Une exposition dédiée au célèbre buste de Louis XIV réalisé par Le Bernin. Les visiteurs auront l’occasion unique d’admirer cette œuvre emblématique de près, accompagnée de documents et d’œuvres contextualisant sa création.
Du 14 octobre 2025 au 15 février 2026, exposition « Le Grand Dauphin (1661-1711), Fils de roi, père de roi et jamais roi », mettra en lumière Louis, fils de Louis XIV, connu sous le nom de Grand Dauphin. À travers environ 250 œuvres, le parcours explorera sa vie, son éducation, ses résidences et ses collections artistiques.
Enfin du 25 novembre 2025 au 3 mai 2026, exposition « Visite des chefs amérindiens à la cour de France en 1725« , commémorant les 300 ans de la visite de chefs amérindiens invités par Louis XV. Elle offrira une plongée dans l’univers des sociétés autochtones de la vallée du Mississippi et leurs interactions avec la cour française. (Merci à Bertrand Meyer)
7 février 2025 @ 01:43
On bosse à Versailles !
7 février 2025 @ 07:18
Le grand dauphin n’était pas père de roi mais grand pére. C’est son fils Louis duc de Bourgogne qui fut le pére de Louis XV.
8 février 2025 @ 15:29
Philippe V d’Espagne
7 février 2025 @ 07:23
Voilà des expositions plus interessantes que Jeff Koon et cie.
7 février 2025 @ 07:58
« Fils de roi, père de roi, jamais roi lui-même » chantonnait-on déjà de son vivant, parait-il… les chansonniers devaient lire dans les boules de cristal des escaliers de Versailles, pour savoir qu’il mourrait avant son père !
Le roi appelait son unique fils légitime : » Monseigneur » , une tradition qui se perpétue de nos jours,chez l’un de nos prétendants, en un peu moins pompeux, mais l’esprit y est.
7 février 2025 @ 12:41
Le Grand Dauphin, euh, je ne suis pas intéressé.
7 février 2025 @ 13:17
La couleur et les lignes ondulantes des éléments de ces belles façades auraient été plus en harmonie avec un pavement uni.
Je ne savais pas que Bernini, omniprésent à Rome, avait œuvré en France.
7 février 2025 @ 13:41
Sans rapport avec Louis XIV mais avec le Bernin. L’église Sainte Bibiane de Rome aurait dû être détruite lors de la construction de la gare Termini, en 1867, mais fut sauvée grâce au Bernin. Elle aurait été construite en 363 à l’endroit où vivait Sainte Bibiane et où elle fut enterrée après avoir été flagellée à mort, le 2 décembre 362, lors des persécutions de Julien l’Apostat. Sa dépouille repose sous le maître-autel, protégée dans une urne en albâtre datant de l’époque de Constantin. La façade de l’église a été rénovée par le Bernin, à la demande du pape Urbain VIII, en 1625. Et, l’année suivante, il a réalisé une sculpture de Sainte Bibiane, tenant la palme des martyrs, debout à côté de la colonne sur laquelle elle fut martyrisée, qui se trouve au-dessus du maître-autel. Au fond de l’église est conservée la colonne de marbre rouge antique à laquelle la sainte fut liée pour être flagellée, protégée par une grille en bronze doré conçue par le Bernin.
8 février 2025 @ 17:44
Les Romains ont été de grands fournisseurs de saints.
9 février 2025 @ 07:30
C’est vrai qu’il était père du roi d’Espagne, duc d Anjou. J’aurais dû reflechir avant de me précipiter. Toutes mes excuses.