Exposition « Les grands ducs de Bourgogne au château du Clos de Vougeot » jusqu’au 30 novembre 2016. En voici le descriptif : « Cette exposition prend place pour la première fois en Bourgogne et retrace les portraits des quatre Ducs les plus puissants d’Occident à la fin du Moyen-Âge. Un Duché de Bourgogne au potentiel d’Empire.
La dynastie des Valois régna pendant près d’un siècle sur une des régions les plus fastueuses du Moyen-Âge : la Bourgogne. De Philippe le Hardi (1363 à 1404), Jean Sans Peur (1404 à 1419), Philippe le Bon (1419-1467) à Charles le Téméraire (1467-1477), cette exposition explique comment le Duché de Bourgogne donna naissance à l’un des foyers culturels, artistiques les plus fascinants et riches du Moyen-Âge.
Réalisée à partir d’archives iconographiques et textuelles, l’exposition est accessible à tous. Intégrée au circuit traditionnel de la visite du château, cette exposition donnera à voir et à comprendre l’enracinement de la richesse culturelle de la Bourgogne. Une exposition dans un cadre historique cohérent. » (Merci à Anne)
framboiz 07
21 avril 2016 @ 03:57
A Vougeot, comment résister ?
Marie de Bourgogne
21 avril 2016 @ 07:27
Dommage que, pour des raisons professionnelles, je sois si loin de ma Bourgogne.
Francine du Canada
21 avril 2016 @ 21:28
Dommage, je comptais sur vous Marie de B. mais… l’exposition se tiendra jusqu’au 30 novembre 2016 et peut-être serez-vous de retour? ;-))) FdC
Marie de Bourgogne
22 avril 2016 @ 08:33
Non, hélas. Je suis sur Bordeaux depuis l’été 2015 et je devrai y rester quelques années.
Cordialement
Danielle
21 avril 2016 @ 18:12
Une visite à effectuer lors d’un long week end qui inclura aussi au programme Dijon, la côte, illuminée si possible, puis Beaune ; de très bonnes dégustations et des achats à prévoir.
Début mai, les viticulteurs de Savigny les Beaune ouvrent leur domaine, dégustations à volonté, n’hésitez pas à y faire un saut.
ciboulette
21 avril 2016 @ 18:47
Le duc de Bourgogne était si puissant qu’on le surnommait » le grand duc d’Occident « .Cette puissance fit peur à Louis XI lui- même …
Naucratis
21 avril 2016 @ 21:47
La puissance des ducs de Bourgogne était bien plus fragile qu’il n’y paraît.
Leurs états étaient un conglomérat de territoires discontinus et de populations disparates promptes à se révolter contre l’autorité ducale.
Les rêves du Téméraire d’une couronne royale étaient véritablement chimériques à tel point que la construction des ducs Valois s’est effondrée devant les murs de Nancy en 1477.
Louis XI a magistralement réunit à la couronne les reliquats français du « Grand-duché d’Occident ».
ciboulette
21 avril 2016 @ 22:40
Si d’aventure vous visitez Nancy , visitez la place de la Croix de Bourgogne , endroit où , dit-on , le Téméraire perdit la vie …
Dans le département de la Haute-Saône ( en Franche-Comté ) , il n’est pas rare de trouver des chemins du Téméraire et des places Charles-Quint .
Naucratis
22 avril 2016 @ 10:47
Vous avez raison, Ciboulette, je suis allé à Nancy a deux reprises et ai vu l’emplacement supposé de la mort du Bourguignon.
Cette ville est très belle !
Stella
25 avril 2016 @ 13:56
( On ne sait si c’est à cet endroit qu’il perdit la vie…Ce que l’on sait, c’est qu’à cet endroit on découvrit son cadavre à moitié dévoré par les loups.)
ciboulette
30 avril 2016 @ 18:35
Oui, Stella , mais on peut supposer que c’est assez proche .
Marie de Bourgogne
22 avril 2016 @ 08:35
« Louis XI a magistralement réunit à la couronne les reliquats français du « Grand-duché d’Occident ». »
Pas tous. Si je ne m’abuse la Franche-comté n’en faisait pas partie.
Naucratis
22 avril 2016 @ 10:51
« Pas tous. Si je ne m’abuse la Franche-comté n’en faisait pas partie. »
La Franche-Comté ou comté de Bourgogne était terre d’Empire et non française jusqu’à ce qu’elle soit définitivement réunie à la Couronne par Louis XIV.
Marie de Bourgogne
22 avril 2016 @ 19:39
En 1236 la France-comté (comté de Bourgogne) était sortie de la suzeraineté impériale.
À la mort de Philippe Ier de Bourgogne sans héritier direct, la Bourgogne revient au domaine royal, au roi Jean II de France qui l’accorde en apanage à son fils cadet le duc Philippe le Hardi.
Naucratis
23 avril 2016 @ 06:59
Wikipédia qui est copié-collé ci-dessus est une source parfois confuse et certains peuvent s’y perdre.
L’apanage de Philippe le Hardi comprend le duché de Bourgogne vacant depuis la mort de Philippe de Rouvres (lignée capétienne des ducs de Bourgogne). La Franche-Comté, terre d’Empire (écrire le contraire est une inexactitude), rejoint l’ensemble des possessions de Philippe le Hardi par mariage avec Marguerite de Flandre et non par apanage concédé par le roi de France dont elle ne relève pas.
Ainsi, à la mort du Téméraire, Louis XI annexe le duché mais aussi la Comté, qu’il est obligé de restituer car cette terre d’Empire revient aux héritier du duc, contrairement au duché.
Marie de Bourgogne
24 avril 2016 @ 08:21
Le duché revenait également à Marie de Bourgogne héritière du duc Charles.
Il n’y a nulle mention comme quoi le duché était un apanage masculin et en Bourgogne les filles héritaient.
Et quand bien même il aurait été donné en apanage masculin, il y avait encore un héritier mâle : Jean, comte de Nevers, petit fils de jean sans peur.
Un dernier détail, le roi de France Jean II le Bon avait reçu la Bourgogne car il était le fils de la dernière héritière du duché. Comme quoi, les filles héritaient en Bourgogne.
Philippe
22 avril 2016 @ 09:17
Les Bourguignons s’imaginent volontiers un destin particulier,
et oublient que leurs princes n’étaient que des cadets, et leur
duché un apanage.
Les Valois-Bourgogne, aussi riche et brillante qu’ait été leur cour, étaient d’abord et surtout des princes félons, et des traitres à leur roi. Les pires que la dynastie capétienne ait connus.
Pour une raison que j’ignore, et qui ne laisse pas de m’étonner, on continue à chanter leurs louanges, sans
jamais rappeler tout le mal qu’ils ont fait, et le tort qu’ils
ont causé au destin national. C’est une honte.
Quand on pense aux exactions dont ils se sont rendus coupables, en allant jusqu’à offrir le royaume sur un plateau
à leurs alliés anglais, puis en renforçant la puissance habsbourgeoise par leur combinaisons matrimoniales,
on se dit que la mort du Téméraire était bien méritée,
et qu’on aurait dû laisser les loups dévorer entièrement son cadavre !
Au lieu de cela, et alors qu’on avait discrètement inhumé
le Valois sous une dalle d’église nancéienne, Christine de Danemark, duchesse de Lorraine toute acquise aux intérêts de la famille de sa mère, une soeur de Charles-Quint, rendra le corps aux impériaux, plusieurs décennies plus tard, pour qu’on lui donne sa sépulture d’aujourd’hui, à Bruges.
La preuve ultime que les Valois de Bourgogne n’étaient
que des traîtres.
Leonor
22 avril 2016 @ 10:44
Philippe, ce que vous écrivez est probablement exact ( pas eu le temps de tout reprendre en détail), mais c’est voir l’époque avec les yeux d’époques ultérieures, les yeux d’une France déjà centralisée et toute sous la coupe du royaume issu d’Ile-de-France.
Certes, la foi féodale aurait requis qu’on soit loyal au roi, mais à cette époque, on commençait déjà à en sortir, de la féodalité. Laquelle n’a jamais été, d’ailleurs, malgré ses habits de chevalerie, qu’une manière de tenir les autres sous sa coupe.
Désolée, mais j’ai l’âme fondamentalement fédérale, le centralisme français me hérisse.
Par ailleurs, les cours des ducs de Bourgogne ont toujours été des hauts-lieux de culture.
Il en est sorti des productions remarquables.
Ce n’est pas rien.
Naucratis
22 avril 2016 @ 12:20
Ce que vous écrivez, Philippe, est parfaitement exact et votre fougue est très plaisante !
En Berry, le Bourguignon est encore considéré comme le traitre (d’avoir vendu Jeanne d’Arc aux Anglais ? D’avoir sans cesse comploté contre les rois de France auxquels les Berrichons sont restés fidèles ?) et la Loire, frontière entre les deux provinces est, en exagérant à peine, une véritable ligne de démarcation ! Un verre de sancerre et un autre de pouilly-fumé permettent de réconcilier tout le monde… Temporairement !
Comme je l’ai indiqué dans un autre commentaire, les états bourguignons n’étaient pas viables et leur puissance venait de Flandre et des Pays-Bas et non de Bourgogne, moins riche et plus française. Les rêves du Téméraire étaient folies et délires d’un prince qui se voulait plus important qu’il ne l’était et que la réalité (et l’intelligence de Louis XI) ont brisés !
Marie de Bourgogne
24 avril 2016 @ 08:30
Si Jeanne d’Arc a été vendue aux anglais c’est que le Roi de France a refusé de payer sa rançon. Tout simplement.
Pour le reste, quelle importance que la manière dont nous sommes vus par les berrichons. Franchement :-)
Il ne me semble pas que les ducs du Berry aient autant marqués que les grands ducs de Bourgogne.
Nous sommes les Bourguignons et FIERS de nos Grands Ducs.
A noter qu’aucun autre prince féodal n’a eu le mot Grand mis devant son titre. Seuls les Ducs de Bourgogne ont eu droit à cela.
Marie de Bourgogne
24 avril 2016 @ 08:42
Les ducs de Bourgogne Philippe le Bon et Charles le Téméraire ont été également Ducs par la grâce de Dieu.
Ils n’y a eu qu’eux et les rois de France à être « par la grâce de Dieu ».
La Toison d’or existe toujours.
Actarus
24 avril 2016 @ 13:27
Ces échanges sont très intéressants et font mon régal. Néanmoins il y a une différence contextuelle énorme entre les ducs de Bourgogne de la branche de Valois (le premier étant un fils du roi Jean II le Bon), qui étaient les suzerains réels d’un territoire pour lequel ils devaient l’hommage lige au roi de France, chef de leur dynastie, et les ducs de Bourgogne de la maison de France dite de Bourbon, qui ne portaient plus qu’un titre d’attente, dont l’actuel titulaire est S.A.R. le prince Louis de Bourbon, aîné des jumeaux royaux. ;-)
A tel point que lorsqu’il était un dauphin de Viennois en indélicatesse, pour ne pas dire en rébellion, avec son père Charles VII, c’est dans les États du duc Philippe III le Bon que le futur Louis XI de France a trouvé refuge. Ce qui ne l’empêcha pas de faire la guerre avec le duc suivant, Charles le Téméraire qui, l’histoire, le cinéma et la télévision (je l’ai découvert enfin dans l’adapation de « Quentin Durward » de Walter Scott), pour être quasi un souverain étranger, comme chef d’un État nominalement indépendant mais dans la mouvance du royaume de France dont il relevait en vertu des liens régissant la féodalité, n’en était pas moins dynaste et successible au dit royaume de France. ;-)
Actarus
24 avril 2016 @ 13:28
L’histoire, le cinéma et la télévision *** l’oublient souvent ***
Cela m’apprendra à faire des phrases longues comme un jour sans pain ! ^^
Philippe
24 avril 2016 @ 21:43
Il n’y ont pas eu droit, ils se le sont octroyés, c’est pas la même
chose …
Marie de Bourgogne
25 avril 2016 @ 07:27
@ Philippe
Hé oui, c’est dire leur puissance :-) . Ceci dit, le Roi leur a, par la suite, accordé ce droit. Il n’avait pas vraiment le choix.
Marie de Bourgogne
25 avril 2016 @ 07:34
@ Actarus
Le Roi d’Espagne porte également le titre de duc de Bourgogne.
Souvenir de Charles Quint, arrière petit fils de Charles le Téméraire.
Naucratis
25 avril 2016 @ 10:40
Philippe a raison, cette appellation de « grand duc d’Occident » n’a jamais été officielle. Il s’agit plus d’un surnom que d’un titre, aussi éphémère que leurs prétentions à la souveraineté.
Naucratis
25 avril 2016 @ 11:17
Actarus, les jumeaux du duc d’Anjou illustrent bien la réconciliation entre Bourgogne et Berry puisque Louis est duc de Bourgogne et Alphonse duc de Berry.
Gérard
25 avril 2016 @ 11:54
Pas mal de gens se sont octroyés en effet ce titre de duc de Bourgogne et le seul qui y aurait droit ne le porte pas.
Marie de Bourgogne
25 avril 2016 @ 12:29
@ Naucratis
C’est à l’appellation « duc par la grâce de Dieu » dont il était question.
Pour le terme « Grands » c’est l’histoire qui la leur a donné.
Marie de Bourgogne
25 avril 2016 @ 12:34
Et, désolée de vous décevoir Naucratis, nous, Bourguignons, préférons que ce soit le Roi d’Espagne qui porte le titre de Duc de Bourgogne. Question de prestige, vous le comprendrez aisément.
Et la réconciliation avec le Berry, est bien le cadet de nos soucis :-) .
Si ils ne nous aiment pas, croyez bien que cela ne nous empêche pas de dormir. C’est avec la Franche-Comté que nous avons été réunifiés :-)
Actarus
2 mai 2016 @ 00:08
@ Marie de Bourgogne : au risque de vous décevoir, le roi d’Espagne ne porte plus le titre de duc de Bourgogne depuis l’abandon du « grand titre » du Roi Catholique, et à cet égard, Alphonse XIII fut le dernier. Jean-Charles et Philippe VI n’ont jamais porté ce titre. L’ordre de la Toison d’Or, disputé à la Maison d’Autriche qui est de Lorraine, est le dernier reliquat de cette époque valoisienne fastueuse. D’ailleurs, si le roi régnant est le grand-maître de l’ordre espagnol de la Toison d’Or, qui donc les Bourguignons qui pensent comme vous reconnaissent-ils comme duc ? Philippe VI ou son père ? ;-)
Marie de Bourgogne
13 mai 2016 @ 16:38
@ Actarus
Au titre de vous décevoir, Juan Carlos d’Espagne portait toujours le titre de Duc de Bourgogne.
Philippe
24 avril 2016 @ 21:53
Eh bien, il n’y a pourtant pas de quoi être fiers !
Fiers de princes félons, dévorés d’orgueil, vendus au parti étranger,
et assassins (car n’oubliez pas que si Jean sans Peur est assassiné à Montereau c’est parce qu’il a d’abord fait assassiner le duc d’Orléans …), vous êtes aveuglée par votre chauvinisme. C’est bien triste.
Je ne retirerai pas un mot de ce que j’ai écrit.
Bonne semaine à vous.
Marie de Bourgogne
25 avril 2016 @ 12:27
Fallait il être stupide pour assassiner le duc Jean sans Peur. Aucune clairvoyance de se qui allait se passer. Les assassins n’ont pas vu plus loin que le bout de leur nez :-) . Bref des idiots.
Je préfère être chauvine qu’admiratrice de ces gens à courte vue.
Bonne semaine également
PS : et comme il nous arrive souvent de dire, en Bourgogne, à la fin d’un repas : ET VIVE NOS GRANDS DUCS
Naucratis
25 avril 2016 @ 11:15
La remarque de Marie de Bourgogne sur Jeanne d’Arc est d’une totale mauvaise foi.
Si Jeanne d’Arc a été vendue aux Aglais par les Bourguignons, ce n’est pas la faute du roi de France mais c’est parce que les Bourguignons, qui étaient en guerre contre la France assiégeaient Compiègne que Jeanne d’Arc venaient défendre !
L’inversion des valeurs est assez à la mode en ce moment mais il y a des limites à tout !
Marie de Bourgogne
25 avril 2016 @ 12:37
Ouvrez un bouquin bon sang. Vous ignoriez totalement que Marie de Bourgogne était l’héritière légitime de la Bourgogne et maintenant vous ignoriez que le Roi de France a refusé de payer la rançon de Jeanne d’Arc.
Ça faut beaucoup :-)
Leonor
26 avril 2016 @ 17:53
Quand on ne veut voir l’histoire que par un bout de la lorgnette, ça mène à pas mal d’erreurs.
Naucratis, laissez tomber ….
Naucratis
26 avril 2016 @ 19:19
Marie de Bourgogne procède visiblement par incantations, par inventions et par interprétations erronées.
« Ça faut beaucoup » (sic) !
Marie de Bourgogne
27 avril 2016 @ 09:22
@ Léonor
Commencez par appliquer vous même les conseils que vous donnez si généreusement aux autres :-)
Marie de Bourgogne
27 avril 2016 @ 12:05
@ Naucratis
« Marie de Bourgogne procède visiblement par incantations, par inventions et par interprétations erronées. » (sic)
Je serais ravie que vous me démontriez où j’ai inventé et où j’ai procédé par interprétations erronées.
Merci d’avance :-)
Naucratis
27 avril 2016 @ 13:15
Hélas, Leonor, vous avez raison. Merci pour votre message.
Marie de Bourgogne semble avoir l’esprit confus et être d’une telle mauvaise foi !
Leonor
27 avril 2016 @ 14:47
Vous avez raison, Marie de Bourgogne, vous avez raison. Mille fois raison.
Avec vous, pas de discussion possible. Vous avez raison. Raison. Raison. Raison.
En danois ça s’appelle rethaveri. Avoir raison. Avoir raison. Toujours avoir raison. Envers et contre tous et tout. Même contre l’évidence.
Donc, j’applique : on va laisser tomber.
So long.
Marie de Bourgogne
13 mai 2016 @ 16:40
@ Leonor
Occupez vous de l’Alsace (vous avez du boulot :-) ) et laissez aux bourguignons le privilège de s’occuper de leur province.
Et merci de reconnaitre que j’ai raison :-)
Et, pour info, laissez tomber la Bourgogne tout comme vous devriez laisser tomber la Défense. Dans les 2 cas vous n’y connaissez rien.
Laurent Bureau
26 septembre 2016 @ 19:46
Fi du Berry, qui est de toute façon du mauvais coté de la Loire. Les Flamands et les Picards sont avec nous!
Marie de Bourgogne
22 avril 2016 @ 19:45
Si vous saviez à quel point les Bourguignons s’en moquent et sont fiers de leurs Grands-Ducs :-)
Et puis, il ne fallait pas tuer jean Sans peur, cela aurait évité que son fils n’ait pas envie de faire ami-ami avec les assassins de son père et s’allie aux anglais.
« François Ier se fit ouvrir ce tombeau, y trouva Jean sans Peur, le crâne largement entaillé par le coup de hache de Tanneguy-Duchâtel sur le pont de Montereau. S’étonna de la grandeur du trou : « Sire, lui dit le prieur des Chartreux qui l’accompagnait, c’est par ce trou que les anglais sont entrés en France. » «
Leonor
22 avril 2016 @ 10:46
Tiens, j’irais bien faire un p’tit tour. Merci pour l’info.
Mais je veux d’abord voir qui est le commissaire d’expo, pour avoir une idée du niveau où se situe la chose. Si c’est au niveau du vin du sponsor, c’est bon. Si c’est juste du marketing… A voir.
Naucratis
26 avril 2016 @ 19:24
Je ne savais pas que N&R accueillait une présidente de région/députée habilitée à parler au nom de tous les Bourguignons qui l’ont élue pour être leur porte-parole !
À moins qu’elle ne parle qu’en son nom et qu’elle ne cherche ainsi à donner plus de poids à ses avis… :)
Marie de Bourgogne
27 avril 2016 @ 09:23
Si j’en juge par les erreurs que vous avez accumulées sur ce sujet je pense qu’un peu d’humilité serait la bienvenue de votre part :-)
Naucratis
27 avril 2016 @ 13:13
Que quelqu’un qui ne sait pas différencier le duché du comté de Bourgogne et qui ne sait pas que l’un relève du royaume de France quand le second dépend de l’Empire me reproche des erreurs qui n’existent que dans son imagination est pour le moins incongru !
« Ça faut beaucoup » comme dirait Marie de Bourgogne !
Leonor
27 avril 2016 @ 14:48
« Commencez par appliquer vous même les conseils que vous donnez si généreusement aux autres . »
Signé : Marie de Bourgogne.
La boucle est bouclée .
Marie de Bourgogne
13 mai 2016 @ 16:42
@ Naucratis et Leonor
Au vu des erreurs que vous avez, si placidement parsemer, vos posts, il vaut mieux, en effet, que vous laissiez tomber :-)
Naucratis
16 mai 2016 @ 14:26
Je suis bien en peine de vous répondre puisque syntaxe et grammaire fautives rendent votre message inintelligible.
Alain golliot
29 avril 2016 @ 16:49
Bravo, Marie…. Les traitres sont les insupportables espagnols dont le dernier avatar,est L20. Et je suis fier…
Marie de Bourgogne
13 mai 2016 @ 16:43
Merci Alain.
Et, sans compter les espagnols, que dire des traitres français. Je ne compte pas leonor puisqu’elle crache si facilement à la face des français :-)
Marie de Bourgogne
13 mai 2016 @ 16:44
Merci Alain.
Et, sans compter les espagnols, que dire des traitres français. Je ne compte pas leonor puisqu’elle crache si facilement à la face des français :-)
Et je suis fier d’être BOURGUIGNON :-)
Naucratis
16 mai 2016 @ 14:25
Marie de Bourgogne, et si vous appreniez à écrire correctement notre belle langue ?
Laurent Bureau
26 septembre 2016 @ 19:35
Les Grands Ducs n’ont fait que reprendre l’idée du particularisme bourguignon, qui prédate même les Burgondes, et remonte jusqu’aux Eduens. De Vercégintorix jusqu’á au moins Louis XIV, en passant par Clovis, Robert le Pieux, Philippe-Auguste, Louis XI et Francois 1er, on retrouve cette obsession d’une Gaule/France qui ne peut exister sans la Bourgogne. Et on le comprend: regardez á quoi ressemble la France sans la Bourgogne. La Bourgogne, elle, peut tres bien exister sans la France, surtout sous cette forme de république obsédée par le nivellement par le bas, et qui va á la Bourgogne comme mon gant gauche va á mon pied droit.