Les funérailles de Gonzague Saint-Bris auront lieu lundi 14 août 2017 à 14 heures en la Collégiale Saint Denis à Amboise. Le festival littéraire « La forêt des livres » dont il était l’initateur, est bien maintenu au 27 août prochain à Chanceaux-près-Loches en Touraine. On apprend de plus que l’état de santé de la compagnie de Gonzague Saint-Bris, Alice Bertheaume, grièvement blessée dans l’accident, s’est nettement amélioré et est à présent hors de danger.
gouline
12 août 2017 @ 06:29
Le Festival est bien maintenu et non pas maintenue.
Notsag
12 août 2017 @ 10:07
Je trouve très déplacé de votre part votre remarque de faute d’accord de verbe envers madame Régine Salens !!! « Normal », elle qui en lit tant et tant dans tous les commentaires émis !!! (Je précise que je ne parle pas pour les personnes dont la langue maternelle n’est pas le français)
Bernadette
12 août 2017 @ 13:30
D’accord avec vous Notsag !
caroline23
12 août 2017 @ 16:48
?
mimi
12 août 2017 @ 15:11
il arrive à tout le monde de faire une faute d’orthographe, il n’est pas nécessaire de le relever ici…çà tombe sous le sens..
MIKA
13 août 2017 @ 22:49
Sans compter qu’avec nos tablettes et autres IPad, la correction automatique nous fait parfois écrire un mot à la place d’un autre, sans que l’on y prenne garde…
Mary
14 août 2017 @ 21:41
C’est très agaçant d’ailleurs !
Cheveyre
14 août 2017 @ 06:44
remercions donc Régine de nous offrir d’autant d’informations, au lieu de lui faire souligner une faute d’orthographe … mais, vous êtes sûrement professeure agrégée en orthographe …
Actarus
12 août 2017 @ 07:44
Il n’y a aucune raison d’annuler le festival. Le maintenir, c’est le plus bel hommage que l’on puisse rendre à son créateur.
C’est pour cela que je n’ai jamais compris l’arrêt du feuilleton Chateauvallon, comme si l’accident de Chantal Nobel devait tout interrompre. Il suffisait de faire disparaître Florence Berg dans un accident d’avion et de relancer l’intrigue. « Dallas » ne s’est pas arrêté quand Jim Davis est mort, et pourtant, on a parlé de Jock Ewing jusqu’au dernier épisode, dix ans plus tard !
Denis
12 août 2017 @ 13:30
En même temps, la disparition de » Châteauvallon » n’est pas apparue comme une catastrophe internationale, non plus …des feuilletons du même tonneau ne manquaient pas pour peu qu’on tienne vraiment à se consoler de son absence …
Le vrai dommage réside dans le cas de Chantal Nobel qui est restée handicapée , à vie après son accident …
Actarus
12 août 2017 @ 19:31
Le « Dallas » français (avec une dose de « Falcon Crest » étant donné le vignoble bordelais et le milieu de la presse) n’a duré qu’une saison de 26 épisodes à cause de Sacha Distel…
(Il paraît qu’avec Chantal, il a tenté de briser la glace et de recoller les morceaux par la suite, mais sans succès ^^)
Cela n’avait rien d’une catastrophe télévisuelle, mais l’anecdote a révélé l’incapacité des créateurs français à rebondir pour inscrire leur oeuvre dans la durée. Américain, le feuilleton aurait quitté l’antenne faute d’audience, et non en raison de la défection d’une actrice. Les scénaristes auraient trouvé le moyen de relancer l’action malgré cette carence.
labama
12 août 2017 @ 09:55
Je pense à sa compagne qui vivra avec le syndrome du survivant
bianca
12 août 2017 @ 16:39
Ce doit être terrible pour elle en effet…Pauvre dame !
Danielle
12 août 2017 @ 13:40
Maintenir le festival est une bonne idée, comme dans les années suivantes, ainsi c’est rendre hommage à cet homme.
Caroline
12 août 2017 @ 22:54
Hélas, la disparition d’un romantique !
N’a-t-il pas eu d’enfants ? Ni des neveux portant son nom de famille?
Mary
14 août 2017 @ 21:45
Je ne pense pas,mais il a eu je crois,un père d’une sévérité barbare et peut-être n’a-t-il pas voulu être père à son tour ?
monica
17 août 2017 @ 09:29
Il lui reste frères et 1 soeur ayant des enfants
Dorothée
13 août 2017 @ 10:36
Son frère ainé est aussi décédé (à 57 ans) d’un accident de la route !
Nefertiti
13 août 2017 @ 11:56
Je suis vraiment désolée pour la compagne de Monsieur Gonzague Saint-Bris, et surtout pour lui qui a perdu la vie. Roulait-elle à vive allure? J’ai eu la grande chance d’avoir reçu ses livres dédicacés. Courage à sa compagne, elle en aura besoin.
Dehove
14 août 2017 @ 11:42
Cet après-midi, à 14 h, une pensée, et pour les croyants, une prière…
mimi
14 août 2017 @ 15:05
j’aimais bien Gonzague de Saint Bris, j’ai eu la chance de l entendre à la gare de Valence,il présentait un de ses livres, dans un wagon de l Orient Express, tres beau aussi.pas pédant du tout, agreable à écouter, habillé un peu dandy, mais celà lui allait bien.il a vecu au Clos Lucé donc,ce n’est pas une maisonb ordinaire.je l’avais vu et visité.
Ludivin
16 août 2017 @ 06:00
Proche ou non, la disparition d’une telle personnalité est un événement toujours difficile à recevoir.
Les écrivains ont cette tendance, plus que d’autres, à se pencher sur l’humanité, en commentant ou décrivant les joies comme les affres de l’homme, dans les circonstances de vie tellement diverses.
Le livre a cette magie de pouvoir décrire ces circonstances, décrypter les comportements et vulgariser par ce partage, ce que nous sommes réellement, par ce miroir ainsi proposé.
Que Gonzague en soit remercié, que nos prières l’accompagnent et que la participation à l’événement littéraire prévu fin août, son cadeau à ceux qui restent, soit la plus belle des façons de l’en remercier.