Un an après la disparition de son fils le prince Ali Reza d’Iran, l’impératrice Farah a pu concrétiser son souhait de mettre en place une fondation qui viendra en soutien aux étudiants souhaitant entamer ou poursuivre des études en Histopiore de l’Iran ancien à l’université de Harvard. Voici le message d’introduction sur le site de la fondation : « Prince Alireza Pahlavi nous a quitté le 4 Janvier 2011. Au moment où il a étudié pour son doctorat à l’Université Harvard. On se souviendra toujours comme notre bien-aimé, notre ami, le digne fils de l’Iran et distingué le prince d’Iran.
Fondée fin décembre par Sa Majesté Impériale Farah Pahlavi Shahbanou, la Bourse est un mémorial pour son bien-aimé fils, Alireza Pahlavi, un homme ayant vécu le meilleur et le pire de l’Iran et dont la vie a été animée par un amour durable pour la terre de ses pères. Pour le prince Alireza, l’histoire riche et profonde de l’Iran ont formé une source infinie et convaincante de l’érudition. Dans les langues, la musique et la culture de son pays natal, il a trouvé sa vraie passion et vocation, non seulement dans ses études, mais dans le tissu de sa vie quotidienne. Dans cet esprit continue, la Fondation va offrir aux générations futures de jeunes Iraniens l’occasion d’assister à l’Université Harvard et – avec l’engagement et la fierté – de transformer l’histoire ancienne de leur pays dans un testament de vie dynamique et pour le monde moderne. »
Pour plus d’informations sur la Fondation, cliquez ici. (Merci à Marie Françoise – Copyright photo : DR)
jul
5 janvier 2012 @ 07:30
Magnifique
pierre-yves
5 janvier 2012 @ 10:37
Probablement pour L’impératrice une manière de chercher à dépasser l’indicible souffrance d’avoir perdu un deuxième enfant.
Ceci dit, je ne trouve pas que la « profession de foi » de cette nouvelle fondation soit exprimée de façon vraiment claire, mais peut-être est-ce lié à des problèmes de traduction.
aubert
5 janvier 2012 @ 19:51
Il faut l’espérer Pierre-Yves d’autant plus que l’ex-impératrice connait bien le français.Ce doit être une traduction..Google.
Véronque Y
5 janvier 2012 @ 11:54
Même dans son malheur l’impératrice pense tout le temps aux autres, elle a vraiment une bonté en elle qui restera toujours dans son aura.
Caroline
5 janvier 2012 @ 13:35
Farah d’Iran a trés bien fait de se consoler ‘au minimum’ en créeant une belle fondation culturelle en mémoire de son fils tragiquement décéde!Hélas,elle ne s’en remettra jamais!Le temps passe mais n’efface pas la souffrance!
*gustave
5 janvier 2012 @ 15:25
Histopiore ??
Livia
5 janvier 2012 @ 19:32
Cette femme a une dignité et un courage énormes!Quel exemple!La traduction est détestable mais merci pour l’info.
erwan
6 janvier 2012 @ 02:07
C’est donc une bourse pour les étudiants Iraniens déjà en exil et n’ayant pas connu l’Iran. Heureuse initiative si Harvard s’ouvre à la culture iranienne sans trahir l’histoire de l’Iran. Mais je n’ai peut-être pas tout compris.
Honorade
6 janvier 2012 @ 12:57
La création de cette Fondation est une excellente idée, alliant à la fois le souvenir du prince Alireza et l’aide à des étudiants méritants.