Il y a 5 ans, la prince Alexandre de Belgique décédait inopinément des suites d’une embolie pulmonaire à son domicile de Rhode-Sainte-Genèse près de Bruxelles. Le prince âgé de 67 ans, était le fils du roi Léopold III et de la princesse Lilian, le demi-frère des rois Baudouin et Albert. Marié depuis 1991 avec Lea Wolman, il avait toujours cultivé une grande discrétion. Avec son épouse, il avait créé en 1996 le Fonds d’Entraide Prince et princesse Alexandre de Belgique qui soutient chaque année une thématique et qui perdure encore aujourd’hui. Le prince repose dans la crypte royale de Laeken.
Jean Pierre
29 novembre 2014 @ 09:18
Ce qui m’avait surpris dans la vie de cet homme, c’est de ne pas avoir osé annoncer à sa mère qu’il s’était marié.
June
29 novembre 2014 @ 15:52
J’avais été surprise aussi de lire qu’il n’avait pas dit à la princesse Lillian qu’il s’était marié; il avait tout de même 49 ans ! Est-ce bien vrai ?
Gibbs
30 novembre 2014 @ 09:37
June,
L’info est bien exacte.
Les Belges l’ont appris plus tard aussi … et je vous avoue avoir été surprise.
BAV
Caroline
29 novembre 2014 @ 23:52
Jean-Pierre,j’ignorais votre anecdote!
Il avait donc peur de dire à sa mère qu’il désire se marier avec une femme deux fois divorcée!
Marie
29 novembre 2014 @ 12:34
Il n’y a que 5 ans? J’aurais cru qu’il nous avait quittés il y a bien plus longtemps car … dès son décès, sa chère veuve s’est elle montrée partout et a multiplié les occasions de se faire remarquer! L’anti-discrétion en personne. Elle ne manque pas non plus de se faire accompagner par ses enfants … On se demande pourquoi.
Un petit Belge
2 décembre 2014 @ 17:37
Marie, l’ayant déjà rencontrée à deux reprises, c’est une femme charmante, simple et accessible. Et la plupart de ses sorties publiques sont soit des événements familiaux, soit des activités sociales pour lesquelles elle s’engage beaucoup. Ses enfants sont discrets, n’ont jamais fait aucune confession à la presse et ne l’accompagnent que 2-3 fois par an ; est-ce un problème? La princesse Léa et ses enfants ont offert un foyer heureux pendant 23 ans au prince Alexandre, et il est injuste de les critiquer.
Gwendy
29 novembre 2014 @ 12:58
Sa mère était quelqu’un de très autoritaire envers ses enfants (et pas seulement qu’avec eux selon plusieurs articles écrits à l’époque) sauf peut-être avec la princesse Esmeralda
Gibbs
30 novembre 2014 @ 09:39
Gwendy,
Je vous rejoins; ceci expliquant peut-être cela.
Bon dimanche
Libellule
30 novembre 2014 @ 12:04
Oui,cela a été dit Gwendy ,c’est pourquoi je mets en doute l’objectivité des écrits de la Princesse Esmeralda …
Bon dimanche à vous.
Libellule.
Un petit Belge
2 décembre 2014 @ 17:40
La princesse Marie-Esméralda a confié avoir également parfois des grosses discussions avec sa mère, mais ayant trouvé sa voie et pris son indépendance à Paris puis à Londres, cela lui permettait d’avoir du recul et de profiter pleinement de leurs retrouvailles.
Actarus
29 novembre 2014 @ 13:37
J’ai toujours trouvé l’expression « demi-frère » (ou demi-soeur) quelque peu dépréciative, comme si on pouvait n’être un frère ou une soeur qu’à moitié. On l’est complètement, ou pas du tout.
L’Almanach de Gotha avait une formule plus adéquate pour désigner les fratries nées de lits différents :
1. Les parents sont les mêmes : frère utérin, soeur utérine ;
2. Un des parents n’est pas le même : frère consanguin, soeur consanguine.
Gibbs
30 novembre 2014 @ 09:53
Actarus,
Dépréciative, peut-être mais les faits sont là; ces enfants n’ont pas les mêmes parents biologiques.
Lorsque des enfants naissent d’une même mère, on dit qu’ils sont « utérin » car né du même utérus (le terme en droit vient de là).
Lorsqu’ils sont nés du même père on dit qu’ils sont « consanguins ».
Ceci n’empêche en rien des sentiments et des relations de vraies soeurs et de vrais frères.
juripole
GERMAIN DEFINITION
Définition de Germain
l’adjectif « germain » ou au féminin « germaine », qualifie deux frères ou deux soeurs issus d’ un même père et d’une même mère. Lorsqu’ils sont issus d’un même père, mais de deux mères différentes, ils sont dits « consanguins » et lorsqu’ils sont issus d’une même mère, mais de pères différents on les dit « utérins ».
Gibbs
30 novembre 2014 @ 09:54
néS !
Gibbs
30 novembre 2014 @ 09:55
Désolée !
… qu’ils sont utérinS.
mary 71
30 novembre 2014 @ 10:01
les termes « utérin », « consanguin », pas très heureux, pas très jolis !
Du premier mariage de mon père sont nés 4 enfants que j’ai toujours nommés frères et soeur tout comme ma soeur née de la même mère que moi.. On nous a appris très tôt à ne pas faire de différence et c’est bien.
Gibbs
1 décembre 2014 @ 09:48
mary71,
Je vous rejoins mais au regard de la Loi, il y a des différences que je ne vais pas expliquer sur ce site.
Cela, les sentiments ne peuvent le changer.
Gibbs
29 novembre 2014 @ 13:51
Jean-Pierre,
Je ne peux que vous rejoindre dans votre commentaire …
Septembre
1 décembre 2014 @ 09:42
La nature profonde de la princesse Lea est d’aller vers les autres, et surtout les plus démunis; le temps qu’elle peut y consacrer aujourd’hui est, hélas, plus important qu’avant … il faut ajouter aussi que le prince Alexandre favorisait une plus grande discrétion, ce que la princesse a toujours respecté. Elle se donne depuis sa disparition sans compter, peut-être est-ce également une façon de s’empêcher de penser trop à l’être tant aimé qui lui manque si fort.
Septembre
Dame Tartine
1 décembre 2014 @ 14:16
Cet homme n’a jamais travaillé de sa vie, ou alors tres peu. J’ai interrogé une amie belge qui me dit qu’il a triplé sa première année de médecine, été renvoyé de Sciences Po Paris par manque de travail, sa famille l’aurait envoyé en Australie pour se faire oublier et percer dans la publicité. Donc il n’avait aucune fortune personnelle qu’il aurait pu acquérir par son travail et des études. Il dependait financierement de sa mère qui avait hérité une belle fortune de son mari et ne pouvait avoir un certain train de vie sans l’aide de sa mère. Dès le moment où sa mère désapprouvait son choix, il ne pouvait qu’attendre sa mort pour vivre au grand jour avec sa dulcinée.
Il aurait adoré dans sa jeunesse faire des études de médecine mais …
Un petit Belge
2 décembre 2014 @ 17:46
D’abord, Léa Wolman vient d’une famille bourgeoise qui ne manquait pas de moyens, et n’avait donc pas besoin de l’aide financière de la princesse Lilian. Ensuite, le prince Alexandre n’a pas attendu la mort de sa mère pour révéler son mariage : il l’a fait en 1998 de trois façons : d’abord en privé à sa famille proche (dont le roi Albert II) lors du mariage de la princesse Marie-Esméralda et de Salvador Moncada, puis en septembre lors d’une réception pour leurs amis au château de Corroy-le-Château et en posant pour la presse. L’année suivante, en 1999, le prince Alexandre et la princesse Léa ont assisté ensemble à deux événements officiels (la garden-party pour les 65 ans d’Albert II, et le mariage de Philippe et Mathilde).
Dame Tartine
2 décembre 2014 @ 19:12
j’ai cru que vous interveniez pour me dire que le prince avait beaucoup travaillé et gagné sa vie, et réfuter les dires de mon amie belge, mais vous m’expliquez que Madame Wolman avait des moyens pécuniaires importants. Implicitement, vous me dites qu’elle entretenait son mari. Moi à votre place je me serais tu. Car là vous enfoncez le clou.
Un petit Belge
4 décembre 2014 @ 20:52
Il est faux de dire que le couple princier avait besoin de l’aide financière de la princesse Lilian. Lors de leur mariage en 1991, le prince Alexandre avait hérité de son père et de son oncle (tous deux décédés en 1983) et la princesse Léa vient d’une famille bourgeoise aisée. Ce n’est donc pas la raison financière qui les a poussés à faire un mariage secret, et attendre plusieurs années avant de le rendre public.
Dame Tartine
5 décembre 2014 @ 09:22
J’ai dans ma famille un homme qui a dû, exactement comme le prince Alexandre attendre que son père meure et aussi une marraine pour hériter et mener une vie aisée. Sa mère est morte plus tard. Donc d’après votre post, on peut inférer que ce vieux jeune homme a dû attendre des héritages pour vivre largement. Pas très glorieux tout ça. Mais peut-être après la mort de sa mère a-t-il pu vivre plus largement encore. Ne pas lui avouer son mariage le mettait à l’abri de sanctions testamentaires. Elle ne voulait tout simplement pas d’une Lea comme bru.