Jusqu’au 23 février 2020, le musée des Avelines à Saint-Cloud présente l’exposition « Les derniers feux du palais de Saint-Cloud sous le Second Empire ». En collaboration avec le Mobilier National, l’exposition montre au public 80 oeuvres provenant de Saint-Cloud et met en lumière l’apogée du palais de Saint-Cloud sous Napoléon III et l’impératrice Eugénie.
Elle témoigne de l’élégance et de l’éclectisme de son riche ameublement, particulièrement du goût de l’impératrice pour le Louis XVI, associant objets authentiques belles copies du XIXe siècle dans un souci d’harmonie parfois assez audacieux
L’exposition invite à une promenade dans les appartements impériaux de Saint-Cloud, évoqués par de grandes reproductions photographiques, avec, en contrepoint, les meubles, vases, tapisseries, tableaux, sculptures, volontairement choisis par le couple souverain très attaché à cette demeure de villégiature aux portes de Paris.
Pierre-Yves
28 octobre 2019 @ 09:37
Il n’y a plus de chateau à Saint-Cloud, mais, outre qu’il n’y a plus personne pour le regretter puisque tous ceux qui l’ont vu et connu sont morts dpuis très longtemps, il reste un magnifique et vaste parc. Et des parcs, dans cette serre urbaine que sont Paris et sa proche banlieue, c’est ce dont on a le plus besoin.
Zeugma
28 octobre 2019 @ 09:40
« L’été des quatre rois » de Camille Pascal – Grand prix du roman de l’Académie française 2018 – évoque d’une manière très vivante (et de manière « rigoureusement exacts » jusqu’aux dialogues selon l’éditeur) les derniers jours du règne de Charles X à Saint Cloud.
Nous sommes à la fin du mois – caniculaire – de juillet 1830.
Le roi a signé – à Saint Cloud – les fameuses ordonnances préparées par Jules de Polignac qui vont déclencher les « Trois glorieuses » avec les conséquences que l’on connait.
Antoine
28 octobre 2019 @ 19:18
Quand on sait que Jules de Polignac agissait sur conseils de la Sainte Vierge qui le visitait régulièrement, on ne peut qu’être étonné du résultat désastreux de sa politique. Où alors la Vierge était orléaniste…
aubert
29 octobre 2019 @ 14:02
Tous les Polignac ne sont pas logés à la même enseigne. La preuve Albert de Monaco lui, n’est pas même pas visité par son épouse.
Caroline
28 octobre 2019 @ 11:42
Je vous parie que cette exposition attirera beaucoup de monde !
aubert
29 octobre 2019 @ 14:04
la Française des jeux va être privatisée…
notre fine mouche l’a bien compris.
Brigitte - Anne
28 octobre 2019 @ 14:21
Exposition qui doit être très intéressante.
Muscate-Valeska de Lisabé
28 octobre 2019 @ 17:07
Je ne le connaissais pas du tout.
Laurence Drisin
29 octobre 2019 @ 13:43
Très intéresse e clodoaldienne je pense y voir ma maison qui avait été construite pour marguerite Bélanger maîtresse de napoleon3
Val Richer
29 octobre 2019 @ 15:07
« Les derniers feux « … Un peu d’humour noir !