Conforme à la bien séance peut être …je n’ai jamais vu de faire part ainsi tourné ou les conjoints sont relégués à l’arrière garde . Normalement ils font part avec leurs époux respectifs puis suivent la cohorte neveux nièces etc …
Il est possible que cela ait été décidé dans la mesure où, les parents du défunt étant cités séparément, les autres conjoints ont été mentionnée de même.
C’est un simple hypothèse, bien sûr.
De votre avis,Laure2, Esquiline…cela m’a fortement choqué mais je me suis dit que dans ce milieu-là, cela se faisait ainsi…ce que je réprouve totalement!
Les règles de la bienséance ne sont pas universelles.
Personnellement je trouve que citer les femmes à la fin et non à la suite du nom de leurs conjoints relève plus de la goujaterie que du savoir-vivre.
Même Antoinette et Louise Marie sont citées après leur frère Joseph.
Je n’avais pas remarqué ! C’est incontestablement encore ce stupide « protocole » qui veut ça ! Les hommes d’abord, les femmes après ! C’est plutôt moyennâtgeux comme conception ! D’ailleurs tous les protocoles le sont ! Aussi bien monarchiques que républicains (un Président de la République qui ne peut pas faire de signe de croix sur un cercueil -laïcité oblige !- ça me choque !) et même au Vatican où certaines couleurs sont obligatoires ! Tout ça est tellement dérisoire !
Les frères et sœurs sont cités non pas en fonction de leur sexe mais de leur date de naissance.
Quant au protocole du Vatican aujourd’hui il est comme vous le savez très débonnaire et c’est par politesse qu’il est respecté en général.
Lorenz
6 janvier 2018 @
11:53
Bernadette, Esquiline, lisez bien: la princesse Marie est mentionnée avant ses frères, ainsi que les princesses du Liechtenstein avant les leurs, alors pas de faveur pour les mâles!
Il est évident que pour les neveux et le nièces on voulait écrire une seule fois le mot «princes» et une suele fois le mot «princesses». Comme le premier-né de Marie est une fille, d’abord les filles pour les Liechtenstein, puisque le premier-né de Jean est un mâle, d’abord les mâles pour les Vendôme.
Une famille obsédée par le protocole aurait mis avant les ducs de Vendôme et d’Angoulême par rapport à à la princesse Marie.
Je ne sais pas ce que le protocole (ou ceux qui le portent) vous ont fait mais, de nos jours, ce principe a surtout pour rôle d’ordonnancer les événements les plus divers : commémorations, discours, repas, etc. Les protocoles dits domestiques sont dorénavant assez light et à rapprocher de l’ordre utile à toute maisonnée, plus que d’un cérémonial ancien. Puis ce n’est pas propre aux affaires d’état. L’organisation d’un mariage fait aussi appel à des principes protocolaires.
Le duc de Lichenstein, les duchesses de Vendôme et d’Angoulême, ne sont pas citées comme étant les beau-frère et belles-soeurs du prince François !
Personnellement j’en suis étonnée, pour ne pas dire choquée, sachant qu’il/elles ne sont étrangers au bonheur familial que le prince décédé a partagé.
( Il est fort probable que Micaela assistera, si sa santé le lui permet, à la Messe de mémoire qui sera dite en l’église st François Xavier le dimanche soir.)
Tout ceci est tout simplement parfait.
Bonjour Baia,
Je souligne de parenthèses les phrases apportant une précision que l’on pourrait considérer comme sans réel intérêt (où ne concernant qu’un nombre restreint de lecteurs ).
Je pense personnellement avant tout aux parents du prince François, et plus encore à la Duchesse de Montpensier qui a été plus que présente auprès de son fils.
Je pense tout autant aux freres et soeurs de Francois, sans préférence pour l’un ou l’autre ce qui me semble inconvenable !
Duchesse et Duchesse 22, je crois que ces derniers jours n’ont été éprouvent que pour le prince Jean.
Marie, Blanche, Eudes, les autres frére et soeurs du prince Francois doivent tout aussi effondrés que Jean.
C’est vrai mais Jean s’en est occupé plus longtemps parce qu’il est resté plus longtemps célibataire et même plus tard encore en raison d’une proximité géographique notamment et de l’affection qui a lié son épouse à François dont il était le curateur et sans doute le meilleur ami.
C’est celui qui a consacré le plus de temps à François. Bien sûr le deuil de sa mère est immense aussi et celui de toute la famille.
Oui bon … Et moi hier deux ans que mon cher mari est parti, seul, pour son dernier voyage.
Mais là n’est pas le sujet. Gibbs, notre peine n’est pas d’actualité.
Aujourd’hui, une famille royale pleure un des siens et nos deuils personnels ne concerne que nous.
Sans votre commentaire, je n’aurai jamais écrit le mien.
Iimaginez que chacun d’entre nous, dès un avis de décès publié sur ce site, nous fasse part de l’anniversaire de la mort d’un de ses proches …
Immonde ? Merci Bambina !
Je pense que vous n’avez pas compris mon commentaire ce qui, en plus de votre excellente éducation, prouve le degré de votre intelligence !
Je trouve que Gibbs n’avait rien dit de déplacé,Baia.Et vous non plus.
Le sujet étant un deuil,il peut nous ramener aux nôtres, et qu’on ose en effleurer ici le souvenir..il est écrit tant et tant de choses,ici,que quelques lignes de plus ou de moins…
Je compatis sincèrement à votre peine à toutes les deux, Gibbs et Baia.
Baia
7 janvier 2018 @
09:50
Merci MVL.
milou
6 janvier 2018 @
08:39
Totalement de votre excellent avis, ici, Baia…ce site n’est pas fait -en principe- pour s’apitoyer sur notre sort, je le pense aussi!
Que l’on prévienne du décès d’un proche parent lorsque ledit décès survient ne me gène pas du tout. Actarus l’a fait récemment et les commentaires sympathiques qu’il a reçus ont dû le toucher et lui faire du bien.
Ce que je trouve déplacé c’est de parler d’anniversaire de décès.
Ce site n’est pas non plus fait pour recevoir des injures !
Muscate-Valeska de Lisabé
7 janvier 2018 @
17:03
Tout ce qui est négatif, tristesse,colère,aigreur,est une demande d’attention, de reconnaissance, d’Amour frustré. C’est de la souffrance.En la partageant,elle devient plus légère, car symboliquement portée par plusieurs…en fait, la seule écoute fournie ici peut réellement aider.
milou
8 janvier 2018 @
20:35
A nouveau, vous décrivez si bien, Muscate…certains maux d’âmes!
Si Gibbs souhaite faire allusion à sa maman, où est le souci ? Si cela ne vous convient pas, vous pouvez passer au message suivant et vous dispenser de paraître pour une bête immonde, à vrai dire plus bête qu’immonde.
Au moins ce n’est pas la galenterie qui vous étouffe Clément II !
La bête immonde ou la plus bête qu’immonde vous remercie.
A l’avenir, si mes commentaires ne vous conviennent pas, passez au message suivant, cela vous dispensera de paraître pour un goujat !
Je crois qu’en matière de goujaterie dans sa version féminine, vous vous posez ici, et posez bien. Encore une fois, je ne vois pas en quoi cela vous dérange que Gibbs fasse allusion à sa mère. Elle ne vous raconte pas non plus la vie de cette brave dame par le menu, alors il n’y a aucune raison que vous réagissiez ainsi, en dehors du souhait d’être méchante.
Vous connaissez l’adage : les plus gênés passent leur chemin, alors passez le vôtre, c’est plus judicieux.
Baia
9 janvier 2018 @
07:28
Clément II, la seule personne qui pourra me demander de « passer mon chemin » est Régine.
Occupez vous de vos gâteaux …
Il est tout de même inattendu, pour ne pas dire surprenant, que dans ce faire-part au libellé très cérémonieux (et même très contestable mais n’ouvrons pas la polémique en cette période de deuil…), à aucun moment ne figure le nom « Orléans » qui est pourtant bel et bien le nom patronymique officiel de cette branche cadette de la maison capétienne…
Uniquement cité pour le prince Pierre et la princesse Thérèse. Mais théoriquement, ils sont tous « d’Orléans », évidemment, « de France » n’étant qu’une formule de cérémonie.
Cette appellation de » de France » dont veulent se targuer les Orléans pour essayer de se draper d’une certaine légitimité est aussi ridicule qu’inappropriée. Cette appellation ne se porterait que si leur famille était régnante sur le trône de France, ce qui, Dieu merci, n’est pas et ne sera jamais le cas.
En tout, le plus comique dans l’histoire, c’est que c’est leur ancêtre direct le duc d’Orléans félon qui a délibérément choisi d’abandonner le titre de roi de France au profit de celui plus citoyen de « roi des Français ». Cela ne manque pas de saveur de voir l’énergie que déploient aujourd’hui ses héritiers pour se le ré-approprier… Dieu merci, le ridicule ne tue pas…
Je ne pense pas que Dieu soit à l’origine de la république française. Et le fait que Louis-Philippe ait relevé la couronne perdue dans une révolte parisienne est sans rapport avec le fait qu’il représentait la branche cadette de la famille royale qui devint l’aînée avec son petit-fils.
La presse ne va quand même pas donner à une famille, le patronyme qu’elle ne dispose. Nous sommes en République et pas en monarchie. A l’état civile, cette famille se prénomme d’Orléans et rien d’autre !
Pierre est petit fils de France, son père n’est pas l’héritier, il n’a donc droit qu’au titre de prince d’Orléans, comme ses cousins les enfants et petits enfants des princes Michel jacques et Thibaut
La ligne aînée d’une branche cadette ? Les Orléans inventent des règles qu’ils adaptent, tronquent et déforment à l’envI… et après leurs thuriféraires nous parlent de tradition…
Gérard
6 janvier 2018 @
16:19
Ce n’est pas à vous Naucratis qu’on apprendra que pour la succession à la couronne de France c’est depuis Louis XIV c’est comme si Philippe V d’Espagne n’avait jamais existé. C’est le droit positif, alors je sais bien que vous dites que ce droit est irrégulier mais temps que ceci n’a pas été démontré officiellement et par les moyens juridiques que vous souhaitez et par les autorités compétentes nous devons tenir le droit positif pour légitime et c’est l’attitude que l’immense majorité des monarchistes français et les cours étrangères ont adopté à la mort du comte de Chambord.
Gérard
6 janvier 2018 @
16:20
Tant que…
Charles
6 janvier 2018 @
11:04
C’est pourtant simple à comprendre sont de France les enfants du Chef de Maison et du Dauphin.
Le fils du Duc d’Angoulême n’étant ni Chef de Maison ni Dauphin son fils est prince d’Orléans.
Cet usage existe depuis toujours et les autres Maisons royales utilisent ces appellations.
Non. Les cadets de la Maison de Liechtenstein, sont princes de et à Liechtenstein (nous en avons ici l’exemple). C’est le même topo en Italie (Savoie-Aoste mais Savoie quand même), Allemagne, Grèce, Autriche, etc.
A part la Maison de Belgique qui fait le choix de ramener les cadets à leur nom dynastique, les autres continuent à se faire appeler tels quels. A noter d’ailleurs que la Maison de Belgique est régnante et justifie largement cette différenciation, alors que les Orléans n’ont aucune raison de se faire appeler « de France » car non régnants.
Je crois toutefois que c’est un débat stérile par avance.
Mayg
7 janvier 2018 @
16:19
Ce qui est simple à comprendre, c’est qu’on est en République, et pour la République, les membres de cette famille s’appellent d’Orléans et non de France
Baia
5 janvier 2018 @
14:54
Bien d’accord avec vous Néoclassique.
« de Paris », « de France », « de Vendôme », « d’Angoulème »
Alors qu’ils sont tous « d’Orléans » !
Pour les monarchistes ça ne change pas grand-chose. Nous servons la république mais notre cœur est au roi.
Clément II
7 janvier 2018 @
12:09
Ils sont régnants et le droit anglais permet cette dénomination. Le droit français est muet sur le sujet, et vous en savez la cause. Leur état-civil est Na d’Orléans, il n’est pas prévu qu’il en soit autrement, le nom de famille étant immuable.
Je me souviens qu’un agité d’outre-mer avait déposé plainte contre Sarkozy pour utilisation d’un faux nom, sur les bulletins de l’élection présidentielle de 2007. Il n’y a pas eu de suites, le président étant en mesure d’utiliser publiquement un alias. Néanmoins, pensez-vous que cette sympathique « Famille de France » échapperait aux foudres de la justice si un légitimiste zélé ou un républicain acharné portait plainte contre elle pour usage d’un nom imaginaire ? J’ai un doute.
La question des prétentions au trône de France est indépendante de l’utilisation d’un nom qu’ils n’ont jamais porté, à l’état-civil. Ils peuvent bien prétendre à ce qui leur plait, c’est une liberté. Cependant, le nom est immuable et il n’est possible d’en changer que dans certains cas, très précis mais ne florissant pas ici.
Je me souviens que le défunt Comte de Paris avait souhaité reprendre le nom de Bourbon, se retrouvant ainsi (et notamment) face aux Bourbon Parme qui lui déniaient ce droit. J’imagine qu’il avait alors fait mention d’un droit à relever ce nom, ce que la justice lui a finalement refusé de façon assez cinglante, en indiquant que le nom d’Orléans est porté par cette famille depuis plusieurs siècles, que le fait d’être issu de ladite maison de Bourbon ne confère pas systématiquement le droit d’user du nom de Bourbon, lequel n’est d’ailleurs pas éteint ou en voie d’extinction.
Pourquoi persister en prenant cette fois le nom « de France » ?
Mayg
7 janvier 2018 @
16:26
Clément II
+ 1000
Geoffroy
5 janvier 2018 @
19:53
C’est plus compliqué. Normalement, sont Orléans les descendants du duc d’Orléans sauf ceux qui ont reçu un autre apanage. Or le précédent comte de Paris a eu l’idée saugrenue de donner le titre de duc d’Orléans (le seul hérité réellement de l’époque monarchique) à son cadet. Les appellations de ce faire-part sont donc extrêmement contradictoire. Si on considère que le comte de Paris est prétendant légal, l’appellation de France peut se comprendre pour ses enfants et petits enfants donc Pierre devrait être aussi de France. Si on considère que plus personne ne règne et que l’appellation de France ne se justifie pas, alors on devrait se conformer aux noms des apanages et il devrait être Pierre d’Angoulême (comme François Ier était François d’Angoulême à sa naissance dans la branche Orléans-Angoulême). D’Orléans devrait être réservé aux enfants du duc d’Orléans. Mais alors que donner aux enfants non titrés du comte de Paris ? Ou alors, à la légitimiste comme à la républicaine, ils sont tous d’Orléans, avec ou sans titre.
Dans l’ancienne France effectivement Thérèse et Pierre seraient d’Angoulême mais c’était une époque où il n’y avait pas véritablement de nom de famille pour la famille royale. Aujourd’hui ce serait un peu compliqué comme on peut le voir à travers les nombreuses réactions recueillies ici.
Ils doivent tous être « d’Orléans », puisque c’est sous ce nom qu’ils sont tous déclarés à l’état-civil, comme le furent leurs parents et aïeux, et cela depuis plusieurs générations.
Certes, du temps où ce titre fut conféré, il n’existait pas réellement de nom pour les membres de la famille royale, que l’on distinguait aisément par leur apanage. Chacun savait qui était le Duc d’Orléans, comme homme et comme descendant de la dynastie capétienne de Bourbon. Toutefois, la monarchie n’est plus et l’apanage est aujourd’hui devenu un nom de famille. Il n’y a donc aucune raison que ça change.
Ils auraient pu s’appeler « Egalité » ou « Capet », selon l’orientation des choses. Ils ont pu conserver leur nom d’apanage ; bien sûr au prix de quelques vestes qui n’ont pas manqué de se tourner, se retourner et se re-retourner mais ils l’ont gardé. A leur place j’en serais assez fier.
Bon, dites, les copains qui vous engueulez une fois de plus sur la dénomination des France, ou Orléans, ou Vendôme, ou Machin-Chose…
Vous savez quoi ?
Dieu reconnaîtra les siens.
Mais ce n’est pas discriminatoire puisque le gendre est également placé après. Par ailleurs on ne privilégie pas les fils par rapport aux filles (notamment pour les enfants du duc d’Angoulême) mais on aura voulu éviter d’écrire quatre fois prince ou princesse pour les enfants du duc de Vendôme.
Rappelons que pour les Catholiques la fête du dimanche prime sur la fête du jour.
En l’espèce le 31 décembre était un dimanche et c’était le dimanche de la Sainte-Famille qui suit Noël. Le fête du jour passe donc au second plan.
Au martyrologe romain le 31 décembre est également la fête de saint Jean-François Régis qui mourut le 31 décembre 1640, on le fête également notamment le 16 juin date de son ordination en 1630.
C’est également la fête du pape saint Sylvestre Ier qui fut mis au tombeau le 31 décembre 335 à Rome au cimetière de Priscille sur la nouvelle voie Salarienne.
Mais on peut aussi fêter saint Barbatien, sainte Colombe de Sens, saint Cyriaque de Bisericani (chez les Orthodoxes),
les saints Donate, Pauline, Rustique, Nominande, Sérotine, Hilarie et leurs compagnes, martyres à Rome,
saint Festus ou Sextus, saint Gélase, sainte Mélanie la Romaine ou la Jeune, le bienheureux Alain de Solminihac, le bienheureux Garembert…
J’ajoute au texte de Gérard que le faire-part cite expressément cette fête de la Sainte Famille :
» (…) décès survenu à Nantes le 31 décembre, en la Fête de la Sainte Famille « .
Par ailleurs, Gérard cite plusieurs des saints dont c’est la fête le 31 décembre en plus de St Sylvestre, liste non exhaustive ainsi que l’indiquent ses trois petits points .
A sa suite, qu’il me permette de préciser qu’il en va ainsi de quasiment tous les jours de l’année. Les calendriers des agendas , de la Poste et autres n’indiquent qu’un » saint du jour », le plus connu quoique d’ailleurs pas forcément le même selon l’éditeur .
MAIS de nombreux autres saints que ceux-là sont, chaque jour, » inscrits au martyrologe romain », donc à fêter ce jour-là.
Définition du terme « martyrologe » sur Wkpd :
» Le mot martyrologe désigne, au sens propre, un livre liturgique, recueil de brèves notices sur les saints à fêter. (…) Le terme ne signifie pas seulement « liste des martyrs », mais désigne aussi toute liste liturgique des personnages reconnus saints par l’Église, personnages qui ont « porté témoignage »note 1 de leur foi chrétienne. » Fin de citation.
Liste de ces saints : https://nominis.cef.fr/contenus/saint/martyrologe.html
Amusez-vous bien, vous en avez pour toute la nuit, et au moins, vous saurez comment nommer votre prochain enfant !
Pour récit de la vie vraie ou légendaire ou inventée du saint en question, et date de fête, cliquer sur son nom écrit en bleu.
Très Chrétien, comme pour tout le monde, pour le prince François comme pour le comte de Paris, si l’on croit en Lui, c’est le Dieu des chrétiens qui en décide pas l’Histoire.
Le mot » décès » dit ce qu’il veut dire, simplement. Personne n’est obligé , chrétien ou pas, croyant ou pas, pratiquant ou pas, d’écrire ces termes très convenus de » rappel à Dieu » . Chacun est libre de sa formulation, ni l’Eglise catholique ni les Eglises protestantes n’imposent rien en la matière.
Je ne crois pas que le Christ ait dit quoi que ce soit sur la manière de rédiger les faire-part de décès.
Comme l’a déjà fait remarquer Baia dans un autre post, il serait plus séant d’imprimer :
Le prince et la princesse Gundakar de et à Liechtenstein, le duc et la duchesse de Vendôme, le duc et la duchesse d’Angoulême. A moins qu’on ne veuille signifier que les conjoints n’ont d’intérêt qu’en tant que géniteurs… D’autre part, d’après le site de l’Académie française les titres, pour illustres qu’ils soient, ne prennent pas de majuscule (même si l’Académie s’en attribue une…). Certes, ce sont là des détails mais, dans un certain monde, ils sont scrutés à la loupe et en disent parfois très long.
Dans la plus part des familles, on parle de monsieur et madame. On ne met pas l’un avant sous prétexte que c’est lui le parent du défunt, pour ensuite mettre l’autre à la fin. Antoine et Baia ont parfaitement raison.
Merci Antoine !
Je ne veux pas polémiquer mais cet avis de décès est pour le moins révélateur d’une famille différente de la famille classique francaise …
Tous les faire-part anciens portait les titres en majuscules. Ce n’est plus le cas dans le Figaro mais pour les faire-part envoyés par les familles à leurs amis et connaissances c’est toujours le cas.
Anciens Antoine, plusieurs centaines ? Vous êtes bien sûr ? Dans les anciens faire-part il y a des majuscules à presque tous les mots.
Mais aujourd’hui on peut également marquer Monsieur et Madame en minuscules comme le font certains puristes.
Franchement, les amis, quand vous arriverez chez Saint Pierre, vous croyez vraiment qu’il vous va vous demander si sur les papelards terrestres on a écrit vos titres en majuscules ou minuscules …?
Dites, ho…. Euh… Redescendez sur terre ! (!)
Oui mais ce n’est pas pour Saint Pierre que les faire-part sont écrits. Au ciel si Dieu veut nous passerons après ceux qui n’ont pas de nom et tous ceux qui sur cette terre comme François fils aîné de France, n’ont pu accomplir leur destin.
Je trouve étonnant que seul S.A.R. le Prince François, soit précédé par Son Altesse Royale, et pas, ses Parents, ni ses Frères et Sœurs., alors qu’ils sont tous Altesse Royale.
Cela ne m’empêche d’être en union de Prières avec la Famille Royale et avec Charles, que je salue très amicalement.
Les prédicats d’Altesses Royales et d’Altesses Sérénissimes pour les Liechtenstein n’ont pas été pris en compte pour ne pas alourdir le carton, c’est la seule raison.
Ce faire part révéle bien des subtilités: Par exemple, que les enfants du duc d’Angoulème sont prince et princesse d’Orléans, et non de France comme le reste de la famille. Que le petit prince Joseph passe avant ses deux soeurs, alors qu’il n’est que le 4ème de la fratrie. Que les couples sont dissociés, les beau-frèe et belles soeurs (et les enfants) venant derrière leurs conjoints.
Vous le direz: ce n’est pas le moment d’ergoter, on est en plein deuil. Certes.
Mias puisque ce faire-part est ici publié, il est assez logique qu’on le commente et qu’on s’interroge sur les choix qui y sont faits.
C’est comme à table, les fils avant les gendres, les filles avant les belle-filles.
Dans l’esprit de ces princes, le comte de Paris est de jure roi de France, il est donc normal que ses enfants et ceux de son Dauphin soient dits « de France »…après on peut approuver ou non…. ça occupe !!
Votre dernière phrase me rassure un peu Pierre Yves ! J’ai conscience de m’ être quelque peu emportée dans mon précédent commentaire … alors que ce n’était pas vraiment le moment d’ouvrir le débat sur le protocole…je m’ associe bien sûr de tout coeur au deuil de la famille d’Orleans….
Enfin… merveilleux, merveilleux…. Ca ne devait pas être si merveilleux que ça, pour les plus de 90% de Français qui étaient alors paysans, les serviteurs, les tout petits artisans, ceux qui vivotaient de tout petits métiers, et les » gueux » et misérables .
Je n’ai rien contre les rois et la royauté, mais dire que l’ancien temps , des rois ou pas, était merveilleux et béni me semble , comment dire … risible. Voilà. Risible.
C’est une manière de parler Léonor. Les temps étaient difficiles souvent et ils l’étaient surtout pour les petits que ce soit au royaume de France ou dans les cantons suisses. Dans la plupart des pays d’Europe occidentale qui n’ont pas souvent vécu sous la dictature les conditions météorologiques, des périodes de paix, l’absence d’épidémie, faisaient l’âge d’or.
Mais souvent l’âge d’or nous semble lointain. Il y a quelques années, ou quelques dizaines d’années on pouvait croire à son retour ou à sa venue, aujourd’hui…
Pour les Afghans par exemple l’âge d’or c’était bien le temps du roi Zahir.
Je pense que le fait d’avoir d’abord placé en premier le père ,la mère et la fratrie montre le lien qui resserre fortement la famille autour de ce fils tant aimé ! les beau-frère et belles- soeurs ont suffisamment d’intelligence et de coeur pour céder le pas et ne sont nullement relégués au second rang….
En tous cas ,la cérémonie de samedi sera certainement très émouvante…..
Soutien et respect à la famille de France !
J’ose espérer que ces funérailles ne seront pas, à nouveau l’occasion de chicanes familiales mais plutôt une « Ode à la vie » quelqu’elle soit, handicapée ou non. De mon côté, j’apprécie les deuils en blanc comme il est d’usage dans la famille royale des Pays-Bas ou en Belgique (lors de la mort du roi Baudouin). Il faut célébrer la Vie. Dans le présent cas, c’est la fin des souffrances physiques de ce prince. J’apprécie que les dons soient versés aux Foyers de l’Arche de Jean Vanier.
Le blanc est d’usage pour les enfants qui n’ont pas encore atteint l’âge de raison et qui ont été baptisés. On célèbre alors – si je ne m’abuse – la messe dite des Anges.
De nos jours, Emily, vous aurez bien du mal à trouver une paroisse conciliaire où l’on connaisse encore la messe des Anges… En revanche, vous aurez un choix étendu de ritournelles inchantables, de cantiques indigents en paroles et en musique, de sirupeuses complaintes à la gloire du doux Jésus qui doit s’être procuré depuis longtemps des boules Quiès pour échapper à toute cette miévrerie.
Pas d »accord Antoine….les cantiques actuels n’ont rien de ringard, du moins à mon avis….question de goût naturellement ! Et je ne vois vraiment pas JC se boucher les oreilles ! ?
.
Zut. NON.
Je n’aime pas non plus les chansonnettes insipides, mais de là à faire allégeance à Fellay et ses tradi, non et non.
Antoine, oh que si, on chante toujours la Messe des Anges dans une paroisse » conciliaire » comme vous dites – , et pas n’importe laquelle : la Cathédrale de Strasbourg.
Cette messe n’est pas destinée qu’aux funérailles d’enfants , pas du tout, on la chante donc très couramment. » On », c’est le Choeur de la Cathédrale. Grâce aux maîtres de chapelle, passé et présent, de grande qualité.
Dans les choeurs – et l’assemblée – , on la connaît … par coeur, à force.
Vous avez raison, Annelise. Mais les autre fidèles ne sont pas aussi indulgents que le Christ et souffrent souvent en subissant les goûts musicaux du clergé actuel et de leurs équipes liturgiques. On ne va pas à l’église pour entendre la même musique qu’au supermarché.
Muscate-Valeska de Lisabé
5 janvier 2018 @
17:05
Cela relève du protocole familial particulier de cette famille déchirée,souvent opposée et en concurrence. .. ça n’a pour moi pas d’importance.
Ah, les pièces rapportées dans une famille…. Et l’épouse du Comte de Paris, elle était quand même la belle-mère du Prince François… Mais je suppose qu’on a pas voulu ajouter à la peine de la Duchesse de Montpensier…
La famille est réduite à sa plus simple expression, aucun Orléans, ni Würtemberg ,on eût pu ajouter ses oncles et tantes, car il en avait , pour qui ,c’est un deuil et qui doivent être proches des membres de la famille, cités ici ?
On a l’impression qu’il est pleuré par ses frères et sœurs , sa mère, ses seuls neveux .Etrange …
Quant à la princesse Micaëla ,elle doit se dire qu’elle n’a jamais été acceptée , malgré les côtés , très chrétiens de cette famille .Et , malgré le temps …
Le faire-part est déjà un peu long et s’il avait fallu indiquer tous les frères et sœurs du comte de Paris (11 enfants) et de la duchesse de Montpensier (7enfants) il aurait sans doute été trop long.
Simplement, ses oncles et tantes ,ça faisait une ligne …
Par délicatesse, on pouvait ajouter le Foyer de l’Arche où il résidait , car les gens, qui y travaillent , perdent quelqu’un, qui a marqué leur vie …
Ce faire part est vraiment étrange les conjoints ne sont pas mis avec la famille mais après avec leurs enfants, c’est leurs dire qu’ils ne font pas vraiment de la famille
Il en est du faire-part comme de toutes choses : il évolue avec le temps, ils suffit de voir ceux que recevaient nos grands parents, nos parents puis nous-mêmes.
Certains commentaires évoquent le « protocole ». Quel protocole? Fixé par qui et quant ? Et pour combien de temps ? Etait-ce le même type de faire part pour les fils de Louis Philippe? Faudra qu’ au décès du jeune Gaston, dans 80 ou 90 ans un faire part similaire à celui-ci soit publié?
Comme à plusieurs internautes il me paraît quelque peu décalé . Personnellement quelque chose de plus simple, sans ces éclatement des familles selon d’obscures préséances byzantines et peut-être même sans les titres des frères et soeurs m’aurait semblé mieux traduire la tristesse de perdre un fils et un frère qu’on espere avoir été aimé .
Je suis d’accord avec vous Jacob !
Par ailleurs, ce n’est pas une altesse royale qui a été rappelée à Dieu mais un simple pêcheur. En l’occurence, François d’Orléans était sans doute moins pécheur que nous. De là où il est, cela seul compte.
ce faire part ne me plait pas . il a ete long a etre publie , je dirai tout cela pour un tel resultat , je trouvais plusieurs membres de cette famille peu sympathiques , cela ne fait que conforter mon ressenti
Son père, le Comte de Paris ne s’est que très peu occupé de ses enfants, en particulier François et Blanche. La courtoisie, malgré le protocole , aurait pu faire mettre en premier La Duchesse de Montpensier, sa mère, qui elle a élevé et soutenu tous ses enfants, et plus particulièrement François et Blanche.
Le carton rédigé par la famille est plutôt sobre puisque les prédicats n’ont pas été notés sauf pour le defunt Prince François justement, peut être pour donner une importance à ce fils et à ce frère tant aimé.
La famille a manifestement voulu regrouper les quatre enfaits vivants ensemble pour montrer leur unité et leur indivisibilité.
Je tiens à préciser encore une fois que je ne connais aucune autre famille où il existait une telle unité entre les cinq enfants. Les circonstances de la vie, l’éducation donnée par la Duchesse de Montpensier et la foi des Princes sont sans doute les raisons de cette incroyable unité.
Quant à placer le gendre et les belle-filles après les enfants cela me paraît naturel.
Donc un carton classique qui respecte à la fois les usages et le protocole.
Il faut être tatillon ou plus vraisemblablement malveillant pour trouver à redire à ce carton classique qui annonce le décès d’un Prince chéri.
Charles Actarus hier j ai eu une pensée pour vous. Mon vieil ami a été porté en terre. Il était bon joyeux courageux. Dans l amour de ses enfants et de Dieu. En entrant dans l église quand j ai vu le cercueil portés par ses fils et petits fils mon coeur à chaviré. De pensées avec vous
Dommage Gérard car Duc de Vendôme et Duc d’Angoulême n’ont pas fait débat.
Mais comme le dit Jean-Pierre plus bas, cela n’a pas d’importance. Je souhaite à la princesse Blanche de France, d’Orléans ou de … Valois de vivre paisiblement et au prince François de reposer en paix.
J’ai découvert un jour que les titulatures étaient plus changeantes et fantaisistes que je ne le pensais avec en plus de grandes variétés d’usage selon les pays.
Ainsi un authentique comte expliquant un jour que en France le titre était souvent soumis au souhait de celui qui le revendiquait , au moins dans les dernières décennies de la monarchie .
Ce qui importait c’était les quartiers de noblesse et la famille à laquelle on se rattachait .
A par ça si vous étiez admis pour être présenté au Roi on vous demandait sous quel titre vous souhaitiez l’être , baron ou marquis peu importe encore devait-il falloir montrer une certaine décence…
Ca ressemble un peu à mes yeux aux nominations d’évêques « in partibus » .
Cependant il me semble que les titres les plus prestigieux (ceux de duc , les titres attachés aux princes du sang) ne suivaient pas cette règle…
Au Royaume Uni en revanche je crois que c’est le titre qui traverse les siècles passant d’une famille à une autre sans nécessaire lien de parenté.
Avec en plus ce détail charmant des créations dans telle ou telle pairie.
J’avoue préférer la manière française à défaut d’en connaître d’autres que ces deux là.
J’ai mis aussi longtemps à découvrir l’origine de la distinction « de Bavière » et « en Bavière » mais j’ignorais » de et à Liechtenstein » .
Peut on m’éclairer ?
C’est plus compliqué que cela. Être admis aux honneurs de la cour c’est-à-dire être officiellement présenté au roi nécessitait la preuve d’une certaine qualité de noblesse (en principe une noblesse remontant à l’année 1400 sauf dispense) et les familles présentées pouvaient sans lettres patentes en ce sens, avoir un chef qui était considéré comme un marquis.
Vous avez raison le seul titre qui comptait vraiment était celui de duc.
Les évêques in partibus infidelium n’étaient pas des sous-évêques mais des évêques qui par exemple étaient trop vieux pour exercer encore leurs fonctions et auxquelles on donnait un titre, celui d’un diocèse qui était dépeuplé ou qui était passé aux Infidèles. Aujourd’hui on parle à cet égard d’évêques émérites. On peut donner aussi ce titre à des personnalités qui sont sacrées évêques mais qui par exemple servent à Rome. Aujourd’hui on parle cependant d’évêques titulaires.
Au Royaume-Uni et surtout en Angleterre la succession des titres est masculine (en Écosse il peut en être un peu autrement). Mais lorsqu’un titre s’éteint le souverain peut le recréer pour une autre famille ou pour des descendants de la première.
Certains se battent actuellement pour que les titres en cas d’extinction d’une famille en ligne masculine puissent être transmis à une femme, la plus proche du dernier titulaire. Ce n’est pas cependant un sujet d’une actualité brûlante.
Les pairies existaient en France, au Royaume-Uni et en Sicile et ceux qui en étaient revêtus siégeaient donc à la chambre haute du Parlement. De même sans être pairs certains titrés germaniques par exemple siégeaient à la Chambre des seigneurs de leur État.
Il existe des pairies d’Angleterre, d’Écosse, d’Irlande, de Grande-Bretagne ou du Royaume-Uni, selon leur date de création ou leur provenance.
Un duc en Bavière est un peu inférieur au duc de Bavière qui régnait sur cet État. C’était le titre de branches cadettes dont la dernière était celle du père et des frères de l’impératrice Élisabeth d’Autriche. Après l’extinction de celle-ci le titre fut hérité par une branche cadette de la famille royale et il est donc porté aujourd’hui par le frère cadet du chef de la maison royale mais ce duc on le sait n’a que des filles.
En principe von und zu (de et à) signifie qu’une famille est originaire d’un lieu (von) et qu’elle continue d’être le possesseur de ce lieu (zu).
En l’espèce c’est la principauté qui prit le nom de son seigneur.
Ce que vous dites est très intéressant mais il faudrait des pages et des pages pour vous répondre.
Merci Gérard !
Oui c’est très compliqué mais vous avez fait une synthèse remarquable .
J’avais du lire plus d’une fois » von und zu » sans connaître la signification exacte mais je n’avais pas vraiment fait le lien avec « de et à Liechtenstein » .
Bernadette,en réaction à votre premier commentaire,ce n’est pas que le président n’a pas pu faire le signe de croix mais c’est qu’il n’a pas voulu le faire puisqu’il l’avait esquissé,laïcité ou pas,je trouve cela lâche.
Oui, beji, mais quelle levée de boucliers des Libres Penseurs et des tenants d’une laïcité pure et dure s’il l’avait fait !
En revanche, j’attends de lui qu’il ne mette pas la kipa s’il va à la synagogue et qu’il ne participe pas à une rupture du jeûne pendant le Ramadan
En 1894, à la mort du comte de Paris, son fils le duc d’Orléans adressa à tous les souverains d’Europe le texte suivant que je cite de mémoire:
Sire,
J’ai l’honneur de faire part à Votre Majesté de la perte cruelle que vient d’éprouver la Maison de France en la personne de son chef, Philippe comte de Paris.
En cette douloureuse circonstance je prie Votre Majesté de bien vouloir accorder à la Maison de France sa très haute sympathie.
Philippe, duc d’Orléans.
Le faire part est un peu foutraque quand même.
L’état civil des personnes n’est pas cité. On affiche des titres de courtoisie au détriment du nom de famille.
On oublie…ou pas…des membres de la famille.
Mais cela n’a pas vraiment d’importance.
Cela montre quand même que le prétendant n’a ni secrétariat, ni cabinet et encore moins de chancellerie et qu’il est bien seul pour accomplir ce qu’il considère être sa mission.
Cher Gèrard, Jean aurait tout à gagner à vous avoir à ses côtés comme conseiller et porte parole.
Vous remarquerez que dans tous les faire-part que ce soit en France ou en Belgique lorsqu’il y a des titres les titres sont indiqués plutôt que les patronymes. Nous ne sommes pas à la poste.
C’est en termes différents ce que j’ai voulu écrire un peu plus haut. Heureux de vous retrouver sur ce point.
J’en profite pour vous souhaiter, Mary, une belle et heureuse année 2018.
Mes vœux s’adressent évidemment à tous les lecteurs de N&R !
Cher Naucratis,
Très bonne année à vous aussi !
J’avais laissé un message ( un peu paresseux,il est vrai ) dans la rubrique Meilleurs Vœux ( ou Bonne Année ) dans lequel je souhaitais la bonne année à tous en adressant une bise à tous mes favoris ( cf. mes voeux dans la rubrique Joyeux Noël ): vous aviez donc une bise qui se baladait sur le web !
J’espère que vous lirez ce message et qu’elle arrivera ainsi à destination…
Stella
5 janvier 2018 @ 08:20
Ce faire-part est tout à fait conforme à la bien séance.
Ainsi les obsèques du Prince François auront-elles lieu dans la sérénité et la paix.
Laure2
5 janvier 2018 @ 13:05
Conforme à la bien séance peut être …je n’ai jamais vu de faire part ainsi tourné ou les conjoints sont relégués à l’arrière garde . Normalement ils font part avec leurs époux respectifs puis suivent la cohorte neveux nièces etc …
Stella
5 janvier 2018 @ 21:55
Il est possible que cela ait été décidé dans la mesure où, les parents du défunt étant cités séparément, les autres conjoints ont été mentionnée de même.
C’est un simple hypothèse, bien sûr.
milou
6 janvier 2018 @ 08:35
De votre avis,Laure2, Esquiline…cela m’a fortement choqué mais je me suis dit que dans ce milieu-là, cela se faisait ainsi…ce que je réprouve totalement!
ml
Esquiline
5 janvier 2018 @ 13:59
Les règles de la bienséance ne sont pas universelles.
Personnellement je trouve que citer les femmes à la fin et non à la suite du nom de leurs conjoints relève plus de la goujaterie que du savoir-vivre.
Même Antoinette et Louise Marie sont citées après leur frère Joseph.
Francois
5 janvier 2018 @ 14:15
Aussi étonné que vous !!
Bernadette
5 janvier 2018 @ 15:00
Je n’avais pas remarqué ! C’est incontestablement encore ce stupide « protocole » qui veut ça ! Les hommes d’abord, les femmes après ! C’est plutôt moyennâtgeux comme conception ! D’ailleurs tous les protocoles le sont ! Aussi bien monarchiques que républicains (un Président de la République qui ne peut pas faire de signe de croix sur un cercueil -laïcité oblige !- ça me choque !) et même au Vatican où certaines couleurs sont obligatoires ! Tout ça est tellement dérisoire !
Bernadette
5 janvier 2018 @ 15:07
Esquiline, ce n’est ni de la goujaterie ni un manque de savoir vivre, c’est simplement le protocole qui est ainsi…
Gérard
6 janvier 2018 @ 04:20
Les frères et sœurs sont cités non pas en fonction de leur sexe mais de leur date de naissance.
Quant au protocole du Vatican aujourd’hui il est comme vous le savez très débonnaire et c’est par politesse qu’il est respecté en général.
Lorenz
6 janvier 2018 @ 11:53
Bernadette, Esquiline, lisez bien: la princesse Marie est mentionnée avant ses frères, ainsi que les princesses du Liechtenstein avant les leurs, alors pas de faveur pour les mâles!
Il est évident que pour les neveux et le nièces on voulait écrire une seule fois le mot «princes» et une suele fois le mot «princesses». Comme le premier-né de Marie est une fille, d’abord les filles pour les Liechtenstein, puisque le premier-né de Jean est un mâle, d’abord les mâles pour les Vendôme.
Une famille obsédée par le protocole aurait mis avant les ducs de Vendôme et d’Angoulême par rapport à à la princesse Marie.
Clément II
7 janvier 2018 @ 11:41
Je ne sais pas ce que le protocole (ou ceux qui le portent) vous ont fait mais, de nos jours, ce principe a surtout pour rôle d’ordonnancer les événements les plus divers : commémorations, discours, repas, etc. Les protocoles dits domestiques sont dorénavant assez light et à rapprocher de l’ordre utile à toute maisonnée, plus que d’un cérémonial ancien. Puis ce n’est pas propre aux affaires d’état. L’organisation d’un mariage fait aussi appel à des principes protocolaires.
Baia
5 janvier 2018 @ 14:45
Le duc de Lichenstein, les duchesses de Vendôme et d’Angoulême, ne sont pas citées comme étant les beau-frère et belles-soeurs du prince François !
Personnellement j’en suis étonnée, pour ne pas dire choquée, sachant qu’il/elles ne sont étrangers au bonheur familial que le prince décédé a partagé.
Clément II
7 janvier 2018 @ 11:42
Il est PRINCE de et à (von und zu) Liechtenstein.
Coriandre
5 janvier 2018 @ 08:24
Pas de comtesse de Paris dans ce faire part. Les tractations ont dû être nombreuses.
Stella
5 janvier 2018 @ 08:31
( Il est fort probable que Micaela assistera, si sa santé le lui permet, à la Messe de mémoire qui sera dite en l’église st François Xavier le dimanche soir.)
Tout ceci est tout simplement parfait.
Baia
5 janvier 2018 @ 14:47
Petite question de curiosité pour vous Stella : pourquoi mettez-vous la majorité de vos phares entre parenthèses ???
DUCHESSE
6 janvier 2018 @ 15:54
Bonjour Baia,
Je souligne de parenthèses les phrases apportant une précision que l’on pourrait considérer comme sans réel intérêt (où ne concernant qu’un nombre restreint de lecteurs ).
Baia
6 janvier 2018 @ 16:01
Ah ! C’est curieux mais pourquoi pas.
Merci pour votre réponse DUCHESSE / STELLA et bon week-end.
DUCHESSE 22
6 janvier 2018 @ 16:54
Ah bon ! peu convaincant votre commentaire et bien inutile pour la compréhension du texte
Clément II
7 janvier 2018 @ 11:43
Pourquoi changez-vous sans cesse de pseudo ?
DUCHESSE
5 janvier 2018 @ 08:50
Ceci est conforme à ce qui est du domaine de la raison.
Mes pensées vont au prince Jean.
Ces derniers jours ont dû être très éprouvants pour lui.
DUCHESSE 22
5 janvier 2018 @ 12:35
Votre commentaire est conforme à mes pensées.
DUCHESSE
5 janvier 2018 @ 16:10
Merci, DUCHESSE 22 , votre réponse me touche beaucoup.
Baia
5 janvier 2018 @ 15:22
Je pense personnellement avant tout aux parents du prince François, et plus encore à la Duchesse de Montpensier qui a été plus que présente auprès de son fils.
Je pense tout autant aux freres et soeurs de Francois, sans préférence pour l’un ou l’autre ce qui me semble inconvenable !
Duchesse et Duchesse 22, je crois que ces derniers jours n’ont été éprouvent que pour le prince Jean.
Marie, Blanche, Eudes, les autres frére et soeurs du prince Francois doivent tout aussi effondrés que Jean.
Baia
5 janvier 2018 @ 16:07
N’ont pas été éprouvants que pour le prince Jean ….
Gérard
6 janvier 2018 @ 04:16
C’est vrai mais Jean s’en est occupé plus longtemps parce qu’il est resté plus longtemps célibataire et même plus tard encore en raison d’une proximité géographique notamment et de l’affection qui a lié son épouse à François dont il était le curateur et sans doute le meilleur ami.
C’est celui qui a consacré le plus de temps à François. Bien sûr le deuil de sa mère est immense aussi et celui de toute la famille.
Baia
6 janvier 2018 @ 15:41
Si vous le dites Gérard !
Gibbs ??
5 janvier 2018 @ 08:58
Ce jour, trois ans que ma chère maman m’a quittée.
Baia
5 janvier 2018 @ 15:31
Oui bon … Et moi hier deux ans que mon cher mari est parti, seul, pour son dernier voyage.
Mais là n’est pas le sujet. Gibbs, notre peine n’est pas d’actualité.
Aujourd’hui, une famille royale pleure un des siens et nos deuils personnels ne concerne que nous.
Sans votre commentaire, je n’aurai jamais écrit le mien.
Iimaginez que chacun d’entre nous, dès un avis de décès publié sur ce site, nous fasse part de l’anniversaire de la mort d’un de ses proches …
bambina
5 janvier 2018 @ 20:30
Baia, vous êtes immonde. Pour moi, c’est votre bêtise qui ne sera jamais d’actualité !
Baia
6 janvier 2018 @ 10:27
Immonde ? Merci Bambina !
Je pense que vous n’avez pas compris mon commentaire ce qui, en plus de votre excellente éducation, prouve le degré de votre intelligence !
Muscate-Valeska de Lisabé
6 janvier 2018 @ 18:10
Je trouve que Gibbs n’avait rien dit de déplacé,Baia.Et vous non plus.
Le sujet étant un deuil,il peut nous ramener aux nôtres, et qu’on ose en effleurer ici le souvenir..il est écrit tant et tant de choses,ici,que quelques lignes de plus ou de moins…
Je compatis sincèrement à votre peine à toutes les deux, Gibbs et Baia.
Baia
7 janvier 2018 @ 09:50
Merci MVL.
milou
6 janvier 2018 @ 08:39
Totalement de votre excellent avis, ici, Baia…ce site n’est pas fait -en principe- pour s’apitoyer sur notre sort, je le pense aussi!
ml
Baia
6 janvier 2018 @ 16:06
Que l’on prévienne du décès d’un proche parent lorsque ledit décès survient ne me gène pas du tout. Actarus l’a fait récemment et les commentaires sympathiques qu’il a reçus ont dû le toucher et lui faire du bien.
Ce que je trouve déplacé c’est de parler d’anniversaire de décès.
milou
8 janvier 2018 @ 20:32
Tout à fait, Baia et c’est pourquoi j’ai aimé votre com!
ml
Gérard
6 janvier 2018 @ 16:12
Le site n’est pas fait non plus pour s’engueuler ou se faire de la peine.
Baia
7 janvier 2018 @ 09:49
Ce site n’est pas non plus fait pour recevoir des injures !
Muscate-Valeska de Lisabé
7 janvier 2018 @ 17:03
Tout ce qui est négatif, tristesse,colère,aigreur,est une demande d’attention, de reconnaissance, d’Amour frustré. C’est de la souffrance.En la partageant,elle devient plus légère, car symboliquement portée par plusieurs…en fait, la seule écoute fournie ici peut réellement aider.
milou
8 janvier 2018 @ 20:35
A nouveau, vous décrivez si bien, Muscate…certains maux d’âmes!
ml
Milenà K
6 janvier 2018 @ 18:40
Pour une fois,d accord avec Baia
Clément II
7 janvier 2018 @ 11:46
Si Gibbs souhaite faire allusion à sa maman, où est le souci ? Si cela ne vous convient pas, vous pouvez passer au message suivant et vous dispenser de paraître pour une bête immonde, à vrai dire plus bête qu’immonde.
Baia
7 janvier 2018 @ 14:54
Au moins ce n’est pas la galenterie qui vous étouffe Clément II !
La bête immonde ou la plus bête qu’immonde vous remercie.
A l’avenir, si mes commentaires ne vous conviennent pas, passez au message suivant, cela vous dispensera de paraître pour un goujat !
Clément II
9 janvier 2018 @ 00:31
Je crois qu’en matière de goujaterie dans sa version féminine, vous vous posez ici, et posez bien. Encore une fois, je ne vois pas en quoi cela vous dérange que Gibbs fasse allusion à sa mère. Elle ne vous raconte pas non plus la vie de cette brave dame par le menu, alors il n’y a aucune raison que vous réagissiez ainsi, en dehors du souhait d’être méchante.
Vous connaissez l’adage : les plus gênés passent leur chemin, alors passez le vôtre, c’est plus judicieux.
Baia
9 janvier 2018 @ 07:28
Clément II, la seule personne qui pourra me demander de « passer mon chemin » est Régine.
Occupez vous de vos gâteaux …
Geoffroy
5 janvier 2018 @ 19:44
3615 TA VIE
bambina
5 janvier 2018 @ 20:28
Des pensées Gibbs !
neoclassique
5 janvier 2018 @ 09:01
Il est tout de même inattendu, pour ne pas dire surprenant, que dans ce faire-part au libellé très cérémonieux (et même très contestable mais n’ouvrons pas la polémique en cette période de deuil…), à aucun moment ne figure le nom « Orléans » qui est pourtant bel et bien le nom patronymique officiel de cette branche cadette de la maison capétienne…
Cyril D.
5 janvier 2018 @ 12:33
Uniquement cité pour le prince Pierre et la princesse Thérèse. Mais théoriquement, ils sont tous « d’Orléans », évidemment, « de France » n’étant qu’une formule de cérémonie.
Gérard
6 janvier 2018 @ 04:11
C’est la tradition royale française qui continue de s’appliquer.
Lorenz
6 janvier 2018 @ 11:58
Je n’avais pas remarqué, mais maintenant je me demande: pourquoi Pierre et Thérèse « d’Orléans » et pas « d’Angoulême »?
Jul
5 janvier 2018 @ 13:06
Bien d’accord avec vous Néoclassique.
Mayg
5 janvier 2018 @ 13:40
La presse parle bien de François d’Orléans, et certainement pas de François de France, pour annoncer son décès.
neoclassique
5 janvier 2018 @ 15:06
Cette appellation de » de France » dont veulent se targuer les Orléans pour essayer de se draper d’une certaine légitimité est aussi ridicule qu’inappropriée. Cette appellation ne se porterait que si leur famille était régnante sur le trône de France, ce qui, Dieu merci, n’est pas et ne sera jamais le cas.
En tout, le plus comique dans l’histoire, c’est que c’est leur ancêtre direct le duc d’Orléans félon qui a délibérément choisi d’abandonner le titre de roi de France au profit de celui plus citoyen de « roi des Français ». Cela ne manque pas de saveur de voir l’énergie que déploient aujourd’hui ses héritiers pour se le ré-approprier… Dieu merci, le ridicule ne tue pas…
Gérard
6 janvier 2018 @ 04:09
Je ne pense pas que Dieu soit à l’origine de la république française. Et le fait que Louis-Philippe ait relevé la couronne perdue dans une révolte parisienne est sans rapport avec le fait qu’il représentait la branche cadette de la famille royale qui devint l’aînée avec son petit-fils.
Gérard
6 janvier 2018 @ 04:10
Et Louis-Philippe et Marie-Amélie avaient si peu envie d’être usurpateurs qu’ils ont préféré le titre de roi et reine des Français.
gone
6 janvier 2018 @ 09:47
…Dieu est-il pour quelque chose dans l’élection de Senlis ?
Gérard
6 janvier 2018 @ 16:13
Naturellement oui.
Clément II
7 janvier 2018 @ 11:50
Leur nom est effectivement « d’Orléans » et je vous remercie d’en faire rappel.
gone
6 janvier 2018 @ 09:45
et Dieu sait que dans ce domaine la presse en connaît un rayon !
Gérard
6 janvier 2018 @ 16:14
La presse ne se trompe jamais. La presse ne nous trompe jamais.
Mayg
7 janvier 2018 @ 16:11
La presse ne va quand même pas donner à une famille, le patronyme qu’elle ne dispose. Nous sommes en République et pas en monarchie. A l’état civile, cette famille se prénomme d’Orléans et rien d’autre !
Olivier Kell
5 janvier 2018 @ 13:42
Non est indiqué le prince Pierre d’Orléans
neoclassique
5 janvier 2018 @ 15:07
mais l’on se demande alors pourquoi lui n’est pas de France? Est il (lui aussi) illégitime?….
Marie-Micheline
6 janvier 2018 @ 00:33
Pierre est petit fils de France, son père n’est pas l’héritier, il n’a donc droit qu’au titre de prince d’Orléans, comme ses cousins les enfants et petits enfants des princes Michel jacques et Thibaut
Gérard
6 janvier 2018 @ 04:05
Non bien sûr, France c’est la ligne aînée seulement. C’est la règle millénaire de la monarchie française.
Naucratis
6 janvier 2018 @ 12:54
La ligne aînée d’une branche cadette ? Les Orléans inventent des règles qu’ils adaptent, tronquent et déforment à l’envI… et après leurs thuriféraires nous parlent de tradition…
Gérard
6 janvier 2018 @ 16:19
Ce n’est pas à vous Naucratis qu’on apprendra que pour la succession à la couronne de France c’est depuis Louis XIV c’est comme si Philippe V d’Espagne n’avait jamais existé. C’est le droit positif, alors je sais bien que vous dites que ce droit est irrégulier mais temps que ceci n’a pas été démontré officiellement et par les moyens juridiques que vous souhaitez et par les autorités compétentes nous devons tenir le droit positif pour légitime et c’est l’attitude que l’immense majorité des monarchistes français et les cours étrangères ont adopté à la mort du comte de Chambord.
Gérard
6 janvier 2018 @ 16:20
Tant que…
Charles
6 janvier 2018 @ 11:04
C’est pourtant simple à comprendre sont de France les enfants du Chef de Maison et du Dauphin.
Le fils du Duc d’Angoulême n’étant ni Chef de Maison ni Dauphin son fils est prince d’Orléans.
Cet usage existe depuis toujours et les autres Maisons royales utilisent ces appellations.
Clément II
7 janvier 2018 @ 11:59
Non. Les cadets de la Maison de Liechtenstein, sont princes de et à Liechtenstein (nous en avons ici l’exemple). C’est le même topo en Italie (Savoie-Aoste mais Savoie quand même), Allemagne, Grèce, Autriche, etc.
A part la Maison de Belgique qui fait le choix de ramener les cadets à leur nom dynastique, les autres continuent à se faire appeler tels quels. A noter d’ailleurs que la Maison de Belgique est régnante et justifie largement cette différenciation, alors que les Orléans n’ont aucune raison de se faire appeler « de France » car non régnants.
Je crois toutefois que c’est un débat stérile par avance.
Mayg
7 janvier 2018 @ 16:19
Ce qui est simple à comprendre, c’est qu’on est en République, et pour la République, les membres de cette famille s’appellent d’Orléans et non de France
Baia
5 janvier 2018 @ 14:54
Bien d’accord avec vous Néoclassique.
« de Paris », « de France », « de Vendôme », « d’Angoulème »
Alors qu’ils sont tous « d’Orléans » !
Gérard
6 janvier 2018 @ 04:04
D’York, de Galles, de Cambridge alors qu’ils sont des Oldenbourg…
Magie royale.
Yannick PICHARD
6 janvier 2018 @ 09:42
Non Windsor! Ou Mountbatten-Windsor! Certainement pas Oldenbourg
Gérard
6 janvier 2018 @ 16:21
De mâle en mâle oui ils sont des Oldenbourg.
Naucratis
6 janvier 2018 @ 12:55
Ceux que vous citez règnent ! Vos Orléans non.
Gérard
6 janvier 2018 @ 16:22
Pour les monarchistes ça ne change pas grand-chose. Nous servons la république mais notre cœur est au roi.
Clément II
7 janvier 2018 @ 12:09
Ils sont régnants et le droit anglais permet cette dénomination. Le droit français est muet sur le sujet, et vous en savez la cause. Leur état-civil est Na d’Orléans, il n’est pas prévu qu’il en soit autrement, le nom de famille étant immuable.
Je me souviens qu’un agité d’outre-mer avait déposé plainte contre Sarkozy pour utilisation d’un faux nom, sur les bulletins de l’élection présidentielle de 2007. Il n’y a pas eu de suites, le président étant en mesure d’utiliser publiquement un alias. Néanmoins, pensez-vous que cette sympathique « Famille de France » échapperait aux foudres de la justice si un légitimiste zélé ou un républicain acharné portait plainte contre elle pour usage d’un nom imaginaire ? J’ai un doute.
Mayg
7 janvier 2018 @ 16:22
La monarchie britannique a ses propres règles. La république française à les siennes !
Gérard
5 janvier 2018 @ 17:31
Cela ne fait jamais que 130 ans qu’on écrit ainsi dans tout les faire-part.
Gérard
6 janvier 2018 @ 04:04
Tous.
Naucratis
6 janvier 2018 @ 12:56
Écrire un mensonge pendant 130 ans n’en fait pas une vérité.
Gérard
6 janvier 2018 @ 16:23
Affirmer que le droit positif est mensonger ne suffit pas à faire d’une vérité une erreur.
Clément II
7 janvier 2018 @ 12:18
Quel droit positif ?
La question des prétentions au trône de France est indépendante de l’utilisation d’un nom qu’ils n’ont jamais porté, à l’état-civil. Ils peuvent bien prétendre à ce qui leur plait, c’est une liberté. Cependant, le nom est immuable et il n’est possible d’en changer que dans certains cas, très précis mais ne florissant pas ici.
Je me souviens que le défunt Comte de Paris avait souhaité reprendre le nom de Bourbon, se retrouvant ainsi (et notamment) face aux Bourbon Parme qui lui déniaient ce droit. J’imagine qu’il avait alors fait mention d’un droit à relever ce nom, ce que la justice lui a finalement refusé de façon assez cinglante, en indiquant que le nom d’Orléans est porté par cette famille depuis plusieurs siècles, que le fait d’être issu de ladite maison de Bourbon ne confère pas systématiquement le droit d’user du nom de Bourbon, lequel n’est d’ailleurs pas éteint ou en voie d’extinction.
Pourquoi persister en prenant cette fois le nom « de France » ?
Mayg
7 janvier 2018 @ 16:26
Clément II
+ 1000
Geoffroy
5 janvier 2018 @ 19:53
C’est plus compliqué. Normalement, sont Orléans les descendants du duc d’Orléans sauf ceux qui ont reçu un autre apanage. Or le précédent comte de Paris a eu l’idée saugrenue de donner le titre de duc d’Orléans (le seul hérité réellement de l’époque monarchique) à son cadet. Les appellations de ce faire-part sont donc extrêmement contradictoire. Si on considère que le comte de Paris est prétendant légal, l’appellation de France peut se comprendre pour ses enfants et petits enfants donc Pierre devrait être aussi de France. Si on considère que plus personne ne règne et que l’appellation de France ne se justifie pas, alors on devrait se conformer aux noms des apanages et il devrait être Pierre d’Angoulême (comme François Ier était François d’Angoulême à sa naissance dans la branche Orléans-Angoulême). D’Orléans devrait être réservé aux enfants du duc d’Orléans. Mais alors que donner aux enfants non titrés du comte de Paris ? Ou alors, à la légitimiste comme à la républicaine, ils sont tous d’Orléans, avec ou sans titre.
Gérard
6 janvier 2018 @ 13:00
Dans l’ancienne France effectivement Thérèse et Pierre seraient d’Angoulême mais c’était une époque où il n’y avait pas véritablement de nom de famille pour la famille royale. Aujourd’hui ce serait un peu compliqué comme on peut le voir à travers les nombreuses réactions recueillies ici.
Jul
7 janvier 2018 @ 06:50
Non Gérard, ce n’est pas compliqué du tout :)
Mayg
7 janvier 2018 @ 16:29
Il n’y a rien de compliqué à appeler une personne par son nom de famille, et dans ce cas précis, c’est d’Orléans.
Clément II
7 janvier 2018 @ 12:28
Ils doivent tous être « d’Orléans », puisque c’est sous ce nom qu’ils sont tous déclarés à l’état-civil, comme le furent leurs parents et aïeux, et cela depuis plusieurs générations.
Certes, du temps où ce titre fut conféré, il n’existait pas réellement de nom pour les membres de la famille royale, que l’on distinguait aisément par leur apanage. Chacun savait qui était le Duc d’Orléans, comme homme et comme descendant de la dynastie capétienne de Bourbon. Toutefois, la monarchie n’est plus et l’apanage est aujourd’hui devenu un nom de famille. Il n’y a donc aucune raison que ça change.
Ils auraient pu s’appeler « Egalité » ou « Capet », selon l’orientation des choses. Ils ont pu conserver leur nom d’apanage ; bien sûr au prix de quelques vestes qui n’ont pas manqué de se tourner, se retourner et se re-retourner mais ils l’ont gardé. A leur place j’en serais assez fier.
Leonor
7 janvier 2018 @ 14:55
Bon, dites, les copains qui vous engueulez une fois de plus sur la dénomination des France, ou Orléans, ou Vendôme, ou Machin-Chose…
Vous savez quoi ?
Dieu reconnaîtra les siens.
Paul Volodia
8 janvier 2018 @ 19:07
Chère Léonor,
Quand on sait dans quelles circonstances votre dernière phrase a été prononcée, elle apparaît comme de bien mauvais goût.
Bien à vous,
Paul Volodia.
Clément II
9 janvier 2018 @ 00:34
Ce n’est pas faux.
Laurent F
5 janvier 2018 @ 09:40
Etrange faire-part qui fait passer les deux belles-filles a la fin !
Gérard
5 janvier 2018 @ 17:36
Mais ce n’est pas discriminatoire puisque le gendre est également placé après. Par ailleurs on ne privilégie pas les fils par rapport aux filles (notamment pour les enfants du duc d’Angoulême) mais on aura voulu éviter d’écrire quatre fois prince ou princesse pour les enfants du duc de Vendôme.
Baia
5 janvier 2018 @ 18:50
Nan nan nan Gerard !
Gérard
6 janvier 2018 @ 04:01
Je ne parle pas le nan.
Bernadette
5 janvier 2018 @ 22:18
Pourquoi pas ? J’avoue que je n’y ai pas pensé ! Merci Gérard !
Leonor
5 janvier 2018 @ 10:16
Il est mort le jour de la Sainte Famille …
Laurent F
5 janvier 2018 @ 14:28
le 31 n’est pas la Saint Sylvestre chez les Orléans ?
Gérard
5 janvier 2018 @ 20:13
Rappelons que pour les Catholiques la fête du dimanche prime sur la fête du jour.
En l’espèce le 31 décembre était un dimanche et c’était le dimanche de la Sainte-Famille qui suit Noël. Le fête du jour passe donc au second plan.
Au martyrologe romain le 31 décembre est également la fête de saint Jean-François Régis qui mourut le 31 décembre 1640, on le fête également notamment le 16 juin date de son ordination en 1630.
C’est également la fête du pape saint Sylvestre Ier qui fut mis au tombeau le 31 décembre 335 à Rome au cimetière de Priscille sur la nouvelle voie Salarienne.
Mais on peut aussi fêter saint Barbatien, sainte Colombe de Sens, saint Cyriaque de Bisericani (chez les Orthodoxes),
les saints Donate, Pauline, Rustique, Nominande, Sérotine, Hilarie et leurs compagnes, martyres à Rome,
saint Festus ou Sextus, saint Gélase, sainte Mélanie la Romaine ou la Jeune, le bienheureux Alain de Solminihac, le bienheureux Garembert…
Bernadette
6 janvier 2018 @ 06:55
Merci Gérard votre commentaire est très intéressant.
Gérard
6 janvier 2018 @ 16:24
Merci à vous Chère Bernadette.
Leonor
7 janvier 2018 @ 00:11
J’ajoute au texte de Gérard que le faire-part cite expressément cette fête de la Sainte Famille :
» (…) décès survenu à Nantes le 31 décembre, en la Fête de la Sainte Famille « .
========================================================================
Par ailleurs, Gérard cite plusieurs des saints dont c’est la fête le 31 décembre en plus de St Sylvestre, liste non exhaustive ainsi que l’indiquent ses trois petits points .
A sa suite, qu’il me permette de préciser qu’il en va ainsi de quasiment tous les jours de l’année. Les calendriers des agendas , de la Poste et autres n’indiquent qu’un » saint du jour », le plus connu quoique d’ailleurs pas forcément le même selon l’éditeur .
MAIS de nombreux autres saints que ceux-là sont, chaque jour, » inscrits au martyrologe romain », donc à fêter ce jour-là.
Définition du terme « martyrologe » sur Wkpd :
» Le mot martyrologe désigne, au sens propre, un livre liturgique, recueil de brèves notices sur les saints à fêter. (…) Le terme ne signifie pas seulement « liste des martyrs », mais désigne aussi toute liste liturgique des personnages reconnus saints par l’Église, personnages qui ont « porté témoignage »note 1 de leur foi chrétienne. » Fin de citation.
Liste de ces saints :
https://nominis.cef.fr/contenus/saint/martyrologe.html
Amusez-vous bien, vous en avez pour toute la nuit, et au moins, vous saurez comment nommer votre prochain enfant !
Pour récit de la vie vraie ou légendaire ou inventée du saint en question, et date de fête, cliquer sur son nom écrit en bleu.
Gérard
7 janvier 2018 @ 12:14
En effet Leonor et à ceux-là s’ajoute la multitude des Saints que seul Dieu connaît.
Leonor
7 janvier 2018 @ 14:57
Oui, tout à fait. Et ils doivent être … sacrément … nombreux.
Bon dimanche, Gérard.
JOSEPHINE
5 janvier 2018 @ 10:29
Je suis surprise que l’on utilise le mot « décès » dans le faire part et non « rappel à Dieu » dans cette famille très chrétienne.
Gérard
5 janvier 2018 @ 17:40
C’est la famille Très Chrétienne par excellence et elle n’a pas besoin d’en rajouter.
gone
6 janvier 2018 @ 09:52
Très Chrétien, comme pour tout le monde, pour le prince François comme pour le comte de Paris, si l’on croit en Lui, c’est le Dieu des chrétiens qui en décide pas l’Histoire.
Clément II
7 janvier 2018 @ 12:30
Je suis d’accord qu’il n’est pas utile d’en faire des tonnes, nonobstant les Orléans ne sont pas plus chrétiens que d’autre chrétiens.
Leonor
7 janvier 2018 @ 00:15
Le mot » décès » dit ce qu’il veut dire, simplement. Personne n’est obligé , chrétien ou pas, croyant ou pas, pratiquant ou pas, d’écrire ces termes très convenus de » rappel à Dieu » . Chacun est libre de sa formulation, ni l’Eglise catholique ni les Eglises protestantes n’imposent rien en la matière.
Je ne crois pas que le Christ ait dit quoi que ce soit sur la manière de rédiger les faire-part de décès.
Clément II
7 janvier 2018 @ 12:31
Du temps du Christ, les faire-part (au sens large) n’existaient pas. ?
Eric
5 janvier 2018 @ 10:59
Faire-Part sobre et élégant
Mes pensées pour la famille.
Antoine
5 janvier 2018 @ 11:22
Comme l’a déjà fait remarquer Baia dans un autre post, il serait plus séant d’imprimer :
Le prince et la princesse Gundakar de et à Liechtenstein, le duc et la duchesse de Vendôme, le duc et la duchesse d’Angoulême. A moins qu’on ne veuille signifier que les conjoints n’ont d’intérêt qu’en tant que géniteurs… D’autre part, d’après le site de l’Académie française les titres, pour illustres qu’ils soient, ne prennent pas de majuscule (même si l’Académie s’en attribue une…). Certes, ce sont là des détails mais, dans un certain monde, ils sont scrutés à la loupe et en disent parfois très long.
Olivier Kell
5 janvier 2018 @ 13:44
Dans bon nombre de famille le choix est fait d’indiquer les conjoints après les membres « directs » des parents du défunt par le sang.
Baia
5 janvier 2018 @ 16:10
Non !
Mayg
7 janvier 2018 @ 16:56
Dans la plus part des familles, on parle de monsieur et madame. On ne met pas l’un avant sous prétexte que c’est lui le parent du défunt, pour ensuite mettre l’autre à la fin. Antoine et Baia ont parfaitement raison.
Christian
5 janvier 2018 @ 13:52
Oui, j’ai aussi buté sur la relégation des conjoints à leur fondement, manifestement « pratique ».
Baia
5 janvier 2018 @ 15:00
Merci Antoine !
Je ne veux pas polémiquer mais cet avis de décès est pour le moins révélateur d’une famille différente de la famille classique francaise …
Gérard
6 janvier 2018 @ 03:57
C’est-à-dire que c’est la famille royale et c’est la seule donc évidemment elle est particulièrement cette famille.
milou
6 janvier 2018 @ 09:32
C »est très vrai, une fois de plaisir, Baia, ce que vous écrivez!
ml
Clément II
7 janvier 2018 @ 12:32
Il n’y a pas de raisons, excepté celle de la vanité, de vouloir différer des autres familles.
Gérard
5 janvier 2018 @ 17:45
Tous les faire-part anciens portait les titres en majuscules. Ce n’est plus le cas dans le Figaro mais pour les faire-part envoyés par les familles à leurs amis et connaissances c’est toujours le cas.
Antoine
5 janvier 2018 @ 19:58
Gérard, je tiens à votre disposition plusieurs centaines de faire-part anciens ou récents (y compris de ducs) où le titre est en minuscule.
Gérard
6 janvier 2018 @ 13:07
Anciens Antoine, plusieurs centaines ? Vous êtes bien sûr ? Dans les anciens faire-part il y a des majuscules à presque tous les mots.
Mais aujourd’hui on peut également marquer Monsieur et Madame en minuscules comme le font certains puristes.
Charles
6 janvier 2018 @ 10:53
Il est d’usage de noter en majuscule les titres princiers et royaux.
Si on écrit le Comte de Paris, on écrira le comte de Rambuteau par exemple.
Leonor
7 janvier 2018 @ 00:30
Franchement, les amis, quand vous arriverez chez Saint Pierre, vous croyez vraiment qu’il vous va vous demander si sur les papelards terrestres on a écrit vos titres en majuscules ou minuscules …?
Dites, ho…. Euh… Redescendez sur terre ! (!)
Gérard
7 janvier 2018 @ 12:18
Oui mais ce n’est pas pour Saint Pierre que les faire-part sont écrits. Au ciel si Dieu veut nous passerons après ceux qui n’ont pas de nom et tous ceux qui sur cette terre comme François fils aîné de France, n’ont pu accomplir leur destin.
Leonor
7 janvier 2018 @ 15:03
Oui, encore une fois d’accord, Gérard.
cf. Béatitudes, Matthieu 5, 3 – 12.
Charles
5 janvier 2018 @ 11:38
Je pense très fort aujourd’hui à la Famille de France, et plus particulièrement à Madame la Duchesse de Montpensier, à ses enfants
Ghislaine-Perrynn
5 janvier 2018 @ 13:33
idem .
septentrion
5 janvier 2018 @ 11:55
On sent comme les liens sont serrés entre les frères et soeurs autour de leur frère défunt.
MARC
5 janvier 2018 @ 11:55
Je trouve étonnant que seul S.A.R. le Prince François, soit précédé par Son Altesse Royale, et pas, ses Parents, ni ses Frères et Sœurs., alors qu’ils sont tous Altesse Royale.
Cela ne m’empêche d’être en union de Prières avec la Famille Royale et avec Charles, que je salue très amicalement.
Gérard
5 janvier 2018 @ 17:39
Cela évite une certaine lourdeur.
Charles
6 janvier 2018 @ 10:31
Les prédicats d’Altesses Royales et d’Altesses Sérénissimes pour les Liechtenstein n’ont pas été pris en compte pour ne pas alourdir le carton, c’est la seule raison.
Coriante
5 janvier 2018 @ 12:09
Le prince François sera enterré le jour de la fête des rois, un très beau symbole.
Pierre-Yves
5 janvier 2018 @ 12:33
Ce faire part révéle bien des subtilités: Par exemple, que les enfants du duc d’Angoulème sont prince et princesse d’Orléans, et non de France comme le reste de la famille. Que le petit prince Joseph passe avant ses deux soeurs, alors qu’il n’est que le 4ème de la fratrie. Que les couples sont dissociés, les beau-frèe et belles soeurs (et les enfants) venant derrière leurs conjoints.
Vous le direz: ce n’est pas le moment d’ergoter, on est en plein deuil. Certes.
Mias puisque ce faire-part est ici publié, il est assez logique qu’on le commente et qu’on s’interroge sur les choix qui y sont faits.
gone
5 janvier 2018 @ 14:22
C’est comme à table, les fils avant les gendres, les filles avant les belle-filles.
Dans l’esprit de ces princes, le comte de Paris est de jure roi de France, il est donc normal que ses enfants et ceux de son Dauphin soient dits « de France »…après on peut approuver ou non…. ça occupe !!
Geoffroy
5 janvier 2018 @ 19:56
oui mais dans ce cas les enfants du duc d’Angoulême sont aussi prince « de France », étant petit-fils de France non ?
Laurent F
5 janvier 2018 @ 14:31
Mais Thérèse passe avant Pierre, allez comprendre. Exit Micaela
Gérard
6 janvier 2018 @ 03:59
Thérèse est née avant Pierre.
Luise
6 janvier 2018 @ 05:49
Mais Thérèse n’est pas dynaste.
AnneLise
6 janvier 2018 @ 08:10
Oui, mais Antoinette et Louise-Marguerite sont nées avant Joseph, non ?
Finalement tout cela n’a pas une grande importance.
Bernadette
5 janvier 2018 @ 15:22
Votre dernière phrase me rassure un peu Pierre Yves ! J’ai conscience de m’ être quelque peu emportée dans mon précédent commentaire … alors que ce n’était pas vraiment le moment d’ouvrir le débat sur le protocole…je m’ associe bien sûr de tout coeur au deuil de la famille d’Orleans….
Goélette
5 janvier 2018 @ 18:14
C’est peut-être comme çà qu’on faisait sous l’ancien régime, au temps merveilleux béni et tant regretté où régnaient les rois de France !
Leonor
7 janvier 2018 @ 00:37
Enfin… merveilleux, merveilleux…. Ca ne devait pas être si merveilleux que ça, pour les plus de 90% de Français qui étaient alors paysans, les serviteurs, les tout petits artisans, ceux qui vivotaient de tout petits métiers, et les » gueux » et misérables .
Je n’ai rien contre les rois et la royauté, mais dire que l’ancien temps , des rois ou pas, était merveilleux et béni me semble , comment dire … risible. Voilà. Risible.
Gérard
7 janvier 2018 @ 12:29
C’est une manière de parler Léonor. Les temps étaient difficiles souvent et ils l’étaient surtout pour les petits que ce soit au royaume de France ou dans les cantons suisses. Dans la plupart des pays d’Europe occidentale qui n’ont pas souvent vécu sous la dictature les conditions météorologiques, des périodes de paix, l’absence d’épidémie, faisaient l’âge d’or.
Mais souvent l’âge d’or nous semble lointain. Il y a quelques années, ou quelques dizaines d’années on pouvait croire à son retour ou à sa venue, aujourd’hui…
Pour les Afghans par exemple l’âge d’or c’était bien le temps du roi Zahir.
Goélette
7 janvier 2018 @ 18:47
Mais Léonor…Vous non plus vous ne savez pas lire le second degré !
COLETTE C.
5 janvier 2018 @ 15:12
Si les conjoints sont cités en dernier, c’est que c’est conforme.
clement
5 janvier 2018 @ 15:19
Je pense que le fait d’avoir d’abord placé en premier le père ,la mère et la fratrie montre le lien qui resserre fortement la famille autour de ce fils tant aimé ! les beau-frère et belles- soeurs ont suffisamment d’intelligence et de coeur pour céder le pas et ne sont nullement relégués au second rang….
En tous cas ,la cérémonie de samedi sera certainement très émouvante…..
Soutien et respect à la famille de France !
Gérard St-Louis
5 janvier 2018 @ 16:14
J’ose espérer que ces funérailles ne seront pas, à nouveau l’occasion de chicanes familiales mais plutôt une « Ode à la vie » quelqu’elle soit, handicapée ou non. De mon côté, j’apprécie les deuils en blanc comme il est d’usage dans la famille royale des Pays-Bas ou en Belgique (lors de la mort du roi Baudouin). Il faut célébrer la Vie. Dans le présent cas, c’est la fin des souffrances physiques de ce prince. J’apprécie que les dons soient versés aux Foyers de l’Arche de Jean Vanier.
Emily
5 janvier 2018 @ 22:39
Le blanc est d’usage pour les enfants qui n’ont pas encore atteint l’âge de raison et qui ont été baptisés. On célèbre alors – si je ne m’abuse – la messe dite des Anges.
Antoine
6 janvier 2018 @ 11:40
De nos jours, Emily, vous aurez bien du mal à trouver une paroisse conciliaire où l’on connaisse encore la messe des Anges… En revanche, vous aurez un choix étendu de ritournelles inchantables, de cantiques indigents en paroles et en musique, de sirupeuses complaintes à la gloire du doux Jésus qui doit s’être procuré depuis longtemps des boules Quiès pour échapper à toute cette miévrerie.
Bernadette
6 janvier 2018 @ 19:45
Pas d »accord Antoine….les cantiques actuels n’ont rien de ringard, du moins à mon avis….question de goût naturellement ! Et je ne vois vraiment pas JC se boucher les oreilles ! ?
.
Emily
6 janvier 2018 @ 23:08
D’accord avec vous, Antoine. La messe dite de Saint-Pie V, indubitablement ! (merci pour votre commentaire).
Leonor
7 janvier 2018 @ 15:23
Zut. NON.
Je n’aime pas non plus les chansonnettes insipides, mais de là à faire allégeance à Fellay et ses tradi, non et non.
Antoine, oh que si, on chante toujours la Messe des Anges dans une paroisse » conciliaire » comme vous dites – , et pas n’importe laquelle : la Cathédrale de Strasbourg.
Cette messe n’est pas destinée qu’aux funérailles d’enfants , pas du tout, on la chante donc très couramment. » On », c’est le Choeur de la Cathédrale. Grâce aux maîtres de chapelle, passé et présent, de grande qualité.
Dans les choeurs – et l’assemblée – , on la connaît … par coeur, à force.
Mais en voilà la partition, Missa VIII, pièce par pièce, ( grégorien) :
Kyrie : https://www.youtube.com/watch?v=O4T4BkXvSPw
Gloria : https://www.youtube.com/watch?v=Ny5s89sqf5A
Sanctus : https://www.youtube.com/watch?v=zjmrltyMJtM
Agnus : https://www.youtube.com/watch?v=RJ_ePf2Se_4
+
Credo III : https://www.youtube.com/watch?v=Ac8dnH2UPdQ
Ce n’est pas une question de tradi ou actuel, c’est une question de qualité de la musique.
AnneLise
7 janvier 2018 @ 21:16
Antoine, je crois que le Christ est capable de tout entendre, même les mièvreries si elles viennent du coeur.
Antoine
8 janvier 2018 @ 15:53
Vous avez raison, Annelise. Mais les autre fidèles ne sont pas aussi indulgents que le Christ et souffrent souvent en subissant les goûts musicaux du clergé actuel et de leurs équipes liturgiques. On ne va pas à l’église pour entendre la même musique qu’au supermarché.
Muscate-Valeska de Lisabé
5 janvier 2018 @ 17:05
Cela relève du protocole familial particulier de cette famille déchirée,souvent opposée et en concurrence. .. ça n’a pour moi pas d’importance.
Bambou
5 janvier 2018 @ 17:12
Ah, les pièces rapportées dans une famille…. Et l’épouse du Comte de Paris, elle était quand même la belle-mère du Prince François… Mais je suppose qu’on a pas voulu ajouter à la peine de la Duchesse de Montpensier…
beji
5 janvier 2018 @ 17:13
Surprise que le nom des conjoints ne figurent pas avec celui de leur époux ou épouse.
Roxane
5 janvier 2018 @ 18:43
Quelqu’un sait-il de quoi il est décédé ? Car il était quand même jeune… Le handicap dont il souffrait explique-t-il ce décès prématuré…?
Arnaud
5 janvier 2018 @ 19:07
Le prince François est mort à Nantes. Il vivait donc dans cette ville ? Sincères condoléances à la famille.
framboiz 07
5 janvier 2018 @ 21:05
La famille est réduite à sa plus simple expression, aucun Orléans, ni Würtemberg ,on eût pu ajouter ses oncles et tantes, car il en avait , pour qui ,c’est un deuil et qui doivent être proches des membres de la famille, cités ici ?
On a l’impression qu’il est pleuré par ses frères et sœurs , sa mère, ses seuls neveux .Etrange …
Quant à la princesse Micaëla ,elle doit se dire qu’elle n’a jamais été acceptée , malgré les côtés , très chrétiens de cette famille .Et , malgré le temps …
framboiz 07
5 janvier 2018 @ 21:15
Il y en avait .
Pardon !
Bernadette
6 janvier 2018 @ 06:58
La famille est trop nombreuses ! Les énumérer tous remplirait déjà toute la page…
AnneLise
6 janvier 2018 @ 08:11
Oui, framboiz mais en ce cas il eut fallu imprimer un cahier !
Gérard
6 janvier 2018 @ 13:15
Le faire-part est déjà un peu long et s’il avait fallu indiquer tous les frères et sœurs du comte de Paris (11 enfants) et de la duchesse de Montpensier (7enfants) il aurait sans doute été trop long.
framboiz 07
6 janvier 2018 @ 19:51
Simplement, ses oncles et tantes ,ça faisait une ligne …
Par délicatesse, on pouvait ajouter le Foyer de l’Arche où il résidait , car les gens, qui y travaillent , perdent quelqu’un, qui a marqué leur vie …
Gérard
7 janvier 2018 @ 10:00
On a déjà recommandé des dons.
AnneLise
7 janvier 2018 @ 11:37
Le Foyer de l’Arche était implicitement évoqué par l’appel aux dons.
Bambou
7 janvier 2018 @ 05:41
Non, mais comme dans chaque faire-part de décès, on n’indique généralement : ses oncles, tantes, cousins, cousines… sans plus !
Marie-Micheline
6 janvier 2018 @ 00:26
Ce faire part est vraiment étrange les conjoints ne sont pas mis avec la famille mais après avec leurs enfants, c’est leurs dire qu’ils ne font pas vraiment de la famille
Jakob van Rijsel
6 janvier 2018 @ 02:18
Il en est du faire-part comme de toutes choses : il évolue avec le temps, ils suffit de voir ceux que recevaient nos grands parents, nos parents puis nous-mêmes.
Certains commentaires évoquent le « protocole ». Quel protocole? Fixé par qui et quant ? Et pour combien de temps ? Etait-ce le même type de faire part pour les fils de Louis Philippe? Faudra qu’ au décès du jeune Gaston, dans 80 ou 90 ans un faire part similaire à celui-ci soit publié?
Comme à plusieurs internautes il me paraît quelque peu décalé . Personnellement quelque chose de plus simple, sans ces éclatement des familles selon d’obscures préséances byzantines et peut-être même sans les titres des frères et soeurs m’aurait semblé mieux traduire la tristesse de perdre un fils et un frère qu’on espere avoir été aimé .
Naucratis
6 janvier 2018 @ 13:00
Je suis d’accord avec vous Jacob !
Par ailleurs, ce n’est pas une altesse royale qui a été rappelée à Dieu mais un simple pêcheur. En l’occurence, François d’Orléans était sans doute moins pécheur que nous. De là où il est, cela seul compte.
Gérard
6 janvier 2018 @ 13:17
Évidemment qu’il a été aimé et oh combien, les titres n’ont rien à voir avec cela.
racyma
6 janvier 2018 @ 07:16
ce faire part ne me plait pas . il a ete long a etre publie , je dirai tout cela pour un tel resultat , je trouvais plusieurs membres de cette famille peu sympathiques , cela ne fait que conforter mon ressenti
Gérard
7 janvier 2018 @ 12:32
Voilà qui vient bien à propos Racyma pour présenter vos condoléances…
ML
7 janvier 2018 @ 21:00
J’ai du mal à voir le rapport entre un faire part et la sympathie envers une famille !
PEKI
6 janvier 2018 @ 10:33
Son père, le Comte de Paris ne s’est que très peu occupé de ses enfants, en particulier François et Blanche. La courtoisie, malgré le protocole , aurait pu faire mettre en premier La Duchesse de Montpensier, sa mère, qui elle a élevé et soutenu tous ses enfants, et plus particulièrement François et Blanche.
Charles
6 janvier 2018 @ 10:48
Le carton rédigé par la famille est plutôt sobre puisque les prédicats n’ont pas été notés sauf pour le defunt Prince François justement, peut être pour donner une importance à ce fils et à ce frère tant aimé.
La famille a manifestement voulu regrouper les quatre enfaits vivants ensemble pour montrer leur unité et leur indivisibilité.
Je tiens à préciser encore une fois que je ne connais aucune autre famille où il existait une telle unité entre les cinq enfants. Les circonstances de la vie, l’éducation donnée par la Duchesse de Montpensier et la foi des Princes sont sans doute les raisons de cette incroyable unité.
Quant à placer le gendre et les belle-filles après les enfants cela me paraît naturel.
Donc un carton classique qui respecte à la fois les usages et le protocole.
Il faut être tatillon ou plus vraisemblablement malveillant pour trouver à redire à ce carton classique qui annonce le décès d’un Prince chéri.
Celia72
7 janvier 2018 @ 11:49
Charles Actarus hier j ai eu une pensée pour vous. Mon vieil ami a été porté en terre. Il était bon joyeux courageux. Dans l amour de ses enfants et de Dieu. En entrant dans l église quand j ai vu le cercueil portés par ses fils et petits fils mon coeur à chaviré. De pensées avec vous
Jackie
6 janvier 2018 @ 11:08
La princesse Blanche n’est-elle pas Mademoiselle de Valois ?
Gérard
6 janvier 2018 @ 16:30
Le choix de cette appellation n’a pas fait l’unanimité. Il partait d’un bon sentiment néanmoins.
Jackie
7 janvier 2018 @ 10:04
Dommage Gérard car Duc de Vendôme et Duc d’Angoulême n’ont pas fait débat.
Mais comme le dit Jean-Pierre plus bas, cela n’a pas d’importance. Je souhaite à la princesse Blanche de France, d’Orléans ou de … Valois de vivre paisiblement et au prince François de reposer en paix.
Pascal
6 janvier 2018 @ 11:26
J’ai découvert un jour que les titulatures étaient plus changeantes et fantaisistes que je ne le pensais avec en plus de grandes variétés d’usage selon les pays.
Ainsi un authentique comte expliquant un jour que en France le titre était souvent soumis au souhait de celui qui le revendiquait , au moins dans les dernières décennies de la monarchie .
Ce qui importait c’était les quartiers de noblesse et la famille à laquelle on se rattachait .
A par ça si vous étiez admis pour être présenté au Roi on vous demandait sous quel titre vous souhaitiez l’être , baron ou marquis peu importe encore devait-il falloir montrer une certaine décence…
Ca ressemble un peu à mes yeux aux nominations d’évêques « in partibus » .
Cependant il me semble que les titres les plus prestigieux (ceux de duc , les titres attachés aux princes du sang) ne suivaient pas cette règle…
Au Royaume Uni en revanche je crois que c’est le titre qui traverse les siècles passant d’une famille à une autre sans nécessaire lien de parenté.
Avec en plus ce détail charmant des créations dans telle ou telle pairie.
J’avoue préférer la manière française à défaut d’en connaître d’autres que ces deux là.
J’ai mis aussi longtemps à découvrir l’origine de la distinction « de Bavière » et « en Bavière » mais j’ignorais » de et à Liechtenstein » .
Peut on m’éclairer ?
Gérard
6 janvier 2018 @ 17:47
C’est plus compliqué que cela. Être admis aux honneurs de la cour c’est-à-dire être officiellement présenté au roi nécessitait la preuve d’une certaine qualité de noblesse (en principe une noblesse remontant à l’année 1400 sauf dispense) et les familles présentées pouvaient sans lettres patentes en ce sens, avoir un chef qui était considéré comme un marquis.
Vous avez raison le seul titre qui comptait vraiment était celui de duc.
Les évêques in partibus infidelium n’étaient pas des sous-évêques mais des évêques qui par exemple étaient trop vieux pour exercer encore leurs fonctions et auxquelles on donnait un titre, celui d’un diocèse qui était dépeuplé ou qui était passé aux Infidèles. Aujourd’hui on parle à cet égard d’évêques émérites. On peut donner aussi ce titre à des personnalités qui sont sacrées évêques mais qui par exemple servent à Rome. Aujourd’hui on parle cependant d’évêques titulaires.
Au Royaume-Uni et surtout en Angleterre la succession des titres est masculine (en Écosse il peut en être un peu autrement). Mais lorsqu’un titre s’éteint le souverain peut le recréer pour une autre famille ou pour des descendants de la première.
Certains se battent actuellement pour que les titres en cas d’extinction d’une famille en ligne masculine puissent être transmis à une femme, la plus proche du dernier titulaire. Ce n’est pas cependant un sujet d’une actualité brûlante.
Les pairies existaient en France, au Royaume-Uni et en Sicile et ceux qui en étaient revêtus siégeaient donc à la chambre haute du Parlement. De même sans être pairs certains titrés germaniques par exemple siégeaient à la Chambre des seigneurs de leur État.
Il existe des pairies d’Angleterre, d’Écosse, d’Irlande, de Grande-Bretagne ou du Royaume-Uni, selon leur date de création ou leur provenance.
Un duc en Bavière est un peu inférieur au duc de Bavière qui régnait sur cet État. C’était le titre de branches cadettes dont la dernière était celle du père et des frères de l’impératrice Élisabeth d’Autriche. Après l’extinction de celle-ci le titre fut hérité par une branche cadette de la famille royale et il est donc porté aujourd’hui par le frère cadet du chef de la maison royale mais ce duc on le sait n’a que des filles.
En principe von und zu (de et à) signifie qu’une famille est originaire d’un lieu (von) et qu’elle continue d’être le possesseur de ce lieu (zu).
En l’espèce c’est la principauté qui prit le nom de son seigneur.
Ce que vous dites est très intéressant mais il faudrait des pages et des pages pour vous répondre.
Leonor
7 janvier 2018 @ 15:26
Plus le temps aujourd’hui, mais vais vous lire avec attention dès que possible, Pascal et Gérard.
Pascal
7 janvier 2018 @ 18:28
Merci Gérard !
Oui c’est très compliqué mais vous avez fait une synthèse remarquable .
J’avais du lire plus d’une fois » von und zu » sans connaître la signification exacte mais je n’avais pas vraiment fait le lien avec « de et à Liechtenstein » .
beji
6 janvier 2018 @ 13:23
Bernadette,en réaction à votre premier commentaire,ce n’est pas que le président n’a pas pu faire le signe de croix mais c’est qu’il n’a pas voulu le faire puisqu’il l’avait esquissé,laïcité ou pas,je trouve cela lâche.
AnneLise
7 janvier 2018 @ 21:19
Oui, beji, mais quelle levée de boucliers des Libres Penseurs et des tenants d’une laïcité pure et dure s’il l’avait fait !
En revanche, j’attends de lui qu’il ne mette pas la kipa s’il va à la synagogue et qu’il ne participe pas à une rupture du jeûne pendant le Ramadan
AnneLise
7 janvier 2018 @ 21:21
Oui, beji, mais quelle levée de boucliers des Libres Penseurs et des tenants d’une laïcité pure et dure s’il l’avait fait !
En revanche, j’attends de lui qu’il ne mette pas la kippa s’il va à la synagogue et qu’il ne participe pas à une rupture du jeûne pendant le Ramadan
Sinople
6 janvier 2018 @ 13:54
En ce moment précis, nos pensées et nos prières vont à la famille de France et tout particulièrement à Madame la duchesse de Montpensier.
Ghislaine-Perrynn
6 janvier 2018 @ 14:28
Ce Samedi – 14 H 30 – En union de pensées
gone
6 janvier 2018 @ 15:04
En 1894, à la mort du comte de Paris, son fils le duc d’Orléans adressa à tous les souverains d’Europe le texte suivant que je cite de mémoire:
Sire,
J’ai l’honneur de faire part à Votre Majesté de la perte cruelle que vient d’éprouver la Maison de France en la personne de son chef, Philippe comte de Paris.
En cette douloureuse circonstance je prie Votre Majesté de bien vouloir accorder à la Maison de France sa très haute sympathie.
Philippe, duc d’Orléans.
gone
8 janvier 2018 @ 13:37
…et de bien plus ancienne que l’affaire Dreyfus ! comme dirait monsieur Trump je suis un génie de la mémoire !
Jean Pierre
6 janvier 2018 @ 16:24
Le faire part est un peu foutraque quand même.
L’état civil des personnes n’est pas cité. On affiche des titres de courtoisie au détriment du nom de famille.
On oublie…ou pas…des membres de la famille.
Mais cela n’a pas vraiment d’importance.
Cela montre quand même que le prétendant n’a ni secrétariat, ni cabinet et encore moins de chancellerie et qu’il est bien seul pour accomplir ce qu’il considère être sa mission.
Cher Gèrard, Jean aurait tout à gagner à vous avoir à ses côtés comme conseiller et porte parole.
Gérard
7 janvier 2018 @ 12:33
Vous remarquerez que dans tous les faire-part que ce soit en France ou en Belgique lorsqu’il y a des titres les titres sont indiqués plutôt que les patronymes. Nous ne sommes pas à la poste.
Mary
7 janvier 2018 @ 03:31
Paix à son âme , c’est tout.
Quelle importance , le faire- part ? Un chrétien a rencontré son créateur . Le reste ,´c’est du vent .
Naucratis
7 janvier 2018 @ 09:39
C’est en termes différents ce que j’ai voulu écrire un peu plus haut. Heureux de vous retrouver sur ce point.
J’en profite pour vous souhaiter, Mary, une belle et heureuse année 2018.
Mes vœux s’adressent évidemment à tous les lecteurs de N&R !
Mary
8 janvier 2018 @ 12:50
Cher Naucratis,
Très bonne année à vous aussi !
J’avais laissé un message ( un peu paresseux,il est vrai ) dans la rubrique Meilleurs Vœux ( ou Bonne Année ) dans lequel je souhaitais la bonne année à tous en adressant une bise à tous mes favoris ( cf. mes voeux dans la rubrique Joyeux Noël ): vous aviez donc une bise qui se baladait sur le web !
J’espère que vous lirez ce message et qu’elle arrivera ainsi à destination…
Gérard
7 janvier 2018 @ 12:34
Vous avez dit ce qu’il fallait Mary.
Mary
8 janvier 2018 @ 12:54
Merci Gérard.
Michael
7 janvier 2018 @ 08:55
http://www.lechorepublicain.fr/dreux/people/2018/01/06/ferveur-populaire-a-dreux-avant-les-obseques-du-prince-francois-dorleans_12690960.html
très bel article, je recommande la lecture..