Suite à la restauration des appartements du Doge, une exposition retraçant la vie des Doges et de leurs épouses, les Dogaresses, à travers, monnaies, dessins, sculptures et peintures, se tient au Palais des Doges de Venise jusqu’au 30 juin 2014.
Exposition sur les Doges et les Dogaresses au Palais des Doges à Venise
9 Comments
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5 mars 2014 @ 09:40
Le Palais des Doges mérite vraiment la visite lorsqu’on est à Venise …
5 mars 2014 @ 09:44
Un doute certain à la lecture de « dogaresses » car il n’a pas été dit qu’il y en avait.
En fait, ce sont les épouses des doges !
Source Wiki
Le doge était le premier magistrat de plusieurs républiques italiennes, particulièrement de Venise et Gênes. Héritier du dux, fonctionnaire byzantin au temps où Ravennes et Venise faisaient partie de l’empire byzantin, ce fonctionnaire devenu puissant essaye de créer une succession dynastique mais doit céder la place, au temps des duchés médiévaux, à un personnage élu par ses pairs nobles. C’est la seule magistrature avec le procurateur de Saint-Marc qui est viagère (dogat à vie généralement donné à un homme d’expérience).
La dogaresse est la femme du doge.
5 mars 2014 @ 13:51
Même réaction que vous, Gibbs …Je ne savais pas qu’on nommait ainsi les épouses .
5 mars 2014 @ 17:08
Ça rime avec ogresse…
Je préfère être une cougar !
6 mars 2014 @ 00:15
A part vous, chère Lady , ce site est plein d’ogresses qui ne pensent qu’à croquer les bébés ! ;-);-)
5 mars 2014 @ 19:03
C’est bien ce qui est dit dans l’article: Il n’y avait pas de ‘dogaresse » au pouvoir! On parle aussi parfois du doge de Gênes bien que celui-ci était plutôt un « podesta ».
5 mars 2014 @ 20:55
Ravenne, oui, les mosaïques du Ve siècle en témoignent, mais peut-on dire que Venise a fait partie de l’empire byzantin ? Je vais étudier cela.
14 septembre 2020 @ 21:52
En effet, Venise faisait partie de l’Empire Bysantin. De mémoire de mon cours d’art byzantin, on y trouve encore quelques témoignages précieux, car rares, notamment sur la Place Saint Marc
5 mars 2014 @ 15:06
Quand j’étais petit, à la sortie du catéchisme, ma grand-mère m’achetait parfois un sucre Doge. J’aimais bien. Je pense qu’étant vénitienne d’origine, cela lui rappelait sa belle ville à custre.