Lundi 18 janvier prochain, Noblesse et Royautés vous présentera la biographie (parue en 2020) consacrée au prince Philippe d’Orléans, comte de Paris (1838-1894), fils du duc d’Orléans et petit-fils du roi Louis-Philippe, prince méconnu de la famille royale de France, à travers différents sujets issus de l’ouvrage de Thibault Gandouly.
Karabakh
14 janvier 2021 @ 05:21
Qui est Jean de France, auteur de la préface de ce livre ?
Naucratis
14 janvier 2021 @ 12:26
Il n’existe évidemment pas. Il est étrange que ce faux nom soit ainsi publié sans vergogne.
Mais personne n’est dupe, les Orleans ne sont que des Orleans.
a
15 janvier 2021 @ 12:40
Vous poussez le bouchon.
« Les Orléans ne sont que des Orléans ».
Orléans ou Bourbon ça ne change quelque chose que pour les enragés.
Tous descendent d’Hugues Capet, de Saint-Louis et d’Henri IV, tous sont des princes de la dynastie qui a régné 800 ans sur la France.
Et si les 80 que vous placez avant eux dans l’ordre dynastique venaient à disparaître vous devriez admettre qu’ils deviendraient les premiers.
Louis XVIII, et même l’ultra Charles X l’admettaient. Responsables du pouvoir et de la diplomatie de leur royaume ils comprenaient bien qu’ils devaient respecter les engagements de la France quitte à oublier les princes de leur famille partis en Espagne.
a
15 janvier 2021 @ 13:53
a = aubert, avec mes excuses.
Karabakh
16 janvier 2021 @ 20:41
Si les quatre-vingt en question venaient à disparaître, les Orléans resteraient des Orléans. C’est leur patronyme.
aubert
17 janvier 2021 @ 13:54
Décidément je suis dans votre collimateur !!
Relisez, j’écris simplement que si tous les Bourbons s’éteignaient les Orléans passeraient du 80° rang au I°.
Karabakh
20 janvier 2021 @ 16:03
J’avoue que votre phase du moment m’irrite un peu.
Lili
14 janvier 2021 @ 12:29
Achetez le livre, vous comprendrez peut-être et vous arrêterez vos questions lassantes.
Gérard
14 janvier 2021 @ 15:17
C’est un duo d’humoristes.
Karabakh
14 janvier 2021 @ 17:12
Achetez un code civil, vous cesserez vos délires nominaux… et vos usages d’identités multiples. Et si c’est trop cher pour vous, demandez à Maître Gégé. Il doit avoir cela sur ses vieilles étagères.
Leonor
14 janvier 2021 @ 20:31
On n’achète pas un chat dans un sac.
Surtout quand on sait déjà que le nom du préfacier est, en effet, abusif.
Mayg
14 janvier 2021 @ 13:17
C’est surtout que le livre parle de Philippe d’Orléans mais est préfacé par Jean de France. Cherchez l’erreur…
Gérard
15 janvier 2021 @ 16:13
Avant la mort de Chambord évidemment personne n’appelait de France les Orléans. L’appellation n’a bientôt que 138 ans.
Mayg
16 janvier 2021 @ 12:38
Jusqu’à ce jour personne le patronyme des membres de cette famille a toujours été d’Orléans et rien d’autre.
Mayg
16 janvier 2021 @ 12:39
* le mot personne est de trop.
aubert
17 janvier 2021 @ 14:06
Gérard,
En se rabattant sur « Capet » pour nommer Louis XVI, les révolutionnaires prouvaient-ils que les princes n’avaient pas de patronyme et que le nom sous lequel on les désignait habituellement n’était que celui de leur apanage.
Les révolutionnaires auraient-ils mieux compris cela que les commentateurs du site qui ont pour références les pratiques d’un état-civil b postérieur.
Karabakh
20 janvier 2021 @ 16:08
Ce n’est pas une question d’état-civil antérieur ou postérieur. C’est tout bonnement une affaire de droit : on ne peut utiliser un nom différent de celui qui nous est assigné par l’état-civil. En découle que l’on ne peut nommer quiconque par un nom qui n’est pas le sien.
Actarus
14 janvier 2021 @ 20:59
Il ne se prénommait pas Philippe, mais Louis-Philippe Robert. En fait, c’est de droit le roi Louis-Philippe III des Français. ;-)
Quant à l’auteur de la préface, c’est peut-être Jean Vendôme, le joaillier ! ^^
Actarus
14 janvier 2021 @ 21:07
Désolé, j’ai confondu Louis-Philippe II et Louis-Philippe III. Donc, ma réponse à Mayg un peu plus bas est elle aussi sans objet. ;-)
J’ai confondu le père et le fils, Dieu merci chez eux il n’y a pas le Saint-Esprit ! ^^
Cosmo
14 janvier 2021 @ 22:37
Le frère de Cécile ?
Karabakh
16 janvier 2021 @ 20:43
C’est aussi ce que j’ai cru au départ mais, selon diverses sources, elle n’a pas de frère qui s’appelle Jean. 🤷♂️
Bambou
14 janvier 2021 @ 05:43
Biographie probablement fort intéressante. J’adore lire ce genre d’ouvrage. Donc aïeul direct de Jean, actuel Comté de Paris. Cet homme avait l’air très beau dans sa jeunesse…
Michael
14 janvier 2021 @ 07:33
Livre très intéressant
Rose
14 janvier 2021 @ 08:51
J’ai lu ce livre à sa sortie, je crois que vous l’aviez annoncé sur le site.
Je savais peu de choses sur le comte de Paris mais après lecture il ne suscite pas un enthousiasme délirant.
Politiquement, il avait intelligemment rendu visite en 1873 au comte de Chambord pour faire allégeance et simplifier le débat. Quand il est devenu chef de famille il avait choisi une voie modérée puis le mouvement boulangiste a tout chamboulé. Ensuite la droite s’est divisée et a commencé à se rallier à la république.
À sa mort son fils, le duc d’Orleans, désabusé, qui ne s’impliquait dans son métier de Prétendant que par intermittence, finit de tout gâcher.
Le livre n’est pas mal, le prince hélas pas à la hauteur de son rôle.
Belle journée
Rose
Lionel
14 janvier 2021 @ 16:26
Ce fut également mon impression quand j’ai lu ce livre en mars dernier : très bonne biographie d’un homme parfaitement estimable sur le plan privé mais falot comme prétendant et chef de parti. Disons que son petit-fils Henri (VI) et son arrière-petit-fils Juan-Carlos en ont été, l’un comme autre, l’exact inverse !
Rose
15 janvier 2021 @ 16:06
Exactement!
Et commme je le disais ailleurs, il aurait pu avoir sa file Hélène reine d’Angleterre et même cela, il s’y est opposé.
Sigismond
15 janvier 2021 @ 09:56
Ce pseudo-« comte de Paris » était déjà l’aîné des Orléans depuis 1850.
En 1883, c’est le comte de Montizón, Jean de Bourbon, de jure Jean de France et le roi Jean III de France et de Navarre, qui est devenu le chef de la famille capétienne, le chef de la Maison de France, en tant qu’aîné des Capétiens et des Bourbons. Il a ipso facto, ès-qualités (et en portant le collier de l’ordre du Saint-Esprit, dont il venait de devenir le souverain grand maître) présidé les obsèques du comte de Chambord, le 3 septembre à Gorizia.
Le piteux Philippe d’Orléans pratiqua ce jour-là la politique de la chaise vide, et le comte de Montizón, le Roi, présida aux côtés de ses deux fils et de son petit-fils, devenus depuis dix jours la nouvelle famille de France. La comtesse de Montizón, la Reine, Marie-Béatrice de Modène (sœur de la comtesse de Chambord) résidait au couvent des carmélites de Gratz, à 400 km de Gorizia.
Gérard
15 janvier 2021 @ 14:48
Le comte de Paris se rendit à Frohsdorf, dans l’ après-midi du 28 août 1883 en compagnie de son fils le duc d’Orléans, alors âgé de quatorze ans, de ses oncles Joinville et Nemours, et de son neveu Alençon, mais ayant appris que le protocole ne serait pas respecté il ne se rendit pas à Goritz.
» Madame la Comtesse de Chambord ayant désiré que la cérémonie fût dirigée par les Princes étrangers, Monsieur le Comte de Paris ne se rendra pas à Goritz. »
La Revue des Deux Mondes écrivait à propos du comte de Paris : » Dans la cérémonie funèbre qui a été célébrée à Frohsdorf et qui avait un caractère plus particulièrement privé, il n’a élevé aucune difficulté, il a accepté tout ce qu’on a voulu. Le jour où les funérailles prenaient un caractère public à Goritz, il ne pouvait faire que ce qu’il a fait. Il ne pouvait accepter que la place qui lui était
due ; dès qu’on lui refusait cette place, il n’avait plus qu’à se retirer sans insister. Il s’est abstenu, et, à parler franchement, ces incidents, nés peut-être de préoccupations assez malencontreuses, peuvent être plus favorables que nuisibles à la position que la mort de M. le comte de Chambord lui a créée. »
Ludovina
14 janvier 2021 @ 09:50
Dans la rubrique consacrée à sa fille Isabelle le 13 janvier, j’ai listé les enfants issus de son mariage avec Isabelle d’Orléans (1848-1919), infante d’Espagne, sa cousine germaine.
Les parents de l’épouse de Philippe : Antoine (1824-1890), duc de Montpensier, et Maria Luisa de Bourbon (1832-1897), infante d’Espagne, ont eu 10 enfants.
Sur les 10 enfants, 3 se sont mariés et seulement 2 ont eu une descendance.
– Isabelle, l’aînée, conjointe de Philippe, comte de Paris (sujet de la rubrique ci-dessus).
– Maria de las Mercedes (1860-1878), 1ère épouse du roi d’Espagne Alfonso XII, morte
5 mois après le mariage.
– Antonio (1866-1930), 4ème duc de Galliera, s’était uni à María Eulália de Bourbon (1864-1958), infante d’ Espagne. Le couple a eu 2 garçons :
-Alfonso (1886-1975), 5ème duc de Galliera : 3 garçons sont nés de son mariage avec
la princesse Beatrice de Saxe-Cobourg-Gotha (1884-1966).
-Luis Fernando (1888-1945), qui n’a pas eu de postérité avec Marie Charlotte
Constance Say (1857-1943), petite-fille et héritière du richissime industriel du sucre
Louis Say : près de 35 ans séparaient les époux (madame étant la plus âgée).
Décès des 7 autres enfants (3 filles et 4 garçons) : 19, 26,4, mort-né, 14, 2, et 7 ans.
Debora12345
14 janvier 2021 @ 20:21
@Ludovina, merci. Autant d’enfants morts dans cette fratrie, certains même déjà grands, quelle horreur.
Jean Pierre
14 janvier 2021 @ 10:16
Dans son journal, le marquis de Breteuil qui le fréquentait beaucoup laisse le portrait d’un homme qui désespérait un peu ses soutiens et ses fidèles.
Rose
14 janvier 2021 @ 14:17
Si vous aimez ce type de mémoire, je vous conseille si vous ne l’avez pas lu “l’ami du prince “ les mémoires d’Alfred de Gramont, proche du duc d’Orleans. Une plongée dans l’intimité de la famille d’Orleans et dans les rites et le mode de vie et de pensée de la très haute aristocratie.
Jean Pierre
15 janvier 2021 @ 13:50
Merci pour ce conseil de lecture Rose. Je vais essayer de le trouver.
Robespierre
14 janvier 2021 @ 10:28
c’est la génération où les petits-fils de Louis-Philippe ont commencé à se marier entre eux.
Je ne sais si ce comte de Paris épousa une cousine, mais c’est probable.
Mayg
14 janvier 2021 @ 13:13
Et on a vu le résultat…
Karabakh
14 janvier 2021 @ 17:14
Nous le voyons toujours. Il faudra plusieurs générations pour éclaircir cet immense implexe…
Monica
14 janvier 2021 @ 18:27
Pourquoi Jean de France et seulement Philippe d Orleans ?
Mayg
15 janvier 2021 @ 18:03
Parce qu’il est plus royaliste que le roi…
Actarus
14 janvier 2021 @ 21:02
Non, il a épousé l’archiduchesse Marie-Dorothée d’Autriche, de la branche des comtes palatins de Hongrie.
Le résultat, Mayg, fut admirable puisqu’ils n’eurent pas d’enfant. ;-)
Robespierre
15 janvier 2021 @ 13:18
Encore mieux, cela gonflait l’héritage.
Mayg
15 janvier 2021 @ 18:12
Moi je parle du résultat chez les petits-fils de Louis-Philippe qui se marièrent entre eux.
Cosmo
14 janvier 2021 @ 22:44
Il y a tout de même de beaux spécimen chez les Orléans comme chez les Bourbons, tous issus d’une sérieuse endogamie. Le résultat n’est donc pas si catastrophique aujourd’hui. Mais il est possible que la chaîne ait été interrompue sur une génération…qui sait ?
a
15 janvier 2021 @ 14:00
Dans la famille de ma mère on a largement pratiqué l’endogamie même si les trônes à hériter étaient rares.
Comme nul sur ce site où j’écris n’a demandé mon internement c’est soit que ma distinguée personne en impose soit que ce que j’écris est lisible.
aubert
15 janvier 2021 @ 14:02
Encore ! a=aubert. Est-ce l’endogamie ?
Gérard
15 janvier 2021 @ 14:50
Tous nos ancêtres se mariaient volontiers entre cousins dans toutes les classes sociales…
Aramis
16 janvier 2021 @ 09:57
N’exagérons rien Gerard ! L’Eglise l’a interdit et il fallait dispense. C’est toujours le cas. Si l’on en croit quelques études historiques qu’on trouve sur internet à première recherche , cela est resté très minoritaire et s’est davantage développé au XIX.
En tout cas rien d’évident ni de massif !
Même l ´actuel code canonique de Jean Paul II (canon 1094) déclare invalide le mariage entre cousins germains (4 eme degré ligne collatérale). Il faut donc dispense.
Donc un phénomène qui reste l’exception ne devient pas monnaie courante au motif qu’il a été pratiqué abondamment par certains comme les Orleans…
Robespierre
16 janvier 2021 @ 10:02
Un Tunisien de mes connaissances m’a dit que dans son pays il y a pas mal de sourds-muets à cause des mariages entre cousins.
Ciboulette
16 janvier 2021 @ 18:03
Surtout les riches , pour ne pas diluer le magot !
Gérard
17 janvier 2021 @ 18:07
La dispense était toujours donnée.
Mayg
15 janvier 2021 @ 18:08
Reste a savoir sur quelle génération la chaine a été interrompue…
Cosmo
17 janvier 2021 @ 11:07
En effet, chacun a son idée là-dessus…et il est possible qu’elle ait été interrompue plusieurs fois dans diverses branches.
Ghislaine GLP
14 janvier 2021 @ 10:48
Merci pour l’information j’avoue attendre avec une certaine impatience
Aramis
14 janvier 2021 @ 11:18
Le titre est : Philippe d’Orleans
Le préfacier est : Jean de France
Mario
14 janvier 2021 @ 14:47
Je ne comprends rien du tout.
Depuis la monarchie constitutionnelle sous Louis XVI titrage n’est pas de France mais des français.
Quitte relever titre tombé au bas du fossé, des français c’est des français pour aucunement d’une autre population.
aubert
15 janvier 2021 @ 14:01
merci pour ce SMS
Gérard
16 janvier 2021 @ 19:40
Oui mais en 1814 retour des fils de France.
Mario
16 janvier 2021 @ 17:15
Synthèse: De France, selon rumeurs sont des séparatismes.
HRC
14 janvier 2021 @ 15:22
Franchement, pourquoi faire juste et élégant, visualiser la continuité dynastique, quand on peut susciter soupirs des uns et moqueries des autres.
Jean Pierre
14 janvier 2021 @ 16:48
Vous croyez que l’auteur s’appelle vraiment Thibault Gandouly ou est-ce aussi un pseudo ?
Gérard
15 janvier 2021 @ 16:17
Thibault Gandouly est un jeune professeur d’histoire et géographie passionné par le bonapartisme et l’histoire des droites au XIXe siècle et auquel on doit aussi Paul de Cassagnac, l’enfant terrible du bonapartisme, Via Romana 2018, Prix Second Empire de la Fondation Napoléon.
Cassagnac admirait beaucoup le comte de Paris et dès lors l’auteur a voulu en savoir plus et il décrit un prince intellectuel, sérieux, introverti, très intelligent et très bien formé par ses précepteurs, et que la mort d’abord cachée de son père avait très atteint.
Son principal professeur fut (Jacques-Auguste-)Adolphe Regnier, futur membre de l’Académie des Inscriptions et Belles-Lettres.
» Les rapports entre Monsieur Regnier et le petit sont excellents. Vous seriez réjouie de voir avec quelle douceur et pourtant avec quelle fermeté il sait prendre l’enfant. Paris le chérit et n’ose lui désobéir comme à moi et à Mme H… J’attends vraiment d’excellents résultats de ces nouveaux rapports. Quant à Robert, il est très malheureux d’être séparé de son frère. Il demande à tout moment, car il ne le voit que peu et l’aime fort. Il a, plus que Paris, le besoin d’être avec d’autres enfants ; il s’ennuie quand il joue seul. Paris se suffit à lui-même, mais il est pourtant heureux de pouvoir jouer deux heures par jour avec Robert. » (extrait d’une lettre de la duchesse d’Orléans à sa mère le 10 juin 1843).
Le comte de Paris dit toute sa vie de Regnier qu’il était le meilleur de ses amis.
Karabakh
14 janvier 2021 @ 17:14
Cherchez l’erreur.
cerodo
14 janvier 2021 @ 12:06
cette lecture me permettra de faire un choix en connaissance de cause.
aubert
14 janvier 2021 @ 12:22
La dénomination du préfacier ne manquera pas, à juste titre , de susciter de nombreux commentaires.
Jean, comte de Paris. Qui aurait pu critiquer ?
Ou suivant l’exemple de l’auteur: Jean d’Orléans, comte de Paris
Ce prince si pieux et charitable, si instruit et intelligent possède des qualités dont il n’use pas.
Karabakh
14 janvier 2021 @ 17:15
Une personne intelligente use de sa véritable identité. 🤷🏼♂️
Gérard
15 janvier 2021 @ 16:17
Karabakh par exemple.
Phil de Sarthe
16 janvier 2021 @ 14:24
👏👏👏👏😉
Xavier
16 janvier 2021 @ 17:20
PataClems, Clément et Margaux également, mais certains d’entre eux il y a déjà plusieurs mois. Quelle floppée de gens intelligents quand on y pense!
Karabakh
17 janvier 2021 @ 16:28
Iris Iris, Christine, Zoé, etc. aussi…
A votre place, je me ferais discret.
J’ai toujours reconnu avoir utilisé un autre pseudo par le passé mais cela, avant de faire une très longue pause, blasé par les inepties des types de votre espèce – peut-être instruits mais mal éduqués. Cela se compte en années (plusieurs) mais je vous ferais l’économie de cette dimension que vous ne pourrez jamais intégrer, pour retenir que seule la prise de recul à l’égard de cas pathologiques comme le vôtre, m’a permis de revenir sereinement sur ce blog et sourire de vos délires en tous genres.
Vraiment, je suis bien content de ne pas être à votre place et bien ravi aussi de ne pas partager votre monde, fort « bordélique » comme en témoignent vos écrits. 😉
Xavier
19 janvier 2021 @ 12:43
Je ne suis derrière aucun des pseudos que vous citez, mais cela n’a aucune importance.
Quant à vos interventions ici,vous devriez les limiter davantage,et surtout éviter d’induire les autres intervenants en erreur, comme vous l’avez déjà fait plusieurs fois. Cela décrédibilise le travail de Régine Salens.
Quant à votre agressivité, présente dans bon nombre de vos commentaires, elle signe qui vous êtes vraiment.
Karabakh
24 janvier 2021 @ 12:34
En effet, aucune importance.
Les personnes de bonne foi savent discuter mes interventions et j’ai plaisir à échanger avec eux. Vous concernant, vos sorties sur ce blog (sans doute aussi sur d’autres sites) se limitant à des propos vulgaires et superficiels, je n’ai effectivement aucun intérêt, puisqu’aucun plaisir à échanger courtoisement avec vous.
Bon vent.
Karabakh
16 janvier 2021 @ 20:47
Karabakh est un pseudonyme sur internet, destiné à préserver une part (il est vrai relative) d’anonymat, et Jean d’Orléans pourrait aussi en utiliser un sans que quiconque trouve à redire. Ceci étant, lorsque je signe une préface ou mieux encore, mon propre travail écrit, j’utilise mon véritable nom. La loi ne m’autorise pas à user d’un autre nom.
C’est tout de même particulier pour un avocat, de ne pas connaître toutes les nuances des régimes de noms…
Gérard
17 janvier 2021 @ 18:06
Alors décidément vous confondez tout Karabakh. Si les avocats étaient toujours d’accord il n’y aurait plus de procès mais il faut vous dire et redire que le pseudonyme est libre sauf s’il venait à troubler l’ordre public ou à être attentatoire aux bonnes mœurs et même il peut être protégé notamment au titre de la propriété littéraire ou artistique.
Le droit a des subtilités.
Quant à faire une préface sous un pseudonyme parfaitement inconnu à quoi cela servirait-t-il ? Rien ne peut interdire au prince d’utiliser pour une préface le nom que l’histoire et la filiation lui confèrent.
Karabakh
20 janvier 2021 @ 16:19
Jean de France n’est pas un pseudonyme – par définition : un nom d’emprunt permettant à une personne d’utiliser un autre nom afin de cacher son identité – et vous pourrez arguer autant que vous le voulez, cela sera toujours ainsi, que les avocats soient d’accord entre eux ou pas.
Cosmo
14 janvier 2021 @ 22:52
Jean qui grogne et Jean qui rit ( Sophie, comtesse de Ségur, née Rostopchine)
Bambou
14 janvier 2021 @ 13:25
Jean de France, tu chantais pour les gens de France, de la Bretagne à la Provence, avec la fierté, l’insolencence de dire ce qu’on ne disait pas……
Chanson magnifique de Didier Barbelivien, hommage à Jean Ferrat : « Jean de France » ….!!!
Rose
14 janvier 2021 @ 14:32
Si vous aimez ce type de mémoire, je vous conseille si vous ne l’avez pas lu “l’ami du prince “ les mémoires d’Alfred de Gramont, proche du duc d’Orleans. Une plongée dans l’intimité de la famille d’Orleans et dans les rites et le mode de vie et de pensée de la très haute aristocratie.
COLETTE C.
14 janvier 2021 @ 15:15
Il avait écrit un « journal » : voyage en Amérique.
Ciboulette
14 janvier 2021 @ 16:47
C’est donc le fils du prince mort dans un accident , dont nous avons parlé tout récemment ?Il a hérité la beauté de son père , mais pas ses qualités politiques .
Gérard St-Louis
14 janvier 2021 @ 17:14
Il était venu faire une visite officielle au Québec en 1890 avec son fils le duc d’Orléans. Ils avait été reçu « royalement » par le lieutenant-gouverneur Auguste-Réal Angers, l’archevêque de Québec, le cardinal Taschereau et le premier ministre Honoré Mercier. Dans leurs discours, ils avaient été très touchés par l’accueil chaleureux de leurs cousins francophones perdus de vue depuis la Conquête britannique d’autant plus qu’il vivait lui même en exil à cette époque.
Caroline
14 janvier 2021 @ 19:01
Attendons pour voir le prochain article certainement fort intéressant ! Nous pourrions dire notre critique sur ce livre . 😉
Debora12345
14 janvier 2021 @ 20:34
@Ludovina, merci. Autant d’enfants morts dans cette fratrie, certains même déjà grands, quelle horreur.
Leonor
14 janvier 2021 @ 20:39
Je suis allée y regarder un peu, voir ce que c’était que cette maison d’éditions Via Romana.
https://shop.via-romana-pro.com/3-catalogue?p=2
Eh bien, c’est tout vu.
Traditionaliste et compagnie , théorie du Grand Remplacement, etc.
Je n’y laisserai pas un sou.
Et , concernant l’auteur de ce bouquin, je ne laisserais certainement pas mes enfants ou petits-enfants à la merci de ce prof’ d’histoire-là.
Gérard
15 janvier 2021 @ 16:20
L’important dans un livre c’est le livre et pas l’imprimeur…
Charlotte (de Brie)
16 janvier 2021 @ 19:31
Peut-être n’en n’avait-il pas trouvé d’autre ?
Ne l’ayant pas lu, je n’ai pas d’opinion, j’attends lundi et jours suivants.
Leonor
16 janvier 2021 @ 21:46
Gérard, je ne parle pas de l’imprimeur.
Je parle de l’éditeur.
Aetius
16 janvier 2021 @ 10:34
Depuis quand juge-t-on un auteur ou un livre à sa maison d’édition ?
Gérard
17 janvier 2021 @ 18:09
Je sais bien mais on ne peut pas juger un livre non plus en fonction de son éditeur de même qu’on ne peut pas dire que toutes les anglaises sont rousses et ainsi de suite.
Leonor
20 janvier 2021 @ 22:23
Gérard, un éditeur a une ligne éditoriale, et celle-ci est fort parlante. Vous le savez très bien.
Que vous soyez pro-Orléans, ce me semble, et donc, défendiez bec et ongles cette production, on peut le comprendre.
Mais, votre habituelle – et admirable – érudition ne permet pas d’imaginer que vous ignoreriez ce que signifie publier chez tel ou tel éditeur.
Cordialement à vous.
L.
Mary
15 janvier 2021 @ 10:53
Quand ça veut pas, ça veut pas ! Encore l’histoire de quelqu’un qui n’avait pas de destin national et qui n’a pas su s’en créer un. La république a révélé aux politiques que la place était bonne et qu’un ambitieux pouvait l’atteindre. Fin de l’idée monarchique en France, d’autant plus qu’il n’y a pas de parti pour la représenter.
Gérard
15 janvier 2021 @ 16:22
Il faut dire que Chambord a vécu longtemps. RIP.
aubert
15 janvier 2021 @ 20:10
Sire, J’ai la douleur de vous faire part de la perte cruelle que la maison de France vient d’éprouver en la personne de son chef, Henri-Charles-Ferdinand-Marie-Dieudonné d’Artois, duc de Bordeaux, comte de Chambord, décédé à Frohsdorf le 24 Aout 1883.
Je prie Votre Majesté de bien vouloir accorder, dans cette circonstance, à la maison de France, sa haute sympathie. Philippe comte de Paris.
Cette lettre est signée, Philippe et non Louis-Philippe prénom toujours porté jusque là par le signataire.
Sait-on si, de son côté, le comte de Montizon, membre de la famille royale d’Espagne, aîné des Bourbons, a fait part et en quels termes aux souverains d’Europe, du décès du comte Chambord.
C’est l’éclat de la réception donnée par le comte de Paris lors du mariage de sa fille la princesse Amélie qui entraîna l’exil des princes d’Orléans.
En 1887 dans un manifeste, le prétendant écrivait » les monarchistes ne doivent donc s’occuper aujourd’hui que de défendre les intérêts conservateurs et la fortune publique » excellent moyen pour se couper d’une part de la nation et apparaître comme le défenseur des notables et des nantis entrainant la monarchie à n’être plus que le parti royaliste.
L’actuel duc d’Angoulême aurait-il lu ce manifeste avant de se rendre à la journée d’Amboise ?
Compilation d’un texte de Philippe du Puy de Clinchamps aux PUF. Mis à jour par Jean-Paul Alexis. Les deux, orléanistes.
Sigismond
17 janvier 2021 @ 12:19
Le prince Jean n’a pas signifié aux souverains d’Europe son avènement comme chef de la Maison de France, ce n’était pas un Prince tapageur et de plus, la comtesse de Chambord avait déjà par elle-même annoncé le deuil à l’empereur François-Joseph dès le 25 août, en chargeant l’aîné des Habsbourg-Lorraine d’en faire part aux autres souverains. Elle fut d’ailleurs vivement irritée par la missive prétentieuse du pseudo-« comte de Paris », hypercadet à l’égo boursouflé.
Le comte de Montizón ne faisait plus partie de la famille royale « de facto » d’Espagne depuis 1834, en ayant été exclu par sa cousine germaine, la reine « de facto » Isabelle II. En revanche, il était « de jure », c’est-à-dire pour les carlistes, « el rey padre », le roi père, depuis son abdication de ses droits espagnols en faveur de son fils aîné en 1868.
Le prince Jean n’eut pas à être exilé de France en juin 1886 car il résidait déjà à l’étranger, en Angleterre. Il était néanmoins en contact avec les légitimistes français et comptait s’impliquer davantage politiquement, mais il succomba à une angine de poitrine en novembre 1887. Sa déclaration officielle (la première à laquelle il avait donné son accord de publication, mais il y avait eu précédemment d’autres projets de textes concertés entre le Prince et les légitimistes) fut publiée le 1er janvier 1888 dans l’hebdomadaire légitimiste « Journal de Paris », en même temps que l’annonce aux Français de la mort du Roi Jean III.
Sigismond
17 janvier 2021 @ 12:30
Erratum : l’annonce aux Français de la mort du Roi Jean III eut lieu dans le numéro du 27 novembre du « Journal de Paris », mais la déclaration du comte de Montizón ne fut publiée que dans le numéro du 1er janvier, car les légitimistes attendirent que le duc de Madrid, nouveau chef de la Maison de France et roi « de jure » d’Espagne, autorise la publication de la déclaration de son défunt père.
Sigismond
17 janvier 2021 @ 15:54
Bien entendu, Patrick Germain s’offusque, dans son livre, que la comtesse de Chambord se fût irritée ! mais on n’en attendait pas moins de cet auteur, pour lequel cette pauvre reine (si digne des lys de France, à l’image d’une Anne d’Autriche ou d’une Blanche de Castille) est une sorte de sorcière de Salem ;-)
Gérard
17 janvier 2021 @ 18:12
Aubert on ne va pas ressortir cette histoire concernant le duc d’Angoulême alors qu’il était mineur sans cesse. Que celui qui n’a jamais dit une sottise dans son adolescence lui jette la première pierre.
aubert
18 janvier 2021 @ 13:35
Oui, mais voila. Le duc d’Angoulême n’était pas, au moins à vos yeux, un adolescent banal.
Mais je lui pardonne volontiers ne serait-ce qu’en raison de son mariage.
Gérard
17 janvier 2021 @ 18:58
En ce qui concerne les Instructions aux représentants du parti monarchiste en France du 15 septembre 1887 et qui se voulaient une amorce de constitution pour la France elles contiennent cette phrase :
« Cet engagement réciproque, consacrant le droit historique et liant, comme tous les contrats, les générations futures peut seul garantir à la fois la stabilité dont la France a besoin pour reprendre son rang en Europe et la vraie liberté qui est surtout la protection des faibles. »
aubert
18 janvier 2021 @ 13:48
Je conviens que les Orléans se sont essayés à la définition d’un programme politique ou à l’exposé de leurs idées dans ce domaine.
De l’autre côté des Pyrénées nous a-t-on beaucoup éclairés.
En tous cas à part déifier les « lois fondamentales » et diaboliser le traité d’Utrecht on ne semble pas apporter de contribution.
Dans ce camp-là, car il s’agit de camp, voir de clan, on semble attendre que le Seigneur envoie le Saint-Esprit sous le déguisement favori des adeptes , la colombe portant la Sainte Ampoule dans son bec, sur la tête de leur prince devant un peuple français extasié. N’en déplaise à certains ce n’est pas vivre dans son siècle c’est totalement archaïque.
Un clin d’oeil pour terminer ce post, vivement que le duc et la duchesse de Sussex petits-enfants de la glorieusement régnante, elle, Elizabeth II, prennent une initiative plus proche de l’air du temps !
Gérard
17 janvier 2021 @ 19:02
Ce manifeste se réclame notamment de la Révolution et contient cette phrase : « La stabilité du gouvernement lui permettra de s’appliquer avec suite à l’étude des problèmes que soulève la condition de nos populations laborieuses des villes et des campagnes, de poursuivre l’amélioration de leur sort et d’adoucir leurs souffrances. »
Jackie
18 janvier 2021 @ 09:36
Eh bien ! çà promet pour le 18 janvier. Je crois que je vais faire une pose.
Jackie
19 janvier 2021 @ 09:20
oh!… une pause