Sur « Paris Première », diffusion ce mardi 6 septembre 2016 à 20h45 du film « Marie Antoinette » avec comme interprète l’actrice Kirsten Dunst. (merci à Anne)
Je n’ai pas aimé ce film qui fait de Marie-Antoinette une fofolle ! si la reine avait la réputation d’être écervelée dans sa jeunesse ,elle ne perdait jamais son maintien qui en imposait,on savait en la voyant qu’elle était la reine !
Le choix sera très difficile pour les aficionados de « Noblesse & royautés » entre ce très beau film et l’émission de Stéphane Bern sur le duc et la duchesse de Windsor qui passe à la même heure.
J’ai assisté par hasard au tournage d’une scène du film.
Ca se passait à l’extérieur. Les courtisans se trouvaient sur 2 rangs sur un escalier que le couple royal descendait. La Reine avait une robe très Trianon et le Roi… le manteau du sacre et la couronne sur la tête. Bien sûr, les courtisans applaudissaient tellement qu’ils en oubliaient de faire une révérence (difficile sur une marche d’escalier).
Mais cette scène ridicule était peut-être prévue pour le bêtisier…
L’histoire de France vue par une bobo d’Hollywood .Rien d’historique ,à part le Chateau de Versailles .Sa Marie Antoinette méritait des fessées pas la guillotine .
Ce film, qui a pour avantage de ne pas présenter Louis XVI comme un petit gros, sans toutefois le montrer comme le colosse d’1m90 qu’il était, est une curiosité qu’il faut apprécier au second voire au troisième degré.
On y voit Marie-Antoinette faire du patin à roulettes dans les couloirs de Versailles. Encore que l’inventeur de ces patins soit le Belge Jean Joseph Merlin, qu’il naquit en 1735 et donc qu’il était plausible que la reine de France ait pu en porter, je crois cependant qu’il s’agit d’un clin d’oeil anachronique aux déplacements de la princesse Victoria-Mélita (grande amatrice de café) de Saxe-Cobourg-Gotha, grande-duchesse Cyrille de Russie, dans les couloirs de son palais de Saint-Pétersbourg.
Autant je ne suis pas d’accord avec la thèse développée par la réalisatrice dans le film (de la pauvre petite archiduchesse d’Autriche perdue à la Cour de France, alors que chaque enfant de souverain est destiné à épouser, jeune, l’enfant d’un autre souverain; et l’éducation des enfants royaux de toutes les Cours européennes incluait l’apprentissage de la langue française, l’uchronie avec l’apparition à l’image de converses roses…),
autant son interprète principale, la charmante Kerstin Dunst, est délicieuse dans ce rôle, et certainement bien plus belle que la vraie Marie-Antoinette…
Pardon, j’aurais du parler d’anachronisme et non d’uchronie.
Il en est de même pour les pâtisseries de Ladurée, alors que cette maison n’a été fondée qu’au XIXe siècle, bien après la maison Dalloyau.
On ne compte les erreurs, mais le résultat est charmant.
Je ne saisis pas vraiment votre remarque à l’emporte-pièce. Tout réalisateur, dont le film dresse le portrait d’un personnage historique ou connu, cherche une acteur qui ressemble physiquement au personnage en question, ou le lui fait ressembler.
J’ai adoré ’Lost in translation’ de Sofia Coppola. Pour ’Marie-Antoinette’ je ne suis pas arrivée à me dissocier de l’image historique que j’avais. Donc très déçue. Mais j’ai respecté la vision créatrice de Sofia alors jeune et douée réalisatrice américaine, à la sortie du film, 34 ans. Évidemment, son Louis XVI est ridicule, tellement loin de l’original, minuscule et benêt, mais il ne faut pas non plus lui jeter la pierre. Le scénario a été coécrit avec Lady Antonia, Antonia Fraser, femme de lettres britannique, et historienne…
Kristen dunst incarne une piètre marie Antoinette, qui s’enivre au champagne, se bourré de pâtisserie et qui a la cuisse plus que légère ! Ce film est honteux car diffamatoire . Marie Antoinette mangeait très peu, buvait de l’eau. ..
Diane kruger est beaucoup plus plausible et belle en marie Antoinette dans le film les adieux à la reine.
Comme je partage votre avis, je n’ai pas trouvé ce film intéressant, très éloigné de la véritable personnalité de la Reine ! Bon dimanche Antinéa, Bianca.
chicarde
6 septembre 2016 @ 07:05
Une magnifique interprétation par cette belle actrice, et quelles belles images dans ce film, comme celle-ci, évoquant tout le luxe de la Reine !
*Gustave de Montréal
6 septembre 2016 @ 16:08
Il n’y a qu’une seule Marie-Antoinette au cinéma: Lana Marconi.
Robespierre
7 septembre 2016 @ 11:22
Ou Michèle Morgan dans un bon film des années 50 avec Richard Todd dans le rôle de Fersen.
bianca
7 septembre 2016 @ 12:41
Comme vous Gustave de Montréal…Grande admiration pour cette artiste qui incarna Marie-Antoinette avec tout le talent qu’elle a maintes fois démontré !
Robespierre
6 septembre 2016 @ 07:10
j’ai vu ce film dans le temps et grincé les dents, tant il était peu historique. Seuls les décors et les vetements sont bien.
Muscate
6 septembre 2016 @ 12:50
J’ai vraiment détesté ce film,à moitié moderne,qui ne sert ni le septième art, ni Marie-Antoinette et sa mémoire.
clement
6 septembre 2016 @ 08:54
Je n’ai pas aimé ce film qui fait de Marie-Antoinette une fofolle ! si la reine avait la réputation d’être écervelée dans sa jeunesse ,elle ne perdait jamais son maintien qui en imposait,on savait en la voyant qu’elle était la reine !
Zeugma
6 septembre 2016 @ 09:18
Le choix sera très difficile pour les aficionados de « Noblesse & royautés » entre ce très beau film et l’émission de Stéphane Bern sur le duc et la duchesse de Windsor qui passe à la même heure.
Muscate
6 septembre 2016 @ 12:51
On peut aussi aller se balader en forêt. ..peut-être plus enrichissant et innovant au chapitre découvertes ;-).
bianca
7 septembre 2016 @ 12:43
Ce n’est pas encore la période du brame mais avis aux amateurs quand les programmes télé ne sont pas intéressants !!!
Muscate
8 septembre 2016 @ 15:44
Hihi! ;-)
nozzari
6 septembre 2016 @ 10:05
J’ai assisté par hasard au tournage d’une scène du film.
Ca se passait à l’extérieur. Les courtisans se trouvaient sur 2 rangs sur un escalier que le couple royal descendait. La Reine avait une robe très Trianon et le Roi… le manteau du sacre et la couronne sur la tête. Bien sûr, les courtisans applaudissaient tellement qu’ils en oubliaient de faire une révérence (difficile sur une marche d’escalier).
Mais cette scène ridicule était peut-être prévue pour le bêtisier…
Louis de Lauban
7 septembre 2016 @ 15:08
Effectivement, jamais roi n’a porté couronne ou manteau de sacre à Versailles, sauf en portrait.
Baboula
6 septembre 2016 @ 13:08
L’histoire de France vue par une bobo d’Hollywood .Rien d’historique ,à part le Chateau de Versailles .Sa Marie Antoinette méritait des fessées pas la guillotine .
Actarus
6 septembre 2016 @ 13:15
Ce film, qui a pour avantage de ne pas présenter Louis XVI comme un petit gros, sans toutefois le montrer comme le colosse d’1m90 qu’il était, est une curiosité qu’il faut apprécier au second voire au troisième degré.
On y voit Marie-Antoinette faire du patin à roulettes dans les couloirs de Versailles. Encore que l’inventeur de ces patins soit le Belge Jean Joseph Merlin, qu’il naquit en 1735 et donc qu’il était plausible que la reine de France ait pu en porter, je crois cependant qu’il s’agit d’un clin d’oeil anachronique aux déplacements de la princesse Victoria-Mélita (grande amatrice de café) de Saxe-Cobourg-Gotha, grande-duchesse Cyrille de Russie, dans les couloirs de son palais de Saint-Pétersbourg.
Elisabeth-Louise
6 septembre 2016 @ 13:18
Je l’ai vu il y a un certain temps; séduisant mais bien creux…….
alain Golliot
6 septembre 2016 @ 13:19
ce n’est pas un film mais un méga-clip d’une réalisatrice prada/Vuitton et autres qui paient, à l’égo démesuré et au discours médiocre
Muscate
8 septembre 2016 @ 15:46
Juste.
KOROBAZE
6 septembre 2016 @ 13:59
Un film iconoclaste, frais et jeune avec une adorable actrice jolie comme de la tendre porcelaine de Saxe.
Libellule
7 septembre 2016 @ 13:19
Oui ,tout à fait ,j’ai beaucoup aimé ce film ,le voir certainement mais mettre l’histoire dans 1 tiroir …
Bien à vous .
Libellule .
Isabelle-Marie
6 septembre 2016 @ 14:50
…
Muscate
8 septembre 2016 @ 15:45
Très bien résumé,Isa! ;-)
Juliette
6 septembre 2016 @ 16:27
Autant je ne suis pas d’accord avec la thèse développée par la réalisatrice dans le film (de la pauvre petite archiduchesse d’Autriche perdue à la Cour de France, alors que chaque enfant de souverain est destiné à épouser, jeune, l’enfant d’un autre souverain; et l’éducation des enfants royaux de toutes les Cours européennes incluait l’apprentissage de la langue française, l’uchronie avec l’apparition à l’image de converses roses…),
autant son interprète principale, la charmante Kerstin Dunst, est délicieuse dans ce rôle, et certainement bien plus belle que la vraie Marie-Antoinette…
Juliette
6 septembre 2016 @ 16:29
Pardon, j’aurais du parler d’anachronisme et non d’uchronie.
Il en est de même pour les pâtisseries de Ladurée, alors que cette maison n’a été fondée qu’au XIXe siècle, bien après la maison Dalloyau.
On ne compte les erreurs, mais le résultat est charmant.
Antinéa
8 septembre 2016 @ 21:18
N’importe quoi on ne peut pas comparer le physique de deux femmes à plus de 2 siècles de distance
Juliette
11 septembre 2016 @ 11:26
Je ne saisis pas vraiment votre remarque à l’emporte-pièce. Tout réalisateur, dont le film dresse le portrait d’un personnage historique ou connu, cherche une acteur qui ressemble physiquement au personnage en question, ou le lui fait ressembler.
Patrick Germain
7 septembre 2016 @ 06:32
Film extravagant qui reflète beaucoup plus un parti pris d’auteur qu’une approche de Marie-Antoinette.
Robespierre
7 septembre 2016 @ 11:23
Oui, tout à fait.
Marie de Cessy
7 septembre 2016 @ 09:40
J’ai vu le film a sa sortie mais je n’ai pas été emballée
aggie
7 septembre 2016 @ 13:11
ce film prend des libertés avec l’histoire mais je l’ai adoré
Auberi
7 septembre 2016 @ 16:19
J’ai adoré ’Lost in translation’ de Sofia Coppola. Pour ’Marie-Antoinette’ je ne suis pas arrivée à me dissocier de l’image historique que j’avais. Donc très déçue. Mais j’ai respecté la vision créatrice de Sofia alors jeune et douée réalisatrice américaine, à la sortie du film, 34 ans. Évidemment, son Louis XVI est ridicule, tellement loin de l’original, minuscule et benêt, mais il ne faut pas non plus lui jeter la pierre. Le scénario a été coécrit avec Lady Antonia, Antonia Fraser, femme de lettres britannique, et historienne…
Antinéa
8 septembre 2016 @ 21:17
Ce film est nullissime
Antinéa
8 septembre 2016 @ 21:24
Kristen dunst incarne une piètre marie Antoinette, qui s’enivre au champagne, se bourré de pâtisserie et qui a la cuisse plus que légère ! Ce film est honteux car diffamatoire . Marie Antoinette mangeait très peu, buvait de l’eau. ..
Diane kruger est beaucoup plus plausible et belle en marie Antoinette dans le film les adieux à la reine.
bianca
10 septembre 2016 @ 16:17
Comme je partage votre avis, je n’ai pas trouvé ce film intéressant, très éloigné de la véritable personnalité de la Reine ! Bon dimanche Antinéa, Bianca.
Gus
11 août 2017 @ 06:46
La partie la plus importante le drame est perdue