L’archiduc Karl et l’archiduchesse Francesca d’Autriche organisent un week-end à Séville en l’honneur de leurs trois enfants l’archiduc Ferdinand Zvonimir, l’archiduchesse Eleonore et l’archiduchesse Gloria, informe le blog espagnol Vanitatis. Au programme une soirée à la Casa Pilatos louée pour l’occasion au duc de Ségorbe ainsi qu’un match de polo. (Copyright photo d’archives : Hola)
JAY
13 juin 2015 @ 09:27
Ils se tiennent la main ou c est une vieille photo? Ils sont séparés depuis 10 ans au moins. Que d hypocrisie !
Trianon
13 juin 2015 @ 11:48
on se calme!! avant de tirer à boulets rouges, renseignez vous…c’est une vieille photo!
et par ailleurs, je connais des parents divorcés qui savent encore organiser des choses ensemble avec leurs enfants, pour leur faire plaisir, sans que cela ne soit de l’hypocrisie…
sortez de vos préjugés 5 minutes!
JAY
13 juin 2015 @ 15:38
Je le redis c est une totale hypocrisie sils se tiennent la main pour les média aujourd’hui. Elle vient en Jamaïque plus de 6 mois de l Annee et lui avec qd un d autre !
Laurent F
13 juin 2015 @ 09:59
N’est-ce pas une photo qui date du mariage de Felipe ou Frédérick en 2004 ? Je me souviens de la robe !
Régine
13 juin 2015 @ 10:01
De Felipe
ML
13 juin 2015 @ 12:55
Elle est difficile à oublier !
Corsica
13 juin 2015 @ 10:24
Un autre couple séparé qui a l’intelligence de se rappeler que même lorsque l’on ne s’aime plus, on reste toujours des parents ! J’aime ceux qui, pour le bien de leurs enfants, sont capables de gérer harmonieusement leur séparation .
aubert
13 juin 2015 @ 10:37
Corsica vous nous gratifiez toujours de commentaires pleins de sagesse et de bon sens.
Corsica
14 juin 2015 @ 18:23
Aubert, merci pour le compliment . Il est apprécié .
Trianon
13 juin 2015 @ 11:49
voilà!! tout à fait de votre avis
Nania
13 juin 2015 @ 12:32
En total accord avec vous, Corsica!
Francine du Canada
13 juin 2015 @ 13:07
Je pense comme vous Corsica; lorsqu’on a des enfants, on ne peut se permettre d’être égoïstes, il faut trouver des terrains d’entente et agir pour le bien des enfants et si on ne peut le faire, il faut confier ça à un médiateur. Amitiés, FdC
marielouise
13 juin 2015 @ 13:26
Très juste Corsica…
Zeugma
13 juin 2015 @ 11:30
La casa de Pilatos est un des plus beaux endroits de Séville.
(De mon temps, le palais des duc de Medinaceli ne pouvait se visiter que le jeudi matin ; ça a peut-être changé.)
A l’occasion de ce reportage, j’ai jeté un œil sur « wikipedia » et découvert que le nom faisait référence à Ponce Pilate ….. (Chacun connaît l’expression « lavarse las manos como Pilato »).
Mais alors pourquoi y a-t-il un « s » à « Pilatos » ?
j21
13 juin 2015 @ 17:37
J’ai visité la casa de Pilatos , il y a deux mois et ce n’était pas un jeudi matin. Je suppose que le palais est ouvert tous les jours. L’entretien de ce bâtiment semble énorme et les propriétaires ont certainement besoin des droits d’entrée quotidiens.
Je confirme que ce palais est splendide et qu’il ne faut pas rater sa visite quand on passe du temps à Séville.
Gérard
15 juin 2015 @ 18:06
Ponce Pilate en espagnol donne Poncio Pilato ou Poncio Pilatos (cette dernière version concernant plus la marque du latin Pontius Pilatus).Le palais qui est très largement ouvert en effet appartient à la Fondation de la maison ducale de Medinaceli et géré par le duc de Segorbe, fils cadet de la défunte duchesse de Medinaceli, et son épouse née princesse Maria da Gloria d’Orléans et Bragance, qui est comme on le sait la mère des princes de Serbie.
Le duc est l’un des frères et le seul frère vivant de la défunte Ana de Medina y Fernández de Córdoba, 12e marquise de Navahermosa, décédée le 7 mars 2012, leur sœur aînée, qui avait épousé en premières noces le prínce Maximiliano von Hohenlohe-Langenburg. Et c’est donc depuis 2014 son fils son altesse sérénissime le prince Marco de Hohenlohe-Langenburg y Medina qui est le 19e duc de Medinaceli, grand d’Espagne.
Zeugma
16 juin 2015 @ 09:24
Gérard, Vous êtes formidable ! Merci pour ces informations …..
j21
13 juin 2015 @ 11:34
Quelle belle idée! Heureux enfants! Séville est ma ville de villégiature préférée.
Gustave de Montréal
13 juin 2015 @ 12:00
pas de corrida ?
jo de st vic
13 juin 2015 @ 12:15
Absolument Corsica, d autant plus que je ne crois pas qu ils soient remariés…..
clement
13 juin 2015 @ 13:33
dommage que ce couple soit séparé ,ils étaient tellement beaux lors de leur mariage….je me souviens que l’archiduchesse avait dit qu’elle avait enfin trouvé une famille quand elle est entrée dans la famille Habsbourg !
jo de st vic
13 juin 2015 @ 13:34
Evidemment qu ils ne sont pas remariés, puisqu ils ne sont pas divorcés-
racyma
13 juin 2015 @ 13:40
dommage que la photo soit ancienne.j aurai aime voir ce retour de flammes
kalistéa
13 juin 2015 @ 13:54
Et pas mêm une petite corrida ?
Mary
13 juin 2015 @ 14:10
Toujours mariés,aucun des deux n’a retrouvé un compagnon?
jo de st vic
13 juin 2015 @ 15:34
Clement, entrée dans la famille c est vite dit…l archiduchesse Regina était contre, Otto n était vraiment pas emballé, l archiduc Georges se voyait l heritier…
Anne-Cécile
15 juin 2015 @ 05:33
Régina était fille d’un nazi convaincu, l’éducation de Régina et ses frères a bien été impactée, il me semble qu’elle aurait du recevoir sa belle-fille avec la même amabilité que les Habsbourg l’ont accueillie et lui donner quelque crédit.
clement
13 juin 2015 @ 17:54
je cite simplement ce qu’avait dit l’archiduchesse lors de son mariage !!!
framboiz07
14 juin 2015 @ 01:05
Je trouve déplacé d’aller narguer les Espagnols en pleine crise ,avec en plus , un match de polo!!! Evidemment , ça fera rentrer de l’argent en Espagne , mais c’est quand même de la provocation pure & simple .S’ils se ramassent des tomates sur leurs Rolls , qu’ils ne se plaignent pas…
Gérard
14 juin 2015 @ 11:01
L’Espagne est en crise comme la plupart des pays d’Europe mais une soirée et une rencontre sportive ne feront pas les unes de la presse et ne révolteront pas le pays. Ne pas oublier malgré l’adversité l’amour de la fête, de la famille et de l’amitié des Espagnols qui demeure et est peut-être accru par la crise. Et les Espagnols savent l’importance du tourisme pour le pays, et du sport , golf, polo, etc. Enfin les fêtes ils en ont l’habitude surtout en Andalousie ou aux Baléares et de plus décadentes.
jo de st vic
15 juin 2015 @ 08:31
Anne Cecile, Regina de Saxe a perdu son pére a 20 ans, son jeune frére est mort au combat a 20 ans, son autre frére est entré dans les ordres. Elle était infirmiére quand elle a rencontré Otto. Descendante de la soeur de la reine Victoria, cousine de Beatrix…Zita de Habsburg était ravie de l accueillir comme belle fille….Fransiska Thissen dont le grand pére avait contribuer a financer la montée du part nazi, semblait une roturiére pour Otto et Regina…
ML
15 juin 2015 @ 20:18
Je trouve consternant que certains jettent l’anathème sur leurs semblables avec cette affirmation sujette à caution :le père n’est pas blanc comme neige ,donc les enfants sont à exclure ! Navrant !
jo de st vic
16 juin 2015 @ 06:49
Ml…Je repondais a Anne Cecile le prince de Saxe Menningen était au parti nazi, comme le grand pére Thyssen de Franceska….cela n a rien a voir avec les enfants….ni avec une quelconque exclusion ….
ML
22 juin 2015 @ 09:35
Veuillez m’excuser, ma réflexion s’adressait à Anne-Cécile ,je trouve agaçant qu’on mette sur le tapis les opinions des parents ,en prétendant qu’elles ont impacté celles des enfants .Ce qui est loin d’être toujours le cas ! Et,je crois que c’est plutôt la vie menée par la baronne Franceska qui gênait l’archiduc Otto et son épouse ,beaucoup plus classiques .
Anne-Cécile
22 juin 2015 @ 15:41
Mais je suis d’accord avec vous, les enfants n’ont pas à porter les fautes de leurs ascendants. Mais quitte à s’inquiéter de l’éducation de Francesca pourquoi ne pas s’être inquiété de l’éducation de Regina?
De toute façon Regina ne pouvait professé de théories fascistes sinon elle n’aurait jamais épousé Otto, farouchement antifasciste et engagé contre pendant la guerre.
Mais je les trouve toutes deux, belle-mère et belle-fille quoique très différentes, tout à fait estimables.
Elles n’ont rien fait de répréhensible de leur vie.