A l’heure où le Brexit occupe tous les esprits, certains en Angleterre ont envie de célébrer les grands moments de l’Entente cordiale avec la bénédiction de la Couronne.
Le Bowes Museum, ce merveilleux château du nord du pays, présente du 24 mars au 24 juin 2018 l’exposition « La reine Victoria à Paris ».
Il s’agit de 51 aquarelles tirées des archives royales (elles sont conservées à Windsor) qui mettent en scène la venue historique de la reine Victoria à Paris en août 1855. Ce moment particulier marqua le début du rapprochement entre la reine Victoria et Napoléon III. (Merci à Bertrand Meyer)
framboiz 07
17 janvier 2018 @ 03:45
Où sont les drapeaux de Sa Gracieuse Majesté ?
J’ai l’impression que les Britanniques regrettent le Brexit …Mme May est dans une situation peu stable …
Jean Pierre
17 janvier 2018 @ 06:07
Victoria qui fût proche de Louis-Philippe, faisait la fine bouche vis à vis de son successeur. Puis la raison d’etat l’emporta et une amitié naquit aussi avec l’empereur.
Caroline
17 janvier 2018 @ 10:07
Dommage que ce ne soit pas une exposition itinérante ! La prochaine fois, à Paris?
Les nombreuses photos sont très belles dans le site du chateau de Bowes chez Uncle Google !
bianca
17 janvier 2018 @ 14:08
Comme vous Caroline regrets que cette exposition ne puisse être déplacée ! Bonne semaine !
Philippe
17 janvier 2018 @ 16:27
Les parisiens apprécieront le changement !
Quand, aujourd’hui, on passe au même endroit, c’est asphalte, circulation automobile enfiévrée, façades tristounettes, kebabs, McDo … et petites madames
chinoises …
Caroline
17 janvier 2018 @ 23:40
Philippe,
Vous avez malheureusement raison, j’aimais aller à cet endroit pour acheter des livres à Gibert Jeune.
bianca
19 janvier 2018 @ 14:23
Moi aussi Caroline, les livres de classe (neufs aussi) et tant d’autres, j’aimais beaucoup ce quartier…Nostalgie, Nostalgie, de « mon » Paris !!!
bianca
18 janvier 2018 @ 11:08
Vous avez raison Philippe, Paris n’est plus ce qu’il était dans mon enfance et ma jeunesse !
AnneLise
19 janvier 2018 @ 19:54
Oui, d’accord, à l’époque il n’y avait pas de « petites dames chinoises » mais des « petites dames bien de chez nous »!
Pour le reste, je suis en accord avec vous, Bianca et Caroline, mais si Paris n’est plus ce qu’il était dans notre jeunesse, c’est que notre jeunesse a foutu le camp !
Ghislaine-Perrine
17 janvier 2018 @ 18:30
Philippe je crois reconnaître la porte St Denis , vous confirmez ?
Gérard
18 janvier 2018 @ 16:54
Et l’on distingue au fond la porte Saint-Martin.
ciboulette
17 janvier 2018 @ 19:27
Il se dit qu’Emmanuel Macron va prêter la tapisserie de Bayeux aux Anglais pour une exposition .
Régine
18 janvier 2018 @ 09:35
En 2020