Dans Jermyn Street à Londres trone une insitution bicentenaire, FLORIS, titulaire du Royal Warrant depuis la reine Victoria. La reine-mère raffolait de « Edwardian Bouquet », parfum mêlé de bergamote, de mandarine et de géranium rose. Dans cette somptueuse boutique, le prince Philip et le prince Charles se fournissent en savon-à-barbe, fioles à after-shave, blaireau au manche de nacre et coupe-chou à l’ancienne. La reine y achète tous ses pots-pourris. (Copyright photo : DR – Merci à Bertrand Meyer)
24 juillet 2013 @ 06:01
Merci Régine et Bertrand Meyer pour cette photo et ce reportage; que d’informations nous sont transmises…
Qu’est-ce qu’un coupe-chou à l’ancienne? Bonne journée à tous, FdC
24 juillet 2013 @ 08:00
Le coupe-chou est un instrument qu’utilisaient les coiffeurs et barbiers. Il s’agit d’un couteau qui se referme comme un couteau de poche.
Cet instrument sert à raser et tailler de près.
24 juillet 2013 @ 21:55
ideal pour égorger aussi
25 juillet 2013 @ 12:28
Gustave,aiiie ou loool,pour égorger comme Jack l’éventreur!J’en frissonne de peur!!!Vous avez décidemment l’humour noir!!!lool!
25 juillet 2013 @ 17:35
Vous me prenez les mots du clavier ! Dans les films de gangsters, les règlements de compte ont souvent lieu de cette façon !
25 juillet 2013 @ 01:49
Merci l’Alsacienne, je me coucherai plus connaissante ce soir. FdC
25 juillet 2013 @ 11:59
Je m’autorise donc à vous suggérer une bonne cure de sommeil… (Lol) A vous, PGE
25 juillet 2013 @ 16:21
Quoi PGE… vous avez remarqué que j’en avais besoin? Ha! Ha! Ha! Deux de mes commentaires n’ont pas été publiés (grand merci à Régine) et c’est très bien ainsi. Bisous, FdC
24 juillet 2013 @ 10:11
J’y achète mon « Eau 89 », l’eau de Cologne de James Bond et du prince Charles.
La boutique est magnifique.
Ce serait encore mieux si le Personnel était aimable.
Il y a comme ça des boutiques à Londres où les employés donnent l’impression de n’être aimables qu’avec les membres de la famille royale et les rejetons de la haute noblesse Britannique. Chez Turnbull & Asser, un peu plus loin dans Jermyn Street, on est souvent accueilli par un vendeur qui vous regarde de très haut.
Chez Floris. je fais exprès de demander un échantillon pour avoir le plaisir de m’entendre chaque fois répondre d’un ton revêche qu’on n’en donne pas.
Nos amis Anglais ont quelquefois une façon inimitable de remettre les Continentaux à leur place.
24 juillet 2013 @ 13:01
Ce que vous racontez est amusant.
Mais je suis tout à fait certain qu’à Paris, vous pouvez aussi connaître ce genre de désagrément dans certaines boutiques de luxe.
24 juillet 2013 @ 13:44
Oui les vendeurs sont plus snobs que les clients mieux vaut en rire!
24 juillet 2013 @ 15:02
Chez Hackett à Londres (dans la boutique qui est à proximité de Sloane Square) j’ose avancer qu’un pull est un peu cher et la vendeuse me répond sur un ton glacial : « nous avons encore beaucoup plus cher ».
J’ai compris immédiatement que j’étais rentré dans une boutique très au dessus de ma condition.
Cela dit, il y a des endroits où le personnel est très sympathique.
Chez Fortnum et Masson par exemple, j’avais envie d’acheter un très beau torchon un peu cher (Je sais, ce n’est pas très « standing ».) et j’ai demandé à la vendeuse si la reine avait acheté le même. Elles m’a répondu avec un grand sourire : « quand la reine veut quelquechose, elle l’a ». C’est un grand magasin où les employés sont très aimables. Et les hommes portent toujours la morning suite, très élégante.
24 juillet 2013 @ 20:45
Merci Zeugma, de nous faire partager vos anecdotes, malheureusement , le personnel dans ces boutiques très chic se comporte souvent comme cela …..Je rentrerai dans cette boutique au bras de James Bond !!!
25 juillet 2013 @ 08:26
au printemps a deauville, vous trouvez les eaux de toilette floris,+des echantillons, vous avez les testeurs pour vous assurer du choix,sans problémes vous passez a la caisse sans essuyer un regard toisant!! de là passer au normandie pour un thé, vous aurez passé une agréable ballade.
24 juillet 2013 @ 11:37
Magnifique devanture à « l’ancienne » d’une boutique comme j’aimerais en tenir une… »typically english »… et bien sûr, dans un quartier non moins typique…ahhhh Londres…!!
24 juillet 2013 @ 13:11
G de G.,allez-y avec votre nouvelle boutique dans le quartier du Marais à Paris!lol!
24 juillet 2013 @ 12:29
Francine,j’ai pu admirer les photos du coupe-chou à l’ancienne chez Tonton Google!lool!J’en ai déjà vu dans les films d’époque!
Hiiiiiiiiiii,le prince Philip et le prince Charles refusent d’utiliser un rasoir électrique!
Bertrand Meyer,j’adooooore cet article insolite délicieusement britannique.Que j’aimerais encore flaner dans les belles rues de la cité de Londres!
24 juillet 2013 @ 14:09
J’ai HORREUR des rasoirs électriques!! et je ne suis ni Charles ni Philip… juste G…..!!! en même temps je n’utilise pas de « coupe-chou à l’ancienne » mais bon…
25 juillet 2013 @ 01:56
Merci Caroline, il ne m’était pas venu à l’idée de regarder sur google. Amitiés, FdC
24 juillet 2013 @ 12:37
des antiquités ca……les blaireaux et savons à barde, comme les crachoirs, depuis longtemps disparus.
Vive le gel.
24 juillet 2013 @ 14:36
Gustave,détrompez-vous!Les crachoirs existent encore en Asie du Sud-Est ou en Chine ou au Japon!Loool,on en utilise chez certains dentistes ou dans des hopitaux!
24 juillet 2013 @ 22:05
quelle hygiène, ah!ah! aussi dégueu que les mouchoirs.
25 juillet 2013 @ 12:32
Gustave,après votre humour noir sur le coupe-chou,j’apprécie votre humour ‘canadien’!lool!
Je ne prends que des Kleenex pour vous faire plaisir!
24 juillet 2013 @ 13:35
La devanture fait rêver, elle dégage une impression d’intérieur chaleureux et cosy, très Noël !
Heureusement qu’il existe encore de belles boutiques …. hélas à Paris …. (si ça peut vous rassurez, il n’y a pas de vendeur hautain qu’à Londre ; chez Debauve et Galley, ils sont d’un mépris à vous dégoûter du chocolat )
24 juillet 2013 @ 22:24
J’ai lu avec beaucoup d’intérêt et aussi de surprise les différents commentaires sur « l’accueil » réservé dans certains magasins chics aux clients « ordinaires « …C’est simple, si je puis me permettre : n’y allez plus ! Je ne retourne jamais dans un magasin, quel qu’il soit, où j’ai été mal accueillie…Tant pis, j’aime mieux me priver de ce qu’on y vend !
25 juillet 2013 @ 02:10
C. Savary, vous venez de me faire penser à la Cure Gourmande sur l’Île-Saint-Louis; mon fils et moi avons adoré. Nous avons été servi avec gentillesse et bien sûr, j’ai dévalisé la boutique ha! ha! ha! FdC
25 juillet 2013 @ 08:18
C. Savary : chez Debauve & Gallais cela dépend de la personne qui vous sert ! Dans le cas d’une personne hautaine, je n’oublie jamais de la remercier de son extrême courtoisie, de son amabilité, bref j’en rajoute et je « sur » fais !
25 juillet 2013 @ 16:29
Ckementine1, je suis morte de rire; je fais la même chose et ce, partout dans le monde ha! ha! ha! J’ai réalisé récemment que lorsqu’on parvient à le faire sans ironie (pince sans rire) c’est encore plus efficace. Bonne journée et bravo pour votre savoir-faire! FdC
25 juillet 2013 @ 17:05
Clémentine, j’adopte exactement votre comportement dans ce genre de situation, avec un grand sourire, j’ai constaté l’air décontenancé de la vendeuse très snob !
Très amusant !!!
24 juillet 2013 @ 14:03
J’aime ces villes qui ont encore ce genre de boutique ancienne, charme d’une époque révolue certes, mais que les touristes adorent !…
24 juillet 2013 @ 21:27
Alors là, j’en suis baba, cela me la coupe; un prince néerlandais tient boutique à Londres ? Il me reste à souhaiter que ledit commerce Nassau-Van Vollenhoven est, comment dire ? Floris sant !!! PGE (encore lui, la barbe!)
26 juillet 2013 @ 15:48
Mais non, mais non, vous êtes le barbu auquel Pierre Dac et Francis Blanche n’auraient jamais dit « malheur ».
27 juillet 2013 @ 23:17
Je suis le treizième d’une fratrie, j’ai neuf vies, je suis noir de charbon, je passe sous les échelles avant de poser mon chapeau sur le lit et je contrefiche du sel, celui de droite comme celui de gauche : je ne pourrai donc que porter bonheur et non malheur!!! A vous, PGE
27 juillet 2013 @ 23:18
je ME contrefiche…