En voici le descriptif : « Artiste à succès de la première moitié du XIXe siècle, Ingres est peintre inclassable et souvent visionnaire. Derrière son apparent classicisme transparaissent une liberté et un style uniques qui fascinent encore aujourd’hui.
Provenant de collections nationales et internationales, tableaux et dessins commandés ou collectionnés par les princes d’Orléans seront réunis à Chantilly, aux côtés de leurs études et leurs variantes. Ils permettront de comprendre le travail long et méthodique d’un des plus grands peintres français, artiste des princes et prince des artistes ». (merci à Bertrand Meyer)
Benoite
13 novembre 2022 @ 06:24
Ce tableau ici, représente qui ?? ce serait intéressant de le savoir.. Merci M. Meyer
Passiflore
13 novembre 2022 @ 10:00
Benoite, ce n’est pas Ingres peint par lui-même ?
Pastelin
13 novembre 2022 @ 10:14
Ingres, en train de se portraiturer
Pastelin
13 novembre 2022 @ 10:22
Le musée Ingres à Montauban, désormais musée Ingres-Bourdelle, a été fort bien rénové et modernisé. A voir si vous passez par là !
Robespierre
13 novembre 2022 @ 10:22
Oui, j’aimerais savoir qui est ce jeune homme qui a l’air si contemporain. C’est fou comme le début du 19e S est proche de nous question coiffures masculines. On est loin des grosses barbes de la fin de ce siècle.
Leonor
13 novembre 2022 @ 11:12
Autoportrait, Benoîte. Ingres avait alors 24 ans.
Marinella
13 novembre 2022 @ 11:23
C’est son autoportrait Benoite , à l’ âge de 24 ans .
Ingres est mon peintre préféré , je ne me lasse pas de revoir ses portraits et j’ irai certainement voir cette exposition .
DEB
13 novembre 2022 @ 11:28
Autoportrait.
Unknown
13 novembre 2022 @ 11:46
Ingres lui même!
Framboiz07
13 novembre 2022 @ 13:38
Ingres, lui-même, à 24 an, en 1804 ! Regardez sa fiche wiki !
Menthe
13 novembre 2022 @ 14:06
Benoîte, il s’agit d’un autoportrait d’Ingres. A l’âge de 24 ans.
milou
13 novembre 2022 @ 06:25
Voilà une info des plus intéressantes, pour une fois!😉
Merci BM!
Perlaine
13 novembre 2022 @ 10:50
Pourquoi cette flèche a l’égard de l’esprit fin et taquin de B? Meyer il en faut pour tous les goûts puisque l’on vous lit également mais dans la mièvrerie apparente qui nous est proposée il existe des petits diamants Ce matin deux sujets intéressants . Pour ce qui me concerne gratitude.
Framboiz07
13 novembre 2022 @ 13:37
Vraiment , Milou ,donnez des articles et râlez après !
Christian
14 novembre 2022 @ 00:50
Mais milou donne des articles sur Caroline puis Caroline et Caroline encore Caroline et pour finir Caroline 😄😃😄😃😄
milou
14 novembre 2022 @ 12:10
Je donne mais ils ne sont pas toujours édités…. comme mes commentaires!☹️
Passiflore (ex-Beque)
13 novembre 2022 @ 09:58
De 1835 à 1841, Ingres (1780-1867) vécut à la Villa Medicis qu’il administra avec fermeté et qu’il fit restaurer. A son retour à paris, le roi Louis Philippe l’invite à Versailles et à Neuilly. A sa demande, Ingres fait un portrait du souverain, une aquarelle gouachée avec sanguine, unique dans l’œuvre de l’artiste. Le prince Ferdinand Philippe lui commande, en 1840, son portrait en uniforme de lieutenant général des chasseurs. Il le reçoit deux mois avant l’accident du 13 juillet 1842 qui lui coûte la vie. Au décès de son fils, la reine Marie-Amélie décide la construction de la chapelle Saint-Ferdinand (Notre-Dame de Compassion) à Paris. Ingres exécute les cartons représentant plusieurs saints : Louis, Raphaël, Adélaïde, François d’Assise, Philippe, Amélie, Ferdinand, destinés aux vitraux réalisés par la manufacture de Sèvres.
Ingres peint dix-sept autres cartons pour la chapelle Saint Louis de Dreux figurant d’autres saints chers à la famille d’Orleans.
Leonor
13 novembre 2022 @ 11:14
J’aime bien l’histoire des vertèbres surnuméraires de la Grande Odalisque .
Apparemment, Ingres était tellement fasciné par le verso de la gente dame qu’il a joué les prolongations et en a rajouté . ;-)
Zulma
13 novembre 2022 @ 14:08
Merci pour l’information !
Chantilly semble bien gérer ses collections et attirer les visiteurs !
Muscate-Valeska de Lisabé
13 novembre 2022 @ 17:03
Mon Ami Baudelaire disait dans un de ses poèmes que le peintre Ingres était « un pédant dont il appréciait peu les facultés malingres »…
Moi j’aime beaucoup, beaucoup…et même infiniment…
Le Divin Ingres .