je rejoins votre commentaire en effet pas très beau ce pantalon
je trouve par moment que MAXIMA ne sourit plus de la même manière elle à
tendance à plissé le nez l’avez vous remarqué::ou est ce une idée de ma part
par moment elle me semble bizarre
cordialement
Il s’agit d’un prix récompansant des actions visant à la préservation de la nature et des espèces menacées.
Il existe deux autres prix importants que remettent les souverains néerlandais: le Prix Erasme, qui récompense des personnes ou des organismes ayant oeuvré à la diffusion de la culture et des valeurs européeenes, et le prix Prince Claus qui récompense des actions dans le domaine de la culture.
Vous pouvez voir que j’ai bien révisé mon cours, ce matin.
Je laisse volontiers les autres l’essuyer, mais figurez-vous que j’aime la faire et dans les grande réunions familiales (où l’effectif monte vite à 30 convives) Je suis souvent à la plonge :)
D’habitude, j’aime bien les audaces vestimentaires de la joyeuse Maxima.
Mais là, cette combinaison de peintre en bâtiment ….
Bon, à part ça, ça serait bien d’en apprendre plus sur le » Fonds culturel Prince Bernhard », et sur les prix en question que décerne ce fonds. Pas vraiment le temps de chercher en ce moment…
Chère Léonor, cela vous prendra un peu de temps pour lire, mais j’ai résolu l’histoire de votre grand-père.
Votre arrière grand-mère alsacienne avait la nationalité française avant 1871.
Ensuite, qu’elle résidât en Alsace ou n’importe où dans le monde elle a dû choisir entre, soit conserver la nationalité française, soit avoir de droit la nationalité allemande qui venait d’être créée avec l’empire. Il est évident que si votre arrière grand-mère était belge, espagnole ou « pontevedrine » vivant en Alsace elle n’était pas concernée par ces clauses de droit.
Les mêmes clauses s’étaient appliquées en Savoie et Nice après le traité de Turin ou avec le traité de Prague après la guerre des Duchés dans le Schleswig Holstein et alentour. Il n’y a là rien de spécifiquement alsacien mais une constante du droit positif international au XIX° siècle : les changements territoriaux suite aux conquêtes ou cessions s’accompagnent toujours d’un droit d’option de la nationalité pour les résidents. La particularité de l’Alsace en 1871, c’est que même les noms résidents vont devoir choisir leur nationalité….mais à la demande du gouvernement français, ce n’est pas dans le Traité de Francfort.
Nous admettrons donc que votre arrière grand-mère est devenue allemande en 1871 ou 1872.
Ensuite, elle s’en alla résider à Paris sans que cela change en quoi que ce soit sa nationalité. Elle aurait pu à la même époque émigrer aux Etats-Unis comme nombre de ses consœurs. Elle ne serait pas pour autant devenue américaine le jour de son arrivée à Ellis Island. Le changement de résidence, du moins dans un premier temps, n’implique jamais un changement de nationalité.
Quand elle vivait à Paris votre arrière grand-mère était très sûrement une citoyenne allemande.
Elle a donc eu en 1884, lors de son séjour à Paris, un fils, votre grand-père Emile.
Il serait né après 1889, la question aurait été toute différente. Mais avant 1889, le droit du sol contraignant pour les tiers nés en France n’existe pas. Votre grand-père est donc né allemand en France. Il aurait toutefois pu à sa majorité demander la nationalité française. Mais peut-être ne vivait-il déjà plus à Paris ou en France.
Il était revenu à Strasbourg où il s’est marié. Il était toujours allemand. La loi allemande sur la nationalité de 1913 (loi Delbrück) s’est appliquée et comme tout citoyen il a ensuite été mobilisé dans l’armée du pays dont il avait la nationalité.
Enfin, pas comme tous ! Juste après la déclaration de guerre de 1914, le Parlement français a voté, le 5 août, une loi autorisant les étrangers résidents en France (donc les alsaciens mais pas qu’eux) à s’engager dans l’armée française. Cette loi que je qualifierais de potentiellement fratricide a permis à des alsaciens de combattre dans les deux armées et donc les uns contre les autres. Les états major respectifs donnaient des directives écrites pour que cette situation ne se produisit pas, en affectant les recrues dans des zones où ils ne pouvaient pas se rencontrer. On sait que le cas s’est pourtant produit.
Une idée pour trouver une trace de tout cela, à partir de la loi de 1889 sur la nationalité française, les étrangers résidant en France devaient se déclarer en mairie. Votre arrière grand-mère a du le faire si elle vivait encore à Paris. Il faut alors fouiller dans les archives de la Ville de Paris.
Si mon excellent coiffeur la voyait, je crois qu’il ferait un malaise et aurait beaucoup de plaisir à lui structurer cette coiffure fort improbable et moche !
Maxima profite de la cassette royale quitte à ce déguiser en sapin de Noël, mais les vêtements de ses filles laissent à désirer , par contre pour elle rien n’est laissé au hasard
Muscate-Valeska de Lisabé
3 décembre 2016 @ 09:33
Une tache de javel sur un pantalon,on essaie d’arranger les choses,et voilà comment ça finit…en un grand gribouillis.
maria
4 décembre 2016 @ 19:24
MUSCATE-VALESKA DE LISABE
je rejoins votre commentaire en effet pas très beau ce pantalon
je trouve par moment que MAXIMA ne sourit plus de la même manière elle à
tendance à plissé le nez l’avez vous remarqué::ou est ce une idée de ma part
par moment elle me semble bizarre
cordialement
Muscate-Valeska de Lisabé
5 décembre 2016 @ 17:39
Bizarre,non…ici,c’est juste le pantalon…Lui,c’est vrai qu’il l’est! ;-))
Bizarre,vous avez dit bizarre??^^
Bien à vous,Maria.
adriana
3 décembre 2016 @ 09:37
toujours aussi belle et souriante……. une tenue très originale. bon samedi
Baboula
3 décembre 2016 @ 09:48
Tenue de camouflage ! Pourtant elle ne tient pas à passer inaperçue.
JOSEPHINE
3 décembre 2016 @ 10:15
Aujourd’hui Maxima, c’est affreux !
Pierre-Yves
3 décembre 2016 @ 11:27
Il s’agit d’un prix récompansant des actions visant à la préservation de la nature et des espèces menacées.
Il existe deux autres prix importants que remettent les souverains néerlandais: le Prix Erasme, qui récompense des personnes ou des organismes ayant oeuvré à la diffusion de la culture et des valeurs européeenes, et le prix Prince Claus qui récompense des actions dans le domaine de la culture.
Vous pouvez voir que j’ai bien révisé mon cours, ce matin.
Corsica
4 décembre 2016 @ 00:47
Pierre-Yves, quand on laisse la vaisselle aux autres, on a le temps de réviser. :):)
Pierre-Yves
5 décembre 2016 @ 12:07
Je laisse volontiers les autres l’essuyer, mais figurez-vous que j’aime la faire et dans les grande réunions familiales (où l’effectif monte vite à 30 convives) Je suis souvent à la plonge :)
Gibbs ?
4 décembre 2016 @ 09:14
Merci Pierre-Yves et je vous félicite !
framboiz 07
4 décembre 2016 @ 20:30
Merci, Pierre -Yves , rappelez nous le , l’an prochain, j’aurai oublié !
Nature, Europe & Culture , OK ! je révise !
Claire
3 décembre 2016 @ 18:27
Très chic Maxima !
Leonor
3 décembre 2016 @ 18:29
D’habitude, j’aime bien les audaces vestimentaires de la joyeuse Maxima.
Mais là, cette combinaison de peintre en bâtiment ….
Bon, à part ça, ça serait bien d’en apprendre plus sur le » Fonds culturel Prince Bernhard », et sur les prix en question que décerne ce fonds. Pas vraiment le temps de chercher en ce moment…
Jean Pierre
4 décembre 2016 @ 13:47
Chère Léonor, cela vous prendra un peu de temps pour lire, mais j’ai résolu l’histoire de votre grand-père.
Votre arrière grand-mère alsacienne avait la nationalité française avant 1871.
Ensuite, qu’elle résidât en Alsace ou n’importe où dans le monde elle a dû choisir entre, soit conserver la nationalité française, soit avoir de droit la nationalité allemande qui venait d’être créée avec l’empire. Il est évident que si votre arrière grand-mère était belge, espagnole ou « pontevedrine » vivant en Alsace elle n’était pas concernée par ces clauses de droit.
Les mêmes clauses s’étaient appliquées en Savoie et Nice après le traité de Turin ou avec le traité de Prague après la guerre des Duchés dans le Schleswig Holstein et alentour. Il n’y a là rien de spécifiquement alsacien mais une constante du droit positif international au XIX° siècle : les changements territoriaux suite aux conquêtes ou cessions s’accompagnent toujours d’un droit d’option de la nationalité pour les résidents. La particularité de l’Alsace en 1871, c’est que même les noms résidents vont devoir choisir leur nationalité….mais à la demande du gouvernement français, ce n’est pas dans le Traité de Francfort.
Nous admettrons donc que votre arrière grand-mère est devenue allemande en 1871 ou 1872.
Ensuite, elle s’en alla résider à Paris sans que cela change en quoi que ce soit sa nationalité. Elle aurait pu à la même époque émigrer aux Etats-Unis comme nombre de ses consœurs. Elle ne serait pas pour autant devenue américaine le jour de son arrivée à Ellis Island. Le changement de résidence, du moins dans un premier temps, n’implique jamais un changement de nationalité.
Quand elle vivait à Paris votre arrière grand-mère était très sûrement une citoyenne allemande.
Elle a donc eu en 1884, lors de son séjour à Paris, un fils, votre grand-père Emile.
Il serait né après 1889, la question aurait été toute différente. Mais avant 1889, le droit du sol contraignant pour les tiers nés en France n’existe pas. Votre grand-père est donc né allemand en France. Il aurait toutefois pu à sa majorité demander la nationalité française. Mais peut-être ne vivait-il déjà plus à Paris ou en France.
Il était revenu à Strasbourg où il s’est marié. Il était toujours allemand. La loi allemande sur la nationalité de 1913 (loi Delbrück) s’est appliquée et comme tout citoyen il a ensuite été mobilisé dans l’armée du pays dont il avait la nationalité.
Enfin, pas comme tous ! Juste après la déclaration de guerre de 1914, le Parlement français a voté, le 5 août, une loi autorisant les étrangers résidents en France (donc les alsaciens mais pas qu’eux) à s’engager dans l’armée française. Cette loi que je qualifierais de potentiellement fratricide a permis à des alsaciens de combattre dans les deux armées et donc les uns contre les autres. Les états major respectifs donnaient des directives écrites pour que cette situation ne se produisit pas, en affectant les recrues dans des zones où ils ne pouvaient pas se rencontrer. On sait que le cas s’est pourtant produit.
Une idée pour trouver une trace de tout cela, à partir de la loi de 1889 sur la nationalité française, les étrangers résidant en France devaient se déclarer en mairie. Votre arrière grand-mère a du le faire si elle vivait encore à Paris. Il faut alors fouiller dans les archives de la Ville de Paris.
Leonor
4 décembre 2016 @ 20:33
Eh bien voilà, c’est fait : Pierre-Yves nous fournit les informations nécessaires. Merci , Pierre-Yves.
Jean Pierre
5 décembre 2016 @ 19:29
Heu ! Moi c’est Jean Pierre !
PY a tourneboulé Leonor.
Muscate-Valeska de Lisabé
7 décembre 2016 @ 16:23
Obsession,quand tu nous tiens! ;-))
Gibbs ?
4 décembre 2016 @ 09:15
Si mon excellent coiffeur la voyait, je crois qu’il ferait un malaise et aurait beaucoup de plaisir à lui structurer cette coiffure fort improbable et moche !
Sorbet
4 décembre 2016 @ 10:28
Maxima profite de la cassette royale quitte à ce déguiser en sapin de Noël, mais les vêtements de ses filles laissent à désirer , par contre pour elle rien n’est laissé au hasard
Sorbet
4 décembre 2016 @ 10:29
Admirez moi
Muscate-Valeska de Lisabé
5 décembre 2016 @ 17:36
Où ça,où ça? ;-))
Danielle
4 décembre 2016 @ 11:43
C’est très bien de rendre hommage à des personnes de la famille royale par l’intermédiaire de prix.
Tenue très originale pour Maxima.
Cosmo
5 décembre 2016 @ 23:23
Il aurait mieux valu appeler ce prix « Fonds secrets Prince Bernhard »…quand on sait combien celui-ci aimait toucher des pots-de-vin.