En voici le descriptif : « Après la disparition d’Alber Elbaz, la maison AZ Factory qu’il avait récemment fondée a fait appel à d’anciens proches collaborateurs et a organisé et réalisé un défilé hommage en son honneur.
Un show qui a réuni la participation de 46 designers qui ont toutes et tous ont été invité.e.s à créer une silhouette inspirée par Alber Elbaz et son oeuvre: robes fluides à longue traîne, robes courtes réveillées par des jeux de volants ou des grands noeuds, robes imprimées de dessins ou du portrait du créateur.
Reconnu.e.s ou émergent.e.s, à la tête de maisons historiques ou à celle de leur propre marque, ces créatrices et créateurs réuni.e.s ont offert un regard sur la création de mode, ses questionnements et ses enjeux contemporains : environnement, diversité, genre…
Le Palais Galliera souhaite rendre hommage à Alber Elbaz en organisant une exposition qui reconstitue le défilé et propose au visiteur de s’immerger dans cet univers éphémère en reproduisant l’ordre de passage, les effets, la musique et les lumières qui ont fait de cette soirée un événement historique.
Le titre de « Love Brings Love » (L’amour appelle l’amour) reprend une formule prônée par Alber Elbaz en guise de mantra.
Comme en réaction à l’isolement provoqué par la crise sanitaire, cette exposition met en valeur la fraternité de designers réuni.e.s pour célébrer la mémoire de l’un de leurs plus brillants représentants, le très charismatique Alber Elbaz. »
2 mars 2022 @ 08:23
Qui a écrit cet horrible article ?
2 mars 2022 @ 09:10
? C’est un communiqué du Palais Galliera
2 mars 2022 @ 09:25
Je suppose,
Horrible ( sur la forme) = écriture inclusive
2 mars 2022 @ 10:19
Décidément l écriture inclusive gagne du terrain c est vraiment dommage le texte en devient presque illisible
2 mars 2022 @ 23:12
😆 Je pense avoir compris le thème de cette exposition ! 😆
3 mars 2022 @ 09:07
Non, ça ne progresse pas. Ça reste limité à un milieu parisien bien spécifique.
Et tant mieux.
2 mars 2022 @ 18:09
Cette écriture inclusive c’est d’un ridicule. Quand je lis « cheffe », « écrivaine », cela me révulse. Et pourtant je suis une femme.
4 mars 2022 @ 17:23
Je suis d’accord avec vous pleinement d’accord , mais j’admets volontiers « écrivaine », ça sonne bien (bien mieux qu’autrice ) et je crois que c’est un mot depuis longtemps utilisé au Quebec voire dans un Français très ancien qui disons le n’était pas spécialement codifié.
« Cheffe » , la « numéro 1 » , la « procureur » sont des abominations .
D’ailleurs dans leur zèle certains journalistes en viennent à utiliser ces tournures affreuses alors qu’un féminin existait déjà bel et bien.
3 mars 2022 @ 01:34
Pas portable , mais belle tenue .