Le prince consort Henrik de Danemark a été admis comme membre d’honneur de l’Académie des Sciences d’Outre-Mer à Paris. L’Académie des Sciences d’Outre-Mer auparavant Académie des Sciences coloniales a été fondée en 1922 et a pour vocation d’étudier les questions relatives au pays d’Outre-Mer sous différentes aspects dont historiques, scientifiques,… (Merci à Michèle – Source : La dépêche – Copyright photo d’archives: Getty images)
pierre-yves
18 février 2010 @ 07:37
pierre-jean, Sylvie Brigitte, à vous l’honneur de saluer comme il se doit la nouvelle promotion de votre cher Henrik le Bon, qui devrait donc venir de temps en temps dans notre belle capitale pour retrouver ses confrères académiciens…
Sylvie-Brigitte
18 février 2010 @ 08:49
Mais oui, Pierre-Yves, je suis ravie de la nomination de ce cher Henrik le Bon à l’Académie des Sciences d’Outre-Mer de Paris !
C’est une juste reconnaissance pour ses qualités intellectuelles, et le fait qu’il soit passionné par les cultures orientales.
Je gardais l’info sous le coude, en attendant d’avoir une photo de notre bon prince recevant sans doute une belle grosse médaille et un peut-être aussi un collier doré, of course, du style de celui de l’Ordre de L’Eléphant………cela aurait ravi notre cher prince, lui qui aime tant les décorations…….. mais hélas je n’ai rien trouvé !!!!!!!!!
pierre-jean
18 février 2010 @ 09:26
Merci Pierre-Yves;
Mis à part le fait qu’Henrik le Bon a passé une partie de sa jeunesse au Vietnam, je ne vois pas en quel honneur il est reçu dans cette académie, certainement à la recherche d’un membre prestigieux et facile à prendre entre ses filets, facile avec Henrik puisque notre bon Prince aime collectionner ce genre de gratifications qui lui donnera une énième médaille qu’il pourra poser fièrement avec toutes les autres au dessus de sa poitrine; bref, son orgueil est une fois de plus flatté et ses vacances en Thaïlande lui sont sans doute encore plus agréables.
Danielle
18 février 2010 @ 09:35
Quel honneur !
Notre bon prince se fera un plaisir de venir à Paris et nous peut être de le saluer.
Caroline
18 février 2010 @ 10:35
Ce prince de Danemark,notre bon Henrik,a bien merite son admission a l’Academie des Sciences d’Outre-Mer car il a une solide experience en ce domaine,ayant vecu longtemps en Indochine et au Viet-Nam!
martine
18 février 2010 @ 12:33
D’accord avec Pierre-Jean,à part le Groenland qui est autonome,mais appartient(+ ou – )au Danemark,faisant parti de »outre-mer européen »,je ne vois pas exactement,ce qu’il peut y faire?
En admettant »colonial »,pour…Indochine et Viet-Nam,bref,apprendre sur »les autres…outre-mer »ça ne peut que l’enrichir en connaissance.
Venir en France et,en profiter d’aller voir son vignoble(assez loin de Paris,mais bon)
Sylvie-Brigitte
18 février 2010 @ 12:44
Notre bon prince Henrik vient de visiter le Bangkok-Phuket-Hospital où ont été soignés 21 danois, suite au tsunami de 2004.
Il était vêtu très simplement, mais pas de médaille dorée à l’horizon……Cela ne va pas du tout !!!!!
Dominique Charenton (Royauté2)
18 février 2010 @ 12:55
Bonjour
in http://www.academiedoutremer.fr/historique.php
Académie des Sciences d’Outre-Mer
Historique :
C’est le journaliste Paul Bourdarie, qui eut l’initiative de créer une société savante spécialisée dans les problèmes de l’outre-mer, l’Académie des Sciences Coloniales, devenue le 7 juin 1957 l’Académie des Sciences d’Outre-Mer, dont il fut le premier Secrétaire perpétuel.
La formation de l’Académie a pour origine une série de réunions qui eurent lieu au cours de l’année 1922 et au début de l’année 1923. En février 1922, Paul Bourdarie accompagné de Maurice Delafosse, africaniste bien connu, et d’Alfred Martineau, professeur au Collège de France, remit à Albert Lebrun, sénateurs et ancien ministre des colonies, une note expliquant la nécessité d’une académie. Celui-ci ayant donné son accord, des réunions préparatoires se succédèrent, puis le 8 juillet, au siège de l’Alliance Française, 101, boulevard Raspail, se tint la réunion décisive dont l’ordre du jour portait : « Fondation de l’Académie des Sciences Coloniales ; lecture et discussion des projets de statuts et du règlement intérieur et, éventuellement, du bureau ».
Les 38 personnalités présentes ou excusées furent considérées comme étant les pères de l’Académie. Le bureau fut constitué de Gabriel Hanotaux, président, et de Paul Doumer, Louis Archinard, Ernest Roume, et Auguste Pavie, vice-présidents représentant respectivement le Parlement, l’Armée coloniale, l’Administration et les explorateurs. Le titre de président fondateur fut attribué à Albert Lebrun.
La séance solennelle d’ouverture de l’Académie eut lieu le 18 mai 1923 à la Sorbonne sous la présidence d’Albert Sarraut, ministre des colonies. C’est là que Paul Bourdarie, Secrétaire perpétuel, lança les quatre verbes : savoir, comprendre, respecter, aimer, qui deviendront la devise de l’Académie. Gabriel Hanotaux, Président de l’Académie, membre de l’Académie Française, exalta le rôle que devait jouer ce nouveau laboratoire intellectuel, cet institut d’idées.
Parmi les membres fondateurs, on compte : trois futurs présidents de la République, Albert Lebrun, Gaston Doumergue et Paul Doumer, Paul Bourdarie, Augustin Bernard, Maurice Delafosse, le général Charles Mangin, Lucien Hubert, Président de l’Association des anciens élèves de l’Ecole Coloniale, Alfred Martineau, le maréchal Lyautey, Pierre Mille…
Parmi les membres qui ont illustré l’Académie on peut citer, outre les trois Présidents de la République, Gaston Doumergue, Paul Doumer et Albert Lebrun, les Présidents du Conseil, Albert Sarraut, Edgar Faure, René Pleven et Pierre Messmer, les ministres Jean-Jacques Juglas, Gratien Candace, Louis Marin, Georges Leygues, Henri Lemery, Marcel Naegelen, Jean Berthoin, Leo Hamon, Jacques Soustelle, Jean Letourneau, Paul Devinat, Robert Lemaignen, les maréchaux de France Joseph Joffre, Franchet d’Espérey, Hubert Lyautey, Alphonse Juin, Leclerc de Hautecloque, les généraux Henri Gouraud, Emile Marchand, Edgard de Trentinian, Maxime Weygand, les médecins Yersin, Girard, Robic, Jamot ; les explorateurs Binger, Auguste Pavie, les membres de l’Académie française Gabriel Hanotaux, André Chevrillon, Jérome Tharaud, l’amiral Lacaze, le général Weygand, le maréchal Juin, les gouverneurs généraux Jules Brévié, Robert Delavignette, Oswald Durand, Reste de Roca, Léon Pignon, Robert Bargues.
Il faut nommer encore plusieurs chefs d’Etats : les rois Albert Ier et Léopold III de Belgique, et le Président de la République de Côte d’Ivoire, Houphouët Boigny et l’empereur Bao Daï.
Aujourd’hui l’Académie s’honore de la présence de deux Secrétaires perpétuels de l’Institut de France Jean Leclant (Inscriptions et Belles Lettres), Arnaud d’Hauterives (Beaux Arts), de membres de cet Institut : Alain Decaux et Léopold Sedar Senghor de l’Académie Française, Jean Favier de l’Académie des Inscriptions et Belles Lettres, Yves Coppens, Jean Dorst, Théodore Monod de l’Académie des Sciences et Xavier Deniau de l’Académie des Sciences Morales et Politiques, d’éminentes personnalités telles que les anciens présidents de la République du Sénégal, du Liban et du Portugal et du Dahomey, Léopold Sedar Senghor, Abdou Diouf, Charles Hélou, Mario Soarès et Emile Derlin Zinsou ; le président de la République du Burkina Faso, Blaise Campaoré et les anciens ministres Jacques Augarde, Yvon Bourges, Alain Decaux, Xavier Deniau, Yves Guena (actuellement président du Conseil constitutionnel), Jean Pierre Soisson et le professeur François Luchaire ancien membre du Conseil constitutionnel.
Cordialement
pierre-jean
18 février 2010 @ 13:02
Mais Sylvie-Brigitte, je crois qu’il avait sa grosse chaine en or autour du cou, comme ses médailles, il aime l’arborer.
martine
18 février 2010 @ 18:26
Pierre-Jean
En attendant,Henrik le bon laisse »ses » Teckels…à l’abandon ,pour »courir » la planète,et,quand il les retrouve,pour compenser…..ils font se qu’ils veulent…mordre les mollets,par exemple,à moins d’être pas »royalement »chouchoutés durant l’absence de leur maître(aller savoir)
Joelle
19 février 2010 @ 03:23
Je me demandais ou Frederick avait appris a boutonner de facon clownesque sa veste…. tel père tel fils, je viens de comprendre!!
Ceci dit, beau geste de Henrick. Merci a Dominique Charenton pour l’explication étoffée.