Du 6 mars au 22 juin 2014, le British Museum de Londres présente l’exposition « Vikings : Life & legend » . Le public découvrira des bijoux, des amulettes, de l’orfèvrerie et d’innombrables souvenirs de l’âge Viking. (Merci à Bertrand Meyer – Copyright photos : British Museum)
Zeugma
10 février 2014 @ 10:36
Merci pour cette information.
J’ai prévu d’aller à Londres début avril (si dieu le veut) pour voir l’exposition sur Véronèse à la National Gallery et j’ajoute donc le British Museum à mon agenda. La dernière exposition que j’y ai vue sur les trésors du musée de Bogota était magnifique.
Avec toujours le même problème insoluble : où loger à Londres ? qui était très chère et qui est devenue très très chère. (Oui, je sais, on peut demander à Elisabeth un hébergement dans la « suite Belge » …. )
flabemont8
10 février 2014 @ 19:09
Ou bien vous faites une grosse sottise et vous serez hébergé gratuitement , et même aux frais de Sa Majesté dans une confortable ( ? ) cellule !
Caroline
11 février 2014 @ 00:00
Zeugma,bonne visite!
Bonne chance pour trouver un logement pas trop cher à Londres!
Gustave de Montréal
11 février 2014 @ 00:09
Mais ZEUG des petits hôtels économiques et confortables, il y en a partout. J’y ai logé à Amsterdam, Paris, Cannes, Québec, Toronto, Cologne, Buffalo, etc….. Sinon, il vous reste toujours les auberges de jeunesse.
Zeugma
11 février 2014 @ 20:40
Vous ne connaissez pas Londres !
Il y a des hôtels chers et immondes ; il y en a des trop chers pour le service et des biens qui coûtent la peau des fesses ;
mais des « économiques et confortables » je n’en connais pas.
J’ai beaucoup d’anecdotes.
Par exemple, dans un hôtel en face de Green Park avec des parties communes assez luxueuses et des chambres minuscules, une vieille moquette marron qui sentait mauvais, une robinetterie et des WC qui dataient de la reine Victoria, j’ai l’idée – une nuit – de prendre une minuscule bouteille d’eau tiède dans le « minibar » qui ne fonctionnait pas.
Je m’étonne du prix (dix livres) en payant la note et la caissière me répond avec cette amabilité qui tombe de haut qu’on trouve souvent à Londres : « mais nous sommes un quatre étoiles ».
Depuis, je ne prends jamais rien dans le « minibar », où que j’aille.
J’essaye en général de faire l’aller-retour (depuis Paris) dans la journée avec Eurostar. C’est fatigant mais j’économise quatre ou cinq cents livres, prix d’un hôtel convenable.
L’immobilier à Londres devient impossible.
Belgravia est aujourd’hui un quartier vide car seuls les riches étrangers ont maintenant les moyens d’acheter ou de louer tout en n’y résidant quasiment jamais.
Le phénomène commence à s’étendre à South Kensington où les classes moyennes supérieures commencent à ne plus avoir les moyens.
(En revanche, j’ai le souvenir d’un hôtel très bien, très moderne, dans le centre de Montréal et pas si cher. Le « Fermont » de Québec est décevant. La vue sur le Saint Laurent est superbe mais les chambres ne sont pas pratiques, elles sont vieilles (la robinetterie !) et c’est un caravansérail envahi par les visiteurs qui viennent voir le bâtiment où le client ne se sent pas du tout chez lui.)
Gustave de Montréal
12 février 2014 @ 15:00
C’est le Château Frontenac, ouvert en 1892. J’espère que la tuyauterie a été modernisée depuis surtout les w.c. où nagent des grenouilles.
Zeugma
13 février 2014 @ 19:31
Un soir, je n’ai pas réussi à fermer le robinet de la baignoire. Il a fallu que j’appelle le plombier de l’hôtel qui est venu avec une énorme clé anglaise.