Du 17 avril au 25 juillet 2014, la Queen’s Gallery du palais de Buckingham présentera l’exposition « The first Georgians : Art & Monarchy 1714-1760 » avec de nombreux objets d’art sur les deux premiers souverains « georgiens ».
La seconde exposition (prévue au printemps) aura lieu à Kensington Palace et concernera quant à elle les six rois George d’Angleterre. Le titre ne manque pas d’humour (quand on sait la présence désormais dans ces murs du jeune prince royal): « meet the Georges » ! (Merci à Bertrand Meyer – Copyright photos : The Royal Collection)
La salle « coupole » de Kensington Palace
Le roi George I
23 décembre 2013 @ 05:51
Les premiers George étaient deux abrutis. Le 3è (III) n’était guère mieux. Ni IV d’ailleurs.
23 décembre 2013 @ 13:38
et bien ce n’est pas bon signe
23 décembre 2013 @ 14:02
Le roi George III était peut-être zinzin, mais il avait fait donner à ses enfants (je ne me rappelle plus combien il en avait, mais c’était une famille nombreuse) une excellente éducation. Ceux ci avaient fait du latin, du grec et parlaient français, allemand et peut-être (les filles) italien. A cette époque, on croyait à l’éducation des princes. Le mari de Victoria essaya d’éduquer leur fils mais tomba dans le bourrage de crâne et n’arriva à rien, même si le futur Edouard VII pouvait parler français et allemand couramment. Il avait même l’accent allemand en anglais. Les George suivants furent incultes et sans instruction, et le duc de Cambridge actuel n’est pas une lumière. Il n’est pas cultivé, ne lit pas, et ne parle qu’anglais.
Alors je crois que je préfère les « abrutis » comme vous dites.
23 décembre 2013 @ 14:14
Il est tout à fait étonnant que William ne parle qu’anglais . Les autres princes de sa génération sont plus cultivés .
23 décembre 2013 @ 14:18
Palatine,merci pour votre commentaire intéressant!
Qu’ on s’occupe sérieusement de l’éducation du petit George,le futur roi George VII d’Angleterre!loool!
23 décembre 2013 @ 16:12
:) :). Où là là, héritage est lourd à porter ! Mais le duc Cambridge actuel ne s’appelle pas George ? Ca promet pour le rejeton George Cambridge, espérons pour lui qu’il échappe à la terrible malédiction ….. :) :)
23 décembre 2013 @ 16:23
Merci Palatine pour ce commentaire fort instructif. Je croyais que George VI avait été un bon roi et j’ignorais qu’il était à ce point inculte. Quant à l’actuel duc de Cambridge, je crois que vous avez raison et je le déplore; je suis même étonnée que la reine et le prince Charles n’aient pris action pour lui donner une éducation supérieure. Amitiés, FdC
23 décembre 2013 @ 18:03
le plus ignorant de tous était George V.
23 décembre 2013 @ 19:38
Je n’avais pas nommé George VI le roi de secours en 1936. Il a été remarquable et brave, un bon papa. Il était très timide et souffrait de bégaiement et d’incontinence. (Je tiens ce dernier détail personnel des gens qui étaient en poste au service du protocole de Montréal lors de la visite royale au Canada en 1939)
24 décembre 2013 @ 16:32
il est étonnant en effet que le duc de Cambridge ne parle qu’anglais et ne soit pas plus cultivé, tous les autres princes héritiers européens ont reçu une instruction complète. Est ce parce que ses moyens sont limités ou bien que les anglais pensent encore que l’Angleterre étant le centre du monde ils se suffisent à eux mêmes.
On peut critique le princes Charles mais on ne peut que reconnaître sa grande culture, sa curiosité intellectuelle, il parle plusieurs langues et a un esprit très ouvert, ce que n’a pas l’air de posséder William et cela est bien dommage, il a choisit une épouse qui lui ressemble
24 décembre 2013 @ 17:49
JJe crois que malheureusement malgré les souhaits de Charles, son fils William n’avait pas le goût des études mais plutôt celui des teufs bien alcoolisées. Mais bon il a péniblement obtenu une maîtrise de géo.
Je déplore aussi le fait que pour tous ces princes qui ont eu accès aux meilleures écoles, dans des milieux ultra privilégiés, que leurs cerveaux soient si vides pour certains et certaines.
J’ai lu quelque part que le couple Asturies veillent à ce que leurs filles soient polyglottes. La petite Léonor serait déjà à l’anglais et au chinois. Peut-être quelqu’un pourra me confirmer ou m’infirmer cette info. Il faut aussi se réjouir que bon nombre de princes ont certes épouser des roturières mais diplômées pour la plupart…
23 décembre 2013 @ 19:19
La reine Charlotte (Mecklemburg-Strelitz) a généreusement donné au roi George quinze enfants, du premier né en 1762 à la dernière, Amalia, née en 1783. 21 ans grosse !
24 décembre 2013 @ 07:11
Merci Gustave; en effet, 15 enfants en 21 ans… c’est beaucoup trop! FdC
24 décembre 2013 @ 09:47
Gustave,lool!c’est trop!
Pourtant,mon arrière grand-mère paternelle alsacienne a eu 12 enfants en 28 ans,tous en bonne santé!
Malgré son mari docteur et sa santé délicate,elle s’est entetée pour les vouloir afin de rendre un ‘étrange’ hommage à sa soeur unique décédée à l’age de 12 ans!
24 décembre 2013 @ 13:10
Tout de même le roi George VI qui s’est retrouvé roi sans l’avoir voulu était quelqu’un de bien, je ne sais pas s’il était cultivé ou pas, mais ce fut un grand roi.
Quand je pense qu’un jour le petit George de Cambridge sera George VII, pour le moment il n’en sait encore rien et gazouille dans son berceau…
24 décembre 2013 @ 13:30
Les expositions de la galerie de la reine sont toujours intéressantes.
Le lieu est magnifique et l’accueil d’une grande gentillesse.
Ce n’est pas très grand, pas fatigant et les collections exposées sont souvent, pour ne pas dire toujours, exceptionnelles.
En l’occurrence, la période couverte – 1714/1760 – est passionnante.
Les expositions organisées au palais de Kensington, dans un genre un peu différent, valent également le déplacement. J’ai le souvenir, par exemple, de celle qui fut consacrée à la cérémonie de la présentation à la cour. (Cérémonie qui n’existe plus, comme chacun le sait.) On peut profiter du parc à la sortie et prendre le thé à l’orangerie comme nous l’avait suggéré un reportage de « Noblesse et royautés » il y a quelques temps.
Voir « meet the Georges » sera l’occasion de combler nos lacunes dans nos connaissances de l’histoire de l’Angleterre et fournit un prétexte pour aller à Londres, en essayant de trouver un billet pas trop cher sur Eurostar.