Deux cérémonies d’hommage à l’infante Pilar, duchesse de Badajoz, sont prévues : le 29 janvier au Monastère de l’Escorial en présence du roi Felipe et de la reine Letizia puis le 31 en la cathédrale de l’Almudena à Madrid. (Merci à Alberto)
Deux cérémonies d’hommage à l’infante Pilar, duchesse de Badajoz, sont prévues : le 29 janvier au Monastère de l’Escorial en présence du roi Felipe et de la reine Letizia puis le 31 en la cathédrale de l’Almudena à Madrid. (Merci à Alberto)
Caroline
23 janvier 2020 @ 08:23
L’ infante Pilar d’ Espagne mérite qu’ on lui rende ces cérémonies d’ hommage. Elle avait une belle vie bien remplie.
Charles
23 janvier 2020 @ 09:37
Il est à noter que les enfants de l’Infante Pilar ont tenu à faire figurer sur le faire-part la comtesse de Povoa née Tornos, l’une des deux amies fidèles de leur mère. La tante de Philomena, Comtesse de Paris, est liée avec l’Infante Pilar depuis l’époque où le diplomate Don Juan de Tornos, au service du Comte de Barcelone, vivait avec sa famille au Portugal au coté du prétendant espagnol et ses enfants. Les deux femmes restèrent proches toute leur vie, Maria del Mar, comtesse de Povoa perd aujourd’hui sa meilleure amie.
Mayg
23 janvier 2020 @ 13:15
Si ce n’est pas de la récupération ça…
Yode
24 janvier 2020 @ 10:48
Même si je n’aime pas toujours les commentaires de Charles ; là, « ce n’est pas de la récupération », mais, de l’information. Il faut, aussi, savoir faire le distingo !!!
Gérard
25 janvier 2020 @ 17:08
Les Orléans donnent des boutons à Mayg on le sait. Elle en pince pour un bel hidalgo.
Mayg
25 janvier 2020 @ 22:30
Quelle information capitale…
Alice
23 janvier 2020 @ 13:28
Merci Charles pour cette information. De quelle partie d’Espagne viennent les Tornos?
Gérard
24 janvier 2020 @ 16:01
La famille de Tornos semble se rattacher à une famille d’infanzónes aisés, donc de petite noblesse, en l’espèce militaire, d’Alpartir près de Saragosse aux XVIIe et XVIIIe siècles, dont elle porte les armoiries conservées dans l’église Notre-Dame des Anges d’Alistro près de Saragosse.
Juan Ventura de Tornos, infanzón d’Alpartir, militaire, épousa María Antonia de Santa Clara Cagigal, de la vallée de Hoz en Cantabrie, d’où :
Luciano Ventura de Tornos, (Santander 1770-Madrid 24 novembre 1814) infanzón d’Alpartir, lieutenant de cavalerie ou lieutenant-colonel, qui se distingua pendant la guerre d’Espagne, dans sa descendance on trouverait :
– Simeón Tornos, qui fut nommé le 2 janvier 1848 adjoint du syndic de la Chambre des courtiers assermentés de Madrid, et fut père de :
– Estanislao Tornos y Soler († 1909), ingénieur des mines, époux de Carmen Cano Manuel y Luque Solano (+ 1917), fille de José Cano Manuel, président de chambre de l’Audience de La Havane depuis 1862, né en 1802 à Grenade, d’où :
– Juan Tornos (ou de Tornos) y Cano-Manuel (La Havane 1865-1935), agent de change et de bourse, il épousa à La Havane en 1890 María de los Ángeles de Espelíus y Anduaga, d’où :
– Juan de Tornos y Espelíus (1905-1985), chef du secrétariat personnel de Juan de Bourbon, comte de Barcelone, ambassadeur d’Espagne à Oslo du 3 mai 1974 au 6 juin 1975 (°1913-+1993), époux de María del Carmen Zubiría y Calbetón, fille du 2e marquis de Yanduri, Luis de Zubiría y Urízar (1876-1944) d’où notamment :
– Alfonso de Tornos y Zubiría (Guecho, Biscaye 13 octobre 1937-Paris 5 avril 2013), chevalier d’honneur et dévotion de l’Ordre de Malte, père de la comtesse de Paris.
María del Carmen de Tornos et Eizaguirre, est la 4e marquise de Yanduri (fille d’Alfredo de Tornos y Zubiría et de María Luisa Eizaguirre Díez de Rivera).
Il existe un cousinage remontant au XVIIIe siècle entre la comtesse de Paris actuelle et la grande-duchesse de Luxembourg en raison des parentés cubaines comme nous l’avait exposé Aliénor le 22 avril 2009.
Claudia
23 janvier 2020 @ 09:39
Quelqu’un peut me dire ce que veut dire l’abréviation « Excmos. » ?
Régine
23 janvier 2020 @ 11:32
Excellentissimos
Claudia
23 janvier 2020 @ 13:45
Merci Régine.
Gérard
23 janvier 2020 @ 14:30
Les enfants des infants et infantes d’Espagne reçoivent le traitement de Son Excellence et les honneurs des grands d’Espagne.
particule
23 janvier 2020 @ 09:57
Pour ma part et par la pensée je vais m’y associer.
Silvia 2
23 janvier 2020 @ 12:15
Les enfants des infants/es d’Espagne sont » Grands d’Espagne ». Ils passent avant tous nobles espagnols. Bien sûr cela est théorique, puisqu’en Espagne on ne reconnaît que peu la noblesse. Le droit d’aînesse a été reconnu par la constitution, sauf pour la monarchie ! Il est bon que cette femme fidèle devant les fidèles auprès de la monarchie, son père, puis son frère ait une reconnaissance. Elle a toujours représenté son frère, le Roi et l’accompagnait lors du mariage de Felipe, avec panache! Elle lui a dit en sortant du palais royal…souris, tout va bien se passer! Le roi ne voulait pas de se mariage! Toujours fidèle enfin une sœur ! Son absence va beaucoup peser au Roi Juan Carlos.
COLETTE C.
23 janvier 2020 @ 15:18
Une Infante très considérée.
aubepine
23 janvier 2020 @ 19:20
C’est la moindre des choses que son oncle l’ex- roi soit allé la voir à l’hôpital mais son épouse Sofia était-elle trop occupée pour rendre visite à sa nièce malade qui de plus vient de perdre sa mère ……il suffit pourtant de peu de choses pour apporter du réconfort à quelqu’un ,c’est ce qui s’appelle la charité chrétienne …..bien galvaudée ……
Gérard
24 janvier 2020 @ 10:56
Le titre de comte de Póvoa est un titre portugais créé par le roi Jean VI par décret du 3 juillet 1823 et lettres patentes du 8 en faveur d’Henrique Teixeira de Sampaio, premier baron de Teixeira par décret du 16 mars 1818.
Il fut aussi le premier comte de Varzim. Il vécut de 1774 à 1833, c’était un grand commerçant et homme politique qui dans la dernière partie du règne de Jean VI prêta beaucoup d’argent à l’État. Il était le fils d’une sorte d’aventurier et d’une jeune fille d’une bonne famille de l’île de Terceira aux Açores. Il s’enrichit dans ses fonctions de commissaire aux approvisionnements de l’armée anglo-portugaise dans la résistance à Napoléon. Son hôtel de Lisbonne était magnifique.
Dom Manuel de Sousa e Holstein Beck (1932-2011) était le quatrième comte de Póvoa et le deuxième baron de Teixeira. Son fils Dom João Domingos de Sousa e Holstein Beck est le 3e baron de Teixeira.
Mary
25 janvier 2020 @ 07:56
Hommages mérités pour l’infante.