Le prince Dom Gabriel d’Orléans-Bragance, fils du prince et de la Princesse Pedro d’Alcantara d’Orléans-Btagance, était présent au théâtre du centre culturel FIESP à Sao-Paulo à l’inauguration de l’exposition intitulée « 140 ans de présence Libanaise au Brésil ». (Merci à Charles – Photo ProMonarquia)
Agnese
24 avril 2023 @ 06:20
Il y a également une grande communauté libanaise en Argentine.
JAusten
24 avril 2023 @ 09:06
En fait il y a des communautés libanaises partout. S’ils devaient un jour tous rentrer au pays, il n’y aurait pas assez de lopins de terre pour loger tout le monde.
Le Liban …un petit coucou à Muscate qui j’espère va bien.
Passiflore
24 avril 2023 @ 10:47
JAusten, la situation est dramatique au Liban. Une amie en revient. Il paraît que quelqu’un qui gagnait 2.000 € a l’équivalent, à l’heure actuelle, de 30 €. Muscate le sait mieux que quiconque. J’ai compris que le paiement en dollars n’était pas affecté.
Passiflore
24 avril 2023 @ 08:40
On dit que l’Empereur don Pedro II, venu à Beyrouth, en 1876 (il était descendu à l’hôtel « Belle-vue ») aurait séduit son auditoire par sa maîtrise de l’arabe et son goût pour la culture orientale. Il avait écrit : « À partir d’aujourd’hui commence un nouveau monde. Le Liban se présente devant moi, avec ses montagnes enneigées, d’un aspect grandiose. » Son ami Victor Hugo le surnommait « le petit-fils de Marc-Aurèle » « parce qu’il parle l’italien comme un Toscan, le français comme un Parisien, l’allemand comme un Prussien et l’anglais comme un professeur britannique… »
Vers 1880, le seul document que les Libanais possédaient était un passeport turc (ceci jusqu’en 1892) qui pouvait les aider à entrer au Brésil grâce à l’accord d’amitié signé en 1858 entre le Brésil et l’Empire ottoman. On les appelait d’ailleurs les « Turcos » dans toute l’Amérique. Au Brésil, les Libanais étaient, d’abord, colporteurs, on les appelait les « Mascates ». Ensuite, ils ont exploité le caoutchouc, l’or, la canne à sucre ou du café. En Amazonie, ils se firent « seringueiros », récupérant le latex, sève de l’hévéa brasiliensis, pour produire le caoutchouc qui allait faire la fortune de Manaus.
Marie-Caroline de Bretagne
24 avril 2023 @ 10:12
Brillant souverain que Pedro II, assez unique en fait …
Caroline
24 avril 2023 @ 21:57
Ce prince brésilien a- t- il fondé une famille ?
Charles
26 avril 2023 @ 09:04
Oui