C’est l’histoire du développement de cette nouvelle esthétique qui est au cœur d’une exposition qui fait la part belle à des feuilles, dont la plupart n’ont jamais été montrées et qui pourtant sont essentielles dans l’histoire de l’art de la Renaissance française.
Cette exposition, consacrée à l’un des courants artistiques majeurs de l’histoire de l’art français, s’appuie sur un grand nombre de dessins et quelques manuscrit exceptionnels. Certains d’entre eux, jamais ou peu étudiés jusqu’ici, constituent de véritables redécouvertes.
Leur étude a permis de préciser ou de revoir leur attribution, pour continuer à mieux comprendre cette période artistique si féconde et une esthétique aussi séduisante que déconcertante.
Ces chefs-d’œuvre ont été réunis par Henri d’Orléans, duc d’Aumale (1822-1897), qui nourrit un puissant intérêt pour la Renaissance française en générale, et les œuvres de Fontainebleau en particulier. Il séjourna d’ailleurs régulièrement dans sa jeunesse au château de Fontainebleau et s’en inspira pour la reconstruction de celui de Chantilly.
Près de chez lui, le duc eut également régulièrement l’occasion d’admirer l’une des rares fresques de Primatice conservées en France, à l’abbaye de Chaalis. Pour lui comme pour nous, l’art de l’école de Fontainebleau incarne à la perfection la Renaissance française. » (Merci à Bertrand Meyer)
Caroline
5 août 2021 @ 10:20
Intéressant !
Une exposition avec un nouveau genre à visiter à Chantilly !
HRC
5 août 2021 @ 10:24
Un érotisme chic.
Ciboulette
5 août 2021 @ 13:30
Erotisme ? Vous avez dit érotisme ? Ah ?
Jean Pierre
5 août 2021 @ 10:57
Quand on est en grande difficulté financière on ne se lance pas dans des expositions temporaires.
On fait profil bas, on courbe le dos, et on se concentre sur son cœur de métier en attendant des jours meilleurs qu’il s’agit de préparer.