Jusqu’au 3 juin au Rijksmuseum à Amsterdam, l’exposition « High Society » avec des toiles de Véronèse, Manet, Cranach ou encore Gainsborough. Ici, la marquise Luisa Casati en 1908 par Giovanni Boldini.(Merci à Anne – Copyright photo : Christie’s image)
Silvîa
1 mai 2018 @ 02:39
Merci Anne.?
Leclercq
1 mai 2018 @ 05:53
J’aime beaucoup les portraits. Celui-ci me plaît particulièrement. Attitude du modèle, couleurs… la mode du début du 20eme siècle était extrêmement élégante.
Pierre-Yves
1 mai 2018 @ 09:25
Elle l’était, oui, mais uniquement pour le nombre limité de celles (et ceux) qui appartenaient à des milieux privilégiés.
Blanc Rita
1 mai 2018 @ 09:33
J ai moi même 2 lévriers et cette toile m’enchante bien évidemment !
Merci à Regine pour ce choix !
Caroline
1 mai 2018 @ 11:38
C’ était la Belle Epoque, celle de beaux chapeaux volumineux ou démesurés !
Antoine
2 mai 2018 @ 12:42
Autre temps, autre accoutrement. Celui-ci n’est pas indiqué pour rentrer dans une « Clio »…
Francois
1 mai 2018 @ 11:57
J’aime beaucoup Boldini
Et ce tableau hystérique particulièrement
La peinture mondaine a cela de merveilleux qu’elle reflète
toujours une époque
Qu’elle saisit les personnes et leur psychologie
Antoine
2 mai 2018 @ 17:54
François, je partage votre goût pour Boldini. Il est encore considéré comme un peintre mineur. Son trait est déjà moderne. Surtout, ses portraits parlent et dévoilent quasi jusqu’à l’indiscrétion le caractère des modèles. Celui de Robert de Montesquiou, à Orsay, est un modèle d’élégance et d’afféterie, tout son inspirateur.
Francois
3 mai 2018 @ 12:49
Cher Antoine vous avez entièrement raison
Mais en matière de peinture l’histoire ne cesse de laisser
et redécouvrir les peintres
La comtesse Greffulhe quand elle vit son portrait par Boldini
Fut absolument furieuse car il avait percé son âme
Tres fine et intelligente bien sûr elle le comprit de suite
Mais si Boldini est bien évidemment considéré aujourd’hui comme mineur
par ceux qui décident de ce qui est majeur et mineur
Notre peintre eut la gloire de son vivant
Les femmes du monde voulaient toutes être portraiturées par lui
Baboula
1 mai 2018 @ 12:18
Cette dame porte merveilleusement le deuil,son chien aussi .
Muscate-Valeska de Lisabé
1 mai 2018 @ 13:08
Globalement, le thème et son expression me déplaisent, mais individuellement, ce domaine peut m’intéresser et ce tableau ténébreux me plaît.
COLETTE C.
1 mai 2018 @ 13:33
Elégante personne.
Ghislaine-Perrynn
1 mai 2018 @ 15:21
Mal à l’aise devant ce tableau , on dirait un spectre sorti de son tombeau . Le bas de la robe est effrayant .
Brouhhhh !
Michèle Lobre
1 mai 2018 @ 16:10
Est ce qu’il y a Klimt ?
monica
1 mai 2018 @ 19:32
Cette marquise milliardaire et ruinée à 49 ans fut très excentrique. Exigeant de faire chambre à part des le debut du mariage qui ne dura pas longtemps. Elle se promenait avec des animaux exotiques dans les rues, faisait des fêtes mémorables entouree d artistes de piques assiettes de gays lesbiennes .Peu maternelle, â la naissance de sa seule enfant elle l a donna à une cousine pour l elever et son père en eut ensuite heureusement la garde â 12 ans.
Mary
1 mai 2018 @ 20:25
Waouhh les yeux + la peau blanche ! On dirait un vampire …
Antoine
2 mai 2018 @ 12:46
Mary, je tremble pour Vous. J’ai l’impression que vous les fréquentez de trop près…
Mary
3 mai 2018 @ 13:41
No souci Antoine ! Si j’en vois un, je prononcerai la phrase magique,style : » je connais le preux chevalier Antoine ! » et ils s’enfuiront, et leurs canines en tomberont de peur…
:-)))
Antoine
4 mai 2018 @ 14:23
Chère Mary, puissent leurs canines tomber avant les miennes…
Mary
5 mai 2018 @ 12:30
Merci pour le fou- rire Antoine : superbe réplique !!! :-))))))
Teresa 2424
1 mai 2018 @ 23:33
Me encanta este cuadro espectacular!!
Ninon
2 mai 2018 @ 06:57
Sinistre à souhait.. Ce qui prouve que la sophistication poussée à l’extrême passe mal les années .
Esquiline
2 mai 2018 @ 13:09
Une fois à Rome j’avais prévu de passer ma journée entre la galerie de la villa Borghese et le musée étrusque de la villa Giula, quand en sortant du tram j’ai vu une grande banderole sur la façade de Galerie Nationale d’art moderne, qui annonçait une exposition sur Boldrini et ses contemporains. J’ai changé de programme et je ne le regrette pas.
Ce portrait en particulier m’a rappelé les jeux d’ombre et de lumière du Caravaggio, il dépasse la simple photographie d’une société.
Robespierre
2 mai 2018 @ 16:47
sinistre et fascinant. Quelque chose de délirant, de diabolique mais c’est drôlement bien fait. J’admire.