L’exposition « Six Lives : The Stories of Henry VIII’s Queens » a lieu à la National Portrait Gallery de Londres du 20 juin au 8 septembre 2024. Cette exposition présente une étude des vies et des postérités des six femmes qui ont épousé Henry VIII.
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10 juin 2024 @ 08:32
Catherine d’Aragon au portrait bien embelli. Et des portraits un peu étranges pour ses « collègues »
10 juin 2024 @ 11:52
Pastelin il n y a pas que Catherine d Aragon 😊
11 juin 2024 @ 16:53
Oui, voyez Anne de Clèves !
10 juin 2024 @ 09:05
que j aimerais voir cette exposition, çelà est passionant, les voyages sont exclus pour moi , donc !!!!
10 juin 2024 @ 12:11
Et pour moi aussi, j’aurais dû partir demain pour la Sicile et à mon retour j’aurais fait volontiers un petit séjour à Londres pour cette exposition.
Dur …
10 juin 2024 @ 09:36
Très intéressant, mais un peu effrayant si on n’ ignore pas la fin de la vie de ces femmes !!!
10 juin 2024 @ 11:10
Le chapitre d’Anne de Clèves est intéressant. Il l’a rejetée. Peut-être à cause d’un mauvais début où elle a blessé le roi, qui semble rancunier. La fine mouche accepta tout de bonne humeur, resta amie avec Henry et organisa sa residence définitive et dorée en Angleterre, au lieu de retourner dans son triste pays où régnait son frère et où elle n’avait pas d’argent. Une ex qui reste amie avec Henry VIII, c’est très fort. Elle fit comme si c’était un homme charmant et son meilleur ami. Chapeau !
10 juin 2024 @ 10:07
J’ai lu le livre d’Antonia Fraser sur les 6 femmes de Henry VIII. Et je m’en contenterai. Elle est plus qu’une historienne, elle fouille bien la psychologie du bonhomme.
10 juin 2024 @ 19:01
Une expo qu’il me plairait beaucoup de voir !
10 juin 2024 @ 21:41
D’autres monarques après Henry 8 se sont inspirés des moeurs de ces années là.
10 juin 2024 @ 22:32
Bonhomme qui pour moi est un monstre absolu, cher Robespierre. J’ai toujours pensé que les Tudors étaient la pire des dynasties anglaises…
11 juin 2024 @ 10:42
Vous avez raison. Henry VIII était vindicatif, mesquin, rancunier et ses femmes le comprirent vite. Mais Anne de Clèves, devait être intelligente. Elle aurait pu finir mal comme ses « collègues » au lieu de quoi elle coula des jours heureux dans un joli château, au bord de l’eau. Elle ne chercha pas à se remarier. Elle avait compris que cela n’aurait pas plu au roi. Elle se présentait comme son amie, ou sa quasi-soeur, et l’approuvait en tout. In petto, je suppose qu’elle le craignait et s’en méfiait.