Le château de Grignan, dans la Drôme présentera du 25 mai au 22 octobre 2017 l’exposition « Sévigné, épistolière du Grand Siècle ». La marquise de Sévigné a passé trois longs séjours avec sa fille, comtesse de Grignan dans le château à la fin du 17ème siècle. (Merci à Anne)
AnneLise
7 mai 2017 @ 10:58
C’est d’ailleurs à Grignan qu’elle est morte et fut inhumée dans la chapelle seigneuriale.
Sa sépulture fut profanée en 1793.
Une dalle marque l’emplacement présumé de sa tombe.
Gérard
7 mai 2017 @ 20:48
La marquise reposes bien dans la collégiale après diverses péripéties.
http://www.noblesseetroyautes.com/320-ans-de-disparition-de-marquise-de-sevigne/
Alinéas
7 mai 2017 @ 13:40
Absolument à voir.. Superbe exposition qui retrace le parcours de la marquise entre Paris, Vitré et Grignan, en mettant en lumière l’évolution de son écriture.!
Leonor
7 mai 2017 @ 16:52
La marquise de Sévigné , une formidable épistolière, mais une mauvaise mère.
Mauvaise mère pour sa fille, car mère abusive et intrusive.
Plus mauvaise mère encore pour son fils, car il n’y en avait que pour sa fille.
Il est vrai qu’à l’époque, les bonnes mères, il fallait les chercher.
cf.d’ Elisabeth Badinter , L’amour en plus, Histoire de l’amour maternel XVIIe s. – XXe s.
Danielle
8 mai 2017 @ 10:36
Claire Chazal ira t elle y faire quelque lecture ?
Ghislaine-Perrynn
8 mai 2017 @ 16:20
Château des Rochers – Près de Vitré
et Cesson-Sévigné près de Rennes
Fiefs bretons des Sevigné
clement
8 mai 2017 @ 16:50
La cancane de la cour ,mais qui par le récit des événements dont elle fut le témoin ,relate d’une façon vive ,amusante, pétillante dans un style enlevé les nouvelles ,les habitudes , les potins de Versailles et la vie campagnarde aux Rochers , une place de choix dans notre littérature ! .On dit que dans le sanctuaire de Grignan il ne reste que le crâne qui après bien des péripéties repose à présent sous une dalle devant le maître-autel ; à voir aussi en contre-bas du château la grotte en pleine nature où l’épistolière aimait se reposer ou écrire !
Un conseil , ne pas gravir à pied l’éperon rocheux qui mène au château par temps de mistral ,c’est une épreuve !
AnneLise
9 mai 2017 @ 19:20
Oui, mais le crâne, c’est un peu comme celui d’Henri IV, on ne sait plus très bien.
Scié, pas scié ?
Bref, il reste la dalle qui vide, occupée de façon illégitime ou pas nous rappelle la Marquise.
C’est l’essentiel, non ? avec ses lettres, « face book » de l’époque !