Si la situation s’est améliorée, sont programmés du 17 au 31 mai, de très beaux concerts de musique classique avec les solistes du Mariinsky. Ils auront lieu dans le Théâtre du Palais, dans le cadre des « Saisons Musicales Russes »
Vladimir Kirilovitch ?
En tout cas c’est magnifique ,ce dut être extrêmement difficile de quitter cette existence plus que luxueuse pour des exils incertains.
Riche décoration…..tu m’étonnes ! Pour un Grand-duc…..!!!
Pas étonnant qu’il y est eu des révolutions, quand on voit dans quel luxe vivaient tous ces gens pendant que le peuple crevant de faim et de froid…
Et mon propos n’a rien d’anti monarchiste, ni de révolutionnaire. Juste une constatation que tout un chacun peut faire.
Même si cela n’enlève rien à la beauté de tous ces lieux et au talent de tous les artistes qui y ont contribué …
D’un autre côté, cette aristocratie extravagante rivalisant de luxe donnait beaucoup de travail aux ouvriers et artistes russes, presqu’autant qu’aux fournisseurs de vins et spiritueux :)
Ils ne thésaurisaient pas, ils bouffaient tous leurs revenus.
No sólo daban trabajo a artesanos,eran terratenientes y las perdonas que trabajan para ellos vivisn bien,,,existían también pequeños propietarios que vivían bien la mayoría no pasaba hambre..pero las sanciones eran horribles!! El palacio suntuoso
Gracias « Pistounette » por tu información la música rusa es hermosa
Certes ,c’est ce qu’on appelle le ruissellement et il implique la proximité.
Mais il y eut quand même dans la foule des grands-ducs de brillantes et estimables personnalités.
Il fallait cependant des centaines d’ouvriers, d’artisans, d’artistes, pour bâtir et décorer tout ça et des milliers de membres de leurs familles. Et puis ce sont les bourgeois qui lancent les révolutions en général.
Oui .
Brillante , ”lancée ”, ”en avance sur son temps” ,bref ”progressiste ” ,la haute société russe a consciencieusement scié la branche sur laquelle elle était très confortablement installée, elle a fait le lit des soviétiques et entraîné le véritable peuple non seulement dans la misère mais l’oppression .
Je l’ai visité.
Cela pique les yeux, ce n’est pas de bon goût (bon la deuxième partie du XIXème s n’est pas resté dans les annales…) et plutôt tape-à-l’œil. Transformé en musée, le palais est tout de même intéressant de part les collections qui y ont été installées par les autorités russes.
c’est grandiose mais pas facile d’y faire son cocon , les pièces étant à l’avenant je suppose , ce ne doit pas être facile d’avoir de l’intimité , ou alors c’est un palais de réceptions ,ce qui est autre chose !
Bonjour
C’est magnifique et cela ferait un superbe décor pour un film en costumes d’époque ! On peut rêver ! Ceci dit, le régime communiste n’a pas démoli tous ces témoignages de la grande Russie et cela nous permet d’admirer ces lieux.
Si c’est bien chauffé , je prends ! Avec tout de même du personnel pour passer l’aspirateur et nettoyer les vitres .
Comment ? J’ai la folie des grandeurs ? Mais que voulez-vous , à force de fréquenter princes et princesses , historiens , célébrités et surtout . . .le Roy , cela me donne des idées . . .
Entre 1720 et 1862, un manoir a été construit et modifié à plusieurs reprises sur ce site au bord de Neva, qui s’est progressivement transformé en « plus beau palais », où vécurent diverses personnalités et à partir de 1841 la Compagnie des Grenadiers du Palais.
Occupé précédemment par la maison du comte Vorontsov Dashkov, le terrain fut racheté par la Couronne, qui y ajouta la maison voisine de Madame Karatinga. Le coût total de la construction et de son ameublement, imaginé par Victor Shroeter, s’éleva à 820 000 roubles, une somme beaucoup plus modeste que celles dédiées à la construction des autres résidences impériales dans les décennies précédentes.
Car dès 1862, il fut décidé de démolir l’ancien bâtiment et l’on érigea le palais du grand-duc Vladimir Alexandrovitch selon le projet de l’architecte Aleksandr I. Rezanov et ce en 1867-1868, mais pendant plusieurs années encore, jusqu’en 1874, la décoration se poursuivit. Le palais fut livré peu avant le mariage du grand-duc avec la princesse Marie de Mecklembourg-Schwerin. Ils étaient très amoureux et la jeune Marie de 17 ans rompit pour lui ses fiançailles avec le prince Georges de Schwarzbourg.
Après 1917, le bâtiment abrita diverses institutions, et depuis les années 1920, le palais fut occupé par la » Maison des Scientifiques ».
Le palais Vladimir fut le dernier palais impérial construit à Saint-Pétersbourg. Il a été conçu par une équipe d’architectes (Vasily Kenel, Aleksandr Rezanov, Andrei Huhn, Ieronim Kitner, Vladimir Shreter) pour le fils d’Alexandre II, le grand-duc Vladimir Alexandrovitch de Russie.
Comme le Palais d’Hiver et le Palais de Marbre, le Palais Vladimir fait face au quai du Palais. La façade richement ornée de stucs rustiques, a été édifiée d’après les palais de Leon Battista Alberti (1404-1472) à Florence. Le porche principal est construit en grès de Brême et orné de griffons, d’armoiries et de lanternes en fonte. D’autres détails sont coulés dans du ciment Portland.
Le palais et ses dépendances contiennent 365 chambres, toutes décorées dans des styles historiques disparates : néo-Renaissance (salle de réception, salon), néo-gothique (salle à manger), néo-russe (Oak Hall), rococo (salle blanche), style byzantin (étude), Louis XIV, divers styles orientaux (salle perse), etc. Cette ornementation intérieure, renforcée encore par Maximilian Messmacher en 1880-1892, est considérée comme un monument majeur de la passion du XIXe siècle pour l’historicisme.
Après la Révolution d’octobre, le palais est devenu la première maison des scientifiques l’Académie Maxime Gorki (elle l’est toujours), et dès lors son intérieur a été préservé mieux que dans les autres résidences des Romanov. Un beau carrelage et de nombreux détails architecturaux internes ont été conservés. Une grande partie de la collection de porcelaines de la fin du XIXe siècle de Vladimir a également été conservée, la plupart avaient été fabriquées dans l’usine impériale de porcelaine et peintes ou décorées par ses principaux artistes. La collection a été complétée avec des porcelaines intéressantes du début de la période soviétique, y compris des figures de Chaliapine et Nijinsky, ainsi que des vases et des services de table inspirés du constructivisme.
Le grand-duc Vladimir était mort chez lui soudainement le 4 février 1909 (calendrier julien) des suites d’une grave hémorragie cérébrale. Il fut enterré au mausolée grand-ducal de Saint-Pétersbourg. Contrairement à de nombreux membres de leur parentèle, sa veuve et ses quatre enfants survécurent à la Révolution russe de 1917 et aux massacres qui s’ensuivirent. Devenu l’aîné des Romanov, le grand-duc Cyrille son premier fils (l’arrière-grand-père de Georges) se proclama héritier du trône en 1924.
Ce palais est situé au 26 rue des Millionnaires côté fleuve.
Waaaaaaaouh! Trop beau, trop lourd et trop luxueux !
Le grand- duc Wladmir voulait- il rivaliser avec notre Roi- Soleil, le roi Louis XIV de France? Chaque centimètre de ce palais est ‘ travaillé ‘ avec de l’ or plaqué et du marbre. En vérité, je n’ aime que le tapis et le plafond comme Danielle.
Clémentine/Lola1
9 février 2021 @ 01:55
Magnifique mais y vivre m’angoisserait !
Pistounette
9 février 2021 @ 05:47
Si la situation s’est améliorée, sont programmés du 17 au 31 mai, de très beaux concerts de musique classique avec les solistes du Mariinsky. Ils auront lieu dans le Théâtre du Palais, dans le cadre des « Saisons Musicales Russes »
Pascal🍄
9 février 2021 @ 06:33
Vladimir Kirilovitch ?
En tout cas c’est magnifique ,ce dut être extrêmement difficile de quitter cette existence plus que luxueuse pour des exils incertains.
Montferrat
9 février 2021 @ 17:19
Vladimir- Alexandrovitch.
Germain
9 février 2021 @ 18:18
Il n’avait pas trop de choix.
alobo
9 février 2021 @ 19:27
Non son grand-père Vladimir Alexandrovitch fils d’Alexandre II
Pascalavecunchampignon
10 février 2021 @ 12:28
Merci.
Bambou
9 février 2021 @ 06:47
Riche décoration…..tu m’étonnes ! Pour un Grand-duc…..!!!
Pas étonnant qu’il y est eu des révolutions, quand on voit dans quel luxe vivaient tous ces gens pendant que le peuple crevant de faim et de froid…
Et mon propos n’a rien d’anti monarchiste, ni de révolutionnaire. Juste une constatation que tout un chacun peut faire.
Même si cela n’enlève rien à la beauté de tous ces lieux et au talent de tous les artistes qui y ont contribué …
Kardaillac
9 février 2021 @ 15:44
D’un autre côté, cette aristocratie extravagante rivalisant de luxe donnait beaucoup de travail aux ouvriers et artistes russes, presqu’autant qu’aux fournisseurs de vins et spiritueux :)
Ils ne thésaurisaient pas, ils bouffaient tous leurs revenus.
Teresa2424
9 février 2021 @ 23:57
No sólo daban trabajo a artesanos,eran terratenientes y las perdonas que trabajan para ellos vivisn bien,,,existían también pequeños propietarios que vivían bien la mayoría no pasaba hambre..pero las sanciones eran horribles!! El palacio suntuoso
Gracias « Pistounette » por tu información la música rusa es hermosa
Pascal🍄
10 février 2021 @ 08:38
Certes ,c’est ce qu’on appelle le ruissellement et il implique la proximité.
Mais il y eut quand même dans la foule des grands-ducs de brillantes et estimables personnalités.
Pascal🍄
10 février 2021 @ 08:40
D’autre part le ruissellement concernait aussi la France et ne consistait pas à l’époque en monnaie de singe .
Gérard
9 février 2021 @ 16:29
Il fallait cependant des centaines d’ouvriers, d’artisans, d’artistes, pour bâtir et décorer tout ça et des milliers de membres de leurs familles. Et puis ce sont les bourgeois qui lancent les révolutions en général.
Pascal🍄
10 février 2021 @ 08:43
Oui .
Brillante , ”lancée ”, ”en avance sur son temps” ,bref ”progressiste ” ,la haute société russe a consciencieusement scié la branche sur laquelle elle était très confortablement installée, elle a fait le lit des soviétiques et entraîné le véritable peuple non seulement dans la misère mais l’oppression .
Phil de Sarthe
9 février 2021 @ 07:13
Majestueusement glacial…
Muscate-Valeska de Lisabé
9 février 2021 @ 18:22
Mois je trouve que cet endroit possède un bon karma.😉
Anne-Cécile
9 février 2021 @ 08:47
Je l’ai visité.
Cela pique les yeux, ce n’est pas de bon goût (bon la deuxième partie du XIXème s n’est pas resté dans les annales…) et plutôt tape-à-l’œil. Transformé en musée, le palais est tout de même intéressant de part les collections qui y ont été installées par les autorités russes.
Jean Pierre
9 février 2021 @ 09:37
Son épouse préférait les hôtels de Contrexeville.
ciboulette
9 février 2021 @ 17:03
Où elle est inhumée , d’ailleurs .
Menthe
9 février 2021 @ 11:18
De quoi avoir le tournis en descendant l’escalier !
Muscate-Valeska de Lisabé
9 février 2021 @ 12:06
C’est lumineux et magnifique…habituellement pas fan des fioritures ou des dorures,là j’adore .
Pascalavecunchampignon
9 février 2021 @ 12:22
Oui , curieusement je trouve qu’il se dégage de cet escalier une ambiance chaleureuse.
Muscate-Valeska de Lisabé
9 février 2021 @ 18:21
Tout à fait Pascal.
Esquiline
9 février 2021 @ 13:29
Lumineux et fin comme une dentelle. L’influence orientale!
Francois
9 février 2021 @ 12:39
magnifique
un peu de magnificence ostentatoire ce n’est pas mauvais pour le moral parfois
Sigismond
9 février 2021 @ 15:57
Exactement !
Marcelle
9 février 2021 @ 18:12
✅
Danielle
9 février 2021 @ 13:37
Un intérieur trop chargé, je n’aime que le tapis jaune et la peinture du plafond.
aubepine
9 février 2021 @ 13:44
c’est grandiose mais pas facile d’y faire son cocon , les pièces étant à l’avenant je suppose , ce ne doit pas être facile d’avoir de l’intimité , ou alors c’est un palais de réceptions ,ce qui est autre chose !
Aramis
9 février 2021 @ 14:03
Entre le vide japonais et ça , y’a un juste milieu !
Louis-Axel
9 février 2021 @ 14:59
C’est pas moche du tout, c’est harmonieux et intéressant !
Hervé J. VOLTO
9 février 2021 @ 15:11
Magnifique et lumineux.
Un peu de beauté dans un monde de brut, ce n’est pas mauvais pour le moral.
Marcelle
9 février 2021 @ 18:13
✅
Teresa2424
9 février 2021 @ 23:59
Corrijo:personas,vivian
Siii hay muchísimas escaleras…
Léa 33
9 février 2021 @ 16:15
Bonjour
C’est magnifique et cela ferait un superbe décor pour un film en costumes d’époque ! On peut rêver ! Ceci dit, le régime communiste n’a pas démoli tous ces témoignages de la grande Russie et cela nous permet d’admirer ces lieux.
ciboulette
9 février 2021 @ 17:06
Si c’est bien chauffé , je prends ! Avec tout de même du personnel pour passer l’aspirateur et nettoyer les vitres .
Comment ? J’ai la folie des grandeurs ? Mais que voulez-vous , à force de fréquenter princes et princesses , historiens , célébrités et surtout . . .le Roy , cela me donne des idées . . .
Iris Iris
9 février 2021 @ 17:59
Ce que je vois, ici, du palais, me semble d’ un parfait mauvais goût. Cela n’ engage que moi, bien sûr.
Gérard
9 février 2021 @ 18:00
Entre 1720 et 1862, un manoir a été construit et modifié à plusieurs reprises sur ce site au bord de Neva, qui s’est progressivement transformé en « plus beau palais », où vécurent diverses personnalités et à partir de 1841 la Compagnie des Grenadiers du Palais.
Occupé précédemment par la maison du comte Vorontsov Dashkov, le terrain fut racheté par la Couronne, qui y ajouta la maison voisine de Madame Karatinga. Le coût total de la construction et de son ameublement, imaginé par Victor Shroeter, s’éleva à 820 000 roubles, une somme beaucoup plus modeste que celles dédiées à la construction des autres résidences impériales dans les décennies précédentes.
Car dès 1862, il fut décidé de démolir l’ancien bâtiment et l’on érigea le palais du grand-duc Vladimir Alexandrovitch selon le projet de l’architecte Aleksandr I. Rezanov et ce en 1867-1868, mais pendant plusieurs années encore, jusqu’en 1874, la décoration se poursuivit. Le palais fut livré peu avant le mariage du grand-duc avec la princesse Marie de Mecklembourg-Schwerin. Ils étaient très amoureux et la jeune Marie de 17 ans rompit pour lui ses fiançailles avec le prince Georges de Schwarzbourg.
Après 1917, le bâtiment abrita diverses institutions, et depuis les années 1920, le palais fut occupé par la » Maison des Scientifiques ».
Le palais Vladimir fut le dernier palais impérial construit à Saint-Pétersbourg. Il a été conçu par une équipe d’architectes (Vasily Kenel, Aleksandr Rezanov, Andrei Huhn, Ieronim Kitner, Vladimir Shreter) pour le fils d’Alexandre II, le grand-duc Vladimir Alexandrovitch de Russie.
Comme le Palais d’Hiver et le Palais de Marbre, le Palais Vladimir fait face au quai du Palais. La façade richement ornée de stucs rustiques, a été édifiée d’après les palais de Leon Battista Alberti (1404-1472) à Florence. Le porche principal est construit en grès de Brême et orné de griffons, d’armoiries et de lanternes en fonte. D’autres détails sont coulés dans du ciment Portland.
Le palais et ses dépendances contiennent 365 chambres, toutes décorées dans des styles historiques disparates : néo-Renaissance (salle de réception, salon), néo-gothique (salle à manger), néo-russe (Oak Hall), rococo (salle blanche), style byzantin (étude), Louis XIV, divers styles orientaux (salle perse), etc. Cette ornementation intérieure, renforcée encore par Maximilian Messmacher en 1880-1892, est considérée comme un monument majeur de la passion du XIXe siècle pour l’historicisme.
Après la Révolution d’octobre, le palais est devenu la première maison des scientifiques l’Académie Maxime Gorki (elle l’est toujours), et dès lors son intérieur a été préservé mieux que dans les autres résidences des Romanov. Un beau carrelage et de nombreux détails architecturaux internes ont été conservés. Une grande partie de la collection de porcelaines de la fin du XIXe siècle de Vladimir a également été conservée, la plupart avaient été fabriquées dans l’usine impériale de porcelaine et peintes ou décorées par ses principaux artistes. La collection a été complétée avec des porcelaines intéressantes du début de la période soviétique, y compris des figures de Chaliapine et Nijinsky, ainsi que des vases et des services de table inspirés du constructivisme.
Le grand-duc Vladimir était mort chez lui soudainement le 4 février 1909 (calendrier julien) des suites d’une grave hémorragie cérébrale. Il fut enterré au mausolée grand-ducal de Saint-Pétersbourg. Contrairement à de nombreux membres de leur parentèle, sa veuve et ses quatre enfants survécurent à la Révolution russe de 1917 et aux massacres qui s’ensuivirent. Devenu l’aîné des Romanov, le grand-duc Cyrille son premier fils (l’arrière-grand-père de Georges) se proclama héritier du trône en 1924.
Ce palais est situé au 26 rue des Millionnaires côté fleuve.
beji
9 février 2021 @ 18:40
J’aime même si c’est chargé.
Caroline
9 février 2021 @ 22:03
Waaaaaaaouh! Trop beau, trop lourd et trop luxueux !
Le grand- duc Wladmir voulait- il rivaliser avec notre Roi- Soleil, le roi Louis XIV de France? Chaque centimètre de ce palais est ‘ travaillé ‘ avec de l’ or plaqué et du marbre. En vérité, je n’ aime que le tapis et le plafond comme Danielle.
JALINE
10 février 2021 @ 11:20
DOMINANTE « OR ET JAUNE » – il faut reconnaître que l’ensemble est magnifique –
TEMOIGNAGE DE LA GRANDE RUSSIE –