
jo de st vic
6 octobre 2015 @ 08:02
Je viens de voir cette exposition au musée Thyssen de Madrid..magnifique ! cette fameuse toile était d’ailleurs exposée…A voir aussi si vous passez par là, la serie des portraits dans le cloitre du monastére de Guadalupe province de Cacerés Estramadure.
Violette
6 octobre 2015 @ 09:48
« Contemporain et ami de Velasquez, Francisco de Zurbarán (1598-1664) est un peintre du siècle d’or espagnol et se distingue dans les peintures religieuses. D’abord très marqué par Le Caravage, son style austère et sombre évolue pour se rapprocher des maitres maniéristes italiens, ses compositions s’éclaircissent dans des tons plus acides » (Wikipedia).
Mon tableau préféré est celui de la sainte Apolline au Louvre, dans sa jolie robe rose et jaune et sa cape vert émeraude.
« Peinte de côté, dans une position où elle semble marcher, sainte Apolline regarde le spectateur.
Le regard est indécis, à la fois intéressé et neutre.
Il s’agit peut-être également d’un air de défi puisque la sainte porte la palme du martyre et soulève de sa main droite la pince qui lui a arraché les dents.
Ce sont là les attributs courants de sainte Apolline, suppliciée avec la mâchoire fracturée et les dents arrachées.
Les vêtements sont somptueux et se démarquent sur un fond sombre et non défini.
Il s’agit de vêtements contemporains du peintre, pratique courante comme déjà Le Caravage le faisait.
La sainte est également identifiée par une inscription dans le coin inférieur gauche.
L’œuvre était destinée au couvent San José de la Merced Descalza à Séville. Elle a été acquise par le Louvre en 1867 de la collection du maréchal Soult. »
(Wikipedia).
COLETTE C.
6 octobre 2015 @ 10:55
Je suis allée à Dusseldorf il y a 2 ans . Dommage !
aubert
6 octobre 2015 @ 12:02
il y a de nombreux sites sur lesquels on trouve des voyages à bon prix.
Atalanta
6 octobre 2015 @ 11:22
Superbe exposition qui fut présentée à Bruxelles en 2014. À conseiller pour quiconque se trouve dans la région.
Damien B.
7 octobre 2015 @ 11:05
En effet j’ai vu cette exposition à Bruxelles elle en vaut le détour.
Corsica
6 octobre 2015 @ 12:49
Merveilleux Zurbaran. La première fois que j’ai vu son » Saint François en méditation » de la National Gallery, je suis restée saisie par la puissance que dégageait sa peinture. Depuis j’ai découvert son œuvre, notamment ses natures mortes que j’apprécie énormément.
Caroline
6 octobre 2015 @ 22:46
Corsica, votre commentaire m’a poussé à voir des tableaux de ce peintre chez Tonton Google,c’est pourquoi je comprends votre admiration!