C’est dans l’intimité qu’ont eu lieu les funérailles de Thomas Kingston (45 ans), époux de lady Gabriella Windsor, fille du prince Michael de Kent. Le cortège a quitté Kensington Palace, résidence du prince de Kent, vers la chapelle du Palais Saint James.
Tout s’est déroulé à l’abri des regards. The Daily Mail indique que lady Gabriella était entourée par ses parents, son frère lord Frederick Windsor et sa belle-soeur Sophie. Etaient aussi présents parmi les 140 personnes de l’assistance le prince de Galles, le duc de Kent et la princesse Alexandra de Kent.
Le défunt a été incinéré. Un service religieux sera organisé prochainement pour lui rendre hommage.
13 mars 2024 @ 08:50
Qu‘est-ce qui lui a pris. Bel homme et tout pour être heureux 😢
13 mars 2024 @ 09:17
D’après la théorie qui circule dans la haute société britannique, les horreurs perpétrées ces derniers mois au Moyen-Orient auraient ravivé les souvenirs difficiles des années qu’il a passé en Irak et notamment le traumatisme d’avoir assisté à un terrible attentat.
13 mars 2024 @ 11:12
A Aristocrate, et sûrement aussi la culpabilité d’en avoir réchappé.
Ce sentiment peut devenir tellement prégnant que ceux qui en sont atteints ne s’autorisent plus le droit de vivre.
14 mars 2024 @ 14:47
Aristocrate et Menthe, je crois voir autre chose en plus, mais je peux me tromper. Il a de toute évidence refoulé depuis 17 ans des problèmes post-traumatiques graves. Sa carrière de financier brillant l’occupant à plein temps, son succès auprès des femmes, sa vie confortable etc. lui ont sans doute fourni un exutoire, lui faisant croire qu’il n’avait pas besoin d’être aidé, et que les thérapies étaient pour les personnes beaucoup moins bien loties que lui. Son mariage avec une femme très belle et remarquable a peut-être paradoxalement empiré le problème. Il avait tout ce dont un homme pouvait rêver, et même plus, mais probablement avec une dépression bien cachée. Je peux imaginer qu’il a pensé, comme beaucoup de dépressifs, qui suis-pour mériter tout cela? Et qu’est-ce qui ne va pas chez moi puisque je n’arrive pas à me laisser aller totalement à ressentir le bonheur? C’est assez semblable à ce qu’on appelle le syndrome de l’imposteur. De plus sa belle-mère a dû lui faire sentir qu’il n’était qu’un « simple roturier », ajouté au fait que le couple n’avait pas d’enfant après 5 ans de mariage. Si on ajoute la culpabilité du survivant, cela fait des ravages. Ce sont seulement des interprétations personnelles.
15 mars 2024 @ 11:51
Pascale, ma réponse à Aristocrate était juste un complément de ce qu’il disait dans son commentaire, sans que je l’attribue à Thomas Kingsley.
Je n’aime pas supputer sur ce genre de sujet ni sur les maladies ignorées des royaux. .
15 mars 2024 @ 12:10
Pascale, « le couple n’avait pas d’enfant après 5 ans de mariage ».
Peut-être une azoospermie: absence totale de spermatozoïdes. Impossibilité d’avoir un héritier qu’il n’aurait pas supportée.
Plus fréquent qu’on ne le pense. Après, bien sûr, on ne le saura
jamais, trop douloureux, trop intime. Seule lady Gabriella
Windsor sait.
15 mars 2024 @ 13:39
Menthe, c’est votre droit. Mais la santé mentale, et notamment les séquelles de traumatismes, devraient depuis longtemps ne plus être un tabou. Je trouve, contrairement à vous, qu’il faut en parler et les expliquer. Cela évite à des personnes brillantes et ayant des qualités humaines incontestées de mettre fin à leurs jours en croyant qu’elles sont seules au monde et ne valent plus rien.
16 mars 2024 @ 00:22
Remarque intéressante, même si comme le dit Menthe nous sommes dans la supputation, mais oui la recherche du bonheur passe trop souvent, à tort, par la réussite matérielle et les apparences, et cela peut être très dangereux pour des personnes souffrant de troubles mentaux qu’elles n’osent pas s’avouer, la chute et le vide ressenti sont d’autant plus rudes lorsqu’arrivés au sommet que l’on espérait atteindre on s’aperçoit qu’on est toujours aussi malheureux à l’intérieur.
17 mars 2024 @ 15:13
Comme c’est bien dit, Aristocrate. Effectivement, nous sommes dans la supputation. Même le secteur du coaching et du développement personnel et professionnel, que je connais bien, est dominé par l’idée qu’il faut avancer à tous prix, si possible dans plusieurs domaines, et atteindre les sommets. Or bien des gens qui sont arrivés en haut s’aperçoivent que ce n’est pas tout. Dans le meilleur des cas ils se tournent vers de bons coaches ou psy, ou vers la religion. Il y aurait beaucoup à dire sur le sujet.
17 mars 2024 @ 18:01
Pascale, vous n’avez pas compris mon commentaire. Je ne dis pas qu’il ne faut pas en parler, surtout pas. Pour moi il n’y a aucun sujet tabou.
Ce que je dis est que je n’aime pas émettre des suppositions sur le geste d’un tel, la maladie d’une telle… puisque nous n’en savons pratiquement rien.
13 mars 2024 @ 14:04
Au point de mettre fin à sa vie ?
14 mars 2024 @ 10:14
Mouais .
14 mars 2024 @ 13:09
Re-mouais.
13 mars 2024 @ 12:44
Seul l’intéressé connaît vraiment les causes de son geste.
Parfois il laisse une explication à son entourage, parfois non.
14 mars 2024 @ 13:10
S’il a laissé une explication, son entourage n’en donnera pas la teneur. C’est compréhensible.
13 mars 2024 @ 13:10
Pour un œil extérieur, sans doute, mais compte tenu de son acte, il lui manquait l’essentiel: le goût de vivre.
13 mars 2024 @ 09:20
Un secret enfoui qui revient à la surface et qu’il n’a pas pu supporter .
13 mars 2024 @ 13:15
On peut compter, si c’est le cas, sur l’esprit « fouille m… e » de certaines publications britanniques qui, une fois le supposé délai de decense passé, ne manqueront pas de l’évoquer….
13 mars 2024 @ 09:23
Profonde dépression. On peut nous répéter infiniment tu as tout et pourtant le mal est là , insidieux….
13 mars 2024 @ 09:42
Loin de moi de dénigrer la dépression et le suicide.
J’ai moi-même eu des moments avec le moral en berne, à la limite de la dépression suite à une rupture il y a quelques années.
Mais je me demande toutefois si le suicide n’est pas un mal de la société moderne.
J’ai voyagé en Asie dans des pays pauvres tels que le Cambodge, Sri Lanka…et j’ai toujours vu les gens souriant, des enfants sans rien le sourire au lèvres…qui me disaient être heureux!
Je ne suis pas sûre que chez ces gens qui n’ont rien, même pas forcément de quoi manger, le suicide soit si important.
13 mars 2024 @ 10:16
En Amérique latine, des pasteurs protestants ont jadis inoculé la notion de péché à des tribus qui jusqu’alors en ignorait la conception. Résultat, vague de suicides, phénomène totalement ignoré par ces populations jusqu’alors…
14 mars 2024 @ 21:53
Péché sans pardon alors..
15 mars 2024 @ 13:40
péché de vivre nu, non en couple et je ne sais quoi d’autre…
15 mars 2024 @ 13:41
…ne sais plus quoi d’autre.
13 mars 2024 @ 11:06
Question intéressante ,en effet.
Le suicide n’est pas très répandu dans les pays pauvres, peut-être parce qu’ils ont priorisé d’autres valeurs .Je ne sais pas .
13 mars 2024 @ 11:25
Vous avez votre réponse ici : https://fr.wikipedia.org/wiki/Suicides_de_paysans_en_Inde
Les pauvres se suicident plus que les riches.
13 mars 2024 @ 11:26
Vous avez voyagé grand bien vous fasse, mais les chiffres montrent qu’il n’y a pas de différence majeure entre les taux de suicide en Europe Occidentale et en Asie. Il n’y a pas non plus de corrélation évidence entre taux de richesse et taux de suicide, et si corrélation il y a, elle va plutôt dans l’autre sens (les pays ayant les taux de suicide les plus dramatiques sont plus pauvres que la moyennes). Au final, il me semble que les facteurs culturels sont plus importants que les facteurs économiques.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_pays_par_taux_de_suicide
16 mars 2024 @ 05:37
D’accord avec vous Aristocrate. Les facteurs culturels y jouent aussi un rôle important. Il y a des cultures où le suicide est vu comme une opprobre,une honte. Dans certaines cultures, on désacralise le corps d’un suicidé avant de l’enterrer.
13 mars 2024 @ 13:48
Merci de ne pas rabâcher le cliché du « les gens pauvres sont plus heureux »…
Le taux de suicide est en flèche dans plusieurs pays depuis Covid. Notamment parmi les jeunes, pour qui l’avenir est loin d’être rose.
Par ailleurs, pour reprendre vos exemples: taux de suicide en 2019 (donc avant crise Covid, pour 100.000h):
Sri Lanka: 12,9%
Royaume Uni: 6,9%
France: 9,7%
Japon: 12,2%
Belgique: 13,9%
Donc, pour le « pays du sourire », on repassera!
Par ailleurs, si vous voulez vraiment parler de la différence entre pays riches et pays pauvres, alors essayons de discuter du taux de mortalité infantile dans ces pays ou les gens meurent de faim, et de la longévité moyenne de ces populations par rapport à celle des pays développés.
La question du suicide est multi factorielle et ne peut pas être réduite à des clichés qui pèsent lourd sur le manque de prise en charge de ce problème au niveau mondial.
16 mars 2024 @ 05:38
D’accord avec vous Olivier. La question de suicide est multifactoriel.
13 mars 2024 @ 14:06
Bien dit Miss Libellule. En Occident, les gens sont tellement habitués au confort matériel , qu’ils aiment dramatiser leurs problèmes. Comme on dit , la nature a toujours l’horreur du vide et cherche toujours à le combler.
13 mars 2024 @ 14:09
La cause en est la religion, Miss Libellule, le boudhisme est une relation fataliste qui fait que ses membres supportent la souffrance et le mal sans rien dire !
13 mars 2024 @ 15:23
Chère Libellule le suicide n ‘est pas une maladie moderne.
Mon grand-père maternel vient d ‘ un village landais où il y a cent ans exactement on se suicidait de façon effrayante.
Son père s est suicide à 72 ans en 1947.
Je connais une famille en Gironde où deux frères et sœurs se sont suicidé .
A 32 et 53 ans .
Riches intelligents biens…brillants….
Beaucoup de suicides étaient tus . Dans l ‘ antiquité on se suicidait aussi pas mal la première cause était le mal de dents insupportable.
Mais il y avait des régions plus suicidaires.
Dans le sud on se suicidait apparemment moins .
14 mars 2024 @ 11:35
C’est exact, François. Je pense à plusieurs familles. En Bretagne (mais est-ce la seule région ?), le suicide se faisait (se fait) par pendaison.
14 mars 2024 @ 16:41
Mon arrière grand père s’est pendu.
On se pend encore beaucoup.
Mais le village dont je parle et où il y a cent ans on se suicidait de façon courante.
Dans ce coin des Landes tous les moyens étaient bons.
13 mars 2024 @ 18:07
Je vous rejoins Miss Libellule notre société occidentale est très stressante. La dépendance à l’informatique est pour moi une facteur aggravant. Avez-vous remarqué le nombre de gens le nez dans leur téléphone, tout peux s’écrouler, ils ne lèvent même pas les yeux, quelle solitude. Les traumatismes de guerre, c’est encore autre chose, souvent enfouis, refoulés, un bruit, une photo et évidement un reportage peuvent faire ressurgir une angoisse qui en libère d’autres, et en un instant tout bascule.
14 mars 2024 @ 12:08
Nivolet, à l’heure actuelle, si quelqu’un perd son smartphone, qui est un concentré de sa vie (et que j’appelle son doudou), et qu’il n’en a pas sauvegardé le contenu, j’imagine qu’il n’a plus aucun repère, aucune identité. Avec le désespoir qui s’en suit.
16 mars 2024 @ 10:47
A qui le dites-vous Passiflore, je oublié le mien dans un Hyper, quelle angoisse ! J’avais des choses sensibles dont mes comptes bancaires, le miracle a voulu que quelqu’un le ramène à la sécurité. Le neveu d’une amie ingénieur travaillant à haut niveau sécurité informatique chez Tales, m’a dit que pirater un compte est un jeu d’enfant sur un téléphone portable. J’ai désinstallé l’application.
Très bon weekend.
14 mars 2024 @ 14:12
Oups ! Un facteur.
13 mars 2024 @ 22:54
C‘est vrai…
14 mars 2024 @ 07:36
Ce n est pas la même culture. Le bouddhisme croit à la réincarnation et tout acte commis dans une vie est karmique.
14 mars 2024 @ 08:41
Le suicide est tel qu’il arrive qu’une personne qui veut se suicider à un moment, n’est plus dans les mêmes dispositions d’esprit 24 h plus tard. Les religions monothéistes interdisent pour la plupart le suicide ce qui constitue une barrière de plus pour protéger les suicidaires. Et puis, on n’est pas totalement sûr qu’il y a eu suicide, même si tout y fait penser, dont le fait qu’il se soit enfermé. Cela peut être un accident aussi, voire un assassinat. Il semble que l’enquête soit en cours.
13 mars 2024 @ 10:18
Il devait ne pas être bien depuis un moment pour en arriver à cette issue tragique
13 mars 2024 @ 10:38
Maintenant repos à son âme et courage à son épouse et sa famille pour aller de l’ avant.
13 mars 2024 @ 10:41
Le paraître cache souvent le mal profond.
Le suicide a toujours existé & dans toutes les civilisations, mais souvent caché.
Dans mon enfance( années 50), je me rappelle très bien du suicide d’un commerçant toujours très jovial, ce qui m’avait le plus choqué, c’était le refus de l’enterrement religieux!!
J’ai aussi appris que des personnes dans l entourage familial &amical de mes parents s’étaient suicidées, mais il ne fallait pas le dire
13 mars 2024 @ 11:14
L’hypothèse que reprend Aristocrate est plausible.Pour moi la crémation est un acte violent qui ajoute à la peine de la famille.
14 mars 2024 @ 12:14
Beiji, je pense comme vous pour les incinérations (imaginer la personne que l’on a connue dans un four !) mais, d’après ce qu’on peut lire sur le site (cf. incinération du Prince Victor-Emmanuel), la cérémonie ne choque personne. Dans ma famille je n’ai aucun cas d’incinération et je ne pourrrais jamais assister à une telle cérémonie.
15 mars 2024 @ 18:36
Crémation ou enterrement, l’essentiel est de respecter les volontés du défunt.
On peut aussi être mal à l’aise avec l’ idée d’un corps qui se défait sous la terre…
Les cérémonies de crémation ne sont absolument pas choquantes. On aperçoit sur un écran le cercueil disparaître derrière un rideau et… c’est tout, cela généralement accompagné d’une chanson ou musique choisie par la famille ou le défunt.
Il n’est évidemment pas question de voir le cercueil prendre feu en direct ou autres visions d’horreur.
L’important, c’est d’être là pour rendre hommage au défunt et soutenir ses proches.
16 mars 2024 @ 11:34
Et découvrir un corps décomposé, mangé par toutes sortes d’insectes… cela vous semble mieux ? J’ai assisté à la crémation d’une amie très proche. C’est dur mais cela résoud pas mal de problèmes. De plus, à un moment où l’espace devient précieux, je doute qu’il y ait encore longtemps de grands cimetières. En Algérie, on détruit les cimetières chrétiens pour laisser la place aux cités HLM réservées aux Musulmans !
16 mars 2024 @ 05:41
Peut – être c’était sa volonté .
16 mars 2024 @ 17:02
Désolée beji c’était la volonté de mon frère et cela n’a rien changé.
Dans ces moments là, la situation idéale n’existe pas.
Je trouve assez glauque les commentaires évoquant les différentes manières de se suicider et je suis depuis longtemps à cent pour cent pour la crémation.
Voir le cercueil descendre en terre m’est difficilement supportable.
J’ai assisté à près d’une dizaine de crémation.
Quoiqu’il en soit, le sujet est lourd, pénible et difficile.
13 mars 2024 @ 11:21
Des funérailles dans l’intimité et loin des regards étaient ce qu’il y a de mieux pour lady Gabriella et ses beaux-parents.
Il y a déjà la douleur et le grand chagrin donc respectons sa grande peine,
13 mars 2024 @ 11:35
La religion anglicane, contrairement à la religion catholique, semble accepter le suicide, puisque les hommages religieux sont rendus au défunt ?..
14 mars 2024 @ 12:10
Isa, depuis le Concile Vatican 2 (il me semble, donc dans les années 60), les Messes d’obsèques sont célébrées pour les personnes suicidées.
14 mars 2024 @ 12:39
Depuis un certain temps déjà les obseques religieuses sont autorisées pour les personnes qui se sont suicidees…et c’est très bien ainsi.
14 mars 2024 @ 12:48
Il y a aussi des enterrements avec une messe dans la religion catholique même si le défunt s’est suicidé. L’église a évolué
14 mars 2024 @ 13:04
Il y a belle lurette Isa que l’église catholique enterre les suicidés . Et heureusement.
14 mars 2024 @ 16:43
C’est faux ce que vous dites la religion catholique ne fait plus différence depuis longtemps. Le suicide est accepté et les hommages sont rendus au défunt.
14 mars 2024 @ 18:10
Isa,
Je ne crois pas que cela soit toujours le cas aujourd’hui, Dieu merci.
14 mars 2024 @ 21:13
Mon frère s’est suicidé l’année dernière, il a été enterré religieusement ( église catholique ) sans problème.
14 mars 2024 @ 23:11
La religion catholique accepte désormais une messe pour les suicides .
18 mars 2024 @ 12:19
Isa non. mes parents suicidés ont eu droit à une messe, avant leur incinération
13 mars 2024 @ 11:36
parfois certaines douleurs du passé sont insupportables et là tout peut arriver – sans préméditation- juste trop mal et on perd toute logique . on fait maintenant appel aux psy après des traumatismes ce n’est pas inutile; il le FAUT pour l’après
13 mars 2024 @ 11:40
C est une epreuve terrible pour son epouse,ses parents.
Je souhaite a sa jeune epouse que la vie vienne adoucir ces terribles moments dans l avenir…un peu comme Myriam de Bulgarie..
Avoir une famille soudee autour d elle devrait lui apporter peu a peu quelques consolations..
13 mars 2024 @ 11:50
Les traumatismes dus aux faits de guerre sont terribles, nos soldats en font aussi les frais malheureusement, malgré les prises en charge au retour des missions, avec des sas de décompression mis en place par les armées, les soldats retrouvent la « civilisation « dans un pays calme et avec des psychiatres avant de retrouver leurs familles, cet homme n’a peut être pas réussi à surmonter ces horreurs
Il a trouvé une paix qu’il n’aurait jamais retrouvé.
14 mars 2024 @ 12:31
Un ami se rend chaque année au « repas des anciens d’Algérie ». Comme je m’étonnais qu’il ne parle jamais de cette guerre, il m’expliqua qu’aucun des participants n’en parlerait jamais.
13 mars 2024 @ 13:04
Que tout cela est triste….
13 mars 2024 @ 15:18
Cet homme est tout de même allé dire au revoir à ses parents, sans trop montrer son objectif après cette visite ; félicitations à lui.
Je souhaite beaucoup de courage à son épouse et aussi à ses parents pour surmonter cette épreuve.
13 mars 2024 @ 16:17
Il.semblait heureux lorsque je l avais vu en photo avec Gabriela le 14 février 2024.
13 mars 2024 @ 19:13
Pauvre Gabriella … Le suicide d’un conjoint est peut-être le pire des veuvages.
14 mars 2024 @ 13:56
Très exact , Marie Caroline!
C’est une mort violente pour l’entourage…c’est du vécu!
13 mars 2024 @ 19:26
Je comprends ce que vous dites miss Libellule.
13 mars 2024 @ 20:49
J’aime beaucoup le visage de Gabriella, distinction, classe, élégance sobre, je la trouve très belle. Ce qui lui tombe dessus est terrible.
Le suicide du conjoint, un boulet à vie à traîner car compte tenu de sa notoriété il y aura toujours quelqu’un pour lui en parler et faire ressurgir ce drame. J’espère qu’elle refera vite sa vie et apprendra à se protéger.
13 mars 2024 @ 21:55
Je souhaite le meilleur à Gabriella, ce doit être terriblement douloureux.
13 mars 2024 @ 22:02
Trop triste !
A part la dépression, leur mariage battait- il de l’aile ?
13 mars 2024 @ 22:40
Très triste
14 mars 2024 @ 06:55
Et si ce n’était pas un post traumatisme mais tout autre chose nous n’en saurons jamais rien et heureusement . Il a déjeuner ce jour avec ses parents eux savent bien sur . Qu’il repose en paix comme quoi même tout sourire un être humain peut être en souffrance….
14 mars 2024 @ 13:57
Je pense comme vous, Val!
Et surtout respectons son geste de désespoir!
14 mars 2024 @ 08:52
Qui que l’on soit, perdre un conjoint aimé est tragique.
Gabriella va mettre du temps à se relever, je la crois bien entourée heureusement mais parents et amis ne remplaceront jamais l’homme de sa vie.
14 mars 2024 @ 11:28
Qui vous dit qu’il était l’homme de sa vie ? ce couple rencontrait peut-être des problèmes.
14 mars 2024 @ 16:59
Mariés depuis plus de 3 ans , ils n’avaient pas d enfant ?
14 mars 2024 @ 23:12
Mais pour quelles raisons en douter?
Qu’est ce qui vous autorise à nuancer cette expression?
14 mars 2024 @ 13:51
Il faut arrêter avec cette notion, la femme de ma vie, l’homme de ma vie…. Nous ne sommes pas la femme ou l’homme d’un seul être. Nous évoluons, rencontrons d’autres personnes….Je ne suis pas certaine que ce couple était si bien assorti que cela.
14 mars 2024 @ 13:06
Et ses parents ne sont plus tout jeunes…
14 mars 2024 @ 19:08
Le terrible effet secondaire du suicide dans une famille, outre la douleur et le deuil, c’est que vous vous dites « qu’est-ce que je n’ai pas vu, pas su ». On se sent coupable. Et on se pose des questions jamais résolues. Dans le cas de si bel homme qui semblait tout avoir, je pense qu’il s’agit d’un syndrome post traumatique dû à ce qu’il avait vécu en Irak. J’ai un souvenir d’enfance : dans les années 50 fut diffusé à la télévision « Les Croix de Bois » d’après le livre de Roland Dorgelès. A l’issue de cette diffusion, un ancien combattant, est sorti dans son jardin et s’est tiré une balle dans la tête. Il ne se pardonnait pas d’avoir survécu.
16 mars 2024 @ 17:07
A la question : le droit canon reconnaît-il le suicide ?
« Sa conclusion est que le suicide est formellement interdit : « Si donc celui qui porte faux témoignage contre soi-même n’est pas moins coupable que s’il le portait contre son prochain, bien qu’en cette défense il ne soit parlé que du prochain et qu’il puisse paraître qu’il n’est pas défendu d’être faux témoin contre … »
16 mars 2024 @ 17:08
Le Parisien 2018
« Pendant des siècles, l’Eglise a refusé de célébrer les obsèques d’un fidèle s’étant donné la mort, le suicide étant considéré comme un péché… mortel.
Le code de droit canonique de 1917 interdit encore des funérailles et une sépulture chrétienne à celui qui a porté atteinte à sa propre vie. Traditionnellement, les suicidés, privés de cérémonie religieuse, n’étaient pas enterrés en terre consacrée mais à l’extérieur du cimetière.
16 mars 2024 @ 17:10
Suite
Le code de droit canonique de 1983 ne fait plus mention de ces mises à l’écart. « Aujourd’hui, toute personne qui a mis fin à ses jours est accueillie pour l’inhumation. On considère que ça relève d’un mal-être plutôt que d’un acte d’orgueil », explique un prêtre.
« Contraire à la justice, à l’espérance et à la charité »
Pour le catéchisme de l’Eglise catholique, le suicide reste « gravement contraire à la justice, à l’espérance et à la charité ». Il « contredit l’inclination naturelle de l’être humain à conserver et à perpétuer sa vie ». Selon cet ouvrage d’instruction à la doctrine catholique, « chacun est responsable de sa vie devant Dieu qui lui a été donnée ». « C’est lui qui en reste le souverain maître », martèle-t-il. »
Nous sommes loin des années soixante.