Il reste un autre musée du parfum à Paris, appartenant à Fragonard dans le quartier de l’Opéra Garnier , mais c’est triste – et incroyable à Paris ,quand même – la fermeture d’un lieu de culture .
On commence à fermer des musées…..
Je crains que ce ne soit qu’un lent début
Histoire de s’y habituer
Comme on ferme les eglises puis on les détruit
Ou on les vend etc…….
Après seulement un an et demi d’existence, c’est triste. Projet trop ambitieux? c’est plutôt une niche. Il existe aussi beaucoup de sites internet qui propose des morceaux d’Histoire de la Parfumerie. Merci d’ailleurs à une intervenante sur N&R d’avoir mis un lien vers un site sur Guerlain.
L’entrée était peut être un peu chère pour une visite (même ludique) en famille.
L’hôtel particulier reste cependant splendide. L’ancienne maison de couture Christian Lacroix y était située.
J’aurais bien aimé le visiter, il reste en effet le musée près de l’Opéra et aussi en particulier à Grasse le Musée international de la Parfumerie, ou bien encore Fragonard, Galimard et Molinard qui ouvrent leurs portes au public et proposent des visites guidées gratuites afin d’expliquer les procédés de fabrication du parfum. Il y est possible de créer soi-même son parfum ou son eau de toilette et de participer à toutes les étapes de sa fabrication allant du ramassage de fleurs à la mise en flacon du parfum.
Le parfum est une fleuron de l’industrie de luxe française et fait parti de notre culture.
Quelle tristesse de voir fermer définitivement une partie de notre patrimoine culturel.
Cette bâtisse magnifique va faire sans aucun doute les affaires des affairistes de l’immobilier. Un souhait : qu’elle ne tombe pas sous un pavillon étranger … mais il est à craindre que cela ne soit qu’un vœu pieux.
Ce musée hélas n’aura tenu qu’un an et demi mais il existe un autre musée du parfum à Paris dans le quartier de l’opéra, celui de Fragonard.
Il n’y a pas eu suffisamment de visiteurs. Le musée était soutenu par les instances professionnelles du parfum.
Il s’était installé dans l’ancien siège de la maison Christian Lacroix au 73 de la rue du Faubourg-Saint-Honoré en l’hôtel Roederer qui a une façade sur la rue et une façade entre la cour et un grand jardin et qui est du milieu du XVIIIe siècle.
Cet hôtel en effet fut habité de 1834 à 1865 par Antoine-Marie baron Roederer (1782-1865), qui fut auditeur au Conseil d’État puis préfet du département du Trasimène, économiste et jurisconsulte réputé, il fut fait baron d’Empire le 11 juin 1810 et pair de France sous Louis-Philippe en 1845. Il était le second fils de Pierre-Louis Roederer (1754-1835), comte de l’Empire en 1808, ministre des Finances de 1808 à 1810 puis secrétaire d’État du grand-duché de Berg de 1810 à 1813.
L’hôtel avait précédemment été occupé nous dit-on par Bon-Adrien Jannot de Moncey, duc de Conegliano, maréchal de France (1754-1842) dont on sait par ailleurs qu’il habita un autre hôtel de la même rue acheté en 1808 et vendu en 1815 puis démoli pour l’ouverture en 1847 de la rue du Cirque alors de Joinville qui a eu lieu à hauteur du 63 de la rue du Faubourg-Saint-Honoré.
Très surprenant, il me semble qu’il avait pourtant ouvert il y a peu, environ 2 ans !
Qu’est-ce qui s’est passé ? Manque de rentabilité car pas de visiteurs ? De communication pour y faire venir plus de monde ?
Il était pourtant bien conçu, didactique et très interactif, on y apprend une foule de choses sur les senteurs, le cerveau, les fragrances utilisées en parfumerie… Il y a notamment un orgue à parfum très agréable et intéressant.
Le château de Chamrrolles offre une visite très intéressante sur l histoire du parfum et de l hygiène. Avec de magnifiques jardins.
C est dans la Cosmetic Valley. ( Loiret, Eure &Loir) qui regroupe la majorité des parfumeurs,
C est au nord d Orléans à 100km de Paris.
Le lieu qui ferme avait été ouvert avec forme publicité par l industrie des parfums
Une grande perte. Pourquoi les grandes maisons n ont pas soutenu ce musee. Il etait tres interessant. Il est vrai, que maintenant, leurs mecenats s est elargi, Dior a Versailles par exemple,.mais le parfum francais Haute Coutune est unique. Il fait partie du patrimoine.
framboiz 07
8 juillet 2018 @ 02:46
Il reste un autre musée du parfum à Paris, appartenant à Fragonard dans le quartier de l’Opéra Garnier , mais c’est triste – et incroyable à Paris ,quand même – la fermeture d’un lieu de culture .
Baboula
8 juillet 2018 @ 09:27
Je ne savais même pas qu’il existait,alors que Fragonard,lui, affirme sa présence.
La communication est indispensable à la survie.
Pierre-Yves
8 juillet 2018 @ 10:34
Certains ferment et d’autres ouvrent. Il y en a aussi qui, modestes, reçoivent trop peu de subventions et de visiteurs pour survivre. Ainsi va la vie.
Sylvie Vailland
8 juillet 2018 @ 05:21
Pour quelles raisons ?
Merci
Denis
8 juillet 2018 @ 13:37
Sans doute le manque de fréquentation !
Haut-Landaise
8 juillet 2018 @ 15:51
Il n’est plus « au parfum » ! HL
L'Alsacienne
8 juillet 2018 @ 18:00
Sans doute pas assez de visiteurs, frais de fonctionnement trop lourds, pas rentable.
JAusten
8 juillet 2018 @ 08:49
AH ? Mais pourquoi ? Pour que les générations à venir n’apprennent jamais qu’il y a un jour eu des parfums avec des vraies fleurs :) ?
Francois
8 juillet 2018 @ 09:44
On commence à fermer des musées…..
Je crains que ce ne soit qu’un lent début
Histoire de s’y habituer
Comme on ferme les eglises puis on les détruit
Ou on les vend etc…….
Marie
8 juillet 2018 @ 10:18
Oui moi aussi je voudrais en connaître la raison. Merci.
septentrion
8 juillet 2018 @ 10:55
Après seulement un an et demi d’existence, c’est triste. Projet trop ambitieux? c’est plutôt une niche. Il existe aussi beaucoup de sites internet qui propose des morceaux d’Histoire de la Parfumerie. Merci d’ailleurs à une intervenante sur N&R d’avoir mis un lien vers un site sur Guerlain.
L’entrée était peut être un peu chère pour une visite (même ludique) en famille.
L’hôtel particulier reste cependant splendide. L’ancienne maison de couture Christian Lacroix y était située.
J’aurais bien aimé le visiter, il reste en effet le musée près de l’Opéra et aussi en particulier à Grasse le Musée international de la Parfumerie, ou bien encore Fragonard, Galimard et Molinard qui ouvrent leurs portes au public et proposent des visites guidées gratuites afin d’expliquer les procédés de fabrication du parfum. Il y est possible de créer soi-même son parfum ou son eau de toilette et de participer à toutes les étapes de sa fabrication allant du ramassage de fleurs à la mise en flacon du parfum.
ET 45
8 juillet 2018 @ 11:26
Le parfum est une fleuron de l’industrie de luxe française et fait parti de notre culture.
Quelle tristesse de voir fermer définitivement une partie de notre patrimoine culturel.
June
8 juillet 2018 @ 11:42
Triste, pourquoi ?
laure2
8 juillet 2018 @ 12:01
Dommage . Il y a également le château de Chamerolles qui propose également un circuit sur ce thème.
Patricia
8 juillet 2018 @ 12:04
Dommage. ..
Danielle
8 juillet 2018 @ 12:16
Je n’ai jamais visité ce musée et c’est dommage qu’il ferme.
claude-Patricia
8 juillet 2018 @ 13:27
Pourquoi??? Le parfum est notre vitrine dans le monde!!
Le bâtiment a peut-être besoin de modernité, qui sait!! Quel dommage…
marie
8 juillet 2018 @ 13:36
c’est incroyable…..çà va très très bien en France….
particule
8 juillet 2018 @ 14:44
Cette bâtisse magnifique va faire sans aucun doute les affaires des affairistes de l’immobilier. Un souhait : qu’elle ne tombe pas sous un pavillon étranger … mais il est à craindre que cela ne soit qu’un vœu pieux.
Gérard
8 juillet 2018 @ 15:50
Ce musée hélas n’aura tenu qu’un an et demi mais il existe un autre musée du parfum à Paris dans le quartier de l’opéra, celui de Fragonard.
Il n’y a pas eu suffisamment de visiteurs. Le musée était soutenu par les instances professionnelles du parfum.
Il s’était installé dans l’ancien siège de la maison Christian Lacroix au 73 de la rue du Faubourg-Saint-Honoré en l’hôtel Roederer qui a une façade sur la rue et une façade entre la cour et un grand jardin et qui est du milieu du XVIIIe siècle.
Cet hôtel en effet fut habité de 1834 à 1865 par Antoine-Marie baron Roederer (1782-1865), qui fut auditeur au Conseil d’État puis préfet du département du Trasimène, économiste et jurisconsulte réputé, il fut fait baron d’Empire le 11 juin 1810 et pair de France sous Louis-Philippe en 1845. Il était le second fils de Pierre-Louis Roederer (1754-1835), comte de l’Empire en 1808, ministre des Finances de 1808 à 1810 puis secrétaire d’État du grand-duché de Berg de 1810 à 1813.
L’hôtel avait précédemment été occupé nous dit-on par Bon-Adrien Jannot de Moncey, duc de Conegliano, maréchal de France (1754-1842) dont on sait par ailleurs qu’il habita un autre hôtel de la même rue acheté en 1808 et vendu en 1815 puis démoli pour l’ouverture en 1847 de la rue du Cirque alors de Joinville qui a eu lieu à hauteur du 63 de la rue du Faubourg-Saint-Honoré.
giha
8 juillet 2018 @ 16:29
vendu au Quatar??????????
MIKA
8 juillet 2018 @ 20:58
Encore du patrimoine qui sera vendu au plus offrant ? ☹️
Baboula
10 juillet 2018 @ 12:30
C’est le musée qui ferme ,on ne parle pas de vente des murs . Placé à cet endroit il doit être loué à prix d’or .
bételgeuse70
9 juillet 2018 @ 09:15
La question serait plutôt : que va-t-on en faire ? J’imagine que les promoteurs ont déjà sorti les crocs.
ambre
9 juillet 2018 @ 10:06
Très surprenant, il me semble qu’il avait pourtant ouvert il y a peu, environ 2 ans !
Qu’est-ce qui s’est passé ? Manque de rentabilité car pas de visiteurs ? De communication pour y faire venir plus de monde ?
Il était pourtant bien conçu, didactique et très interactif, on y apprend une foule de choses sur les senteurs, le cerveau, les fragrances utilisées en parfumerie… Il y a notamment un orgue à parfum très agréable et intéressant.
Actarus
9 juillet 2018 @ 11:02
Paris est devenue une ville puante ! ^^ Cf. les rats qui courent dans les rues, cadeau de Mme Hidalgo.
Il y avait donc un conflit d’odeurs en la défaveur du musée. ;-)
L’autre hypothèse est qu’il a été acheté par l’émir du Qatar pour en faire une résidence tertiaire voire quaternaire.
giha
10 juillet 2018 @ 23:20
hé oui les loups avaient envahi Paris et maintenant ce sont les rats, d’ailleurs ce sont peut être les deux……
Martine un
9 juillet 2018 @ 14:48
Le château de Chamrrolles offre une visite très intéressante sur l histoire du parfum et de l hygiène. Avec de magnifiques jardins.
C est dans la Cosmetic Valley. ( Loiret, Eure &Loir) qui regroupe la majorité des parfumeurs,
C est au nord d Orléans à 100km de Paris.
Le lieu qui ferme avait été ouvert avec forme publicité par l industrie des parfums
Xenia
9 juillet 2018 @ 23:26
Une grande perte. Pourquoi les grandes maisons n ont pas soutenu ce musee. Il etait tres interessant. Il est vrai, que maintenant, leurs mecenats s est elargi, Dior a Versailles par exemple,.mais le parfum francais Haute Coutune est unique. Il fait partie du patrimoine.