C’est jusqu’au 5 juin prochain que l’exposition « Joyaux de la collection Al-Thani. des grands Moghols aux maharajas » est présentée au Grand Palais à Paris. De nombreuses pièces font partie de la collection du sheikh Hamad bin Abdullah Al Thani et d’autres sont des prêts de musées et de joailliers. P
Pas moins de 230 pièces sont exposées comprenant des colliers, des bagues, des pierres précieuses, des dagues,… Parmi celles-ci, l’imposant collier ayant été créé par la maison Cartier en 1928 pour le maharadja de Patiala et restauré après avoir été retrouvé au début des années 2000. Le collier se compose de diamants, zircons, topazes, rubis synthétiques, citrine et quartz fumé, le tout monté sur platine. Il est long de 27 centimètres.
Dans l’un des espaces de l’exposition à la scénographie superbement feutrée, on trouve plusieurs créations du joaillier JAR dont cette broche en titane, diamants, cacholong blanc, saphirs, or et platine. (Copyright photos : Rmn-Grand Palais)
Baboula
8 mai 2017 @ 06:08
Exposition fabuleuse si on aime les joyaux ,Mais… choisissez bien votre heure de visite car la scénographie est prévue pour une visite privée .j’explique : Il y a des vitrines de 50 cm de large où sont exposés des diamants ,des émeraudes que l’on a envie d’admirer longuement. Pas facile si on est une quinzaine devant la vitrine .Et surtout ne manquez pas l’application du Grand Palais qui vous permettra de vous parer des joyaux. Ah ! ça vous fait envie …
Alinéas
8 mai 2017 @ 08:05
Superbe collier mais trop imposant… Le bas de celui-ci monté en broche me plairait bien… On peut rêver.!!
Baboula
8 mai 2017 @ 12:59
Non ne rêvez pas .Ce n’est pas une expo vente .Dés que cela sort de l’Europe on trouve tout trop chargé pourtant les couronnes impériales de la reine Elisabeth ne sont pas sobres et sont de toutes les couleurs.On y sent l’influence de l’Empire des Indes.Je ne parle pas des diadèmes qui monochromes sont magnifiques.On a pas à aimer ou pas aimer ,c’est de l’orfèvrerie ancienne d’un autre continent.Aimez vous les fresques de Lascaux ? Cela n’empêche pas d’admirer .
Claudia
8 mai 2017 @ 09:12
J’ai vu cette exposition, elle est intéressante, mais je n’ai pas été éblouie comme j’ai pu l’être lors de précédentes expositions de bijoux (Bulgari, Cartier, etc); On voit beaucoup d’ornements de turbans, d’aigrettes, de poignards, très chargés en couleurs (beaucoup de mélanges or, vert et rouge), aujourd’hui on est beaucoup plus sobre, le diamant est souvent mélangé à une seule couleur.
mary71
8 mai 2017 @ 09:39
l’exposition est absolument extraordinaire. Certains bijoux sont magnifiques, d’autres un peu chargés pour le goût européen. Beaucoup de rubis, d’émeraudes, de diamants et de perles. Par contre, le saphir est rare. Allez-y, vous ne regretterez pas cette visite.
Baboula
8 mai 2017 @ 12:41
Jusqu’à l’arrivée des joailliers de la Place Vendôme,Il n’y avait aucun saphir car dans les mythologies du Sous Continent le saphir était censé porter malheur.Alors que chez nous il fait notre bonheur.
Danielle
8 mai 2017 @ 11:49
Une belle exposition à recommander.
Baboula
8 mai 2017 @ 15:08
Jean Pierre Raynaud et ses pots de fleurs ,ou bien ses carrelages.La première fois OK ,Mais après ! c’est le pot doré de Beaubourg des années 80 qui est recyclé ici.Pour illustrer l’exposition sur les jardins ,comparé à Monet ou Renoir,Fragonard, même doré j’aurai honte .Paupérisation de l’expression artistique.
Leonor
9 mai 2017 @ 10:01
Tiens, tiens, tiens, JP Raynaud. Je n’apprécie pas son » travail » ( pas mon truc, question d’approche et de goût), mais l’homme est quelqu’un de bien . Pas si courant dans ce monde-là.
Baboula
9 mai 2017 @ 16:18
Merci Leonor de réhabiliter JP Raynaud qui vaut sans doute mieux que ses productions mercantiles.
guizmo
8 mai 2017 @ 19:30
Superbe exposition avec non seulement de magnifiques pierres mais aussi un travail d’orfèvrerie époustouflant.
Caroline
8 mai 2017 @ 22:22
Cette exposition ‘ orientale’ va certainement attirer un grand nombre de visiteurs !
Merci pour cette belle information !
j21
9 mai 2017 @ 13:09
Oui et c’est pour cette raison (grande affluence) que j’hésite à m’y rendre.