Johann Baptist von Lampi dit l’Ancien est né le 31 décembre 1751 à Romeno dans le Tyrol, à l’époque autrichien mais aujourd’hui italien. Son père, sous la direction duquel il a reçu sa formation artistique initiale et dont il était le quatorzième enfant, était Matthias Lampi (1698-1780), un peintre mineur spécialisé dans la peinture décorative religieuse.
Ci-dessus, un autoportrait vers vers 1808 exposé au Musée du Tyrol à Innsbruck.
En 1768 on retrouve le jeune peintre de seize ans à Salzbourg avec un cousin, le peintre Pietro Antonio Lorenzoni ou Lorenzi (vers 1721-1782), connu pour ses portraits de la famille Mozart, peintre de la cour archiépiscopale.
Johann-Baptist commença alors son apprentissage avec les peintres Franz Xaver König (vers 1711–1782), puis Franz Nikolaus Streicher (1736–1811).
Après ses premières commandes obtenues à Trente (Tyrol ), Jean-Baptiste s’installa à Vérone en 1772, où il suivit les cours de Francesco Lorenzi (1720-1787) – lui-même suiveur du grand peintre vénitien Tiepolo (1696-1770).
La même année, Lampi épouse Anna Maria Franchi (1749-1795) qui non seulement lui donna sept enfants, mais aussi lui servit d’aide en préparant les peintures et apprêtant les toiles.
Lampi commença sa carrière en peignant des plafonds, des retables d’églises, des peintures à caractère historique. Ses succès sont si rapides que l’Académie des Arts de Vérone l’élit membre, en 1773, alors qu’il n’est âgé que de 22 ans.
Prince-évêque de Trente Pietro Vigilio Thun
Il est resté sept ans à Trente où en plus des peintures religieuses, il peint en 1776 le prince-évêque nouvellement élu Pietro Vigilio Thun (1724-1800).
À Rovereto, ville du Trentin, il peint son premier chef-d’œuvre en 1779 avec le portrait de l’évêque de Sutri et Nepi, Girolamo Luigi Crivelli (1746-1780).
L’évêque Girolamo Luigi Crivelli (1779)
En 1783, il arriva à Vienne et devint rapidement un portraitiste de la famille impériale, de la cour et de la noblesse. Lampi excellait dans l’art de se procurer de riches commanditaires.
En 1784, la cour lui commande de peindre un portrait d’Elisabeth duchesse de Wurtemberg, la fiancée du futur empereur François II, et dont la sœur, Sophie-Dorothée, en avait épousé le grand-duc Paul, futur empereur de Russie, et pris le nom de Maria Féodorovna.
Elisabeth duchesse de Wurtemberg, Archiduchesse d’Autriche
En 1786, pour le portrait de l’empereur Joseph II en costume de Grand Maître de l’Ordre de la Toison d’or, il obtient le titre de professeur à l’Académie des Arts de Vienne et est élu membre de son Conseil.
Joseph II par Lampi (Mais ce n’est pas le portrait primé)
Lampi peint aussi des personnages de second rang comme la belle-sœur de Mozart, Aloysia Weber en 1784.
Aloysia Weber dans le rôle de Zémire dans l’opéra d’André Grétry, Zémire et Azor”
Il peint des membres de la noblesse comme celui de Joseph baron von Sperges auf Palenz und Reisdorf, (* 31 janvier 1725 à Innsbruck ; † 26 octobre 1791 à Vienne ou Udine) avocat tyrolien, historien et diplomate autrichien. Il a élaboré la première carte précise du Tyrol du Sud et une réforme administrative pour la Lombardie.
Joseph baron von Sperges – Collection privée de l’auteur
Il peint même des membres de la bourgeoisie.
Giovanni Battista Tensi, marchand de tissus
En 1788, à l’invitation du roi de Pologne, Stanislas II Auguste Poniatowski, il arriva à Varsovie, où il peint des portraits du souverain lui-même et de nombreux aristocrates polonais et lituaniens.
Stanislas II Auguste Poniatowski(1732-1798), Roi de Pologne et Grand-duc de Lituanie (1765-1794)
En 1791, le prince Grigori Alexandrovitch Potemkine, qui se trouvait alors en Moldavie, invita l’artiste à son quartier général à Iasi.
Prince Potemkine en grand tenue
Là, il peint les portraits du maréchal lui-même, de son secrétaire le comte Vasili Stepanovich Popov, (1743-1822) général russe d’origine polonaise, des généraux le comte Matveï Ivanovitch Platov (1753-1818) et le comte Alexei Grigoryevich Orlov (1737-1807), ainsi que celui du célèbre prince Alexandre Andreïevitch Bezborodko.
Comte Vassili Popov
En janvier 1792, par l’intermédiaire du comte Popov, il fut invité par Catherine II à Saint-Pétersbourg, où il resta cinq ans.
Travaillant à la cour de Russie, il bénéficia du patronage particulier du favori de l’impératrice, le prince Platon Alexandrovich Zubov. En 1792-1793, il peint un portrait en pied de Catherine II d’après nature. Pour ce travail, en plus d’une récompense unique et généreuse de 12 000 roubles, l’artiste a reçu une pension annuelle de 1 000 roubles du Trésor russe.
Catherine II – Musée de la révolution française à Vizille
En 1794, pour le portrait du comte Moussine-Pouchkine, il reçoit le titre de membre honoraire libre de l’Académie impériale des arts. En 1795, pour les portraits du prince Nikolai Borisovich Yussoupov, du comte Piotr Vassilievitch Zavadovsky (1739-1812) et et du comte Alexeï Ivanovitch Moussine-Pouchkine pour la salle de conférence de l’Académie, il reçoit une précieuse collection de médailles.
Malgré un bref séjour à Saint-Petersbourg il a eu une influence significative sur Dmitri Grigorievitch Levitsky (1735-1822) et Vladimir Borovikovski (1757-1825), tous deux peintres de la cour de Russie.
En 1797, par décret de Paul Ier, et probablement pour rompre avec les vues de sa mère, Catherine II, le Trésor russe cessa de verser à Lampi une pension annuelle et il fut contraint de retourner à Vienne.
Néanmoins, il garda les meilleurs souvenirs de Russie. Une sorte de culte à la maison impériale russe a longtemps persisté parmi ses descendants.
Avant de quitter la Russie, il peint les membres de la famille impériale, l’impératrice et deux de ses fils.
Impératrice Maria Feodorovna, née duchesse Elisabeth de Wurtemberg
Les grands-ducs Alexandre et Constantin Pavmovitch en 1795
Lampi retourne en Autriche, en 1798, et reçoit la noblesse héréditaire, avec le rang de chevalier impérial et, un an plus tard, le titre de citoyen d’honneur de Vienne.
En son absence, Lampi s’était vu remplacé par le peintre Heinrich Füger devenu directeur de l’académie, où malgré tout, revenu de Russie, il reprit ses activités d’enseignement. Il est de nouveau le portraitiste de la famille impériale.
François de Habsbourg-Lorraine (1768-1835) archiduc d’Autriche, roi de Hongrie et de Bohème. Empereur romain-germanique puis d’Autriche
Impératrice Marie Louise Béatrice, née archiduchesse d’Autriche-Este (1778-1816)
En 1800, il prit la direction du Conseil de l’Académie des Arts de Vienne, œuvrant pour le développement de l’éducation artistique en Autriche. L’un de ses meilleurs élèves fut Ferdinand Georg Waldmüller (1793-1865), le grand paysagiste autrichien de la période Biedermeier.
Gustave IV Adolphe de Suède
Il est aussi élu, la même année, membre de l’Académie suédoise des beaux-arts pour son portrait du roi Gustave IV Adolphe de Suède. Sa clientèle reste la haute noblesse.
Lampi avait son propre atelier d’art à Vienne, où ses nombreuses commandes de portraits étaient réalisées. Il y travaillait assisté par ses deux fils, nés de son premier mariage avec Anna Maria Franchi (1772-1795), également portraitistes, Johann Baptist von Lampi le Jeune (1775-1837) et Franz Xavier von Lampi (1783-1852).
Anna Maria Franchi, son épouse, avec leur second fils
Dans la banlieue de Leopoldstadt à Vienne, Lampi avait acquis l’ancienne auberge « Zum Schwarzen Bären” ( “A l’Ours Noir”), où il créa une collection de peintures, d’estampes et de 7 000 pièces de monnaie anciennes.
Canova devant le cénotaphe de l’archiduchesse Marie-Christine. Collection du prince de Liechtenstein
Lorsque Vienne fut occupée par les Français (1805 et 1809), il commanda la Légion académique, qui gardait les trésors d’art de la famille impériale. En 1805/06, il peint le sculpteur Canova devant le cénotaphe réalisé par lui pour l‘archiduchesse Marie Christine (1742-1798), duchesse de Teschen, fille préférée de l’impératrice Marie-Thérèse et avant-dernière dernière régente des Pays-Bas autrichiens, avec son mari, le duc Albert de Saxe, et en 1810 la future épouse de Napoléon, l’archiduchesse Marie-Louise d’Autriche.
Toutefois lors du Congrès de Vienne, des artistes plus jeunes tels que Jean-Baptiste Isabey et Thomas Lawrence lui sont préférés. Pourtant, le portrait du cardinal Ercole Consalvi (1757-1824), secrétaire d’état du pape Pie VII, le montre encore au sommet de ses capacités, voire un peu flatteur. La comparaison des deux portraits permet de se poser la question.
Cardinal Consalvi par Lampi en 1814/1815
Cardinal Consalvi par Lawrence en 1819
En 1822, il cesse de peindre et prend sa retraite avec son plein salaire de directeur de l’académie. Il confie toute la direction de l’atelier à son fils aîné.
Au cours de ses dernières années, il séjourne souvent à Baden près de Vienne pour une cure. Un autoportrait au chevalet peint à l’âge de 76 ans aurait été sa dernière œuvre. Il mourut à Vienne le 11 février 1830, trois semaines après sa seconde épouse.
On peut dire de Lampi qu’il fut un excellent portraitiste, sachant choisir et flatter ses sujets. Il est toutefois difficile de le comparer à des portraitistes comme Gainsborough, Reynolds ou Lawrence, ni même à Elisabeth Vigée-Lebrun, plus proche de lui dans son académisme.
Autoportrait en 1828 à l’âge de 76 ans
La deuxième partie consistera en une galerie de portraits des aristocrates de l’époque face une brève notice biographique de chacun des sujets. (Merci à Patrick Germain pour cet article. A suivre)
Régine ⋅ Actualité 2022, Autriche, Lituanie, Pologne, Russie, Suède, Wurtemberg 26 Comments
Valérie T.
22 juin 2022 @ 03:53
Merci Régine et Patrick Germain pour cette première partie très complète, qui m’a permis de découvrir un peintre qui m’était inconnu. J’aime particulièrement le portrait de Josef baron von Sperges, celui d’Anna Maria Franchi, son épouse, celui de Canova et son autoportrait à l’âge de 76 ans. Beaucoup de finesse, il a su saisir l’âme de ses modèles.
Pascal Hervé 🍄
22 juin 2022 @ 05:53
En découvrant cet article et en voyant la richesse de l’iconographie et sa parfaite concordance avec le texte je suis allé directement à la fin pour avoir la confirmation de ce que je pressentais .
J’aime particulièrement les portraits du roi de Pologne et de Canova .
Nous direz-vous cher Cosmo ce qui vous a conduit à vous intéresser particulièrement à ce peintre ?
En tout cas merci , c’est un article que je trouve très intéressant et en quelque sorte ”ludique” 😉 .
👏👏👏
Cosmo
24 juin 2022 @ 11:05
Cher Pascal,
Le hasard m’a conduit à m’intéresser à ce peintre. Lors de recherches pour l’ouvrage sur lequel je travaille, j’ai croisé plusieurs fois son nom et j’ai voulu en savoir plus.
Comme je le dis à Baboula plus bas, je l’avais déjà croisé à l’occasion des articles sur le roi de Rome mais cela ne m’avait pas interpellé à l’époque.
Je suis heureux que vous souligniez le côté ludique car c’est le but de l’article. Depuis le 24 février, j’ai du mal à me concentrer sur l’archiduchesse Sophie, travail qui demande une sérénité que les évènements m’ont enlevée. Mais j’ai voulu écrire quelque chose de léger pour N&R, pour mon plaisir et pour celui des lecteurs de N&R. Le but est, je crois, atteint.
Amicalement
Cosmo
Pascal HERVE
25 juin 2022 @ 09:01
Oui , je m’en doute et c’est comme quelque chose de reposant et de divertissant que j’ai reçu ces articles .
Nous vous en sommes je pense tous reconnaissants.
Bon week-end .
Trianon
25 juin 2022 @ 16:51
Merci .Cher Cosmo, je viens de voir également ailleurs que sur ce site que votre générosité est pas que journalistique ..vous avez également ouvert votre maison à des personnes démunies ..vous avez un grand cœur !
Merci pour tout ce que vous apportez , sur ce site , et ailleurs..
Amicalement,
Trianon
Trianon
25 juin 2022 @ 16:52
N’est pas que..
Cosmo
26 juin 2022 @ 11:54
Merci, chère Trianon ! Collaborer à N&R est un plaisir presque égoïste car je me fais plaisir en écrivant ces articles, et je me fais plaisir en les partageant.
Je suis un peu en panne dans mon travail au longs cors sur l’archiduchesse Sophie…Il va falloir que je me donne un coup de pied, bien placé, pour me remettre sur les rails.
Je pense que vous me comprenez quand je dis que serait la vie sans donner et partager.
Bonne semaine
Cosmo
Trianon
28 juin 2022 @ 14:28
Merci cher Cosmo,oui..le partage est le sel de la vie,le terreau de toute forme d amitié ou autre relation humaine.
Vivement votre prochaine prise d égoïsme..:)
Que nous ayons tous,une fois encore,le plaisir de vous lire!
Charlotte (de Brie)
22 juin 2022 @ 07:37
N’ayant pu ce matin que « survoler » ce sujet, je me réserve avec le deuxième volet de découvrir personnages connus et méconnus, voire inconnus peints par cet artiste dont je ne connaissais pas non plus l’existence.
Merci à Patrick Germain dont les articles sont toujours le fruit de recherches clairement énoncées à la riche iconographie.
Erato deux
22 juin 2022 @ 08:00
Passionnante histoire d’ une fulgurante ascension artistique et sociale. Merci pour ce récit très instructif.
Claude patricia
22 juin 2022 @ 08:43
Merci beaucoup Cosmo !! Très intéressant.
Beque
22 juin 2022 @ 08:46
Extrait des mémoires du Cardinal Consalvi (Plon, 1864) : « Le jour des noces approchait. La nouvelle Impératrice, après avoir été épousée à Vienne par procuration, arriva à Compiègne et partit ensuite pour Saint-Cloud avec l’Empereur. (…) On devait, le samedi soir, présenter aux Souverains à Saint-Cloud les principaux corps de l’Etat. Le dimanche, le mariage civil avait lieu à Saint-Cloud. Le lundi, à Paris, au château des Tuileries, se célébrait le mariage ecclésiastique (…) Il [le ministre Fouché] s’approche de moi (…) Il me dit alors avec cordialité et intérêt : « Est-il vrai qu’il y a plusieurs Cardinaux qui refusent d’assister au mariage de l’Empereur ? L’Empereur m’en a parlé ce matin, et il vous a nommé dans sa colère ; mais je lui ai affirmé que, quant à vous, il n’était pas à présumer que ce fût vraisemblable. » (…) Le lundi 2 avril était le grand jour de l’entrée triomphale de l’Empereur et de la nouvelle impératrice à Paris pour célébrer la fonction du mariage religieux dans la chapelle des Tuileries. Quand on s’aperçut que nous manquions encore à cette cérémonie, on fit enlever les fauteuils vides, afin que le public ne remarquât pas trop notre absence (…) Dès que Fouché m’aperçut : « Eh bien, monsieur le Cardinal, s’écria-t-il, je vous ai prédit que les conséquences seraient affreuses. » (…) On séquestra immédiatement tous nos biens, et on eut soin de verser les revenus de nos propriétés au trésor public ». Reims, vers la fin de 1812.
Robespierre
22 juin 2022 @ 09:07
Je suis impressionné ! Quel peintre et quel portraitiste ! Comme toujours l’iconographie de P. Germain est incomparable, avec une galerie de portraits impressionnante.
Jean Pierre
22 juin 2022 @ 09:09
Bien entendu en découvrant cet article j’ai tout de suite su qui en était l’auteur.
Je remercie Patrick Germain/Cosmo de m’avoir fait découvrir ce peintre de cour dont j’ai peut-être croisé les œuvres mais dont j’ignorais le nom tout autant que la vie.
On voit bien qu’il n’est pas toujours facile pour ce genre d’artiste de naviguer entre impératif de la commande et recherche de la vérité du modèle.
Dinora
22 juin 2022 @ 09:34
Merci d’avoir posté l’histoire intéressante de Johann Baptist von Lampi. Un bon portraitiste avec la bonne succession dans les cours royales et impériales. Le portrait de Catherine II est très beau. Le portrait de Canova se distingue de tous les autres par la perfection des traits du visage et la belle lumière qu’il insère dans l’image.
Mais le plus beau portrait est celui dédié à sa femme, où il a su exprimer le naturel du geste merveilleux et doux d’une mère allaitant son enfant. Le visage de sa femme qui le regarde avec des yeux pleins d’amour.
Trianon
22 juin 2022 @ 11:43
Merci, cher Cosmo, c’est comme toujours passionnant et instructif !
Et bien documenté
Beque
22 juin 2022 @ 12:01
Aloysia Weber, avant d’être la belle-sœur de Mozart, aurait pu être sa femme. Il l’avait rencontrée à Mannheim, vers 1777, et en était tombée éperdument amoureux – composant pour elle plusieurs airs – au grand dam de son père qui lui demanda de ne pas oublier sa carrière.
Mozart rentre, alors, à Salzbourg où son père réussit à convaincre le prince-archevêque de le reprendre à son service. Sur le trajet du retour, il passe par Munich où vit la famille Weber. Il découvre qu’Aloysia aime un autre homme, Joseph Lang, acteur et peintre. Mozart fait, alors, la connaissance de Constance, la troisième fille des Weber, et décide de l’épouser sans attendre le consentement de son père. Ils se marient à Vienne, le 4 août 1782, à la cathédrale Saint-Etienne.
Mayg
22 juin 2022 @ 13:22
Pas mal tous ces portraits.
Merci pour cet article.
Gérard
22 juin 2022 @ 15:49
Bravo Cher Cosmo !!!
Marie DM
22 juin 2022 @ 19:13
Merci Monsieur Germain de me faire connaître un peintre dont j’ignorais l’existence.
C’est le genre d’article que j’apprécie beaucoup dans N et R
Caroline
22 juin 2022 @ 23:14
Au milieu de la lecture de cet article bien documenté avec de nombreuses belles photos, j’étais presque sûre de reconnaitre la plume de Patrick Germain👏.
Merci beaucoup !!!👍
Baboula
23 juin 2022 @ 04:59
Qui est ce lampiste dont je n’ai jamais entendu parler ?
Oui,je sais je ne suis pas un modèle de savoir .
Pascal HERVE
24 juin 2022 @ 17:43
Mais si , mais si !
Le savoir est devenu tellement vaste et recouvre tant de domaines que personne ne peut (plus?) se flatter de « tout savoir » , c’est bien une grande partie de l’intérêt de N&R de nous permettre de partager la seule chose que l’on puisse donner sans s’appauvrir comme disait je ne sais plus qui.
Evidemment certains sont plus favorisés , que moi en tout cas qui ne suis qu’un dilettante , ce doivent être des insomniaques !
A propos sait-on pourquoi Karabakh n’intervient plus ?
Il était pourtant très actif et tout de même savait pas mal de choses …
Baboula
23 juin 2022 @ 10:53
J’ai peut être trouvé , c’est en travaillant sur le roi de Rome que vous avez croisé Herr von Lampi .
Cosmo
24 juin 2022 @ 10:59
Baboula,
Je vous remercie de vous souvenir de mon travail sur le roi de Rome. Au moment de l’écriture de cet article j’avais en effet croisé Lampi mais cela ne m’avait pas fait réagir.
J’ai écrit ces articles sur Lampi à la suite de recherches sur d’autres personnages, il y a un mois et je me suis souvenu alors de l’avoir déjà croisé…
Bon weekend
Cosmo
Baboula
25 juin 2022 @ 09:49
J’apprécie vos articles qui sont le fruit de travail de recherche et nous parlent avec aisance de personnes méconnues qui gagnent à être connues .
Bonne fin de semaine à vous aussi .