Jusqu’au 11 février 2018, le Sainsbury Centre for Visual Arts (SCVA) dans le Norfolk en Angleterre présente une exposition intitulée « La saison russe » à l’occasion du centenaire de la révolution russe. 200 pièces de Fabergé y sont exposées.
Une connaissance décore au pinceau à trois poils des oeufs, réels, à la manière russe pour ne pas dire Fabergé. Un travail de fou. Si ça intéresse quelqu’un
Corbeille en émail guilloché blanc laiteux recouverte d’un treillis de diamants, l’oeuf aux fleurs de 1901 a été restauré mais la base a été recouverte d’émail bleu. Une photo de l’exposition von Dervis de 1902 montre que le pied était blanc à l’origine. Payé 6850 roubles
Offert par le Tsar Nicolas II à son épouse Alexandra Féodorovna pour la Pâques 1901, il a été confisqué par le gouvernement Kerensky en 1917 et déposé au Palais des Armures du Kremlin. Vendu en 1933, il figure dans une liste d’objets appartenant à la Reine Mary de Grande-Bretagne à qui il fut certainement offert. Il fait partie des collections de la reine Elizabeth II qui possède trois autres oeufs de Fabergé.
L’histoire du peuple Russe reste une tragédie
C’est un peuple attachant
En effet quel dommage que cette exposition ne se passe
pas à Paris
Les objets de Faberge sont à l’image de la Russie
C’est à dire inimaginables et excessifs
L’art atteint son apogée lorsqu’on se trouve face à de telles réalisations
cactus
20 novembre 2017 @ 08:23
Quelle merveille !
Leonor
20 novembre 2017 @ 09:57
Une connaissance décore au pinceau à trois poils des oeufs, réels, à la manière russe pour ne pas dire Fabergé. Un travail de fou. Si ça intéresse quelqu’un
lidia
20 novembre 2017 @ 10:08
Je plains des Russes. Quel destin terrible a ce pays. Après tant de massacres, le peuple se retrouve à nouveau pauvre.
Alinéas
20 novembre 2017 @ 10:57
Dommage que cette exposition ne soit pas présentée sur Paris..!
Danielle
20 novembre 2017 @ 18:03
Alinéas, tout à fait, une de plus qui m’aurait plu.
Laurent F
20 novembre 2017 @ 13:48
Corbeille en émail guilloché blanc laiteux recouverte d’un treillis de diamants, l’oeuf aux fleurs de 1901 a été restauré mais la base a été recouverte d’émail bleu. Une photo de l’exposition von Dervis de 1902 montre que le pied était blanc à l’origine. Payé 6850 roubles
Offert par le Tsar Nicolas II à son épouse Alexandra Féodorovna pour la Pâques 1901, il a été confisqué par le gouvernement Kerensky en 1917 et déposé au Palais des Armures du Kremlin. Vendu en 1933, il figure dans une liste d’objets appartenant à la Reine Mary de Grande-Bretagne à qui il fut certainement offert. Il fait partie des collections de la reine Elizabeth II qui possède trois autres oeufs de Fabergé.
Francois
20 novembre 2017 @ 18:35
L’histoire du peuple Russe reste une tragédie
C’est un peuple attachant
En effet quel dommage que cette exposition ne se passe
pas à Paris
Les objets de Faberge sont à l’image de la Russie
C’est à dire inimaginables et excessifs
L’art atteint son apogée lorsqu’on se trouve face à de telles réalisations
Teresa 2424
20 novembre 2017 @ 18:58
merveille!!!
HRC
21 novembre 2017 @ 10:45
j’avoue : je trouve le travail de Fabergé proche du kitsch
Mary
21 novembre 2017 @ 12:19
Travail très raffiné. L’expo voyagera peut-être ?
ciboulette
22 novembre 2017 @ 18:45
Celui-ci est très beau !