Nous avions déjà brièvement évoqué l’exposition « Roberto Capucci : la recherche de la majesté » qui se tient à la Venaria Reale à Turin jusqu’au 2 février 2014. Né en 1930, Roberto Capucci est considéré comme le Givenchy italien. Il habille toute l’aristocratie italienne. Ainsi les princesses Borghese, Odescalchi et Colonna ont prêté leurs plus beaux modèles. Capucci a réussi à représenter la » majesté » en modelant des robes qui deviennent d’authentiques sculptures. En voici quelques exemples. (Merci à Bertrand Meyer – Copyright photos : DR)
Philippe
4 août 2013 @ 07:28
Quelle horreur !!! … C’est affreux.
Mais bien en phase avec la vanité et le m’as-tu-vu de notre époque.
A l’évidence, les noms Orsini, Borghese ou Duschmol ne suffisent pas
à vous en protéger …
Beurk.
j21
4 août 2013 @ 08:24
Extravagant! Qui peut porter de tels modèles, pour quelles occasions?
Masha
4 août 2013 @ 09:44
La Reine Maxima!
qiou
4 août 2013 @ 18:22
Vous plaisantez je présume?
Masha
5 août 2013 @ 09:13
Je ne plaisante jamais avec les artistes.
Ces toilettes sont des productions d’un artiste de la mode et non d’un faiseur de chiffons comme nous en connaissons beaucoup maintenant y compris dans la couture française (que je ne qualifierais plus de Haute).
Valerie U
5 août 2013 @ 07:48
Ok avec Masha!
val
5 août 2013 @ 09:44
j21,
Une princesse il y a de ca quelques années portait ce genre de robes en soirée, Mona Bismark je crois?
Cosmo
4 août 2013 @ 08:27
A part les robes sur la dernière photo, on se demande où et quand les autres ont pu être portées.
Jean Pierre
4 août 2013 @ 08:28
J’ai écrit dans un post précédent que j’admirais le travail de la flamande Ann Demeulemeester, vous comprendrez donc facilement que comme Philibert je dise « beurk » en voyant le travail du signore Capucci.
granie
4 août 2013 @ 08:53
comment fait-on pour rentrer dans une petite voiture du genre Twingo!!!!!
agnes
4 août 2013 @ 18:40
Un constructeur prend des mesures et construit une voiture sur mesure.
Valerie U
5 août 2013 @ 07:49
Vous connaissez beaucoup de princesses et de reines qui se rendent au bal en twingo?
Stella
5 août 2013 @ 15:18
Oui!…Cendrillon, dans sa citrouille!…
( Mais, pour être plus sérieuse, je pense à Diana, dont la robe de mariée fut tellement frippée dans le carosse la conduisant à st Paul, qu’il fallut à son couturier qui l’attendait à l’entrée de l’église, un moment » d’attention particulière » afin qu’elle soit en mesure de monter dignement à l’Autel…)
adriana
4 août 2013 @ 09:45
Originaux tous ces modèles………bon dimanche à tous
Dominique
4 août 2013 @ 09:51
Bonjour. Eh bien, moi je trouve ce travail magnifique et extraordinaire ! Il a dû en falloir des heures de travail sur chaque robe, d’étude, de dessin, de réalisation, de patience, et d’amour du travail haut de gamme et bien fait. Félicitations.
bianca
4 août 2013 @ 14:41
Sur le plan de la réalisation je suis de votre avis mais ces robes sont trop extravagantes. Comme le dit Zeugma, nous ne pouvons comparer les créations de Hubert de Givency et Cristobal Balenciaga, qui étaient de grands maîtres dans cet art qu’est la haute couture.
Esquiline
5 août 2013 @ 22:10
Pourquoi toujours comparer?
Dans un autre domaine par exemple, la fantaisie, l’originalité, l’extravagance des fims de Fellini sont incomparables.
C’est le génie italien …
Esquiline
5 août 2013 @ 22:13
Films
Zeugma
4 août 2013 @ 09:57
1°) sur la « majesté » :
L’utilisation du concept de « majesté » est un peu surprenante en l’espèce.
Rappelons qu’il vient d’un mot latin qui évoque la grandeur liée au pouvoir.
« Majesté » fut utilisé pour la première fois par Charles Quint après qu’il eut été couronné empereur le mercredi 23 octobre 1520 à Bologne par le pape Clément VII.
Dans le même temps, Charles Quint adopta la couronne fermée.
Sans doute jaloux d’avoir été battu à l’élection à la dignité impériale, François Ier adopta, lui aussi, le prédicat de « majesté » et la couronne fermée, ses ancêtres ne portant qu’une couronne ouverte.
Dans la foulée, tous les souverains d’Europe adoptèrent le prédicat et la couronne fermée.
2°) J’ai une grande admiration pour l’oeuvre d’Hubert de Givenchy qui est (qui était) dans la continuité de celle de Christobal Balenciaga. Les vêtements qui sont présentés dans cet article ne me semblent pas de la même veine.
qiou
4 août 2013 @ 18:16
Pas de la même veine, je vous trouve bien charitable….
Mayg
4 août 2013 @ 11:44
Je me demande bien qui a osé porter ces robes extravagantes pour ne pas dire affreuses, sauf peut être pour le carnaval…
flabemont8
4 août 2013 @ 18:33
Comme Dominique, je pense que c’est un travail remarquable, réalisé sans doute dans des matériaux somptueux …l’ensemble est impressionnant, mais …importable !
Pour répondre à Zeugma : j’ai vu , il y a deux ans, dans ma région, une exposition de robes créées par Givenchy et Balenciaga ( entre autres, la robe de mariée de la reine Fabiola ) et je suis de votre avis …la grâce, et rien d’autre !
Bonne journée à vous tous et toutes !
Patricia C
4 août 2013 @ 12:12
Bien que difficilement portables, ces robes sont des créations remarquables.
*gustave de montréal
4 août 2013 @ 12:32
C’est comme porter une montgolfière, pas facile pour aller au petit coin.
aubert
5 août 2013 @ 14:30
…des ballonnements Gustave ?
agnes
6 août 2013 @ 09:15
Petits coins sur mesure, ils font 50m2 minimum.
Yannick
4 août 2013 @ 13:48
J’ai l’impression que les robes ont été « dénaturées » et qu’elles ne sont pas comme ça normalement. Des morceaux d’étoffe amidonnés ou sculptés avec des structures en fils de fer ?
guewagram
4 août 2013 @ 14:15
Travail d’artiste .. Les vêtements « haute couture » fussent-ils français sont souvent « inutilisables » au quotidien… mais ils existent, font même parfois rêver et sont également parfois achetés et portés. Ceux de cette exposition ne sont ni pire ni mieux…
Severina
4 août 2013 @ 14:16
Rita Levi Montalcini, prix Nobel italien pour la Medicine, etait a Stocolme abillee Capucci: vielle grand dame vraimant royale! Cherchez la sur google
COLETTE C.
4 août 2013 @ 15:57
Impressionnant !
ragazza66
4 août 2013 @ 16:28
Il y a plusieurs catégories dans la mode :
Le prêt-à-porter, produit à grande échelle et portable par tout le monde selon des codes « classiques » ou faisant référence à une mode en cours.
La haute couture : on est là sur du travail exceptionnel, des expérimentations de tissus et de formes, faites pour être remarquées et portées par une clientèle très ciblée.
Laissons les Italiens donner le surnom qu’ils veulent à ce créateur, mais je trouve personnellement que certaines robes sont majestueuses. Pas forcément pratiques dans un monde tel que le nôtre…
Comme toujours, c’est celle qui porte la création qui lui donne ou non ses lettres de noblesses. Outre le physique, il faut l’état d’esprit qui va avec. Alors je vois bien une Maxima avec de telles créations !
ragazza66
4 août 2013 @ 16:34
Il y a d’ailleurs une robe (la N°2) dont le stylisme me semble fortement inspiré des costumes de Peau d’Ane…
spotlostie62
5 août 2013 @ 03:14
Des avis différents!!! Voilà ce que je pense après vos réactions plus ou moins hostiles à cette exposition. J’avoue que j’admire le travail pour parvenir à un tel résultat mais ces robes me semblent trop exagérées pour les porter!!! Et comment faire pour entrer dans une voiture style » mini » ou dans les transports en commun????J’aimerais connaître les noms des femmes qui se sont rendues à des soirées ainsi vêtues ….Il ne doit pas y en avoir des quantités!!!
bianca
6 août 2013 @ 14:30
Surtout les femmes qui prennent l’autobus pour se rendre à ces soirée, personnellement je n’ai jamais entendu parler !
Valerie U
5 août 2013 @ 06:38
C’est un artiste. Les robes sont ses oeuvres. Je trouve qu’elles sont spectaculaires. Ça me plait bien.
Peut être devrions nous le conseiller a la Pcsse Charlene ?
Chancel
5 août 2013 @ 09:02
L’exposition Capucci de la Venaria Reale est absolument magnifique. Merci d’en aviser vos lecteurs. La première robe que vous montrez a été portée par Maria Callas à Vérone et c’est une splendeur. Il y a aussi des robes d’une superbe simplicité, telle celle portée par Rita Levimontalcini lorsqu’elle a reçu le Prix Nobel de neurologie en 1986.