A l’initiative de l’organisation nationale afro-suédoise, la princesse héritière Victoria de Suède a dévoilé au cimetière Katarina à Stockholm une plaque commémorative à Adolf Couschi.
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A l’initiative de l’organisation nationale afro-suédoise, la princesse héritière Victoria de Suède a dévoilé au cimetière Katarina à Stockholm une plaque commémorative à Adolf Couschi.
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Robespierre
10 octobre 2023 @ 07:37
En tout cas, questions prénoms, le gosse on ne l’a pas raté : Adolf, Ludvig, Gustav, Frederik, Albrecht. Tous des noms royaux ou princiers. On aurait pu se contenter de l’appeler Lars ou Niels. Ou même Daniel, ou un autre nom biblique vu qu’il a été baptisé
particule
10 octobre 2023 @ 07:57
Quel accoutrement … enfin ce n’est pas la finalité du message heureusement.
Actarus
10 octobre 2023 @ 08:55
Yes, elle fait mémère sur cette photo.
laude Patricia
10 octobre 2023 @ 13:47
Pas plus que la dame d à côté.
laude Patricia
10 octobre 2023 @ 15:22
Qu est ce que c est la mode chez toi ? Ça fait un bail que je n étais pas allée chez Al Campo…. J ai juste prix un radio cassette. Il y a 10 ans au moins… 🤣
Val
11 octobre 2023 @ 08:40
On se fiche de son accoutrement pour un tel évènement. Quelle stupidité ce genre de réflexion ,
Actarus
11 octobre 2023 @ 10:17
Val, cessez d’aboyer ! Couschi panier !!! 👉🐶
laude Patricia
11 octobre 2023 @ 15:49
😂Fou rire. Merci Acta
laude Patricia
11 octobre 2023 @ 20:23
Coushi cousha…
Vieillebranche
10 octobre 2023 @ 08:58
Voilà de l’ assimilation.!! décriée par François 1er …
Menthe
10 octobre 2023 @ 08:58
Quand les humains pouvaient être considérés comme objets et marchandise en toute impunité.
Azilis
10 octobre 2023 @ 09:26
Le tableau est au musée national de Stockolm. Adolf Couschi est peint par Gustav Lundberg le 4 juillet 1775 sur commande de la Louise-Ulrique de Prusse devenue par mariage reine consort de Suède et de Finlande. Adolf Couschi venait de gagner une partie d’échecs.
https://collection.nationalmuseum.se/eMP/eMuseumPlus?service=direct/1/ResultDetailView/result.tab.link&sp=10&sp=Scollection&sp=SelementList&sp=0&sp=0&sp=999&sp=SdetailView&sp=0&sp=Sdetail&sp=2&sp=F&sp=SdetailBlockKey&sp=0
Azilis
10 octobre 2023 @ 11:38
si le lien ne fonctionne pas, il faut taper « Badin » dans la case de recherche en haut à droite, Badin étant le surnom d’Adolf Couschi.
Nini Plume
10 octobre 2023 @ 10:16
Charmant portrait avec la légèreté des petites plumes qui prennent le vent.,
Comme ce devait être bien excitant cette histoire où tout un mélange de sentiments contradictoires pouvaient rendre la chose très vivante (et néanmoins maîtrisée). On ouvrait une vanne dans le conformisme et on respirait.
Gatienne
10 octobre 2023 @ 10:53
Cette histoire me rappelle celle de Sara Forbes Bonetta, enfant-esclave elle aussi, qui fut placée sous la protection de la reine Victoria, celle-ci lui assurant de la même manière, une éducation royale.
http://www.noblesseetroyautes.com/exposition-dun-portrait-de-sarah-forbes-bonetta-filleule-de-la-reine-victoria-a-osborne-house/
Baboula.
10 octobre 2023 @ 11:21
On parle d’elle dans des biopics de la reine Victoria.
Caroline
11 octobre 2023 @ 00:26
Gatienne,
Exact ! Je me rappelle aussi avoir vu un film sur une princesse noire à la Cour royale d’ Angleterre , il y a plus de 120 ans.
D’où vient le nom de famille Couschi ? De l’ Évangile ? Ou de l’ Ancien Testament d’après Tonton Google ?
Silvia 2
10 octobre 2023 @ 13:00
Oui certains enfants ont eu cette « chance » d’autres moins, bien moins. Et il est bien que la princesse rende hommage. En revanche pour toujours je rappelle qu’il fait froid actuellement en Suède pas comme en Europe du Sud. Et il est bon que les automnes soient présents dans le nord. Alors on se couvre !
Leonor
10 octobre 2023 @ 13:37
Mon commentaire ne sera pas politiquement correct – comme d’hab’ d’ailleurs.
Je pense qu’il ne faudrait pas considérer ces sortes d’histoires de vie avec nos yeux d’aujourd’hui.
Dans nombre de pays, jadis et encore aujourd’hui, les enfants étaient et sont considérés comme quantité négligeable, au premier sens des termes.
C’était d’ailleurs le cas en France aussi .
Je ne dis pas que c’est bien. Je dis que c’est un fait , avéré.
Dès lors, vendre ou donner un enfant, c’était se débarrasser d’une charge. Le sort de l’enfant pouvait ensuite aller du pire au meilleur.
Cf. Elisabeth Badinter, L’amour en plus
Cf. Maupassant, Aux champs
Cf. l’histoire d’une mienne amie, en mal d’enfant, à qui , lorsqu’elle séjournait en Afrique, une femme proposa son enfant à acheter .
Cf. en Afghanistan, les IED ( = Improvised Explosive Device, bombes artisanales) étaient pour la plupart mises en place sur les pistes par des enfants. Peu importait aux talibans la vie des enfants, ils pouvaient bien sauter, ça faisait une bouche en moins à nourrir.
L’enfant dont il est question dans cet article n’a pas eu le pire des sorts .
Artémise
11 octobre 2023 @ 16:08
Cette vision historiographique est totalement dépassée. Tous les historiens sont complètement revenus sur ces théories. Elisabeth Badinter notamment raconte n’importe quoi (elle n’est pas historienne).
Voir notamment les travaux de Pascale Momiche, Nathalie Sage Pranchère, Stéphane Minvielle, etc.
Une bonne bibliographie : https://journals.openedition.org/genrehistoire/7049?lang=en
Leonor
12 octobre 2023 @ 17:16
Oui, il y a débat, sur les conclusions d’Elisabeth Badinter.
Mais il en saurait y en avoir sur mes cf. 2, 3, 4.
Pastelin
11 octobre 2023 @ 16:47
Les ouvrages d’ E Badinter sur ce sujet sont très contestés par les historiens. Pour la période médiévale, elle s’est incontestablement trompée, cela est admis. Pour la période de l’Ancien Régime, ses conclusions sont aussi bien remises en question .
Bref, il y a débat.
laude Patricia
10 octobre 2023 @ 15:16
Adolf… Qui porte ce prénom aujourd’hui ??
laude Patricia
10 octobre 2023 @ 22:17
Ça manque de précision.
Soit… Soit… Indiqué que l auteur du message est approximatif. Je lui conseille d étayer son argument qu il pourra nous éclairer sous la forme d un ouvrage.
Signé un rat de bibliothèque.
Laurent F
11 octobre 2023 @ 09:34
Les bottines c’est moche !
laude Patricia
11 octobre 2023 @ 15:51
Non c est confortable en automne. Pour l hiver ce sont les bottes pour les robes et les jupes avec collants à l appuis.
Val
12 octobre 2023 @ 11:22
Laurent F,
Absolument c’est hideux … Le pire ce sont les pots de yaourts qui portent des bottines …
Hervé J. VOLTO
14 octobre 2023 @ 12:45
Le 3 juillet 1315, Louis X le Hutin interdisait l’esclavage dans le Royaume de France :
-Selon le droit de nature (qu’on soit Prélat, Noble ou roturier), chacun doit être franc.
Si l’esclavage a pu réapparaitre dans les territoires d’Outre-Mer, c’est le code Noir de Louis XIV
https://fr.wikipedia.org/wiki/Code_noir
qui, tout en interdissant toujours l’esclavage en Métropole, a voulu légiférer notamment sur la condition des esclaves, alors présents dans les îles du sud de l’Amérique française, et officialise ou édicte un certain nombre de pratiques : les dimanches et fêtes chrétiennes seront obligatoirement chômés ; une nourriture suffisante est exigée, de même pour l’habillement ; interdiction de séparer les époux et les enfants lors d’une vente ; la torture est interdite ; les abus sexuels interdits ; les maîtres ne peuvent tuer leurs esclaves ; et des limites sont fixées aux châtiments corporels (qui sont alors les mêmes qu’en métropole, comme pour toute personne non noble.
1794, 4 février : la Convention nationale, en France, décrète l’abolition de l’esclavage dans toutes ses colonies.
1802 : rétablissement de l’esclavage dans les colonies françaises par Napoléon Bonaparte.
Les Royalistes Légitimistes, en tant que Catholiques étaient en grande majorité abolitionnistes. Ce sujet permettait d’ailleurs de critiquer les « Anglo-Saxons » et l’hypocrisie de leur morale prétendument humanitaire.
1815 : A la fin des 100 jours, le Congrès de Vienne abolit la traite négrière. Talleyrand promet que la France respectera l’abolition.
De façon générale, les Royalistes furent hostiles à la colonisation affairiste d’après 1880. Ils étaient très attachés à la colonisation de l’Algérie, testament de la Légitimité Catholique et Royale selon Tudesq. Les Royalistes étaient surtout favorables à la colonisation à des fins de Christianisation : Pierre-Antoine Berryer ou Louis de Baudicour s’inquiétaient de la résistance de l’Islam arabe. La critique de la colonisation se renforce chez certains auteurs légitimistes comme Barbey d’Aurevilly.
kalistéa
18 octobre 2023 @ 09:12
laude patricia vous avez sûrement vu le flm « le prénom » avec Patrick Bruel notamment qui est un fantastique comédien ?