La Galerie d’Art « Kaplanon » à Athènes accueille depuis le 26 novembre une exposition ayant pour sujet le roi George I de Grèce, premier souverain de la dynastie Glucksbourg qui régna pendant 50 ans, l’un des règnes les plus longs de l’Histoire des monarchies européennes.
Cette exposition se tient à l’occasion du centenaire de son assassinat le 18 mars 1913 à Thessalonique. La princesse Irène de Grèce l’a visitée. Il s’agit d’une première en Grèce de consacrer une exposition à un souverain depuis la chute de la monarchie en 1967. Certains des tableaux exposés sont parfois même très « étonnants »(Merci à Tepi pour ce reportage)
agnes
29 novembre 2013 @ 10:00
Le fils de Georg I a eu une liaison amoureuse avec son frère (donc son oncle….pour le fils….pour ceux qui suivent !!), Valdemar de Danemark, lui même marié à Marie d’Orléans dont il avait 5 enfants.
Mais Marie d’Orléans est morte en 1909 et Valdemar en 1939.
Jean Pierre
29 novembre 2013 @ 14:31
Célia Bertin l’évoque dans sa biographie consacrée à Marie Bonaparte.
flabemont8
30 novembre 2013 @ 18:44
Si j’ai bien compris, le fils de George a eu une laison avec le frère de George, qui se trouvait donc être son oncle . La langue française est d’une extrême rigueur qui ne supporte aucune imprécision, surtout avec ces familles « tuyaux de poêle »!!
Francine du Canada
29 novembre 2013 @ 17:37
Agnès, je suis bien pour la première partie de votre première phrase mais… je ne fais pas le lien avec Valdemar de Danemark? Il était l’oncle en question? Mes amitiés et bon w-e à vous, FdC
agnes
30 novembre 2013 @ 13:15
Georg 1er est né Guillaume de Danemark, il était le 2ème fils de Christian 9, et Valdemar était son dernier fils (et 6ème enfant),
Gustave de Montréal
30 novembre 2013 @ 13:40
Beau couple ? Le prince Georges avait 14 ans quand il est devenu l’amant de son oncle Valdemar lui-même âge de 25 ans. Sacré Tonton va.
Inês
29 novembre 2013 @ 18:27
C’est donc la seule chose dont vous avez retenu de ces princes?
Philippe gain d'enquin
30 novembre 2013 @ 17:22
Excellent !
Quentin
4 décembre 2013 @ 00:52
Et toc !
Philippe
29 novembre 2013 @ 20:52
Vous oubliez de préciser que, étonnamment, les deux amants furent mariés à des princesses françaises … Valdemar à Marie d’Orléans, et
Georges (prénommé comme son père) … à Marie Bonaparte ! …
Deux personnalités étonnantes elles aussi.
Marie d’Orléans, marraine des pompiers de Copenhague, quittait
les diners officiels dès qu’elle entendait un sirène retentir, et partait soutenir le moral de ses filleuls ! Un peu fantasque, très Orléans donc, elle fut très aimée des danois.
Quant à Marie Bonaparte, elle a contribué à sauver Sigmund Freud,
dont elle avait été l’assistante. C’est elle qui paya la rançon qui lui
permit, après l’Anschluss, de quitter Vienne et de rejoindre Londres, avec sa famille, évitant ainsi une déportation prévisible …
Pour ce qui est de la liaison homosexuelle, et incestueuse, des deux
compères, il ne semble pas qu’elle ait été mal vécue, ni par les intéressés eux-mêmes, qui ne se sont jamais cachés, ni par leurs épouses, ni même par leur entourage royal et impérial, qui ne les a jamais rejetés.
Rappelons que Valdemar était non seulement le fils d’un roi de Danemark, mais aussi que ses soeurs, Alexandra et Dagmar,
étaient tout de même reine d’Angleterre et Tsarine de Russie !
(Je vous recommande à tous de vous reporter au très beau tableau
de Laurits Tuxen, Christian IX et sa famille, Fredensborg 1883, ou l’on voit toute la famille, les danois au centre, les anglais à gauche, les grecs à droite, Valdemar à côté de son frère Georges 1er derrière
le canapé … et tous les enfants de la fratrie répartis à l’arrière, parmi lesquels, probablement, mais où?, les futurs Nicolas II de Russie, Constantin 1er de Grèce, Christian X de Danemark, et donc aussi le jeune prince Georges de Grèce …)
Rappelons enfin que le futur Constantin 1er et son frère Georges de Grèce avaient pour jeune frère le prince André de Grèce, père de l’actuel prince Philip, Duc d’Edimbourg.
A titre personnel, et vous savez bien que je suis un militant patenté !,
je ne peux que me réjouir de l’équilibre qu’ont pu trouver Georges et Valdemar dans leurs vies personnelles, mais je ne peux aussi que
regretter l’aveuglement d’une société rétrograde qui obligeait au mariage (dans son acception ancienne, bien sûr!), et à la dissimulation, au moins aux yeux du public ! … et que déplorer l’absence d’engagement militant des deux protagonistes …
Alors même que toutes les familles royales d’Europe étaient concernées :
La Grèce et le Danemark donc, mais aussi la Russie (Dimitri
Pavlovich), la Hesse (Ernest-Louis), l’Autriche (Louis-Victor, frère de
François-Joseph), la Prusse (Eithel-Frédéric, troisième fils de
Guillaume II) … plus tard l’Angleterre (George de Kent) … etc etc etc …
Les princes avaient ainsi le droit de vivre ce qu’ils voulaient, comme l’ensemble des membres de la bonne société d’ailleurs, avec quelques accommodements obligés … mais dans le même temps on continuait
à culpabiliser les sans-grades, les gens modestes, que l’on abrutissait
avec la religion. On continuait à criminaliser leur intimité, à les condamner, à les enfermer…
Que tous ceux qui me reprochent la violence de mon combat contre certains « princes » d’aujourd’hui, aux idées d’un autre temps, ou que
celle qui se permet régulièrement de basses attaques personnelles à mon égard, se croyant autorisée à mesurer mon mal-être, veuillent bien faire l’effort de comprendre que les temps ont changé. Et que, même s’il y a encore des soubresauts à prévoir, des résistances politico-religieuses inévitables, il deviendra de plus en plus difficile de revenir en arrière.
Et que enfin, quand on est porteur de cette mémoire, elle prime toute autre considération, exactement comme le fait d’être juif autorise à voir l’histoire du monde d’une autre manière…
Alors oui, je reproche à Valdemar, Georges, Dimitri, Eithel-Frédéric et autres de n’avoir pas su imposer leur droit de vivre à visage découvert.
Cela aurait peut-être contribué à éviter que « certain », aujourd’hui,
croie encore utile de jouer les père la pudeur.
Non Mais !
Palatine
30 novembre 2013 @ 13:07
vous êtes sûr que Marie Bonaparte fit sortir Freud d’ Autriche AVEC sa famille ? Je crains que ce ne soit pas le cas. Evidemment, faut préciser qui fait partie de ce qu’on appelle famille. Mais pour Freud lui-même, c’est vrai.
Philippe
1 décembre 2013 @ 12:14
La seule chose dont je sois sûr, chère Palatine, c’est qu’Anna Freud profita
également de la rançon versée par
Marie pour gagner Londres. Etait-ce
avant, avec, ou après son père, la veille, le jour même, ou le lendemain, je ne sais pas.
Quant au reste de la fratrie, je ne sais pas
non plus. Probablement étaient-ils déjà partis.
Bref, ma formulation était un peu trop rapide, et je suis tout prêt à en apprendre davantage, si vous connaissez les détails.
Reste que, sans Marie Bonaparte, plus de Sigmund …
Bien à vous.
Palatine
1 décembre 2013 @ 12:48
le reste de la famille ne put partir et ne fut pas sauvée par Marie B. La ou les soeurs de Freud finirent très mal.
agnes
30 novembre 2013 @ 13:15
passionnant, merci beaucoup.
Zeugma
30 novembre 2013 @ 13:18
Philippe,
Merci pour ce commentaire très instructif.
Je comprends les reproches posthumes que vous adressez aux princes qui n’ont pas assumé leur homosexualité mais cela était-il réellement possible à l’époque ? : non.
Lisez ce qu’écrit Jean d’Ormesson dans « Au plaisir de dieu » où un membre de la famille est invité à se faire tuer à la guerre de 14-18 pour occulter ses moeurs.
Beaucoup de jeunes hommes des familles s’engageaient à l’époque dans l’armée et partaient aux colonies pour vivre tranquillement leur homosexualité.
Philippe d’Orléans, Monsieur, frère du roi, (1640-1701) vivait assez ouvertement ses liaisons masculines et souffrit de l’exil du chevalier de Lorraine (1643-1702) imposé par Louis XIV.
La plus belle histoire reste celle de l’empereur Hadrien (76-138) et du bel Antinoüs (110-130) dont il fit ériger la statue dans tout l’empire après son mort dont il ne se consola jamais.
Philippe
1 décembre 2013 @ 12:48
Merci à vous Zeugma pour votre réponse.
Le roman de d’Ormesson est inoubliable…
Sachez que, même si je suis l’actualité royale avec intérêt, je ne peux oublier que je sors d’un milieu des plus modestes.
Je ne connais même pas le nom de tous mes grand-parents. Et pour ce que je connais, à trois générations, c’était
quasiment le quart-monde …
Alors, en tant qu’homosexuel, même si
je suis horrifié que des jeunes gens de bonne famille aient pu être obligés à
s’engager dans l’armée pour cacher
leurs penchants, ma pensée va prioritairement aux sans-grades …
Quand je pense à l’aplomb que j’ai dû avoir, et au courage qu’il m’a fallu, dans les années 70 !, pour m’imposer tel que j’étais à mon entourage … je n’ose imaginer ce qu’ont vécu mes prédécesseurs.
Condamnés par le curé (ceux-là, je leur en veux à mort !), tancés par l’instituteur
(véritable prêtre républicain), molestés par tous … quelle horreur !
Pour vous dire, ma mère m’a certifié qu’elle n’avait jamais entendu parler d’une telle abomination avant que son frère aîné ait été
« approché » par un de ses camarades de régiment (dans les années 50), ce qui
avait à la fois provoqué un immense éclat de rire familial et un dégoût généralisé…
Alors oui, j’en veux un peu à ceux que leur
position sociale rendait plus libre, de n’avoir rien fait pour les autres. J’en veux
à tous ceux dont le devoir aurait dû être de soulager les angoisses, de combattre les préjugés, de lutter contre la bêtise.
Et je continuerai à le dire, le redire, et à
me battre, jusque devant Saint Pierre si nécessaire.
Bien à vous.
Gustave de Montréal
30 novembre 2013 @ 19:38
J’ajoute la princesse Marie-Louise de Gde-Bretagne dont le mari, Aribert de Anhalt, avait causé un gros scandale. Mariage qui avait été annulé en 1900 après neuf ans.
Francine du Canada
1 décembre 2013 @ 07:57
Merci Philippe; encore une fois, vous m’avez fourni les éléments historiques qui manquaient à ma connaissance.
Quant à la mélasse dans laquelle vous vous débattez… rappelez-vous que les préjugés (quels qu’ils soient) relèvent de l’ignorance et aussi de la peur de l’inconnu. Seule solution : Instruire et renseigner. Le Canada a un pas d’avance à ce chapitre et… je suis fière d’être canadienne. Et vive notre charte des droits et libertés! Mes amitiés, FdC
Philippe
1 décembre 2013 @ 12:52
Bonjour FdC. Et merci pour votre message.
J’aurais adoré être canadien !
Amitiés.
Quentin
29 novembre 2013 @ 23:38
Je dois vous avouer que je ne comprends pas grand chose à cette scabreuse affaire, Agnès.
Mais le roi n’était pas dans le scénar à ce qu’il me semble ?
agnes
30 novembre 2013 @ 11:50
Il vaut mieux alors être scolaire ?
Quentin
30 novembre 2013 @ 22:48
Non mais essayez d’être claire et de rester dans le sujet abordé.
Bien cordialement.
agnes
1 décembre 2013 @ 10:32
Si un jour j’arrivais à être claire et dans le sujet, dites le moi alors car j’ai l’impression que vous ne me loupez pas.
Vassili
30 novembre 2013 @ 07:41
Mais qui n’a pas eu une? A cette epoque on frequantait la famille et on s’arrangeaient entre famille.
C’etait plutot un amour platonique, non?
Merci Tepi pour l’info, je serai a Athenes la semaine prochaine.
Bon weekend a tous, V
agnes
30 novembre 2013 @ 11:52
Perso je ne connais aucun oncle qui a des relations (amant) avec son neveu.
Gérard
5 décembre 2013 @ 20:59
Peut-être aurait-on pu supposer qu’ils avaient plutôt assimilé la pédagogie spartiate, mais ils auraient fini par être rejetés sans doute à Sparte car il s’agissait là-bas d’une initiation qui n’avait pas vocation à durer toute une vie. Oui car en l’espèce les deux princes se sont aimés profondément toute leur vie et l’on aurait du mal à imaginer que saint Pierre leur refusât les portes du Paradis. On sait que lorsque Georges était sur le point de mourir, Marie sa femme lui demanda s’il souhaitait être inhumé près de son oncle au Danemark, mais il voulut se conformer à la tradition familiale et il avait toujours bien servi la Grèce, de Saint-Cloud sa dépouille fut ramenée en Grèce, au cimetière royal de Tatoï. Il avait dit alors à Marie que rien n’empêcherait l’âme de Valdemar et la sienne de se retrouver au Ciel. En ce temps où les moyens de communication étaient encore difficiles, l’éloignement avait dû paraître aux deux amis plus grand dans ce monde que dans l’autre. Marie Bonaparte fit placer dans les mains de son époux une mèche de cheveux et une photo de Valdemar et un saint-Christophe qui celui-ci lui avait offert et dont Georges ne se séparait pas. Face à ces deux êtres qui s’aimaient et qu’elles aimaient, les deux femmes pouvaient être un peu démunies mais s’admirèrent toujours. Marie Bonaparte, qui avait son franc-parler, devait dire de Marie d’Orléans qu’elle était la seule personne de la famille royale de Danemark à avoir un cerveau, du courage et du caractère. Les Danois l’aimaient beaucoup.
Marine2
29 novembre 2013 @ 18:56
Que ferions nous sans Tepi qui maintient le fil avec la Grèce? Encore merci à elle pour ce reportage. Effectivement il est surprenant que la monarchie soit ainsi librement évoquée aujourd’hui. À noter aussi le commentaire du roi Constantin – très mesuré mais bien present – sur la situation politique de son pays ( voir sur le site de la famille royale grecque). Il avait été totalement silencieux depuis longtemps.
Tepi
30 novembre 2013 @ 17:00
Merci Marine2 encore une fois pour vos bons paroles.
Trajan
29 novembre 2013 @ 19:22
En effet, une exposition consacrée à la premier roi de la dynastie Glücksburg qui a régné en Grèce, est un grand événement!Bien que certains tableaux sont assez étrange, surtout pour une anivesare.Cette exposition pourrait être un premier pas vers une réévaluation du rôle de la monarchie en Grèce.Entre la famille royale grecque et la famille royale de Roumanie
étaient de solides liens familiaux.
Merci Tepi,merci Regine!
Philippe
29 novembre 2013 @ 20:57
Ce qui serait bien c’est que Charles et William d’Angleterre viennent rendre
hommage à leur ancêtre …
Ils sont tout de même issus de lui, en ligne agnatique ! … que cela plaise ou non aux anglais …
Zeugma
30 novembre 2013 @ 13:21
Philippe,
Pouvez-vous nous expliquer ce qu’est une « ligne agnatique » ?
merci
(Noblesse et royautés nous permet d’enrichir notre vocabulaire très régulièrement.)
Philippe
1 décembre 2013 @ 11:52
Ah, Jean-Pierre, vous m’avez bien fait rire !
Bon dimanche à vous.
Philippe
1 décembre 2013 @ 11:54
Oups … mauvaise manipulation, ce message s’adressait à Jean-Pierre !
Philippe
1 décembre 2013 @ 12:01
Chère Zeugma, en ligne agnatique signifie en ligne masculine stricte.
William est fils de Charles, qui est fils de Philip,
qui est fils d’André de Grèce, qui est fils de Georges 1er de Grèce … et le prochain roi d’Angleterre, même si tout le monde feint de l’oublier, ne sera « Windsor » que parce qu’on
en a décidé ainsi, et « Mountbatten » que parce qu’on a décidé d’affubler Philip du nom
(anglicisé) de sa mère …
Bien à vous.
Zeugma
1 décembre 2013 @ 16:03
Philippe,
Merci pour l’information qui m’en bouche un coin. (Et cela confirme qu’on en apprend tous les jours.)
Je vais essayer de caser une « ligne agnatique » dans un dîner en ville ; le tout est d’orienter la conversation avec tact.
.
agnes
2 décembre 2013 @ 18:50
Excellent !!
Jean Pierre
30 novembre 2013 @ 15:02
Cher Philippe, suggérez-vous que William devrait aller se faire voir chez les grecs ?
L’oncle Valdemar en pinçait pour son neveu pendant que sa femme aimait les pompiers….normal que tout ce beau monde s’entende.
Cette chère Marie d’O a eu la délicatesse de mourir jeune et de laisser son mari tranquille. Quant à Marie B, elle avait un papa à la gâchette facile, pan pan t’es mort sur Victor Noir. On comprend mieux son aversion pour les pistolets.
Sigmund à l’aide !
Charlanges
1 décembre 2013 @ 16:20
Jean-Pierre, ce n’était pas son père, Roland Bonaparte, mais son grand-père, Pierre Bonaparte, mort avant qu’elle ne soit née, qui « révolverisa » le journaliste Pierre Noir.
Gérard
5 décembre 2013 @ 21:02
En effet le Prince Roland lui était tout à fait convenable et un grand savant. Sa courageuse mère l’avait très bien élevé.
Zeugma
29 novembre 2013 @ 21:03
Agnès,
C’est vrai,
le premier roi Grec de la dynastie Schleswig-Holstein-Sonderbourg-Glücksbourg, Georges Ier de Grèce (1845-1913), qui était hétérosexuel, jusqu’à preuve du contraire, maria un de ses fils, le prince Georges de Grèce et de Danemark (1869-1957) à la richissime Marie Bonaparte en 1907.
Georges fut l’amant du frère de son père – son oncle – le prince Valdemar de Danemark (1858-1939) pendant plus de cinquante ans dit-on.
C’est beau !
Cette situation n’empêcha pas les deux couples un peu hors norme constitués par
1°) le prince Georges de Grèce et de Danemark et son épouse, née princesse Marie Bonaparte, de s’entendre fort bien ; au point d’avoir eu deux enfants.
2°) le prince Valdemar et son épouse, née princesse d’Orléans (1865-1909), petite-fille du roi Louis-Philippe (attention, les blancs d’Espagne vont nous faire de l’urticaire) d’avoir cinq enfants.
En définitive, cette histoire croquignolette est très moderne.
Il y a d’autres histoires un peu sulfureuses dans la famille royale grecque mais il faut en garder un peu en réserve.
Tepi
30 novembre 2013 @ 16:58
Je voudrais bien les apprendre….Sont si secrètes jusqu’à nos jours ?
Francine du Canada
1 décembre 2013 @ 08:03
Intéressant votre commentaire Zeugma, merci! Amitiés, FdC
Alexandros Schinas.
1 décembre 2013 @ 12:24
God Bless Alexandros Schinas.
Tepi
1 décembre 2013 @ 12:48
But not YOU!!!!
Palatine
1 décembre 2013 @ 12:51
Vous avez fait l’école du rire ?