Le Monastère royal de Brou accueillera à l’occasion du centenaire de l’installation du musée dans ses murs une exposition consacrée à Gustave Doré (1832-1883) jusqu’au 22 mars 2023. (Merci à Bertrand Meyer)
Le Monastère royal de Brou accueillera à l’occasion du centenaire de l’installation du musée dans ses murs une exposition consacrée à Gustave Doré (1832-1883) jusqu’au 22 mars 2023. (Merci à Bertrand Meyer)
Leonor
25 novembre 2022 @ 08:42
Doré, ( Gustave), une productivité effarante. Un stakhanoviste de l’illustration et de de la gravure. Et un onirisme fantasmatique débridé.
Une oeuvre fantastique, dans tous les sens du terme.
Ceci dit, on aime ou on n’aime pas.
Perlaine
25 novembre 2022 @ 08:42
L’endroit s’y prête magnifiquement . Quel lieu ! Les expositions sont toujours de grande qualité . Il me reste les souvenirs – Merci Bertrand Meyer
kalistéa
25 novembre 2022 @ 10:31
La magnifique église de Brou a été restaurée je vois et est vraiment superbe.
Passiflore
25 novembre 2022 @ 11:03
Gustave Doré exécute sa première lithographie à 13 ans. Il gagne déjà sa vie, à 17 ans. En 1853, il illustre Rabelais. Deux ans après, ce sont les « Contes drôlatiques » de Balzac, puis « L’Enfer » de Dante (à ses frais), en 1861, « Les Contes de Perrault », en 1862, « Don Quichotte », en 1863, les « Fables de La Fontaine », en 1867. Pour « La Bible », l’année précédente, il est surtout fasciné par les épisodes de la reine de Saba et de la Tour de Babel. En tout il illustre plus de 120 oeuvres. Le raffinement du façonnage des Contes, mis en vente par Hetzel au prix de 60 francs, en fait un livre d’« étrennes de roi », selon les mots de Sainte-Beuve. Quant aux somptueux in-folio de la maison Hachette, on les retrouve sur les tables des bourgeois enrichis du Second Empire. « L’Enfer » de Dante était vendu 100 francs (l’équivalent du salaire moyen d’un ouvrier ), le « Don Quichotte », 160, et « La Sainte Bible » éditée par Mame, summum du raffinement bibliophilique, atteignait le prix de 200 francs dans son tirage le plus courant ! Hachette décide de « mettre, au moyen d’un débit considérable, le plus grand luxe typographique à la portée des petites bourses » grâce une publication en soixante livraisons.
Menthe
25 novembre 2022 @ 11:13
Gustave Doré et son univers fantasmagorique, j’aime beaucoup.
Brigitte - Anne
25 novembre 2022 @ 15:04
Le monastère royal de Brou, une merveille tant à l intérieur qu à l extérieur avec son splendide toit. Jolis souvenirs
kalistéa
25 novembre 2022 @ 18:12
merci pour tous ces détails intéressants sur un grand artiste chère Passiflore . Savezvous que Gustave Doré nous a laissé une petite fille nommée Amandine Doré qui elle-même fut une illustratrice de talent ?
Passiflore
26 novembre 2022 @ 21:48
Chère Kalistea, je n’ai jamais entendu parler d’Amandine Doré et je viens de regarder sa fiche Wilki. Elle est morte à… 99 ans ! Je ne suis pas sûre qu’elle fût la petite-fille de Gustave Doré parce que celui-ci est mort à 51 ans et ses obsèques ont été organisées par son ami le maréchal Foch à l’église Sainte-Clotilde. Mais elle peut être une descendante collatérale. Dans le milieu napoléonien que vous connaissez comme moi, je rencontre de temps en temps des personnes qui descendent du frère d’un grand homme mais « on » ne le précise pas toujours, et peu nous importe, finalement !
Danielle
25 novembre 2022 @ 19:18
Un lieu superbe.
Hervé J. VOLTO
27 novembre 2022 @ 22:24
Un lieu exellant, pour une exposition surement très enrichissante.
kalistéa
28 novembre 2022 @ 18:42
Chère Passiflore , Amandine Doré était bien la petite fille de Gustave. Elle illustra notamment le remarquable livre de t’stevens ( un grand conférencier et géographe) « le Mexique à trois étages »>. Je crois , sans en être sûre qu’elle était sa compagne dans la vie .