Exposition « Turner, le sublime héritage »
7 Comments
Laisser un commentaire
Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.
Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.
5 juillet 2024 @ 07:32
Les chefs – d’œuvre de Turner se suffisent à eux mêmes ,cette scénographie ne correspond pas vraiment à la lumière exceptionnelle des tableaux de Turner .
5 juillet 2024 @ 09:01
Tout à fait exact Baboula.
Mon peintre préféré et surtout mon sujet section peinture il y a 50 ans à l’université…
C’est tellement loin mais l’amour de sa palette demeure.
Ses tableaux sont mieux présentés et donc avec un meilleur rendu à Londres.
5 juillet 2024 @ 11:11
D’accord avec vous Baboula.
5 juillet 2024 @ 11:48
Exact Baboula je ne comprends pas ce surplus de lumière ?? Cela gâche tout à moins que ce ne soit que dans une seule seule salle.
5 juillet 2024 @ 13:03
Oui, la 3ème photo n’est pas très engageante pour s’émouvoir devant Turner. Mais c’est certainement une installation pour plonger entièrement dans l’univers du peintre, il y a des visiteurs qui aiment ces dispositifs, moi non, j’ai besoin d’isolement et de tout mon temps.
5 juillet 2024 @ 07:59
Hâte de voir la mise en scène des commissaires d’exposition, chaque année je ne manque jamais ce rendez-vous monégasque. Je garde encore un souvenir ébloui de l’exposition sur Christian Louboutin-
Un reproche, la durée de l’exposition est toujours trop courte. Du 6 juillet au 1er septembre soit moins de deux mois pour un sommet comme Turner, injuste ! On est encore en pleine période estivale, pas évident à gérer pour ceux qui viennent de loin et qui travaillent l’été. Ou bien le rocher n’invite finalement que les Monégasques à y venir
5 juillet 2024 @ 08:48
38 peintures et 40 œuvres sur papier ont été prêtées par la Tate Britain pour cette exposition.
Turner avait légué dans son testament la totalité de ses œuvres à l’État britannique. Un de ses exécuteurs testamentaires, John Ruskin, donna ainsi la majeure partie du legs (le fond de son atelier ainsi que toutes les huiles, dessins, aquarelles et gravures) à la National Gallery,