Funérailles de la comtesse Mountbatten en l’église Saint Paul de Knightsbridge à Londres en présence de la reine Elizabeth, du duc d’Edimbourg, du prince de Galles (son filleul), de la princesse royale et de son époux, du duc d’York, de la comtesse de Wessex, du duc de Kent et du prince de Kent, et de lady Sarah Armstrong-Jones (fille de la défunte princesse Margaret). (Merci à Anne et Severina – Copyright photos : Getty images, et The Daily Mail)
Le prince de Galles saluant sa mère la reine Elizabeth
La reine Elizabeth et le duc d’Edimbourg
Le duc d’York
La comtesse de Wessex
Le duc de Kent et son frère le prince Michael de Kent
Lady Sarah Armstrong-Jones
Dagobert 1er
28 juin 2017 @ 07:57
Un cercueil de chez Fortnum and Masson avec shortbread et des boîtes de thé compris pour le dernier voyage ?
Gérard St-Louis
28 juin 2017 @ 13:32
Merci Dagobert 1er, vous m’avez donné le premier rire du matin…
MIKA
28 juin 2017 @ 13:49
Exact Dagobert ! Cela m’a meme fait penser aux paniers pique nique !??
Teddydaniel
28 juin 2017 @ 17:06
Un cercueil pour être incinéré
En osier
Ses cendres serontcmise dans une urne
marielouise
29 juin 2017 @ 20:58
J’adore l’idée de ce cercueil en osier…je le veux!
ml
Muscate-Valeska de Lisabé
30 juin 2017 @ 13:23
Le plus tard possible,ma Douce!!♡♡♡
Mister M
28 juin 2017 @ 19:16
Je constate que seul le cercueil en osier intéresse les participants à ce blog ! Étonnant ! Pourtant Patricia Mountbatten était une belle et grande dame et je suis certain que la famille royale a été profondément attristée quand sa disparition est survenue ! Quant aux sourires des uns et des autres, on ne pleure pas forcément lors des funérailles ce qui ne veut pas dire qu’on est indifférent !
Dagobert 1er
28 juin 2017 @ 21:00
pour information : prix du cercueil 520 £!
Aper
28 juin 2017 @ 08:12
Quelle tenue de deuil un peu trop « mode » pour Sophie de Wessex….
Lutz
28 juin 2017 @ 19:51
On ne doit pas commenter ces betises.
lilas
28 juin 2017 @ 08:15
Encore un coup dur pour la Reine.
Corsica
28 juin 2017 @ 08:23
Je sais qu’il existe des cercueils en carton mais c’est la première fois que je vois un cercueil en osier. Je trouve cela très bien surtout si il y a ensuite incinération. D’un point de vue écologique, il est aberrant que l’on fasse brûler un cercueil de bois, notamment de chêne, car en France, la messe ne peut être se faire qu’exceptionnellement en présence des cendres. Ce qui n’est pas le cas dans d’autres pays où j’ai pourtant assisté à des obsèques catholiques.
Dorothée
28 juin 2017 @ 12:16
Je ne comprends pas votre commentaire Corsica, on incinère après la messe ! donc les cendres ne sont pas dans l’église ????
Je trouve aussi très bien d’un point de vue écologique ou financier que les cercueils soient de carton voire d’osier et surtout pas de tape à l’œil pour un somptueux cercueil qui vraiment n’est pas nécessaire !
Corsica
28 juin 2017 @ 12:41
Dorothée, en France on incinère après la messe mais ce n’est pas le cas partout. Loin de là . Effectivement selon les rites catholiques, la messe de funérailles doit être faite en présence du corps et non des cendres placées dans une urne car ces cendres symbolisent la destruction de la dépouille corporelle du défunt. En France, sauf circonstances exceptionnelles (morts lointaines, corps rapatriés etc. ) et après dérogations obtenues des autorités religieuses compétentes, l’on ne fait aucune messe en présence d’une urne alors que, dans d’autres pays, cela se fait systématiquement dès qu’il y a volonté de crémation.
Dorothée
28 juin 2017 @ 20:22
Merci pour votre réponse Corsica, j’ignorais que des funérailles puissent se célébrer avec les cendres du défunt dans une urne !
Marie1
28 juin 2017 @ 13:10
Il me semble que pour le frère de Camilla Mark Shand, c’était également un cercueil en osier.
Edwige
29 juin 2017 @ 10:52
Il me semble aussi m’en souvenir.
Haut-Landaise
28 juin 2017 @ 14:30
Dorothée, Ici on incinère après la messe. Une seule fois j’ai assisté à une messe avec l’urne des cendres et j’ai trouvé ça plus éprouvant que devant un cercueil. Chacun son ressenti. HL
MARIA (ESPAGNE)
28 juin 2017 @ 18:20
Et pour la Duchesse de Devonshire, Deborah Mitford, aussi.
ANNIE
28 juin 2017 @ 14:45
oui ; Dorothée on insinère après la messe en France donc à l’église on a le cercueil et non une urne avec les cendres
, il est vrai qu’il est très rare d’avoir une urne durant la messe ; c’est exceptionnel et pourtant ce serait plus facile mais bien sur ceci couterait moins cher aux familles donc………………sousous en moins !!!!!l la réponse est là ……..une question de fric et de tradition qui aurait bien besoin d’être dépoussièrée……
Leonor
29 juin 2017 @ 21:11
En l’occurrence, non, ce n’est pas une question de gros sous.
Corsica l’a très bien expliqué.
La » résurrection de la chair » est un article de foi, qui figure dans le Credo. D’où l’habitude ancrée de la présence du corps, autant que possible, lors des funérailles chrétiennes.
Ceci dit, cet article de foi, et surtout le terme de » chair » ont suscité à travers les siècles des discussions sans fin. Saint Augustin d’abord !
bianca
5 juillet 2017 @ 19:56
Je me permets de préciser Annie qu’une crémation est « presque » aussi coûteuse que des obsèques traditionnelles et plus longues dans la durée, la messe a lieu en général le matin et la crémation l’après-midi, c’est très très éprouvant pour les familles qui avaient toujours assisté à des obsèques traditionnelles, mais la volonté des défunts respectée.
Gérard St-Louis
29 juin 2017 @ 12:37
Au Canada, toutes les églises incluant l’Église catholique permettent les funérailles en présence des cendres. C’est beaucoup moins onéreux. On sauve les frais d’embaumement et le cercueil de bois. Il commence également à se faire de « l’aquamation » au lieu de l’incinération, ce qui est beaucoup plus écologique. Le corps est composé de 65% d’eau. Chaleur et alcanité dans une eau en circulation permettent d’accélérer le processus d’hydrolyse des tissus. Les os sont ensuite broyés.
Leonor
29 juin 2017 @ 21:14
Gérard, le cercueil en bois n’est pas forcément cher, si l’on ne prend pas du vieux chêne, bien entendu.
D’autre part, l’embaumement n’a rien d’obligatoire.
Ceci étant dit, je ne suis ni pour ni contre l’incinération. Chacun son choix.
June
28 juin 2017 @ 12:25
@Corsica,
Deborah Mitford, duchesse de Devonshire avait elle aussi un de ces magnifiques cercueils en osier pour son grand départ !
Je pense (j’espère…) que l’osier recouvre un autre contenant… ;) !
Anthoine
28 juin 2017 @ 21:25
Corsica, il existe un cahier des charges des crematoriums pour les cercueils destinés à l’incinération. Ils ne sont jamais en chêne, trop long à brûler, mais en bois tendre. Les poignées et visseries sont également dans une matière combustible spéciale. Les entreprises de pompes funèbres sont tenues de respecter ces normes pour les tentants modèles soumis à notre choix…
Corsica
29 juin 2017 @ 08:30
Anthoine, merci de m’informer mais, il y a un an, pour les funérailles de mon père, l’agence de pompes funèbres ne nous a pas proposé de cercueils adaptés à la crémation.
Danielle
29 juin 2017 @ 18:06
Corsica, c’est étonnant car dans les deux cas, les cercueils et accessoires sont différents ; j’ai vécu ces situations l’année dernière et chaque fois les précisions ont été données.
Leonor
29 juin 2017 @ 21:19
Elle aurait dû, elle aurait dû, amie Corsica.
Comment dire, sans vous retourner le couteau dans la plaie ?
Les entreprises qui font cela ( ne pas proposer etc), c’est effectivement qu’elles voient plus d’intérêt financier à vendre un cercueil beaucoup plus cher.
Quant aux poignées et huisseries spéciales, vous rêvez, Anthoine… C’est la version officielle, mais pas la vraie.
Soyons crue : poignées et huisseries se dévissent, et … resservent.
Eh oui.
Corsica
30 juin 2017 @ 01:02
Leonore, d’après vos propos, ceux d’Anthoine et de Danielle, quelqu’un a effectivement choisi d’augmenter sa prime au rendement ou sa marge bénéficiaire. C’est vraiment profiter d’une situation où les réflexes habituels sont émoussés.
Danielle
30 juin 2017 @ 10:53
Corsica, oui, vous avez malheureusement été bernée mais ne nous voilons pas la face, le business est encore et encore le nerf de guerre dans tous les domaines !
Leonor
30 juin 2017 @ 11:57
Corsica, la réponse est, hélas, oui.
Pratique courante, ce qui ne la rend ni morale, ni même légale – puisqu’il faut faire la différénce.
Je ne jette pas la pierre EN GENERAL aux entreprises funéraires. C’est un métier difficile, que peu de gens sont capables de faire. Beaucoup font bien leur travail.
Mais d’aucuns – des brebis galeuses, comme dans n’importe quel secteur d’activité – profitent effectivement et de la situation des gens, et de la rapidité nécessaire aux décisions, le tout empêchant la famille de réfléchir comme elle le ferait dans n’importe quel autre acte d’achat de service.
Pour des raisons professionnelles, je connais bien le problème – et ce monde. Il ne s’agit donc pas ici de suppositions ou d’assertions fantaisistes.
Et, Corsica, je suis désolée que ce soit moi qui vous confirme cela.
A retenir en général :
1. En cas de décès , et s’il y a entente dans la famille, il est bon que ce soit le moins concerné ( = le moins enfoncé dans la peine) qui traite avec l’entreprise. Il sera plus à même de poser les bonnes questions, et d’exiger les bons devis, …. comparatifs.
2. En France, le délai entre décès et inhumation ( ou crémation) est de six jours en principe. Certes, plus ce temps » intermédiaire » est long, plus il est dur à vivre pour la famille. Mais plus il donne le temps ET d’intérioriser le départ du défunt donc à l’admettre un tant soit peu; ET de traiter calmement avec les entreprises funéraires.
Lesquelles jouent souvent sur cette question de délai, en tentant de le faire accroire plus court, sachant très bien que cela empêche les gens de réfléchir.
Re-pensées cordiales, Corsica.
Corsica
30 juin 2017 @ 16:56
Amie Leonor, étant fille unique, j’étais la seule à pouvoir prendre une décision, sans compter que lorsque je suis allée à la mairie puis à l’agence des pompes funèbres, il fallait agir vite car mon père était décédé à la maison et je ne voulais pas qu’il reste chez mes parents par rapport à ma mère souffrant de démence dégénerative et ne comprenant pas que son époux de presque 70 ans de mariage était décédé. Quant à moi, je venais d’arriver le matin même d’un long vol en provenance d’Asie… Le pigeon parfait. That’s life. Cordialement.
Anthoine
1 juillet 2017 @ 09:43
Leonor, dévisser les poignées doit être une coutume alsacienne… J’ai assisté à des crémations à Lyon, et la bière pénètre dans le four avec toute la quincaillerie. Je ne vois vraiment pas comment on pourrait la récupérer ensuite…
Leonor
1 juillet 2017 @ 20:54
Laissez donc l’Alsace tranquille, Anthoine. Cela vaudra mieux pour vous.
Ce n’est pas de coutume que je parle, c’est de trafics illicites.
Petit rappel : si les crématoriums actuels proposent aux familles et autres d’assister à l’introduction de la bière dans le four, cela n’a pas été le cas pendant longtemps, d’une part. D’autre part, relativement peu de familles acceptent cette proposition. Cela vaut mieux : on en ramasserait pas mal d’évanouis.
Vous êtes libre de ne pas croire ce que j’écris , Anthoine.
Moi, que voulez-vous, j’en crois ce que mes yeux voient. Et s’il n’y avait que cela …
Bon. Passons à autre chose.
Anthoine
29 juin 2017 @ 23:04
Dans ce cas je crains, Corsica, que vous ayez payé au prix fort un modèle qui était forcément fait pour la crémation. Il y a beaucoup d’arnaques de ce genre dans le maquis des pompes funèbres.
Leonor
30 juin 2017 @ 12:02
Non. Un modèle n’est pas forcément » fait » pour la crémation. Tout bois brûle. Plus ou moins vite et fort, mais il brûle. L’entreprise de PF a financièrement intérêt à vendre le cercueil le plus cher possible.
Corsica
30 juin 2017 @ 16:58
À vous tous, Anthoine, Danielle et Leonore, je dis merci car, la prochaine fois, je ne me ferai pas avoir une deuxième fois.
Leonor
1 juillet 2017 @ 20:55
Corsica, on vous souhaite que » la prochaine fois », ce soit dans un avenir le plus lointain possible.
Trianon
29 juin 2017 @ 11:28
tentants, tentants…comme vous y allez..:))
Muscate-Valeska de Lisabé
1 juillet 2017 @ 15:00
Hahaha…bien vrai, Trianon…je ne connais pas encore ce genre de »tentations » ;-))!
Trianon
1 juillet 2017 @ 17:14
Moi non plus..:))
Marc
28 juin 2017 @ 08:27
Curieux cercueil …en osier ? Destiné a la crémation ?
Grand deuil pour la Famille Royale, ….Famille Royale très souriante….
adriana
28 juin 2017 @ 08:38
quelle est belle sophie de wessex
milleroses
28 juin 2017 @ 08:40
Le jour venu,j’aimerais que mon cerceuil ressemble à celui là
Julie W.
28 juin 2017 @ 13:42
Idem. Beaucoup moins morbide et impressionnant qu’un « classique » cercueil.
Anthoine
28 juin 2017 @ 21:33
De nos jours, on peut faire customiser son dernier paquetage, peint façon formule 1 ou d’une artistique pin-up alanguie genre calendrier de camionneur. Ce n’est pas du meilleur goût mais succès de curiosité garanti ! S’y prendre à l’avance de préférence afin que la peinture sèche avant vous…
Trianon
29 juin 2017 @ 11:29
grosse rigolade en vous lisant…mon café est renversé sur mon clavier, c’est malin!:)
Haut-Landaise
30 juin 2017 @ 14:36
J’ai vu un modèle « voilier » sur fond bleu qui m’aurait bien plu… dans quelques années. HL
clémentine1
28 juin 2017 @ 15:18
moi aussi j’aimerai bien mais comme je n’en aurai aucun …
Leonor
29 juin 2017 @ 21:21
Comment ça, vous n’en aurez aucun ?
Corsica
30 juin 2017 @ 00:56
Leonore, Clémentine envisage probablement de donner son corps à la médecine et de partir sans funérailles.
Leonor
30 juin 2017 @ 12:04
Ah oui, c’est vrai, c’est possible. Je n’avais plus pensé à cela.
Je venais de lire les commentaires sur linceul-pas cercueil : c’est à cela que je pensais, sachant que c’est interdit en France.
KOROBAZE
28 juin 2017 @ 08:49
Etrange comme cercueil ce panier en osier…….
Baboula
28 juin 2017 @ 13:07
La duchesse douairière de Devonshire,le frère de Camilla,ont eu le même type de cercueil.Souci écologique,cet osier tressé est moins polluant que le bois avec tous ses vernis .
Anthoine
28 juin 2017 @ 21:35
Avec l’osier, « allez les vers » !
Margaux ?
29 juin 2017 @ 11:07
Réaction très malvenue, puisque l’osier est réservé aux crémations.
Leonor
29 juin 2017 @ 21:21
Avec le bois aussi. Juste une question de temps.
Muscate-Valeska de Lisabé
30 juin 2017 @ 13:26
Même pas,Léo,puisque ça vient du dedans. ..Oh,mais quelle conversation!…c’est nauséabond! ^^ ;-))
Leonor
1 juillet 2017 @ 20:58
Eh oui, Muscate, conversation pas drôle.
mais c’est justement parce que, dans notre civilisation, on veut ignorer la mort et ses données concrètes, que les familles sont une proie toute désignée pour celles des entreprises de PF qui ne sont pas très clean.
Guyard
28 juin 2017 @ 09:03
Parrainages royaux, parentés et descendance de la défunte http://geneanjou.blog.lemonde.fr/2017/06/14/patricia-mountbatten-1924-2017/
Patricio
28 juin 2017 @ 12:06
Merci Guyard pour ce petit rappel.
Amitié
Patricio
Laurent F
28 juin 2017 @ 09:09
Etrange ce cercueil en osier !
PHILIPPE GAIN d'ENQUIN
28 juin 2017 @ 12:43
C’est la nouvelle « Nouvelle Malle des Indes… »
Ghislaine-Perrynn
29 juin 2017 @ 07:37
excellent
aggie
28 juin 2017 @ 13:00
déjà vu, notamment aux obsèques de Marc Shand
http://augrenierdantan.centerblog.net/2631-obseques-de-mark-shand
mimi
28 juin 2017 @ 09:09
la REINE en bleu marine….cela change sa silhouette, mais pas gai..
Dorothée
28 juin 2017 @ 12:18
Ah bon, vous voyez du bleu marine ? moi du noir !
June
28 juin 2017 @ 09:28
Incroyables ces cercueils en osier qui donnent aux funérailles un petit air de fête champêtre .
Un bon départ pour l’au-delà ;) !
Leonor
30 juin 2017 @ 12:05
Ben, c’est toujours une histoire de pissenlits dans le décor …
MAFLOER
28 juin 2017 @ 09:38
Une femme simple a en jugé son cercueil…
Lionel
28 juin 2017 @ 19:39
Cette femme simple a jugé son cercueil ? Etonnant !
Lars de Winter
28 juin 2017 @ 09:44
Concert en..noir. Tres propre!
Danielle
28 juin 2017 @ 10:12
La famille royale est très présente pour ces obsèques.
Nous avons déjà vu un tel cercueil, très écologique, j’aime.
Dommage que nous ne voyions que très rarement la fille de la princesse Margaret.
dradomir
28 juin 2017 @ 10:17
Visiblement ces funérailles étaient joyeuses pour certain(e)s…
J’en ai connu dans ce beau pays moins enjouées…
Muscate-Valeska de Lisabé
28 juin 2017 @ 12:14
Quand une personne très âgée s’en va, c’est attendu depuis longtemps et le chagrin en est amoindri…Le couple royal,lui aussi,en partant,fera peut être de la peine à certains,mais ce sera sans surprise, tout le monde y étant préparé parfaitement et depuis longtemps.
Actarus
28 juin 2017 @ 12:24
Eh bien oui, c’est l’occasion de revoir la famille… Je n’aime pas les funérailles où les gens font des têtes d’enterrement ! ^^ On ne doit pas s’empêcher de sourire aux autres parce que l’on est en deuil.
Si j’ai bien suivi, la défunte était la cousine germaine du prince Philippe.
lilas
28 juin 2017 @ 20:18
C’est malheureusement une occasion de voir la famille.Les gens se déplacent plus pour un enterrement que pour un mariage.
Moi aussi, je n’aime pas les pleureurs !
Dorothée
28 juin 2017 @ 13:44
Bien évidemment Muscate et puis c’est différent lorsque la personne est jeune ou alors décède subitement. Personne n’est alors préparé.
Philipp ou même la reine ne provoqueront pas les cris de douleur des anglais comme pour Diana, même si la peine est présente et bien réelle;
Bernadette
28 juin 2017 @ 13:44
Je ne peux qu Ȑtre en accord avec vous Muscate !
Tout est dit et bien dit !
dradomir
28 juin 2017 @ 19:22
Arf que nenni ! L’âge n’a rien à voir !
Par ailleurs, dans des occasions bien plus « festives » certain(e)s ne s’empêchent pas de tirer la tronche…
Margaux ?
29 juin 2017 @ 11:18
Belle réponse.
Personnellement, je pense qu’il est normal de pleurer la perte d’un être cher, pourtant je n’apprécie pas du tout les cortèges de larmes. Lors du décès de ma grand-mère, j’ai craqué à la fin de la cérémonie religieuse mais je suis restée droite et digne tout le reste du temps. J’étais pourtant très malade à ce moment…
Le décès d’une personne âgée est toujours prévisible.
Je préfère alors me rappeler des bons moments et en sourire.
Caroline
28 juin 2017 @ 11:15
Pourquoi un cercueil en osier ? Pas en bois comme d’habitude!
On revoit avec plaisir le duc d’Edimbourg plus droit que jamais comme un I, la reine a rapetissé avec l’age, mais aussi énergique qu’avant !
Margaux ?
29 juin 2017 @ 11:18
C’est un cercueil destiné à l’incinération. ?
beji
28 juin 2017 @ 11:48
Ce sont bien les anglais,un cercueil en osier et surtout les boîtes de thé pour le dernier voyage !
Moi,le jour venu, je veux le même cercueil que celui de la reine Fabiola couleur
mastic.
Muscate-Valeska de Lisabé
28 juin 2017 @ 12:09
Au Liban, chez les musulmans,pas de contenant,nous sommes simplement enveloppé d’un linceul de tissu blanc,et déposé au coeur et en contact avec la Terre qui nous a fait naître. ..ainsi nous nous fondons sans obstacle en Elle.
L’osier, léger, est une pensée sympathique pour les pauvres porteurs.
RIP.
Dorothée
28 juin 2017 @ 13:41
Vous vous ferez donc enterrée de la sorte alors Muscate ? même si pas musulmane ?
Oui, d’autre part l’osier est plus léger que les horribles (pour moi) cercueils en acajou massif !
Muscate-Valeska de Lisabé
29 juin 2017 @ 13:18
En fait, cela m’importe peu…je crois fermement que ma dépouille sera vide et ne me concernera plus.
Leonor
30 juin 2017 @ 12:07
Nous partageons cette idée, Muscate. Le corps n’est alors plus qu’une dépouille. Mais qui mérite d’être traité avec respect encore une fois.
Bernadette
28 juin 2017 @ 13:51
Poussiere, nous retournons à la poussière ! Les musulmans ont bien compris cela, nous par contre on a encore des progrès à faire dans ce domaine, et surtout à méditer ! Mais on ne prend plus le temps !
Jakob van Rijsel
28 juin 2017 @ 16:53
Un peu de mal suivre ce que vous voulez dire Bernadette
Bernadette
29 juin 2017 @ 14:32
Je veux dire que nous faisons des tombes sur des caveaux et finalement à quoi bon ? Ce n’est vraiment pas necessaire…nous retournons à la terre de toute façon . Les musulmans sont logiques…sur ce point.
Leonor
29 juin 2017 @ 21:26
Bernadette : en pays de traditions germaniques, pas de caveaux : enterrement en pleine terre. Avec cercueil, mais en pleine terre.
Ashes to ashes. Tu es poussière, et tu retourneras à la poussière.
Les caveaux, c’est une horreur.
Danielle
30 juin 2017 @ 10:56
Bernadette et Leonor, entièrement d’accord avec vous.
bianca
5 juillet 2017 @ 20:14
Après une crémation l’urne est placée dans un colombarium pour une durée déterminée, à renouveler après la fin de celle-ci.
Tout comme la sépulture traditionnelle de mes beaux-parents pour une autre durée, sinon leurs cendres allaient rejoindre celles d’autres défunts dans la fosse commune du cimetière…Tout bénéfice dans ce cas pour le cimetière qui revendra l’emplacement et je pense récupérera la pierre tombale de belle qualité restée dans un état impeccable !
Laurent F
28 juin 2017 @ 14:16
Allez enterrer un défunt 15 jours après son décès dans un linceul, ça m’étonnerait que beaucoup de monde résiste.
Dagobert 1er
28 juin 2017 @ 15:55
les « délais » sont beaucoup plus long en Angleterre, parfois jusqu’à 3 semaines!
Anthoine
28 juin 2017 @ 21:42
C’est bien pour ça, Laurent, que les musulmans enterrent dans les vingt-quatre heures qui suivent le trépas. De nos jours, on voit des défunts congelés squatter quinze jours durant une chambre funéraire. C’est ridicule.
Laurent F
29 juin 2017 @ 07:37
N’est pas Jésus qui veut !!!!
Actarus
29 juin 2017 @ 12:53
Il y a mieux que ça. Au Canada, compte tenu des conditions hivernales, le passage au frigo peut durer des mois car le sol est gelé. Alors soit les défunts attendent le printemps dans la chambre froide, soit ils se font incinérer.
J’ai découvert cela quand le faire-part d’un homme décédé début février annonçait l’enterrement pour le mois de mai. ;-)
Muscate-Valeska de Lisabé
29 juin 2017 @ 13:16
Merci Anthoine…effectivement, tout est fait en moins de 24h.
AnneLise
29 juin 2017 @ 19:10
Chez les Protestants aussi, « la terre appelle la terre » j’ai toujours entendu ma Grand-Mère, fille de Pasteur, prononcer ces mots et nous avons, bien que Catholiques, respecté son voeu.
Pas de faire-part non plus, seuls les proches et ceux qui ne l’avaient pas oubliée, étaient présents.
Margaux ?
29 juin 2017 @ 11:19
L’embaumement n’est pas un luxe pour une telle dame.
Leonor
30 juin 2017 @ 12:10
Oui…. Euh… L’embaumement, ça aussi, c’est une pratique que les PF essaient de vendre de plus en plus.
D’accord, d’accord, c’est ancestral. mais seulement dans certaines civilisations – rares – , puis dans certains milieux ( royaux). Mais c’est tout.
Par contre, hé oui, ça fait une ligne de plus à ajouter sur la facture . Toujours ça de pris. Et personne ne va aller y regarder de près, au travail des thanatopracteurs. Ca vaut mieux d’ailleurs. Il y aurait de quoi en faire, des signalements au proc’ ….
Margaux ?
30 juin 2017 @ 17:18
Leonor, parfois l’embaumement est nécessaire, par exemple lorsque le corps doit voyager. D’autres fois, l’état du corps est tel qu’il est nécessaire de procéder à des soins de conservation. Ce qui est plus « léger » que l’embaumement. ?
Leonor
2 juillet 2017 @ 11:18
Oui, d’accord, Margaux. mais ça, c’est autre chose.
Et encore, tout dépend de quel type de voyage.
Cordialement.
Margaux ?
2 juillet 2017 @ 23:10
En effet. ?
Trianon
29 juin 2017 @ 11:31
c’est pareil en France, pour les moines ou les religieuses
Leonor
29 juin 2017 @ 21:32
En France, l’enterrement simplement en linceul est interdit.
Musulman ou pas.
Cercueil obligatoire.
Muscate-Valeska de Lisabé
30 juin 2017 @ 13:29
Vrai.
Margaux ?
30 juin 2017 @ 17:19
Oui, c’est vrai.
Cosmo
28 juin 2017 @ 11:56
Tout ce petit monde, à commencer par la reine, n’a pas l’air bien triste.
Actarus
28 juin 2017 @ 12:35
Coucou ;-)
Je crois qu’il y a une différence entre dire adieu à une vieille dame de 94 ans qui s’est éteinte dans son grand âge, et se départir d’une personne beaucoup plus jeune qu’une maladie ou un accident aurait emportée.
Les circonstances ne sont pas les mêmes. Dans le cas présent, il n’y a pas vraiment lieu d’arborer de lugubres faces de Carême. ^^
bianca
28 juin 2017 @ 17:49
Il est possible de se consoler si cette dame durant toute sa vie a été heureuse et en a apprécié toutes les joies contrairement à d’autres !
Laurent F
28 juin 2017 @ 14:17
Elle n’était qu’une cousine germaine de son époux et une lointaine cousine de son côté.
Gérard
28 juin 2017 @ 18:05
Oui mais pour la reine elle était surtout et depuis toujours l’une de ses meilleures amies et la dernière de son âge et de sa génération, la dernière personne avec le prince Philip (mais ce n’est pas ainsi qu’il l’appelle) qui pouvait l’appeler Lilibeth.
Le duc et la duchesse d’York était très amis avec les Mountbatten.
La défunte comtesse comme le rappelait Point de vue avait dit un jour à la reine que finalement on pourrait élever une statue à la duchesse de Windsor, que toutes les deux considéraient comme une mauvaise fée, la reine fut surprise et sa cousine ajouta : c’est quand même grâce à elle que tu es devenue reine.
Ce fut certainement en effet une grâce pour le Royaume-Uni, le Commonwealth et le monde.
Elle racontait aussi, la comtesse, que toute petite elle impressionnait Élisabeth qui avait deux ans de moins qu’elle seulement et elle s’en étonnait un peu. Cependant tout le monde décrit la défunte comme une personne plutôt austère.
Margaux ?
29 juin 2017 @ 11:23
La reine et Lady Mountbatten ont grandi ensemble. Ces liens là dépassent souvent ceux de la famille.
clémentine1
28 juin 2017 @ 15:28
j’ai eu une crise de fou rire le jour des funérailles de mon époux, parti trop jeune et trop tôt à mon goût. Les larmes sont venues après, quand j’étais seule.
Leonor
29 juin 2017 @ 21:33
Clémentine 1, c’est l’une des réactions standard, bien connue des professionnels. Rare, mais bien répertoriée.
Leonor
30 juin 2017 @ 12:17
Moi, j’ai éclaté de rire devant le cercueil de ma mère . L’un de mes fistons avait si énergiquement agité le goupillon par-dessus la gerbe déposée sur le cercueil de sa grand-mère que la » tête » du machin ( la partie en forme de boule, trouée , qui contient l’eau bénite) s’est détachée du manche, s’est envolée dans un bel arc mouillé au-dessus de l’ensemble, pour atterrir, ploc,pflatsch au-milieu des fleurs.
Au grand dam du croque-mort, qui s’est précipité dessus en pestant et jurant, pour fouiller dans les gerbes à la recherche du bidule.
Mes frères et moi étions pliés de rire, et j’ai cru entendre mon père , du haut du ciel ( ?) nous insulter tous en rigolant lui aussi .
Y’a de ces épisodes en la matière … :-))
Va falloir que j’écrive un bouquin, un jour ….
Corsica
1 juillet 2017 @ 13:16
Ma chère Leonore, vous décrivez si bien cette scène digne d’un film de Gérard Oury, que l’on a l’impression d’y être. Je ne vois pas comment avec le stress et vraisemblablement la fatigue vous pouviez pas ne pas rire, nerveusement peut-être, mais quand même rire. De toute façon, les rires, comme les pleurs, sont des mécanismes propres à soulager des tensions devenues trop importantes. Bon week end.
Leonor
2 juillet 2017 @ 11:26
:-DD.
Oui, c’est exactement cela.
En l’occurrence, c’était certes une séparation, mais notre mère âgée de plus de 90 ans ayant vécu sa vie, et accepté voire souhaité son » départ », sa mort était dans l’ordre des choses. Enfin, l’ordre des choses que la nature nous impose.
C’est très différent de la mort d’un conjoint ou, pire, d’un enfant.
Et ici , la situation le permettant, l’humour ayant toujours eu droit de cité dans la famille, il était bel et bien présent.
Mais, en effet, le rire est bien le mécanisme que vous décrivez, y compris dans des situations vraiment dramatiques . Le mécanisme est bel et bien répertorié , et connu des professionnels. Peu de gens le savent. Beaucoup peuvent donc s’en offusquer.
Bon dimanche à vous aussi, Corsica.
Huguette
28 juin 2017 @ 12:40
Pour mémoire, le cercueil de Deborah née Mitford, duchesse de Devonshire (1920-2014)
http://p5.storage.canalblog.com/54/57/729842/99332869.JPG
Mayg
28 juin 2017 @ 12:40
Drôle de cercueil.
Elsi
28 juin 2017 @ 12:40
Alors le cercueil ….. pour un pique-nique … pour une partie de péche …. original en tout cas …..
Valérie La Belle
28 juin 2017 @ 12:53
Sympa le panier!
Bambou
28 juin 2017 @ 13:52
Que le prince Mikael de Kent semble vieillit. Le prince Philip passerait pour un jeunot à côté !
Actarus
29 juin 2017 @ 12:49
Après le chêne et l’osier, il ne nous reste plus qu’à voir un cercueil en bambou. ;-)
Muscate-Valeska de Lisabé
30 juin 2017 @ 13:30
Oh…toi!!…irremplaçable! ;-)))♡
Annmaule
28 juin 2017 @ 13:57
Quelle jolie idee le cercueil en osier tresse…une duchesse anglaise pleine de fantaisie et aimant beaucoup les poules avait fait son dernier voyage ainsi je crois…et peut etre aussi le frere de Camilla?
On nait dans un couffin en osier..on s en va a son heure dans un cercueil en osier..
Allez tous a vos paniers…
Leonor
2 juillet 2017 @ 11:29
En anglais, le mot est le même, pour berceau et pour cercueil : a coffin.
Et dans nombre de civilisations, les sages-femmes sont aussi les personnes qui font la toilette des défunts.
Naissance et mort sont liées.
Notre civilisation prométhéenne veut l’ignorer.
A réfléchir.
Haut-Landaise
28 juin 2017 @ 14:26
D’où vient l’expression « se faire la malle »… (sans vouloir choquer personne).
A cette dame je dédie ce poème
André THEURIET (1833-1907)
La chanson du vannier
Brins d’osier, brins d’osier,
Courbez-vous assouplis sous les doigts du vannier.
Brins d’osier, vous serez le lit frêle où la mère
Berce un petit enfant aux sons d’un vieux couplet :
L’enfant, la lèvre encor toute blanche de lait,
S’endort en souriant dans sa couche légère.
Brins d’osier, brins d’osier,
Courbez-vous assouplis sous les doigts du vannier.
Vous serez le panier plein de fraises vermeilles
Que les filles s’en vont cueillir dans les taillis.
Elles rentrent le soir, rieuses, au logis,
Et l’odeur des fruits mûrs s’exhale des corbeilles.
Brins d’osier, brins d’osier,
Courbez-vous assouplis sous les doigts du vannier.
Vous serez le grand van où la fermière alerte
Fait bondir le froment qu’ont battu les fléaux,
Tandis qu’à ses côtés des bandes de moineaux
Se disputent les grains dont la terre est couverte.
Brins d’osier, brins d’osier,
Courbez-vous assouplis sous les doigts du vannier.
Lorsque s’empourpreront les vignes à l’automne,
Lorsque les vendangeurs descendront des coteaux,
Brins d’osier, vous lierez les cercles des tonneaux
Où le vin doux rougit les douves et bouillonne.
Brins d’osier, brins d’osier,
Courbez-vous assouplis sous les doigts du vannier.
Brins d’osier, vous serez la cage où l’oiseau chante,
Et la nasse perfide au milieu des roseaux,
Où la truite qui monte et file entre deux eaux,
S’enfonce, et tout à coup se débat frémissante.
Brins d’osier, brins d’osier,
Courbez-vous assouplis sous les doigts du vannier.
Et vous serez aussi, brins d’osier, l’humble claie
Où, quand le vieux vannier tombe et meurt, on l’étend
Tout prêt pour le cercueil. – Son convoi se répand,
Le soir, dans les sentiers où verdit l’oseraie.
Brins d’osier, brins d’osier,
Courbez-vous assouplis sous les doigts du vannier.
HL
bianca
28 juin 2017 @ 17:52
Merci beaucoup Haut Landaise pour cette très belle poésie !
Baboula
28 juin 2017 @ 18:13
Haut -Landaise,Merci pour ce beau poème,ode à un artisanat qui s’éteint.Je doute qu’un André Theuriet contemporain écrive sur les rouleaux de polymères issus du pétrole qui peuplent notre quotidien.
Muscate-Valeska de Lisabé
29 juin 2017 @ 13:21
H-L est toujours formidable!…merci H-L…..je vous dis mon admiration constante pour votre bel esprit.♡
Gérard
28 juin 2017 @ 18:31
Merci Haut-Landaise c’est très joli. En Provence je songe à Mistral, à Mireille et à Vincent.
Allons ! fit le vannier : et ils s’avancèrent vers un coin de la table de pierre, et coupèrent du pain. Mireille, leste et accorte, avec l’huile des oliviers assaisonna pour eux un plat de féveroles. Elle vint ensuite en courant le leur apporter de ses mains.
Mireille était dans ses quinze ans… Côte bleue de Fontvieille, et vous, collines baussenques, et vous, plaines de Crau, vous n’en avez plus vu d’aussi belle ! Le gai soleil l’avait éclose ; et frais, ingénu, son visage, à fleur de joues, avait deux fossettes.
Dins si quinge an èro Mirèio…
Coustiero bluio de Font-vièio,
E vous, colo baussenque, et vous, plano de Crau,
N’avès pu vist de tan poulido !
Gérard
28 juin 2017 @ 18:40
Et vous serez aussi, brins d’osier, l’humble claie
Où, quand la vieille dame tombe et meurt, on l’étend
Déjà dans le cercueil. – Son convoi se répand,
Le soir, dans les sentiers où verdit l’oseraie.
Anthoine
28 juin 2017 @ 20:44
Merci, Haut-Landaise, c’est charmant et j’avais oublié ce poëte.
Leonor
2 juillet 2017 @ 11:31
Merci, Haut-Landaise. Je voulais lire votre texte seulement quand j’aurais un moment vraiment tranquille. Voilà, c’est fait.
Encore une coutume que j’ignorais.
Je conserve.
Laure2
28 juin 2017 @ 14:26
La duchesse de Devonshire avait le même cercueuil. Elegance et simplicité jusqu’au bout. La reine avait l’air bien éprouvée sur d’autres clichés
Marie de Cessy
28 juin 2017 @ 15:10
Le frère de la Duchesse de Cornouailles aussi avait un cercueil en osier à ses funérailles.
jo st vic
28 juin 2017 @ 15:25
Lady Deborah duchesse de Devonshire décédée en 2014 avait « choisi » aussi un cercueil en osier…
COLETTE C.
28 juin 2017 @ 15:51
Je n’avais jamais vu ce genre de cercueil.
Lili.M
28 juin 2017 @ 15:56
Juste un détail : personne ne relève l’absence de la duchesse de Cornouailles aux funérailles de la marraine de son époux. Elle n’était pas présente au mariage de Lady Alexandra l’an dernier !
Mary
28 juin 2017 @ 17:51
On dirait un panier à linge,mais c’est écologique,c’est bien.
bianca
28 juin 2017 @ 17:56
Cela me rappelle une malle réservée pour transporter des vêtements ou autres sur notre lieu de vacances ! bianca
AnneLise
28 juin 2017 @ 18:53
Dans le rite protestant, la cérémonie sobre, peut avoir lieu avec ou sans le corps du défunt ou de la défunte, puisque l’on considère que l’âme est entre les mains de Dieu, le cercueil simple avec ou sans croix huguenote.
Les fleurs ne sont pas non plus obligatoires, on préfère privilégier un don à des oeuvres.
L’incinération est tout à fait reconnue par les Protestants et ce dès le XIXè siècle, puisque le corps n’est qu’une enveloppe.
Pas de caveau, mais une « inhumation » et une poignée de terre jetée sur le cercueil.
Retour à la terre !
Margaux ?
29 juin 2017 @ 11:25
Merci de ces précisions. ?
Leonor
29 juin 2017 @ 21:36
AnneLise, dans tous les pays et régions de coutumes germaniques et anglo-saxonnes, souvent à forte population protestation, l’usage est l’inhumation en pleine terre .
Et, effectivement, la poignée de terre jetée sur le cercueil, dans la fosse.
Les caveaux maçonnés sont de tradition » latine » .
AnneLise
30 juin 2017 @ 07:28
Nous sommes parfaitement d’accord, Leonor !
Etant d’origine lorraine et protestante du côté maternel j’ai été assez familiarisée avec tout ceci.
De même que la Bible familiale continue à être tenue à jour, même si l’Etat Civil est aujourd’hui ouvert aux « Parpaillots »
Leonor
30 juin 2017 @ 12:19
Oui. :-)
Francois
28 juin 2017 @ 19:15
Simplicité des Grands devant la mort
Voir les cercueils très simples dans la crypte saint Denis
Alinéas
28 juin 2017 @ 21:51
Vraiment étrange comme cercueil.!
Annmaule
29 juin 2017 @ 06:45
Quel plaisir de retrouver Sarah Chatto..absente des parties royales des derniers jours….
Ou est passe le mari de la comtesse de Wessex? 0n ne le sort pas beaucoup celui la ….
Ghislaine-Perrynn
29 juin 2017 @ 07:50
Je n’apprécie pas tellement cette volonté actuelle de banaliser la mort , peut être est-ce du à ma tradition bretonne où l’on nous habitue très tôt aux cérémonies de deuils souvent suivies d’une réunion (gaie) des personnes ayant assisté aux obsèques.
Cercueils en carton , en osier, bon c’est la mode mais quelques autorités religieuses et civiles commencent à s’élever contre ces fantaisies car que dire des dispersions sauvages de cendres un peu partout (j’éviterai de me baigner dans la région de St Malo ) transportées parfois dans un simple sac en papier .
Le temps de 3 jours, en principe, d’attente avant l’inhumation n’est pas à supprimer pour ceux qui ont eu le bon goût (peu nombreux c’est vrai mais enfin!) de se réveiller dans ce laps de temps .
Par ailleurs, le chagrin dépend de l’amour , de l’affection, de l’admiration que nous portons au défunt . Il est des personnes âgées que nous sommes désolées de perdre , nous les voudrions éternelles et d’autres dont le départ même prématuré nous laisse de marbre .
C’est aussi le côté actuel de la mode de ne pas respecter l’âge , bon pour la maison de retraite , bon pour le grand départ , il est manifeste que les « vieux » gênent .
Il existe actuellement un service à la Banque Postale où pour une somme modique , un préposé au courrier , est délégué près des personnes âgées de son secteur pour prendre des nouvelles et informer les proches de la personne .
Belle époque .
AnneLise
29 juin 2017 @ 18:58
Je profite de votre commentaire pour faire un petit retour en arrière, concernant la fête de St Jean à Monaco, j’ai répondu à votre post en expliquant que les interventions n’étant pas en temps réel, les nôtres s’étaient croisés, le mien ne répondant nullement au vôtre.
Pour ce qui est des rites relatifs aux funérailles, chacun a les siens, comme je le souligne chez les Protestants, ou d’autres chez les Musulmans.
Cela ne retire rien aux uns ou aux autres.
En ce qui concerne les « vieux », je crois qu’il faut relativiser, il arrive que pour des raisons d’éloignement géographique ou des raisons professionnelles des enfants, des raisons de dépendance du ou des parents, la Maison de Retraite soit, hélas, la seule solution.
Il est vrai qu’autrefois les générations cohabitaient, ce n’est plus guère possible aujourd’hui, habitat ne le permettant pas, obligations professionnelles.
L’allongement de l’espérance de vie, est certes un progrès indéniable mais il n’est pas rare aujourd’hui de voir 4 générations encore en vie et raisonnablement même avec tout l’amour que l’on porte à ses parents il est difficile pour beaucoup d’entre nous de les prendre ou d’aller vivre avec eux.
On peut le déplorer mais je crois malheureusement qu’un retour en arrière est impossible.
Il y a actuellement c’est vrai une mobilisation de la Poste pour que les préposés outre la délivrance du courrier passent régulièrement s’enquérir des personnes âgées et en rendent compte aux enfants, ce n’est pas aussi idyllique que la publicité qui passe actuellement, certes, mais c’est tout de même un lien.
Il faut à mon sens voir le côté positif de cette démarche, même si on peut regretter que la vie actuelle ne soit pas celle qu’ont connue nos parents, mais soyons francs, il arrivait quelque fois que la cohabitation inter générationnelle, ne soit pas non plus un paradis.
Chaque époque a ses bons et ses moins bons côtés, à nous de la rendre la plus humaine possible sans jeter la pierre à ceux qui parfois ne peuvent faire autrement.
Corsica
30 juin 2017 @ 01:08
AnneLise, excellent commentaire que je partage totalement.
Leonor
1 juillet 2017 @ 21:00
En entier accord avec votre texte, AnneLise.
Anthoine
29 juin 2017 @ 23:14
En accord total, Ghislaine-Perrynn, avec tout ce que vous écrivez. Pour les aînés que nous aimons, on a beau se préparer, voir arriver l’échéance, on s’aperçoit qu’en fin de compte on est jamais prêt…
Ghislaine-Perrynn
30 juin 2017 @ 08:10
Merci Anthoine – Je défendrai toujours cette idée car l’amour n’a pas d’âge et perdre un être que nous aimons profondément est toujours la pire des épreuves .
Margaux ?
30 juin 2017 @ 12:35
« que dire des dispersions sauvages de cendres un peu partout (j’éviterai de me baigner dans la région de St Malo ) transportées parfois dans un simple sac en papier »
Les pompes funèbres ne remettent plus systématiquement les cendres à la personne habilitée à pourvoir aux obsèques. Il est nécessaire d’obtenir une série d’autorisations (déplacement du corps, crémation, déplacement des cendres et destination) avec déclarations sur l’honneur, notamment sur la destination des cendres. En outre, l’autorité publique garde la main sur la chaîne des obsèques, puisqu’elle est tenue de contrôler que les cendres sont bien déposées à l’endroit déclaré, et dresse un procès-verbal.
J’ai récemment assisté mon frère dans les obsèques de notre grand-oncle. Nous avons été tenus de faire une demande auprès de la mairie du lieu de décès, afin d’obtenir le droit de faire incinérer le corps ; nous avons également dû aviser le maire du lieu de naissance, lequel disposait alors d’un pouvoir d’opposition à la crémation ; puis nous sommes entrés en contact avec la mairie du lieu de dépôt des cendres afin d’obtenir l’autorisation de placer l’urne dans le caveau familial. Le jour J, l’adjoint au maire et un gendarme étaient présents, et l’urne a été mise dans le caveau par un agent funéraire. Nous n’avons jamais touché l’urne. Enfin, mon frère a contresigné le procès-verbal en mairie.
La loi du 19 décembre 2008 interdit formellement de conserver les cendres chez soi. De même, les lieux de dispersion sont clairement définis, l’acte encadré et il est devenu obligatoire de tenir un registre spécial, dans lequel figurent l’identité complète du défunt et le lieu de dépôt de ses cendres, peu importe qu’elles aient été placées en pleine terre, dans un caveau, une case ou dispersées.
En conclusion, les dispersions sauvages ne sont plus légion comme par le passé (avant 2008) et il est aujourd’hui très improbable que les cendres d’un défunt se retrouvent ainsi sur les plages malouines (ou d’autres), qui sont des lieux publics par définition, où il est donc interdit de « ventiler » quoi que ce soit.
AnneLise
30 juin 2017 @ 17:42
Exact, Margaux !
Leonor
1 juillet 2017 @ 21:32
Oui et non, Margaux.
La loi de 2008 sur le devenir des cendres a effectivement quelque peu précisé et encadré les choses.
Mais un peu seulement.
La dispersion est toujours autorisée , ( je n’entre pas ici dans les détails), mais il est bien rare, dans la réalité, que les » autorités » contrôlent la chose ( voir plus bas). En particulier, concernant ce que dit Ghislaine, la dispersion en mer l’est bel et bien, même si la distance par rapport à la côte est réglementée. Mais … vous croyez vraiment que quelqu’un va la vérifier, cette distance ? Moi pas, et pour cause.
Car, justement :
…………………..
Pour ce qui est du contrôle des opérations funéraires par les autorités ( autorités variables selon le lieu, l’importance de la commune, les circonstances), il y a la théorie … et la pratique.
La plupart du temps, dans les communes d’une certaine importance, les opérations de contrôles sont supposées être exécutées par la police ( nationale).
Pour un cas standard, ce sont ~ 3 contrôles. Pour lesquels la police est rémunérée … par les familles, sous le terme de » vacations », portées sur la facture des PF, de façon lisible ou non, et reversées par les PF aux Services communaux, en transit. . Le tarif des vacations est fixé par chaque maire.
Les services de Mairie doivent en dresser la liste, et transmettre les sommes perçues au TPG ( Trésorier Payeur général), lequel , jusqu’en 1999, les versait au Ministère de l’Intérieur, depuis 1999, au Budget de l’Etat.
Jusqu’en 1995, ces sommes étaient versées directement par l’Intérieur aux … commissaires de police ( mais oui) des lieux concernés. Pour lesquels il était beaucoup plus intéressant d’être en poste dans une commune où les vacations étaient élevées, et … les décès aussi. On pourrait appeler ça du beurre dans les épinards, si ce n’était une question de pissenlits.
Or, last but not least …. les contrôles ainsi rémunérés ne sont JAMAIS effectués – ou très exceptionnellement, dans des cas disons… où ça se verrait. Mais , chaque semaine, un duo d’agents de police va gentiment voir les Services de la commune, pour chercher la liste des vacations…. et le chèque y-afférent.
Eh oui.
Y’a pas que les Pompes qui ne sont pas toujours clean.
Les vacations, c’est légal; ce qui ne ‘lest pas , c’est de ne pas faire els contrôles. Mais ça embêterait tout le monde, et … c’est l’usage En tout cas dans les villes.
Il en va un peu autrement dans les petites communes de campagne. Un peu.
Ceci pour votre édification
Margaux ?
1 juillet 2017 @ 23:58
Je ne sais pas si j’en suis au point de devoir être « édifiée » sur le sujet, mais je ne tiens aucune science infuse. Je reprends juste ce qui m’a été dit dans le cadre du décès de mon grand-oncle. En pratique, les PF ont beaucoup fait (trop aux yeux de certains) et elles nous enlevé une sacrée épine du pied, car mon frère et moi étions assez démunis, malgré nos quelques notions respectives sur le sujet. A la limite, les autorités auraient pu s’en foutre et ne pas venir, nous aurions pris ça pour argent comptant. Ils sont venus, peut-être parce que tout ça se passait dans la brousse profonde, ou bien pour une autre raison que je ne développerais pas ici et qui rendait nécessaire que tout soit bien contrôlé. Bref. C’est comme ça que j’ai pu interroger les intéressés et obtenir toutes les infos que je partage ici.
Je trouve étrange, en l’état actuel de la loi, que des cendres puissent encore être dispersées n’importe où. J’imagine néanmoins que vous connaissez votre sujet – certains de vos propos me laissent à penser que vous êtes juriste. Les travers de la loi et son application. ?
Leonor
2 juillet 2017 @ 11:46
Bonjour Margaux,
Mes excuses. En écrivant à la fin de mon texte » ceci pour votre édification », je ne m’adressais plus à vous spécifiquement, mais aux participants de N&R en général, et j’avais omis de le préciser.
Mille fois tant mieux si l’entreprise de PF à laquelle vous avez fait appel vous a » enlevé une épine du pied », et a donc bien fait son travail, qui n’est pas qu’organisationnel.
Comme je l’écrivais dans un précédent post, oui, l’énorme majorité des PF font bien leur travail , fibre humaine y compris, alors même que – c’est évident- c’est un travail rude et éprouvant.
D’ailleurs, ceux qui feraient mal la partie concrète de leur travail ( la partie psy et humaine, est, elle, difficile de la contrôler) peuvent et doivent faire l’objet d’un signalement au Procureur, et selon la gravité des faits, peuvent voir leur habilitation funéraire supprimée, donc leur entreprise fermée.
Oui, c’est parce que les funérailles dont vous parlez ont eu lieu dans ce qui est sans doute une petite commune que maire et gendarmerie ont rempli leurs fonctions. Ils sont plus sérieux et surtout, un manquement … se voit plus.
En plus, ils ont accepté de vous parler, et vous ont bien informée ( sur la théorie … !). Bravo à eux.
Non, les cendres ne peuvent plus être dispersées partout, depuis la récente loi. Les lieux autorisés et interdits sont spécifiés dans le texte . Mais ….
Que voulez-vous, des cendres, c’est discret.
Eh oui…. la loi et son application …. ;-)
AnneLise
2 juillet 2017 @ 09:43
Depuis 2010, la présence de policiers nationaux ou municipaux n’est plus requise lors de la fermeture du cercueil.
Sauf en cas de changement de département
En ce qui concerne l’enveloppe allouée à ceux qui étaient Commissaires de Police, aujourd’hui Commandants ( le terme change, la fonction reste…) personnellement, je n’en n’ai jamais eu connaissance, mais peut-être mon époux en profitait- il pour se payer un extra ! Je plaisante.
Pour la dispersion en mer des cendres elle est antérieure à 2008, date à laquelle les cendres ont eu le statut de corps à part entière, 1986 pour être exact et relève du Code Général des Collectivités Territoriales.
Pour les airs ,il n’y a pas de législation actuelle, il faut que ce soit au dessus d’un espace naturel sans précision d’altitude
Il est noter que le concept de « nature » n’a pas de définition juridique donc la circulaire de 2009 désigne les espaces naturels qui ne font l’objet d’aucun aménagement : forêts, bois, montagne, mer.
Pour en terminer, les PF ont tendance à orienter les familles vers une dispersion dans des « jardins du souvenir », ou le placement de l’urne dans un columbarium ou dans un caveau préexistant.
Pourquoi ? parce que c’est facturé bien sûr et perçu par les PF et la Collectivité.
Quoi qu’il en soit, seule une obligation drastique de ne pas remettre l’urne à la famille empêchera une dispersion sauvage C’est à l’étude actuellement, la crémation devenant de plus en plus courante.
beji
29 juin 2017 @ 08:30
Ah oui,cerise sur le gâteau être enterreé en Provence,pays béni des dieux .
Claudine Claire
29 juin 2017 @ 08:42
Lincinération est utilisée pour le traitement des déchets au moyen d’un
incinérateur, je suis à chaque fois choquée.
Pour l’humain c’est la crémation.
Ghislaine-Perrynn
29 juin 2017 @ 17:18
Merci Claudine-Claire de le rappeler fort justement
AnneLise
29 juin 2017 @ 19:21
Vous avez raison pour le substantif, mais pour le verbe ? incinérer pour incinération oui, mais pour crémation ? on va se faire ?
Puisque maintenant il est de coutume si l’on souscrit un contrat obsèques de définir le mode de funérailles que l’on souhaite.
Et puis, vous savez, au final le résultat est le même.
Je comprends que l’assimilation entre incinération des déchets et incinération des corps vous choque et j’espère que vous ne prendrez pas mal ma réflexion, mais considérant que notre corps n’est qu’une enveloppe, et que le principal est ailleurs, je n’attache pas trop d’importance à cela.
Mais je répète, je comprends et respecte votre point de vue.
Margaux ?
30 juin 2017 @ 12:52
L’homme se fait crématiser.
http://www.linternaute.com/dictionnaire/fr/definition/crematiser/
Par contre, je ne suis pas aussi orthodoxe sur le terme d’incinération (incinérer, incinérateur, etc) ; par définition, l’incinération est le fait de brûler un corps, ce dernier terme étant pris dans son acception physico-chimique. Quoi qu’on en dise, la crémation est une incinération.
D’ailleurs, le terme crématorium s’appliquant à l’institution dans laquelle il est procédé à la crémation mais aussi à la cérémonie afférente, comment doit-on nommer l’endroit précis où se trouve la flamme, autrement dit où le corps est brûlé ? Il y a bien un terme qui me vient à l’esprit mais bon…
Le mot incinérateur semble s’imposer.
Enfin, depuis que les animaux (non humains) sont vus par la loi comme des êtres doués de sensibilité, doit-on là aussi changer les termes et ne plus utiliser celui d’incinération ?
Bref.
AnneLise
30 juin 2017 @ 17:46
Encore une fois, exact et en accord total avec vous, le mot que vous ne vouliez prononcer, je l’ai prononcé, un peu après.
N’ayons pas peur des mots, ce sont des « fours crématoires » avec tous les relents qu’ils impliquent.
Comme vous dites : Bref.
Danielle
30 juin 2017 @ 20:58
Margaux, l’endroit où se trouve la flamme s’appelle le four.
Arrêtons ce sujet, sinon nous ferons des cauchemars…
Margaux ?
2 juillet 2017 @ 00:01
Anne Lise,
Danielle,
Je ne veux créer de tort à personne mais voilà, les mots restent les mots (lesquels s’avèrent aussi parfois des maux). Je soulignais juste que certains débats terminologiques sont des puits sans fond, faute d’avoir les bonnes acceptions à disposition.
Danielle
2 juillet 2017 @ 15:32
Margaux, ne vous inquiétez pas, ma réponse était très amicale.
Margaux ?
2 juillet 2017 @ 23:45
Okay. ?
Haut-Landaise
30 juin 2017 @ 14:44
Anne-Lise : on va se faire cramer, pas plus « beau » qu’incinérer à mon avis. Et puis comme vous dites, le résultat est le même. HL
Margaux ?
30 juin 2017 @ 17:22
Voilà. Crématiser, cramer, incinérer, brûler… Je trouve toujours les termes violents. La mort a toujours une part de violence.
Muscate-Valeska de Lisabé
1 juillet 2017 @ 15:05
Pas de barbecue pour moi aujourd’hui..^^
Margaux ?
2 juillet 2017 @ 00:03
Belle sortie humoristique, Muscate. ?
AnneLise
30 juin 2017 @ 17:40
Oui, et puis pour moi le terme issu de « crémat » autrefois réservé aux hérétiques de tout poil, Albigeois entre autres et puis plus récemment « crématoire » me hérisse.
Bon, c’est comme ça !
Bon week-end !
Baboula
30 juin 2017 @ 21:03
En 1976,la crémation n’était pas encore trés courante ,l’employé des PF n’a eu de cesse de vanter tel ou tel article pour « la mise au four » .Il me fût longtemps difficile de me servir de mon four.On n’utilise pas facilement le mot crémation car il y a une arrière pensée de four crématoire nazi. L’incinération est pour les déchets mais je crois que ce mot prendra le pas.
Leonor
2 juillet 2017 @ 11:48
Cet employé-là devrait retourner en formation.
AnneLise
2 juillet 2017 @ 21:11
Oh depuis 1976, il doit être réformé !
Numérobis.
29 juin 2017 @ 12:21
Dans le rite catholique, le corps de la personne défunte, reçoit une dernière fois une marque de respect en étant encensé à la fin de la cérémonie.
Les cendres ne peuvent l’être…..
Encensement suivi de la dernière bénédiction.
Margaux ?
30 juin 2017 @ 12:58
La doctrine n’est pas toujours la même selon le pays où se déploie ce que vous appelez « rite catholique » (en fait il existe plusieurs rites catholiques mais passons). Ainsi, les églises catholiques d’Europe de l’Est acceptent de bénir les cendres. Il n’y a pas de funérailles religieuses mais l’hommage est là.
J’ai déjà vu un prêtre italien bénir des cendres.
L’Italie est pourtant un des bastions du catholicisme traditionnel en Europe…
Mais certains catholiques confondent les funérailles (cérémonie complète) et la bénédiction (cérémonie simplifiée), pourtant deux choses différentes.
Corsica
1 juillet 2017 @ 13:32
Margaux, comme le dit plus haut Gérard Saint-Louis qui vit au Québec, dans d’autres pays ayant exactement les mêmes rites catholiques que nous, ce ne sont pas seulement des bénédictions qui sont faites en présence des cendres mais bien de véritables messes de funérailles. D’ailleurs ce fut le cas lors du départ vers la maison du Père de ma belle-mère et de mon beau-père décédés à Montréal il y a une quinzaine d’années.
Margaux ?
2 juillet 2017 @ 00:06
Oui, ça change d’un pays à l’autre. Personnellement, cendres ou corps, ça ne changerait rien pour moi. Après, je sais que chez certains, les règles sont les règles (du moins celles qui ont été inculquées), et bon… ?
Gérard
30 juin 2017 @ 18:40
La sœur de la comtesse était également présente Lady Pamela Hicks, ainsi que la duchesse de Gloucester et la princesse Alexandra.
Le cercueil de la comtesse était porté par 12 membres du deuxième bataillon du Princess Patricia’s Canadian Light Infantry (PPCLI), dont elle avait été le colonel-en-chef.
Avant le service funèbre on put entendre Nimrod ou Nemrod, Variation 9 (adagio), tiré des Variations Enigma, op. 36 de Sir Edward Elgar, 1er baronnet Elgar de Broadheath, revu par son meilleur ami l’allemand Augustus J. Jaeger.
L’office fut animé par le chœur de l’église et par les clairons des Patricia.
L’office était célébré par le révérend Alan Gyle, le vicaire de l’église.
L’église Saint-Paul de Knightsbridge, à Kensington, est une église anglicane dans la tradition anglo-catholique.
Cette église paroissiale fondée en 1843 a été construite par l’architecte Thomas Cundy III et se veut une église vivante du XXIe siècle dans la tradition anglo-catholique. Elle est très attachée à ce qu’elle appelle la beauté de la sainteté.
L’anglo-catholicisme est une tendance de l’Anglicanisme qui insiste sur la continuité de la tradition catholique tant dans la doctrine que dans les pratiques, c’est une partie de ce qu’on appelle la Haute Église (High Church).
Ce courant se développa sous les Stuart et au XIXe siècle avec le Mouvement d’Oxford. Parmi les membres du Mouvement d’Oxford John Henry Newman qui se convertira au catholicisme, deviendra cardinal, et sera béatifié par Benoît XVI en 2010. Cette tradition insiste en particulier sur la nécessaire beauté de la liturgie et sur la dévotion à la Vierge Marie. Elle a eu d’ailleurs une influence sur la totalité de l’Église anglicane. La tradition anglo-catholique se fonde sur ce qu’on appelle le canon de saint Vincent de Lérins : « Est véritablement catholique ce qui a été cru partout, toujours, et par tous. »
Après cet office une réception eut lieu à l’hôtel Berkeley tout proche où le prince de Galles – qui avait prononcé un éloge funèbre de sa marraine très émouvant – et la famille royale se rendirent à pied, la reine et le duc d’Édimbourg repartant en voiture.
L’enterrement devait avoir lieu à Mersham dans le Kent, le village où la comtesse vécut après son mariage et où elle mourut. C’est le village de la famille Knatchbull depuis le règne d’Henri VIII.
En 1638 Sir Norton Knatchbull fonda l’Ashford Grammar School, où les élèves n’étaient pas admis tant qu’ils ne pouvaient pas lire la Bible en anglais. Il fut aussi membre du Parlement pour Romney.
Au début du XIXe siècle Edward Knatchbull fut dans le gouvernement whig et en 1830 Sir Edward Knatchbull, neuvième baronnet, fut membre du Parlement pour Romney et eut des responsabilités dans le gouvernement de Sir Robert Peel en 1841.
Gérard
1 juillet 2017 @ 17:32
Le décès de Lady Mountbatten a causé aussi de l’émotion à Mullaghmore, sur la côte nord-ouest de l’Irlande où son père avait possédé le château médiéval de Classiebawn au bord de la mer. C’était un château dont avait hérité son épouse, il venait des Ashley. Edwina y avait apporté l’électricité et un peu de confort moderne. C’est en face de ce château qu’eut lieu le terrible attentat de Sligo d’août 1979. Mountbatten par la suite vendit le château, dont il avait hérité, en s’en réservant l’usufruit, à l’un de ses hôtes familiers Hugh Tunney et il appartient aujourd’hui à ses héritiers.
Lady Brabourne était appréciée pour sa gentillesse, son amour des enfants et sa simplicité. Elle avait aussi le sens de l’humour à l’instar de son père ou de son cousin Philip que sa sœur et elle considéraient comme le frère qu’elles n’avaient pas eu.
Un dernier service funèbre doit être célébré à Mersham où est la résidence des Brabourne et où elle est décédée, avant l’inhumation au côté de son époux et des membres de la famille défunts.
Leonor
2 juillet 2017 @ 11:52
Mullaghmore est un endroit magnifique.
D’ailleurs qu’est-ce qui n’est pas magnifique, en Irlande ?
Comté de Sligo.
Ici, une petite vidéo , où l’on voit paysage et château de Classiebawn :
https://www.youtube.com/watch?v=QSkKvgn1-2U
Gérard St-Louis
2 juillet 2017 @ 16:26
Intéressante discussions sur les variations de rites funéraires par pays et par religion.
« En ce monde, rien n’est certain à part la mort et les impôts » Benjamin Franklin