La grande-duchesse de Luxembourg a pris la parole lors d’une une table ronde au siège de l’UNESCO dans le cadre de la Journée Internationale de la Femme ce mardi 8 mars 2016. (©Cour grand-ducale/ Clément Fauquet / tous droits réservés – Merci à Bertrand Meyer)
Marguerite
8 mars 2016 @ 22:08
La directrice générale reste très sceptique (peut-être devant la piètre qualité du lifting de sa voisine…?)
JAusten
8 mars 2016 @ 22:20
en tout cas la « director-general » lui lance un regard peu amène ou sourcil levé « tes vraiment grande duchesse toi ? »
marielouise
9 mars 2016 @ 07:30
Une femme certainement très censée…qui est toujours restée bien ancrée dans une certaine réalité!
ml
Pierre-Yves
9 mars 2016 @ 09:52
Je viens de voir l’excellent film qu’est Mustang au cinéma, et j’en suis sorti en songeant qu’il y avait encore énormément de boulot pour que les femmes soient considérées comme des êtres humains de plein droit. C’est incroyable que ce combat soit encore et toujours à mener, mais le fait est qu’il doit l’être sans relâche.
Caroline
9 mars 2016 @ 11:55
Honorons toute femme douée de certaines qualites exceptionnelles, inexistantes chez tout homme!Par exemple, comme le sens de l’intuition féminine!Mdr!
C’est parfait pour la grand-duchesse de Luxembourg, le véritable pilier de sa famille et le soutien efficace de son mari!
dradomir
9 mars 2016 @ 12:39
« soutien efficace de son mari »… il est vrai que son labeur est épuisant…
Leonor
9 mars 2016 @ 22:49
Bon, bon, mais on aime bien les hommes quand même. Mais il est certain qu’il faut les éduquer encore et encore, et rééduquer sans relâche ! Tiens, une p’tite anecdote me revient : voir un post suivant, un peu plus tard dans la soirée.
Leonor
9 mars 2016 @ 23:05
Petite anecdote, donc.
Dans l’une des boulangeries du quartier, la nouvelle toute jeune vendeuse , un jour, se lâche. Et lâche sa désillusion. Son compagnon, dit-elle, râle tant et plus quand il rentre le soir, car le ménage n’est pas à son goût, la soupe non plus, ses frusques ne sont pas pliées-rangées comme chez maman, et le reste à l’avenant.
Et elle de se demander quoi faire, comment faire, en émettant timidement l’objection qu’elle travaille, elle aussi. Ce dont le gugusse n’a cure, évidemment.
Que lui dire d’autre que : » Mais fichez-le dehors, cet enfoiré ! « . Elle n’y avait pas songé. On le lui répéta sur tous les tons. Tudieu ! On n’avait pas fait des années de tendre guerre pour que des jeunettes se laissent ainsi toujours encore réduire en esclavage ! Sous nos latitudes !
Entretemps, la boutique s’était remplie. La discussion allait bon train parmi les employés et les clients, et ça devenait chaud.
Quelqu’un alors dit, bien fort ( devinez qui) : » Bon. On voit. Vous y tenez malgré tout, à cet empaffé d’esclavagiste ; vous avez tort, mais bon. Il vous reste une solution. Une . La grève du sexe . »
Les femmes présentes approuvèrent chaudement. Les hommes tentèrent une timide objection, se firent huer et, courageusement, délaissèrent le champ de bataille .
La timide jeune femme, d’abord interloquée, promit d’essayer.
Je ne sais malheureusement pas ce qu’elle est devenue.
Caroline
10 mars 2016 @ 08:21
Leonor, j’ai aimé lire votre anecdote! La pauvre!
Merci!
Leonor
10 mars 2016 @ 19:24
Bonne soirée, Caroline !