La princesse Amelie, Anastasia, Sylvia, Alexandra, Ruth, Elisabeth de Lowenstein-Wertheim-Freudenberg est née le 15 août 1990 à Wertheim. Elle est le deuxième enfant du prince Ludwig (1951), chef de la famille princière. Le prince Ludwig a épousé en 1976 Verena con Stülpnagel (1952-1985).
Après son veuvage, il s’est remarié en août 1987 avec la comtesse Elisabeth von Walburg-Wolfegg-Waldsee (1952) avec qui il a eu trois enfants : Sophie (1988) mariée au comte Constantin Fugger von Babenhausen, Amelie (1990) et Ludwig (1994).
Ici, la princesse Sophie lors de son mariage, coiffée du diadème familial en diamants et émeraudes.
Benedikt Schmid von Schmidsfelden est le fils de Wieland Schmid von Schmidsfelen et de Elisabeth von Lennkh zu Burgheim. Le mariage est annoncé pour le 29 mai 2021, peut-être au château familial. Cliquez ici pour plus d’informations. (merci à Ludovina – Source : Eurohistory)
Bambou
9 juin 2020 @ 07:22
Joli château. Ces mariées d’Allemagne ou d’Autriche m étonnement toujours par leurs tenues…Sophie n’échappe pas à la règle…
Gérard
9 juin 2020 @ 19:24
Elle n’aura pas papillonné longtemps.
Ludovina
9 juin 2020 @ 07:36
Merci par avance à celle ou celui qui pourra nous donner des informations concernant cette princesse Désirée née et décédée le 17/01/1982 (est-elle l’enfant de Verena, comme on pourrait le supposer puisque enterrée avec elle ?).
https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Verena-loewenstein-wertheim-freudenberg.JPG
Gérard
10 juin 2020 @ 18:05
Et oui vous avez raison Ludovina on ne voit nulle part dans les généalogies la présence de cette petite fille qui mourut le jour de sa naissance le 17 janvier 1982, Désirée. Elle est vraisemblablement en effet la fille de Ludwig de Löwenstein-Wertheim-Freudenberg qui devint prince (Fürst) en 2010 et qui est né en 1951 et avait épousé en 1976 Verena von Stülpnagel née le 30 janvier 1952 et décédée le 26 octobre 1985 et celle-ci fut donc princesse héritière.
Après sa mort en 1987 il épousa la comtesse Elisabeth von Waldburg-Wolfegg-Waldsee dont il a eu ses enfants.
Évidemment on ne fait pas forcément un faire-part à l’occasion d’une naissance d’enfant mort ou mourant mais la petite fille semble bien être enterrée avec sa mère au cimetière de Löwenstein.
Dans La Descendance de Marie-Thérèse de Habsbourg, reine de Hongrie et de Bohême, il est dit par Nicolas Enache que le prince fut sans postérité de son premier mariage.
Je ne trouve rien non plus dans l’Intermédiaire des Chercheurs et Curieux, ni dans les bulletins du CEDRE, non plus que dans le Gothaisches Genealogisches Handbuch, Fürstliche Haüser, de 2015, ni dans l’Almanach de Gotha volume I de 2012, ni dans l’Allemagne dynastique tomes IV et suivants.
Ludovina
11 juin 2020 @ 07:43
Merci infiniment Gérard.
Il est surprenant qu’aucun ouvrage de référence n’en fasse mention.
Debora12345
12 juin 2020 @ 10:26
@Gérard, merci à vous.
Debora12345
12 juin 2020 @ 10:29
@Gérard, voilà exactement, les informations sont rares !
Debora12345
12 juin 2020 @ 10:26
@Ludovina, votre photo m’a intriguée et je suis donc suis allée à la pêche aux informations sur le net. Je ne connaissais absolument pas la descendance de cette famille. J’ai constaté que personne ou presque ne faisait mention de cette enfant (probablement mort-née). Toutefois, sur un site néerlandais, son nom y apparaît mais avec un point d’interrogation « fille de Verena? « . Sur un aure site (anglophone), il est écrit que la première épouse (Verena von Stülpnagel) se serait suicidée. Est-ce vrai? Finalement, en continuant mes recherches, je suis tombée sur un site allemand parlant de suicide…et une des intervenantes (lectrice du blog en question) fait allusion à Verena von Stülpnagel en début de commentaire. Les informations concernant la première épouse sont rares en fait. Ça m’a fait penser à Franz Josef « Wenzel » de Liechtenstein, dernier frère de Hans Adam Il, vite enterré, jamais vraiment su de quoi il était mort (versions qui se contredisent, mais selon moi : suicide) , comme s’il n’avait jamais existé.
Greg van N
9 juin 2020 @ 07:56
Ce diadème est une merveille! Majestueux et féérique en même temps, la lumière traversant les émeraudes les rend tellement luisants, éclatants.
Cosmo
9 juin 2020 @ 08:58
Serait-elle menottée ?
Mimi avec Majuscule
9 juin 2020 @ 12:44
Ce sont ses lunettes noires qu’elle tient à la main. Personnellement, je trouve que cette coiffe trop originale ne la met pas en valeur. J’aurais préféré quelque chose de plus classique que cet envol de papillons qui donne à penser qu’elle a quelques « bugs » dans la tête si pas une araignée au plafond. Elle est nettement plus à son avantage sur les photos de fiançailles officielles. https://www.main-echo.de/regional/kreis-main-tauber/verlobung-im-hause-loewenstein-wertheim-freudenberg;art4021,7041542
Sarita
9 juin 2020 @ 19:18
On dirait. Et pourtant le seul qui le mériterait pour atteinte au bon goût c’est le monsieur derrière elle 😉
Cosmo
10 juin 2020 @ 11:08
Merci pour ce fou-rire ! Je ne l’avais pas remarqué. Pantacourt et marcel, difficile de faire mieux !
Sarita
11 juin 2020 @ 11:39
Chaussures de ville et chaussettes, n’en jetez plus ! 😉
val
23 juin 2022 @ 11:28
Sarita ,
C’est le photographe qui est nul d’avoir pris cette photo avec ce monsieur qui visiblement n’est pas un invité ,
PATRICIA
9 juin 2020 @ 09:24
Un mariage ! Enfin une bonne nouvelle, il est possible de faire la fête ! Cela manquait à notre printemps 2020.
Mary
9 juin 2020 @ 09:45
Ciel ! Un chapeau qui rappelle les couronnes de la duchesse d’ York !
Antoine
9 juin 2020 @ 09:52
Que la noblesse allemande puisse continuer à transmettre et à entretenir de telles bâtisses au fil des générations me laisse perplexe. Je présume que les règles et les frais de succession ne sont pas les mêmes qu’en France ?
Menthe
9 juin 2020 @ 13:12
Je ne suis pas spécialiste en la matière, Antoine, ce que je sais est que la transmission d’une entreprise à l’un de ses enfants est nettement moins taxée en Allemagne par rapport à la France.
Leonor
10 juin 2020 @ 07:04
La réponse à votre question n’est pas simple, Antoine. Concernant les successions de titres et de biens dans la noblesse allemande, la situation est compliquée et se règle quasiment au cas par cas.
Pour autant que je sache (*), la législation civile allemande actuelle entre souvent en conflit avec les » Hausgesetze » (~loi de famille, règlement interne de famille) divers de ces familles.
Ces » Hausgesetze » avaient été autorisés par la République de Weimar après l’abolition officielle de la noblesse, , ont été abolis depuis, mais n’en continuent pas moins d’exister pas moins d’exister et de régler les situations intra-familiales . Ils ont valeur de contrat privé selon le BGB ( Bürgerliches Gesetzbuch = ~Code Civil.
Tant que c’est admis par toute la famille, et qu’il n’y a pas conflit interne …
Théoriquement, selon le BGB, la répartition équitable de l’héritage s’applique comme en France, dans ces familles aussi. On a dit » théoriquement ».
Dans la réalité, nombre de familles admettent les » Hausgesetze » , donc continuent à privilégier la primogéniture mâle, et l’attribution des titres et biens principaux ( domaine, château) au fils aîné. A charge pour lui de défrayer ses frères et soeurs par une sorte d’apanage.
Ce qui lui fait une réelle obligation d’entretenir l’honneur du nom et la valeur des biens.
D’où ceci : nombre d’aristocrates allemands sont restés ou devenus de véritables managers, entrepreneurs , fondateurs d’entreprises, chefs d’entreprises , etc
Ils ne se contentent habituellement pas de » juste » faire vivre leurs châteaux. Ils gèrent des vignobles, des brasseries, des compagnies diverses et variées. Ce faisant, ils font intégralement partie du paysage économique allemand, et pas seulement aux marges.
De surcroît, eux et leurs familles sont souvent très réellement et financièrement investis dans des associations, des structures de santé , des structures d’aide sociale, etc, pas seulement caritatives .
C’est cet ensemble qui ,dans nombre de cas, leur permet de continuer à entretenir correctement leurs châteaux, etc.
Voir Gloria von Thurn und Taxis, ou la famille de Würtemberg, sans doute les plus connus ici sur N&R.
(*),
Leonor
10 juin 2020 @ 07:05
(*) j’avais oublié ma petite (*) : je ne suis pas ignare en droit allemand, tant s’en faut ,mais absolument pas spécialiste du droit nobiliaire.
Donc, ce que j’écris ici reste à vérifier > confirmer ou infirmer.
Antoine
10 juin 2020 @ 14:03
Merci beaucoup, Leonor et Menthe pour vos éclairages avisés. Je me doutais que devait exister en Allemagne des régimes particuliers favorisant l’aîné. En France, le quart préciputaire dévolu à l’aîné des garçons et augmentant sa part a été longtemps en vigueur. Tout comme la « légitime » par laquelle les cadets et les filles abandonnaient lors de leur mariage tous leurs droits successoraux moyennant une somme d’argent, quelques arpents de terre et des têtes de bétail. En général, la légitime était très inférieure à la part réelle qui aurait été attribuée en cas de partage égal. Dans la société patriarcale du temps il ne venait à l’idée de personne de récriminer. C’était néanmoins très injuste.
aubert
10 juin 2020 @ 14:38
Si les anglais, comtes de la Bouffe, n’en peuvent plus des frais de leur petite bâtisse on en arrive à souhaiter que les princes de Loweinstein le soient aussi de la bière.
septentrion
12 juin 2020 @ 12:17
😊😂
plume
9 juin 2020 @ 10:03
Mon dieu quel château à entretenir surtout… Je n’envie pas le propriétaire sauf s’il est plein aux as évidemment.
Mimi avec Majuscule
9 juin 2020 @ 12:58
Moi si. Un château c’est du bâti rentabilisable. Si on n’a pas les moyens de l’entretenir, on le loue, on l’habite, on loue les pièces de réception, on loue les chambres, on y crée des appartements à louer, des restaurants, on y loge le personnel, ce qui réduit aussi les frais salariaux, cela peut devenir une machine qui génère beaucoup de cash. Un château, on l’habite et/ou on le gère. Ceux qui vendent leurs châteaux sont ceux qui sont incapables, ni de gérer, ni de trouver un gérant.
Charlotte (de Brie)
10 juin 2020 @ 12:29
Euh ! pas si simple Mimi avec Majuscule…
Encore faut-il que tous les héritiers tombent d’accord, ce qui n’est pas toujours simple, qu’en cas « d’accord » celui ou celle qui le prend en charge soit en mesure d’y faire face sur le long terme, que le château soit situé dans une zone dite touristique susceptible d’attirer les visiteurs ou qu’il ait une histoire alléchante.
Et j’oublie… si ce château est meublé ceux des héritiers qui renoncent aux pierres, renoncent plus difficilement aux bergères Louis XVI et autres Savonnerie ou Gobelins… et l’heureux héritier ou héritière se retrouve dans un lieu vide comme après le passage des huissiers, ce qui n’empêche pas les dits de passer quand même.
Alors les taxer d’incapables me semble un peu excessif…
Leonor
10 juin 2020 @ 07:08
Voir supra,Plume. Quand les aristocrates allemands pourvus de châteaux sont « pleins aux as « , pour reprendre votre expression, c’est qu’ils bossent pour.
COLETTE C.
9 juin 2020 @ 10:11
Je ne connaissais pas cette famille. Merci à LUDOVINA.
Beau château et agréable au bord de l’eau.
Menthe
9 juin 2020 @ 10:28
Bonne chance aux fiancés, que l’année 2021 puisse être sereine pour tous les mariages, ceux déjà annoncés et sûrement bien d’autres à venir.
(Baboula, on parlait récemment de bermuda-marcel, il me semble😂)
Guyard
9 juin 2020 @ 11:01
Ascendances et parentés entre les fiancés. https://gothanjou.blog/2020/06/09/fiancailles-de-la-princesse-amelie-de-lowenstein-wertheim-freudenberg/
particule
9 juin 2020 @ 11:16
Pour les disputes conjugales au moins le confinement ne pose aucun problème de promiscuité ici …mais nous n’en sommes qu’aux fiançailles alors on leur souhaite tout le bonheur du monde et de trouver un peu d’intimité en traversant les corridors …
Philippe Gain d'Enquin
9 juin 2020 @ 11:47
« La Princesse et le mec en marcel », quel choc culturel ! Quel réalisateur sera t’il inspiré par ce naufrage ?
Jean Pierre
9 juin 2020 @ 12:39
Je dirais Elia Kazan même si Marlon Brando portait mieux le marcel dans « Un tramway nommé désir ».
aubert
9 juin 2020 @ 15:47
Puisque le mec en marcel est là, sans tomate ni cocktail molotov, pour voir défiler des princesses c’est qu’il les apprécie…. comme les fidèles de N&R.
Katellen
10 juin 2020 @ 06:19
C’est exactement ce que mon œil a repéré en premier : le monsieur en marcel !
Philippe Gain d'Enquin
11 juin 2020 @ 08:40
Notons qu’il est sans son orchestre…
marianne
9 juin 2020 @ 12:33
L’ extrême élégance de la princesse Amélie est très rehaussée par le décor .
rouette328
9 juin 2020 @ 12:43
On dirait plutôt des aigues-marines.
Juliette d
9 juin 2020 @ 14:43
J’imagine que les jardins du château sont assez grands pour accueillir quelques centaines d’invités au mariage. Ça ne devrait pas être un souci.
Alinéas
9 juin 2020 @ 15:31
Même si je ne suis pas fan des couronnes de la duchesse d’York, je les préfère quand même à ce modèle de chapeau !
Noblesse de France
9 juin 2020 @ 16:44
Le château ici représenté n’est pas celui des familles des mariés. Il s’agit du château de Philippsruhe (anciennement aux princes de Hesse et aujourd’hui propriété de la ville de Hanau). La famille de la mariée réside au château de Kreuzwertheim en Bavière, et c’est certainement là qu’aura lieu le mariage.
Nycrab
9 juin 2020 @ 19:46
La photo ne montre pas le château de la famille princière, mais le château de Philippsruhe à Hanau près de Francfort, autrefois une propriété de la maison de Hesse.
Maria
9 juin 2020 @ 23:29
Speriamo di avere le immagini del matrimonio! Tanti auguri a loro
Caroline
9 juin 2020 @ 23:40
Mary,
Ce chapeau qui rappelle aussi la coiffe de la fille de Haya de Jordanie aux courses d’ Ascot !
Katellen
10 juin 2020 @ 06:21
Ce diadème est majestueux et imposant ! Quel dommage d’associer au vert des émeraudes un bouquet de fleurs bleues et jaunes…, le rendu n’est pas très heureux.
Leonor
10 juin 2020 @ 07:12
Quel est le lien avec Rupert Löwenstein , alias Rupie the Groupie, le manager financier des Rolling Stones pendant trente-sept ans ?
La famille des Löwenstein est ancestrale et pourvue de multiples branches .
Löwenstein signifie :Le Rocher du Lion.
Laure-Marie Sabre
10 juin 2020 @ 18:50
Lien très éloigné : leur ancêtre commun est Wilhelm Ernst Ludwig Carl (1783-1847). Rupprecht appartenait à la branche de Scharffeneck, issue d’un mariage morganatique.
Gérard
11 juin 2020 @ 08:34
Et puis bien sûr il faut se souvenir que cette famille Löwenstein est une branche des Wittelsbach de Bavière.
puiselet
10 juin 2020 @ 10:03
pas tres joli se diademe et effectivement ce personnage en fond