Je suis heureux d’apprendre que le prince Sixte-Henri est en bonne forme.
Ce prince, a-t-il pris position dans le conflit entre les prétendants au trône de France?
Qui peut nous donner quelques informations sur sa personnalité?
Vit-il au château de Lignières?
Le prince Sixte a une personnalité complexe et ses idées politiques se rapprochent de l’extrême droite en France comme en Espagne, où il prétend incarner une autre sensibilité carliste autre que celle de son frère, feu le duc de Parme.
Dans le conflit qui oppose Orléanistes et Légitimistes, il pencherait du côté des princes d’Orléans car il dénie à Louis de Bourbon tout droit au trône de France et plus simplement tout droit à sa position de chef de la Maison de Bourbon.
Le château de Lignières a accueilli pendant plusieurs années le camp de formation estival des jeunes de l’Action française.
Je me souviens d’autre part d’avoir assisté naguère à une messe du 21 janvier à St Germain l’Auxerrois où ce prince de Bourbon-Parme était placé à côté du comte de Paris actuel et du prince Jean duc de Vendôme.
Lignères en piteux état. Comme la maison d’un cousin des princes, proche de Lyon.
Je me souviens de la conférence d’un prêtre, traditionnaliste exalté, en présence d’une assistance plus que restreinte dans une suite de salons totalement vides.
Quelques années plus tard d’ une visite où, autour du château, nous devions nous protéger des ronces. Bien triste chez un propriétaire très érudit.
Merci pour votre réponse Cosmo!
Dommage que ce prince ne s’est jamais marié pour donner des héritiers au carlisme!
Pourtant, il était considéré assez beau dans sa jeunesse, si je ne me trompe pas.
Sur le plan dynastique, le Carlisme n’a plus de raison d’être car Louis de Bourbon est l’aîné des Bourbons.
Sur le plan idéologique, le duc de Parme actuel a repris le flambeau de ce que l’on appelle désormais « la tradition carliste », dont il m’est difficile de comprendre l’existence, car le carlisme n’est né que de la contestation de la Pragmatique Sanction de Ferdinand VII, abolissant la loi salique en Espagne. Il n’y avait rien de social ni d’idéologique dans cette contestation.
Attention à ne pas amalgamer Sixte et Sixte-Henri de Bourbon-Parme qui ne sont pas la même personne. Sixte (1886-1934) est l’oncle de Sixte-Henri (1940) et le premier n’aurait probablement pas partagé les idées du second.
Très bien.
La famille royale, durant la Révolution française, a été très durement touchée.
Avait-on vraiment besoin de décapiter la sœur du Roi, Madame Elisabeth, qui n’avait rien fait de mal au peuple ? Et Marie-Antoinette, certes son comportement n’avait pas toujours bété exemplaire et elle a contribué sans le vouloir au vidage des caisses de l’Etat. Mais malgré tous les conseils qu’on lui a donnée, a-t-elle vraiment appris le métier de reine concrètement ? Après réflexion, je me dis que les choses ont évolué depuis cette époque : les souveraines, maintenant, effectuent beaucoup plus de missions en contact avec leurs compatriotes; elles visitent des écoles, des hôpitaux, des orphelinats, des centres sportifs, et bien d’autre choses encore. On les voient souvent avec les plus petits et plus faibles (enfants, malades…). Elles ont alors toutes les chances de se rendre compte de l’Etat de leur pays.
Mais pour Marie-Antoinette, ce n’était pas le cas, car la cour de Versailles était avant tout un lieu de parade, d’intrigues et d’amusements. D’où les tenues extravagantes, les fards, les produits de beauté, tous les accessoires possibles et imaginable, les nombreuses dame de compagnie, les locaux pour loger tout le personnel, etc. Et tout cela avait un énorme coût !
J’en reviens donc à Marie-Antoinette : quand elle est arrivée à Versailles, petite dauphine de même pas quinze ans, elle a vite été grisée par ce monde nouveau qui s’ouvrait à elle et elle a sombré dans l’inconscience dès le début. Vous allez me dire avec bon sens que madame sa mère lui envoyait souvent des lettres pour la gronder. Oui mais voilà : à quinze ans, la crise d’ado n’est pas finie en général, donc difficile d’obéir à sa mère, surtout quand celle-ci ne la verra probablement plus et qu’elle vit très loin. Et puis, il faut rappeler qu’il y avait plus de gens pour l’encourager à jouer, que d’autres pour l’inciter à plus travailler et à prendre son rôle au sérieux. Et en plus, elle était très vive et naïve, ce qui n’a pas arrangé les choses.
Quant à Louis XVI, fallait-il le décapiter ? Je ne le pense pas. Un exil aurait suffi ou simplement une abdication. Le roi était pacifique et plutôt à l’écoute; ce sont toutes ses influences qui l’ont perdu. Il admirait beaucoup la monarchie constitutionnelle en Angleterre et peut-être qu’après plusieurs années de luttes, il aurait fait de même pour la France.
Mais que voulez-vous, les révolutionnaires voulaient du sang et ils ont prétendu fonder une république. Alors que finalement, en mettant à morts des innocents pour beaucoup de victimes, ils ont agi comme en dictateurs.
Un exemple à ne pas suivre.
En tout simplicité : Sa Majesté, Marie-Thérèse, « roi » de Hongrie, reine de Bohême, de Dalmatie, de Croatie et de Slavonie, archiduchesse d’Autriche, grande-princesse de Transylvanie, princesse de Souabe, duchesse de Bourgogne, de Lothier, de Brabant, de Limbourg, de Luxembourg, de Gueldre, de Haute- et Basse-Silésie, de Milan, de Mantoue, margravine de Moravie, de Burgau, de Haute- et Basse-Lusace, comtesse de Habsbourg, de Flandre, de Tyrol, de Hainaut, de Kybourg, de Gorice et de Gradisca, et de Namur, dame de Malines et de la Marche windique ; impératrice-consort du Saint-Empire ; et de 1740 à 1748, duchesse de Parme, Plaisance et Guastalla.
Je ne suis pas certain qu’elle se faisait simplement appeler « Madame » ou « Mère » par ses enfants. :)
Je ne comprends pas qu’il y ait tant de manifestations différentes pour commémorer un martyre. De mon temps, il n’y avait, me semble-t-il, qu’une messe, celles auxquelles j’ai assisté étaient à Notre Dame des Victoires, présidées par le duc de Ségovie, en sa qualité de chef de la Maison de Bourbon.
Pourquoi tous ces princes ne sont-ils pas capables de s’unir à l’occasion ? Ils doivent savoir comme nous que, quelles que soient leurs prétentions dynastiques, leur chance de monter sur le trône sont infinitésimales. Bourbons, dans toutes leurs branches, Espagne, Sicile, Parme ou Orléans, ils sont tous descendants de Saint-Louis, de Louis XIV et de Louis XV. Louis XVI est pour tous leur grand-oncle.
Cher Cosmo, leurs chances sont nulles, disons le franchement, car d’une part, aucun n’a les capacités d’assurer la tâche de la refondation d’une monarchie (même sans pouvoir, comme dans les monarchies subsistantes en Europe), d’autre part, personne ne le leur demande.
Aussi seule la multiplication des cérémonies leur permet elle de subsister ou de s’en donner l’illusion ou d’en donner l’illusion à quelques uns.
Sans richesse personnelle, sans capacité réelle à jouer un rôle public même mineur, sans aucun contexte favorable, et désormais pour les générations nouvelles sans même alliances royales, ils se trouvent dans une situation qui doit être bien difficile à tenir : réunir en sa personne une ascendance qui compte parmi les plus prestigieuses qui puisse être au monde, sans plus rien qui puisse la soutenir actuellement et sans perspective réelle que cela puisse changer… Dur,dur d’être héritier des rois de France et pourtant ils s’en disputent l’honneur car c’est le seul bien qui leur reste et que nul ne peut leur disputer.
Amicalement, cher Cosmo !
Je partage votre analyse. En plus de tout ce que vous dites, il faut ajouter l’entourage des princes qui, non seulement les encense bien inutilement, mais leur fait souvent commettre des erreurs d’appréciation, voire des bévues.
Si chance de restauration il y avait, la seule idée de voir cet entourage occuper une place au pied du trône légitimerait de nouveau la Révolution française, y compris dans ses excès.
Il n’y a donc plus d’espoir et au vu des prétendants, même pas de rêve. Un peu de fantasme peut-être, cher Aramis ?
L’héritage des rois de France est tout ce qui reste à ces pauvres gens, sur le dur sol français. Alors chacun tient à en garder un petit bout, son petit-bout, fut-il insignifiant, voire risible.
Ajoutez à cela que la qualité d’aîné des Capétiens, revendiquée par Louis de Bourbon, duc de Cadix, est discutable. La branche aînée des Bourbons étant pour quelques temps encore, celle trop souvent occultée, de Busset.
Enfin, il faut aussi noter que le trône d’Espagne pourrait lui aussi échapper aux Bourbons d’ici quelques années, si l’Histoire ne décide pas avant ça, d’en finir purement et simplement avec cette institution.
Dans ce contexte, il parait donc bien difficile de voir ces princes se réconcilier dans un avenir proche.
Peut-être aurons-nous l’occasion d’y rencontrer les nouveaux chevaliers de l’Ordre Royal de l’Etoile et de Notre Dame du Montcarmel pour pouvoir les féliciter ?
Lorenz
18 janvier 2015 @ 14:27
Je suis heureux d’apprendre que le prince Sixte-Henri est en bonne forme.
Ce prince, a-t-il pris position dans le conflit entre les prétendants au trône de France?
Qui peut nous donner quelques informations sur sa personnalité?
Vit-il au château de Lignières?
Cosmo
19 janvier 2015 @ 13:16
Lorenz,
Le prince Sixte a une personnalité complexe et ses idées politiques se rapprochent de l’extrême droite en France comme en Espagne, où il prétend incarner une autre sensibilité carliste autre que celle de son frère, feu le duc de Parme.
Dans le conflit qui oppose Orléanistes et Légitimistes, il pencherait du côté des princes d’Orléans car il dénie à Louis de Bourbon tout droit au trône de France et plus simplement tout droit à sa position de chef de la Maison de Bourbon.
Le château de Lignières est en bien piteux état.
Cordialement
Cosmo
padraig
20 janvier 2015 @ 13:11
Le château de Lignières a accueilli pendant plusieurs années le camp de formation estival des jeunes de l’Action française.
Je me souviens d’autre part d’avoir assisté naguère à une messe du 21 janvier à St Germain l’Auxerrois où ce prince de Bourbon-Parme était placé à côté du comte de Paris actuel et du prince Jean duc de Vendôme.
aubert
20 janvier 2015 @ 14:26
Lignères en piteux état. Comme la maison d’un cousin des princes, proche de Lyon.
Je me souviens de la conférence d’un prêtre, traditionnaliste exalté, en présence d’une assistance plus que restreinte dans une suite de salons totalement vides.
Quelques années plus tard d’ une visite où, autour du château, nous devions nous protéger des ronces. Bien triste chez un propriétaire très érudit.
Lorenz
20 janvier 2015 @ 17:06
Merci pour votre réponse Cosmo!
Dommage que ce prince ne s’est jamais marié pour donner des héritiers au carlisme!
Pourtant, il était considéré assez beau dans sa jeunesse, si je ne me trompe pas.
Cosmo
21 janvier 2015 @ 08:40
Lorenz,
Sur le plan dynastique, le Carlisme n’a plus de raison d’être car Louis de Bourbon est l’aîné des Bourbons.
Sur le plan idéologique, le duc de Parme actuel a repris le flambeau de ce que l’on appelle désormais « la tradition carliste », dont il m’est difficile de comprendre l’existence, car le carlisme n’est né que de la contestation de la Pragmatique Sanction de Ferdinand VII, abolissant la loi salique en Espagne. Il n’y avait rien de social ni d’idéologique dans cette contestation.
Cordialement
Cosmo
Christian
22 janvier 2015 @ 14:03
Attention à ne pas amalgamer Sixte et Sixte-Henri de Bourbon-Parme qui ne sont pas la même personne. Sixte (1886-1934) est l’oncle de Sixte-Henri (1940) et le premier n’aurait probablement pas partagé les idées du second.
Albane
18 janvier 2015 @ 21:33
Très bien.
La famille royale, durant la Révolution française, a été très durement touchée.
Avait-on vraiment besoin de décapiter la sœur du Roi, Madame Elisabeth, qui n’avait rien fait de mal au peuple ? Et Marie-Antoinette, certes son comportement n’avait pas toujours bété exemplaire et elle a contribué sans le vouloir au vidage des caisses de l’Etat. Mais malgré tous les conseils qu’on lui a donnée, a-t-elle vraiment appris le métier de reine concrètement ? Après réflexion, je me dis que les choses ont évolué depuis cette époque : les souveraines, maintenant, effectuent beaucoup plus de missions en contact avec leurs compatriotes; elles visitent des écoles, des hôpitaux, des orphelinats, des centres sportifs, et bien d’autre choses encore. On les voient souvent avec les plus petits et plus faibles (enfants, malades…). Elles ont alors toutes les chances de se rendre compte de l’Etat de leur pays.
Mais pour Marie-Antoinette, ce n’était pas le cas, car la cour de Versailles était avant tout un lieu de parade, d’intrigues et d’amusements. D’où les tenues extravagantes, les fards, les produits de beauté, tous les accessoires possibles et imaginable, les nombreuses dame de compagnie, les locaux pour loger tout le personnel, etc. Et tout cela avait un énorme coût !
J’en reviens donc à Marie-Antoinette : quand elle est arrivée à Versailles, petite dauphine de même pas quinze ans, elle a vite été grisée par ce monde nouveau qui s’ouvrait à elle et elle a sombré dans l’inconscience dès le début. Vous allez me dire avec bon sens que madame sa mère lui envoyait souvent des lettres pour la gronder. Oui mais voilà : à quinze ans, la crise d’ado n’est pas finie en général, donc difficile d’obéir à sa mère, surtout quand celle-ci ne la verra probablement plus et qu’elle vit très loin. Et puis, il faut rappeler qu’il y avait plus de gens pour l’encourager à jouer, que d’autres pour l’inciter à plus travailler et à prendre son rôle au sérieux. Et en plus, elle était très vive et naïve, ce qui n’a pas arrangé les choses.
Quant à Louis XVI, fallait-il le décapiter ? Je ne le pense pas. Un exil aurait suffi ou simplement une abdication. Le roi était pacifique et plutôt à l’écoute; ce sont toutes ses influences qui l’ont perdu. Il admirait beaucoup la monarchie constitutionnelle en Angleterre et peut-être qu’après plusieurs années de luttes, il aurait fait de même pour la France.
Mais que voulez-vous, les révolutionnaires voulaient du sang et ils ont prétendu fonder une république. Alors que finalement, en mettant à morts des innocents pour beaucoup de victimes, ils ont agi comme en dictateurs.
Un exemple à ne pas suivre.
Christian
22 janvier 2015 @ 14:43
« madame sa mère »
En tout simplicité : Sa Majesté, Marie-Thérèse, « roi » de Hongrie, reine de Bohême, de Dalmatie, de Croatie et de Slavonie, archiduchesse d’Autriche, grande-princesse de Transylvanie, princesse de Souabe, duchesse de Bourgogne, de Lothier, de Brabant, de Limbourg, de Luxembourg, de Gueldre, de Haute- et Basse-Silésie, de Milan, de Mantoue, margravine de Moravie, de Burgau, de Haute- et Basse-Lusace, comtesse de Habsbourg, de Flandre, de Tyrol, de Hainaut, de Kybourg, de Gorice et de Gradisca, et de Namur, dame de Malines et de la Marche windique ; impératrice-consort du Saint-Empire ; et de 1740 à 1748, duchesse de Parme, Plaisance et Guastalla.
Je ne suis pas certain qu’elle se faisait simplement appeler « Madame » ou « Mère » par ses enfants. :)
Gérard
25 janvier 2015 @ 21:54
Vous avez raison mais la volonté affichée était de tuer des symboles et d’exterminer la famille royale. Le reste ne fut qu’un mauvais habillage.
Cosmo
18 janvier 2015 @ 21:36
Je ne comprends pas qu’il y ait tant de manifestations différentes pour commémorer un martyre. De mon temps, il n’y avait, me semble-t-il, qu’une messe, celles auxquelles j’ai assisté étaient à Notre Dame des Victoires, présidées par le duc de Ségovie, en sa qualité de chef de la Maison de Bourbon.
Pourquoi tous ces princes ne sont-ils pas capables de s’unir à l’occasion ? Ils doivent savoir comme nous que, quelles que soient leurs prétentions dynastiques, leur chance de monter sur le trône sont infinitésimales. Bourbons, dans toutes leurs branches, Espagne, Sicile, Parme ou Orléans, ils sont tous descendants de Saint-Louis, de Louis XIV et de Louis XV. Louis XVI est pour tous leur grand-oncle.
ARAMIS
19 janvier 2015 @ 13:41
Cher Cosmo, leurs chances sont nulles, disons le franchement, car d’une part, aucun n’a les capacités d’assurer la tâche de la refondation d’une monarchie (même sans pouvoir, comme dans les monarchies subsistantes en Europe), d’autre part, personne ne le leur demande.
Aussi seule la multiplication des cérémonies leur permet elle de subsister ou de s’en donner l’illusion ou d’en donner l’illusion à quelques uns.
Sans richesse personnelle, sans capacité réelle à jouer un rôle public même mineur, sans aucun contexte favorable, et désormais pour les générations nouvelles sans même alliances royales, ils se trouvent dans une situation qui doit être bien difficile à tenir : réunir en sa personne une ascendance qui compte parmi les plus prestigieuses qui puisse être au monde, sans plus rien qui puisse la soutenir actuellement et sans perspective réelle que cela puisse changer… Dur,dur d’être héritier des rois de France et pourtant ils s’en disputent l’honneur car c’est le seul bien qui leur reste et que nul ne peut leur disputer.
Amicalement, cher Cosmo !
Cosmo
20 janvier 2015 @ 10:46
Cher Aramis,
Je partage votre analyse. En plus de tout ce que vous dites, il faut ajouter l’entourage des princes qui, non seulement les encense bien inutilement, mais leur fait souvent commettre des erreurs d’appréciation, voire des bévues.
Si chance de restauration il y avait, la seule idée de voir cet entourage occuper une place au pied du trône légitimerait de nouveau la Révolution française, y compris dans ses excès.
Il n’y a donc plus d’espoir et au vu des prétendants, même pas de rêve. Un peu de fantasme peut-être, cher Aramis ?
Amicalement
Cosmo
Aramis
21 janvier 2015 @ 08:43
Un petit peu Cosmo, pour s’amuser …et contribuer aussi de cette manière à les faire survivre à l’histoire qui passe….!
Cosmo
21 janvier 2015 @ 12:45
Et pour nous enchanter, cher Aramis !
Christian
22 janvier 2015 @ 14:57
J’abonde l’avis d’Aramis.
L’héritage des rois de France est tout ce qui reste à ces pauvres gens, sur le dur sol français. Alors chacun tient à en garder un petit bout, son petit-bout, fut-il insignifiant, voire risible.
Ajoutez à cela que la qualité d’aîné des Capétiens, revendiquée par Louis de Bourbon, duc de Cadix, est discutable. La branche aînée des Bourbons étant pour quelques temps encore, celle trop souvent occultée, de Busset.
Enfin, il faut aussi noter que le trône d’Espagne pourrait lui aussi échapper aux Bourbons d’ici quelques années, si l’Histoire ne décide pas avant ça, d’en finir purement et simplement avec cette institution.
Dans ce contexte, il parait donc bien difficile de voir ces princes se réconcilier dans un avenir proche.
Gérard
25 janvier 2015 @ 21:56
A Marseille les royalistes orléanistes ou bourboniens, de droite ou de gauche, s’entendent pour une seule messe.
tody
18 janvier 2015 @ 22:54
Vive Louis XVI!
Jean Pierre
19 janvier 2015 @ 13:02
Que ne l’avez vous dit plus tôt !
Jean
19 janvier 2015 @ 15:15
Peut-être aurons-nous l’occasion d’y rencontrer les nouveaux chevaliers de l’Ordre Royal de l’Etoile et de Notre Dame du Montcarmel pour pouvoir les féliciter ?
Aramis
20 janvier 2015 @ 08:10
Qu’est ce que c’est que ces distinctions ?
Christian
22 janvier 2015 @ 15:00
Une fantaisie d’Henri VII… enfin, l’actuel prétendant orléaniste, quoi.