En l’église Jesus de Medinaceli de Madrid, le roi Felipe d’Espagne a assisté à l’hommage rendu au défunt duc de Medinaceli. Le roi avait pris place auprès du prince Pablo et de la princesse Flavia de Hohenlohe, frère et sœur du défunt, et de ses enfants Victoria (héritière du titre) et Alexandre. (Copyright photo : Hola)
JACQUES
8 septembre 2016 @ 12:15
Retour de la barbe ? Cela lui va mieux.
Bernadette
8 septembre 2016 @ 16:52
Dommage le roi est revenu à la barbe ! Je le préfère sans…
england
8 septembre 2016 @ 22:21
Qui est le duc Médicaneli? Un proche de la famille royale?
chanchan
9 septembre 2016 @ 07:19
le roi bien, de la presque famille et la reine absente simple constatation,
chanchan
9 septembre 2016 @ 08:07
et pour en revenir à ma vision apocalyptique de l’Espagne, moi qui y séjourne régulièrement et donc voit en entend pas mal de « malas cosas » un simple rappel historique
le dernier roi a abdiqué » pour sauver les meubles » lui adoré pendant 30 ans, arrivé au pouvoir par le caprice d’un dictateur contre toute légitimité historique, son père abdiquant aussi facticement
un autre roi parti, avant pour éviter une guerre civile qui a finalement eu lieu un seul un roi est mort roi au début du 20 siecle par ce qu’il avait 35 ans!!celle d’avant qui a abdiquée
donc en toute logique le règne de ce roi se terminera comme les autres :
abdication, quand le mystère ?
les républicains au parlement donc le principe monarchique n’étant plus au dessus des partis mais dans l’hémicycle ce qui est de très très mauvaise augure ,puisque contesté officiellement, onéreux et sans grande utilité
cette femme au passé encombrant ( et qui peut resurgir encore ) que l’on épouse en faisant du chantage « elle ou personne » ce qui n’est pas la meilleure façon d’agir mais un caprice exaucé, donc une reine toujours aussi impopulaire et critiquée (sorcière et pire encore que je censure moi) le « laisse moi terminer » étant d’un gout !!!!!!
3 élections en un an (ce qui est un record) car la constutition ne convient plus au « gateau » à couper en 4 dont un qui possède la solution » on change tout » on finira à savoir en désespoir de cause par l’écouter sinon le pays va se ruiner en élections stériles
l’opinion publique exaspérée par ce « rien ne change » un président du conseil incapable de trouver du monde pour gouverner
et Régine qui ne censure pas ,( merci à elle) comme c’est son droit , trouvant comme journaliste, dans cette argumentation autre chose que » ah qu’il sont beaux ah qu’ils font bien leur travail »
Alain Golliot
9 septembre 2016 @ 12:10
Ca manque de clarte, votre bouillie, mais ts vos mels sont du meme acabit.
Zeugma
9 septembre 2016 @ 12:24
La situation politique en Espagne est actuellement enlisée.
Depuis la mise en place de la constitution en 1978, le pays vivait dans un système bipartisan où alternait la droite (le PP Parti populaire) et la gauche (le PSOE, parti socialiste).
Les deux dernières élections législatives ont changé la donne en répartissant les sièges au parlement entre quatre formations, Ciudadanos (centre droit) et Podemos (extrême gauche) s’étant ajoutés aux deux premiers en plus des petits partis locaux Basques, Catalans etc …..
Aucune majorité ne semble possible , aucune ne s’est dégagée lors du débat d’investiture du 31 août
Même avec l’appoint – fragile et durement négocié – de Ciudadanos il a manqué une poignée de voix à monsieur Rajoy, président du gouvernement, et chef du PP – dont le parti est arrivé en tête aux élections – pour obtenir la majorité absolue qui est requise.
Il n’y a aucune tradition de coalition en Espagne à l’instar de ce qui se passe dans la plupart des Etats européens. (L’Allemagne est gouvernée par une coalition de la CDU et du SPD, pour ne prendre que cet exemple)
Le PSOE refuse de s’abstenir pour laisser passer la droite car le parti est extrêmement divisé sur le sujet.
Podemos a reculé et pose problème aux autres formations car il soutient les indépendantistes Catalans.
L’espoir réside peut-être dans les élections régionales qui vont se dérouler à l’automne au Pays Basque.
Le PNB (Parti nationaliste basque) aura sans doute besoin de l’appoint du Parti populaire (PP) pour conserver la direction de la région. En échange, le PNB pourrait soutenir Rajoy mais il manquerait encore une voix au Cortès ….
De nouvelles élections législatives – les troisièmes – sont d’ores et déjà programmées à la mi décembre sans que personne puisse assurer qu’elles sortiront l’Espagne de l’ornière.
Baia
9 septembre 2016 @ 14:10
Chanchan, visiblement vous êtes plus douée pour les critiques acerbes que pour écrire en bon et intelligible français ! Quel charabia …
lance
16 septembre 2016 @ 09:35
Qui peut expliquer pourquoi la princesse Flavien au premier rang arboré un ruban violet avec un grand dollar .Cela a t il un sens particulier??