Du 23 février au 22 avril 2018, le musée Yves Saint-Laurent à Marrakech présentera l’exposition « les robes sculptures de Nourredine Amir ». (merci à Framboiz)
C’est un travail fabuleux, que celui de Nourredine Amir.
Il n’entre pas dans la catégorie » Mode ». C’est beaucoup mieux que ça.
Il entre dans la catégorie » Recherches textiles ».
Recherche sur les matériaux, et sur les formes qu’ l’on peut réaliser avec ces matériaux : raphia, alfa, soie, mousseline, toile de jute, laine bien sûr. Les techniques sont filage, feutrage, entrecroisements, tissages, mélanges subtils, teintures naturelles, henné, etc.
Quand on sait à quel point les femmes, au Maroc , dans les campagnes et les montagnes, maîtrisent encore l’art du filage et du tissage, à quel point elles restent familiarisées avec les fibres textiles, on apprécie d’autant mieux cette plongée d’un créateur véritable dans les tréfonds de ses traditions culturelles, et ce qu’il en fait de réellement contemporain.
Alinéas
9 février 2018 @ 09:58
Présentée à Paris, je ne l’aurais pas manquée..!
Danielle.
9 février 2018 @ 10:57
J’espère qu’après Marrakech, cette exposition viendra à Paris.
framboiz 07
9 février 2018 @ 14:17
Un musée , qui fera connaître l’art local !
COLETTE C.
9 février 2018 @ 15:03
Superbe et surprenant !
Leonor
10 février 2018 @ 18:38
C’est un travail fabuleux, que celui de Nourredine Amir.
Il n’entre pas dans la catégorie » Mode ». C’est beaucoup mieux que ça.
Il entre dans la catégorie » Recherches textiles ».
Recherche sur les matériaux, et sur les formes qu’ l’on peut réaliser avec ces matériaux : raphia, alfa, soie, mousseline, toile de jute, laine bien sûr. Les techniques sont filage, feutrage, entrecroisements, tissages, mélanges subtils, teintures naturelles, henné, etc.
Quand on sait à quel point les femmes, au Maroc , dans les campagnes et les montagnes, maîtrisent encore l’art du filage et du tissage, à quel point elles restent familiarisées avec les fibres textiles, on apprécie d’autant mieux cette plongée d’un créateur véritable dans les tréfonds de ses traditions culturelles, et ce qu’il en fait de réellement contemporain.