Au Palais royal de Madrid, le roi Felipe d’Espagne a inauguré l’exposition « Cartes au roi. La médiation humanitaire du roi Alphonse XIII pendant la Grande Guerre ». (Copyright photos : Casa real)
Au Palais royal de Madrid, le roi Felipe d’Espagne a inauguré l’exposition « Cartes au roi. La médiation humanitaire du roi Alphonse XIII pendant la Grande Guerre ». (Copyright photos : Casa real)
Leonor
7 novembre 2018 @ 11:03
Ah ? Le sujet me semble inédit, et intéressant. Et qu’est-ce qu’il a fait d’humanitaire, ce roi, pendant la Première Guerre mondiale ? Peut-on en savoir plus ? Je ne suis pas hispanisante, même si je peux lire un texte à peu près .
Pierre21
7 novembre 2018 @ 12:11
Voici un article en français qui l’explique: https://actualiteespagnole.wordpress.com/2016/06/26/le-labeur-humanitaire-de-lespagne-entre-1914-et-1918/
Vous pouvez trouver un exemple de ces lettres (en français) en cherchant « cartas alfonso xiii primera guerra mundial » sur google images.
Leonor
8 novembre 2018 @ 15:14
Merci, Pierre,
J’ai lu rapidement pour l’instant, et relirai mieux ce soir.
C’est en effet fort intéressant.
Merci.
Jean Pierre
7 novembre 2018 @ 13:01
Une médiation moins connue que celle des Bourbon Parme ou du pape Benoît XV qui n’ont d’ailleurs pas servies à grand chose.
COLETTE C.
7 novembre 2018 @ 15:42
Merci, PIERRE 21, intéressant de connaître l’action du Roi.
Laurent
8 novembre 2018 @ 13:03
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C’est triste
Caroline
8 novembre 2018 @ 13:32
Laurent,
Ce n’est pas triste, mais évident sur ce roi inconnu pour la plupart d’entre nous ! Je comprends votre déception, mais consolez-vous en lisant le lien intéressant indiqué par notre internaute Pierre 21 plus en haut de cette page !
Bon après-midi !
Cosmo
8 novembre 2018 @ 18:57
Les médiations du roi d’Espagne, du Pape ou des princes de Parme n’ont servi à rien. Elles ont sauvé l’honneur de ceux qui se sont entreposés mais la rage de Guillaume II et de son état-major était telle qu’ils refusaient toute idée de compromis. L’Empereur Charles paya de ses trônes, et de sa vie, ces échecs de tentative de paix qui auraient pu sauver l’Autriche-Hongrie, et plus loin l’Empire Ottoman, sauvant ainsi l’équilibre européen chèrement acquis au cours du XIXe siècle. Sauvant l’Autriche-Hongrie et l’Empire Ottoman, c’était l’Europe et le Moyen-Orient qui étaient sauvés. Certes les choses n’étaient pas parfaites en 1914, mais elles furent pire en 1945. Une nuit de cinquante ans s’en suivit et le jour est loin de se lever au Moyen-Orient.