L’Ecole des Arts joailliers présente l’exposition (elle avait été reportée) « Bijoux de scène de la Comédie française » jusqu’au 1 septembre 2024 sur son nouveau site de l’Hôtel de Mercy-Argenteau (Boulevard Montmartre, 16bis – 9ème arrondissement de Paris)
Trianon
14 juin 2024 @ 08:55
Quand je vois la finesse du diadème présenté, je me dis que ces bijoux fantaisie doivent demander beaucoup de temps et un vrai savoir faire joaillier.
Caroline
14 juin 2024 @ 09:33
Ce bijou de scène n’ est- il pas ‘ inspiré ‘ des bijoux royaux aux camées en Suède ?
Trianon
14 juin 2024 @ 11:22
J’ai eu la même pensée que vous
Baboula
14 juin 2024 @ 09:36
Ah ! Les nouveaux locaux de L’Ecole des Arts Joailliers enfin accessibles.
Claude Patricia
14 juin 2024 @ 14:41
De jolis bijoux.
Danielle
14 juin 2024 @ 17:00
Nous pourrons enfin voir cette belle exposition.
Agnese
14 juin 2024 @ 17:24
Baboula, voici une visite pour vous!
Baboula
15 juin 2024 @ 14:58
Oui Agnese, les locaux de la rue Danielle Casanova étaient dissuasifs, biscornus et éloignés des moyens de transport.
Passiflore
14 juin 2024 @ 18:15
J’ai fait la réservation : visite gratuite.
Elisabeth-Louise
15 juin 2024 @ 04:51
J’adore ce diadème ! j’ai un portrait de Rachel la comédienne qui le porte, mais j’ai des difficultés pour trouver un lien….
Passiflore
16 juin 2024 @ 18:12
Elisabeth-Louise, je viens de voir l’exposition : magnifique ! On peut y voir plusieurs diadèmes de Rachel : un diadème aux camées, un diadème aux pierres roses de type kokochnik, un diadème en pierres de couleur et un diadème aux perles et camées (celui qui est représenté). Ayant appartenu à Rachel il y a, aussi, un collier aux camées, une paire de bracelets aux camées et un peigne en corail. De Talma sont exposés un glaive de théâtre et son fourreau ainsi qu’une couronne de laurier, en alliage cuivreux. De Marie Dorval, une couronne de laurier, de Sarah Bernhardt sa couronne de reine pour « Ruy Blas », de Beatrix Dussane, une épingle à chapeaux, un bracelet et une parure bleue. Et bien d’autres trésors…
Un gardien, très aimable, m’a dit que l’hôtel particulier avait été offert par Marie-Antoinette à Mercy-Argenteau alors qu’en principe il a été construit, en 1778, pour le banquier Jean-Joseph de Laborde qui l’avait revendu aussitôt à son ami Mercy-Argenteau, ambassadeur à Paris.
Elisabeth-Louise
18 juin 2024 @ 04:20
Merci, chère Passiflore, je suis si loin !
Un peu de rêve dans la noirceur de ces jours …
Passiflore
18 juin 2024 @ 11:10
chère Elisabeth-Louise, puis-je vous demander dans quelle région (ou pays) vous êtes ? Vous pouvez peut-être voir ces bijoux sur un site ?