Le roi Abdallah d’Arabie-Saoudite a été enterré à Riyad au lendemain de son décès à l’âge de 91 ans. Le roi de Jordanie, le prince de Galles, le roi des Belges, le prince héritier de Danemark ou encore le roi d’Espagne sont attendus dans les prochaines heures pour présenter leurs condoléances au nouveau roi Salman. (Copyright photo : hola – Merci à Anne P.)
Valérie H
24 janvier 2015 @ 06:43
Comme dans la chanson : »Où sont les femmes? »
Caroline
25 janvier 2015 @ 00:17
Valerie H,
Je me rappelle que les femmes avec la reine Noor de Jordanie étaient tenues à l’ecart durant les funérailles grandioses du roi Hussein de Jordanie!Tous les royaux y compris la reine Beatrix des Pays-Bas étaient venus à cette cérémonie funèbre!
Lorenz
24 janvier 2015 @ 09:11
Ah, je l’attendais le prince de Galles en Arabie Saoudite pour ses condoléances!!
Trop occupés pour les funérailles de la reine Fabiola, les Britanniques, mais quand il s’agit des souverains du Golfe ils se précipitent!!
Mayg
24 janvier 2015 @ 12:11
Le roi Abdallah était un souverain en exercice au moment de sa mort, ce qui n’était pas le cas de la reine Fabiola.
De plus, il vaut mieux allé présenter ses condoléances, si on veut que le pétrole continue à couler à flots…
Anne-Cécile
24 janvier 2015 @ 19:20
Il s’agit surtout d’assister à l’intronisation d’un roi et non d’assister aux funérailles de la veuve d’un ancien chef d’état.
jocelynede
24 janvier 2015 @ 10:45
Le pétrole, le pétrole
Gérard
25 janvier 2015 @ 19:33
Le pétrole certes mais aussi la lutte contre le terrorisme !
flabemont8
24 janvier 2015 @ 13:52
N’Est-ce pas en Arabie Saoudite que le prince Charles , habillé du costume que l’on voit ici , s’était livré à une brillante danse du sabre ?
JAusten
24 janvier 2015 @ 15:03
ils ont flouté tous les yeux des militaires :))))))
Nicole C 34
24 janvier 2015 @ 15:58
Les lèches bottes se précipitent….
Pascale (37)
24 janvier 2015 @ 18:51
Pétrole, pétrole, quand tu nous tiens………….
aubert
24 janvier 2015 @ 19:30
On apprend que madame Lagarde vient de louer le rôle du souverain vis à vis des femmes.
Après cela on peut se demander ce que beaucoup dans le monde vont penser des français après le passage à la tête du FMI des deux derniers directeurs généraux.
Corsica
25 janvier 2015 @ 07:14
Aubert, madame Lagarde n’est pas la seule à penser cela . De nombreux journaux ont parlé d’Abdallah comme d’un réformateur prudent, au risque de s’attirer les foudres des oulémas . Je cite le Figaro « Il souhaitait que les femmes jouent un rôle plus important dans la société. C’est à son initiative qu’elles sont aujourd’hui plus nombreuses à travailler et qu’elles pourront voter aux prochaines élections municipales, cette année. Il avait ainsi nommé en janvier 2013 trente femmes au Majlis al-Choura, ou Conseil consultatif. En revanche, il n’est pas parvenu à leur permettre de conduire, alors qu’il y était favorable. Le roi Abdallah avait besoin d’obtenir le consensus de tous les acteurs de la société, en particulier le clergé saoudien. Il ne prenait jamais une décision seul. La route pour la conduite des femmes est encore longue… »
Gérard
25 janvier 2015 @ 19:52
Le diplomate britannique Sherard Cowper-Coles rapporta dans ses mémoires Ever the Diplomat qu’en 1998 le futur roi Abdallah avait eu la peur de sa vie quand la reine Elizabeth qui l’avait invité à Balmoral lui proposa un tour en voiture après le déjeuner. Le prince Saoud ministre des affaires étrangères ayant vaincu ses hésitations il monta dans la Land Rover mais c’est alors seulement qu’il comprit que c’est la reine qui allait prendre le volant sur les petites routes d’Écosse. La reine conduit à vive allure en commentant sans cesse le paysage. Le prince finit par demander au traducteur de supplier la reine d’aller moins vite. Il n’était jamais conduit par des femmes et par une reine en plus, ni par un chauffeur qui parle.
Mais la reine depuis la guerre est une conductrice hors pair et n’aime rien tant que les étroites routes d’Écosse.
Zeugma
26 janvier 2015 @ 21:38
Merci pour cette anecdote très amusante – que je ne connaissais pas bien que j’ai lu plusieurs biographies de la reine – et utiliserai – si vous me le permettez – à l’occasion d’un dîner en ville (un dîner mondain, quand même) quand l’occasion s’en présentera.
Gérard
25 janvier 2015 @ 19:57
Sir Sherard fut 3 ans ambassadeur en Arabie Saoudite.