John Elkann, petit-fils de Gianni Agnelli, et son épouse, la comtesse Lavinia Borromeo, ont assisté cette semaine au « Celebrity Fight Night », soirée mondaine de charité, donnée au Palazzo Vecchio, à Florence, au profit de la fondation d’Andrea Boccelli. Un concert du ténor italien conclut la soirée en beauté. Le couple a trois enfants: Leone, Oceano et Vita. (Merci à Bertrand Meyer – Copyright photo : Tullio M. Puglia)
Arielle de T
16 septembre 2015 @ 05:38
Beau couple !
limaya
16 septembre 2015 @ 06:17
Lui il faut le dire , aucune séduction comparé au » grand père » elle , vraiment comment dire -voulant rester aimable – on ne doit pas se retourner sur elle. Résumons couple quelconque ,enfin pour moi
Severina
16 septembre 2015 @ 06:41
Lavinia est la moins belle entre les très belles sœur/demi-sœur Borromeo et c’est très rare de la voir souriante: pourtant le couple est complice, les enfants son beaux, ils n’y a pas des problèmes économiques.
marielouise
16 septembre 2015 @ 07:38
Toute l’élégance i……………!
Pierre-Yves
16 septembre 2015 @ 08:11
Elle a beau être élégante, elle fait un peu peur, cette femme. Raide, droite et inexpressive. On dirait un bâton.
Cosmo
16 septembre 2015 @ 09:11
Peut-être préoccupée par la vie de son beau-frère…
flabemont8
16 septembre 2015 @ 13:01
Cosmo , pourriez-vous préciser, s’il vous plaît ? De qui s’agit -il ? Merci :-))
Laure-Marie Sabre
16 septembre 2015 @ 19:01
Lapo Elkann, qui mène une vie de patachon. Mais la raideur de Donna Lavinia n’a sans doute rien à voir avec ça : de toute temps, elle a été d’une réserve germanique et d’une fidélité en amitié à toute épreuve.
Leonor
16 septembre 2015 @ 23:47
» Une réserve germanique » . Pourquoi généraliser ainsi ? La maman de la dame est certes allemande, mais on ne voit pas en quoi, la » réserve « » serait forcément » germanique ». Dans le même style, on pourrait aussi écrire » guindé comme des Français » . Ca serait tout aussi faux, n’est-ce pas ?
Marissa
16 septembre 2015 @ 19:22
Cosmo parle probablement du très remuant Lapo Elkann.
Cosmo
16 septembre 2015 @ 21:52
Lupo Elkann, le frère de son mari !
flabemont8
17 septembre 2015 @ 02:48
Merci , je n’avais pas pensé à lui !
Mayg
16 septembre 2015 @ 13:25
???
andré
16 septembre 2015 @ 15:02
je ne comprends pas ?
spotlostie62
18 septembre 2015 @ 01:56
Mais pourquoi serait elle concernée par la vie de son beau-frère au point d’afficher cet air pincé pour ne pas dire antipathique ??? Sur toutes les photos , je constate qu’elle a toujours ce visage fermé et qu’elle ne sourit jamais . Evidemment, elle n’est pas obligée de sourire mais cela montrerait une forme de gaieté qui n’apparaît nullement . Même au mariage de sa sœur, elle donnait l’impression de s’ennuyer !! Son mari semble beaucoup plus agréable et distingué . On dit que les contraires s’attirent, cet adage s’avère en ce qui les concerne , visiblement ….
Jean Pierre
16 septembre 2015 @ 12:15
Imaginez PY, elle va devoir endurer la voix d’Andrea Bocceli pendant 1h00.
Et cette voix n’est pas toujours au top.
bianca
16 septembre 2015 @ 18:10
En effet, l’heure lui semblera bien longue…Andrea Bocceli, bof !!!!
caroline23
16 septembre 2015 @ 18:14
Je rajouterais fadasse
Robespierre
17 septembre 2015 @ 20:27
Elle ne me fait pas peur, elle me fait penser à un homme travesti en femme. Comme quoi l’argent n’achète pas tout.
maman monique
16 septembre 2015 @ 08:23
Très beau couple.
CAROLINE VM
16 septembre 2015 @ 09:14
Oui toujours l’air austère Lavinia et jamais maquillée ce qui accentue le côté ingrat de son visage : pourtant elle a une silhouette fine et les moyens de s’habiller…Dommage…
Peut-être est-elle très timide et qu’elle déteste les photographes …
Milena K
16 septembre 2015 @ 09:17
J’ai du mal à comprendre pourquoi cette femme ne sourit jamais.Je ne la trouve pas jolie du tout .
June
16 septembre 2015 @ 09:32
Lui visage enfantin, elle traits durs et sans aménité…
Pourtant un couple qui semble bien s’entendre :D
JACKLINE
16 septembre 2015 @ 09:43
Inexpressive , cette femme n’engage pas la sympathie , heureusement ,son mari sourit pour 2
andré
16 septembre 2015 @ 15:04
je comprendrais cette gueule si elle était née dans les bidonvilles de Calcutta, et encore !!!
bianca
16 septembre 2015 @ 18:12
Exact, andré mais que voulez-vous c’est très tendance dans ce milieu de faire cette g…..!
JAY
16 septembre 2015 @ 09:58
J aime beaucoup ce beau couple extrêmement réservé et distingué.*
Pour elle jamais une faute de style, une superbe silhouette; idem pour lui tout en retenu et élégance.
Philippe gaind'enquin
16 septembre 2015 @ 10:42
Dieu que tous ces noctambules paraissent (mais certainement n’est-c’est pas vrai!) usés !
Mélusine
16 septembre 2015 @ 22:29
Les nuits blanches usent prématurément, c’est bien connu. Et ron et ron petit patapon…
Philippe gaind'enquin
17 septembre 2015 @ 21:20
Ainsi voila pourquoi Cendrillon s’esquive à minuit juste… Mais en fait (sans mauvais jeu de mots…) de « nuits blanches », je les croyais à Saint Petersbourg et non à Florence ??? J’avoue ne plus comprendre ! peut être est-ce de penser au chanteur ostendais (Arno !) qui m’aura abusé, sait-on…Je m’en vais relire Pouchkine : « Mais ce qu’avant tout j’aime, Ô cité d’espérance, C’est de tes nuits la molle transparence ».A vous, PGE
beji
16 septembre 2015 @ 11:00
Les mieux des quatre sœurs sont,à mon avis,Isabella et Béatrice.
Esquiline
16 septembre 2015 @ 12:12
Lavinia, ce prénom que j’adore, a traversé les millénaires, (je suis en train de relire l’Enéide), sans devenir mode heureusement.
John Elkann, malgré son air poupin, est un redoutable homme d’affaire, potentiel qui n’a pas échappé à son grand-père quand il a choisi ce tout jeune homme pour être l’héritier de la dynastie et le manager du groupe qui est actuellement moins une puissance industrielle que financière.
Zeugma
16 septembre 2015 @ 18:23
Esquiline,
Je devrais vous imiter et lire l’Enéide.
Quand je ne surfe pas sur « Noblesse & royautés », il m’arrive – trop rarement – de parcourir quelques pages des Géorgiques. (Il parait que c’était la lecture de Gide à la toute extrémité de sa vie ; mais contrairement à moi il les lisait dans le texte en latin.)
(En ce moment je lis « Histoire du Juif errant » après avoir dévoré « La gloire de l’empire ».)
Le couple qui est l’objet de ce reportage incarne à merveille la haute société du nord de l’Italie, l’alliance de l’industrie et de la finance avec la très haute noblesse.
John Elkann a réussi le miracle de sauver FIAT qui était en train de sombrer ; reprenant avec maestria le flambeau que lui avait passé son flamboyant grand-père.
Esquiline
16 septembre 2015 @ 23:59
C’est ma récente excursion à Cumes qui m’a donné l’envie de relire l’Enéide, en français hélas, car de ces longues années passées à peiner sur les déclinaisons, il ne me reste que quelques mots, mon intérêt pour l’Antiquité et l’étymologie …
Laure-Marie Sabre
16 septembre 2015 @ 19:10
Son grand-père n’a pas eu le choix : chez les Agnelli, seuls les hommes dirigent. Les femmes n’ont pas de place dans l’industrie familiale, elles peuvent se choisir une carrière ailleurs si elles le souhaitent mais en dehors de cela, elles touchent des dividendes et c’est tout. Jaki Elkann signe ce qu’on lui met sous les yeux, ce n’est ni un homme d’affaires, ni un chef d’entreprise : c’est un héritier. Ce n’est assurément pas un homme de la trempe du cousin de sa mère, Giovanni Alberto, prématurément décédé.
Par ailleurs, c’est bien parce qu’il est poupin aussi dans la tête et manipulable à souhait que les conseillers de son grand-père ont tout fait pour le placer sur le trône. Il est d’ailleurs très probable que lesdits conseillers ont en fait dépouillé la famille d’une partie de ses biens au moyen d’une Anstalt ouverte au Liechtenstein du vivant de Gianni Agnelli mais dont le contrôle lui aurait échappé et dont sa fille, Margherita, n’a pas hérité.
Leonor
16 septembre 2015 @ 12:28
Souris ! Mais souris donc !
Mais qu’est-ce qu’elle a, à toujours sembler tirer la g…, cette jeune femme ?
Parfois, un sourire, c’est une politesse minimum.
Pas quand on est flashé par des paparazzi , bien sûr; mais quand on est en » service commandé », oui.
aubert
16 septembre 2015 @ 13:43
malgré des commentaires négatifs, plus puissants que les régnants et en tous cas que les détrônés.
Maguelone
16 septembre 2015 @ 13:44
Je rejoins tous les commentaires en m’étonnant aussi que cette jeune femme affiche toujours un visage inexpressif et assez dur, ce qui paraît impoli lors d’une sortie publique. N’étant pas particulièrement jolie, elle gagnerait à sourire un peu plus mais peut-être se moque-t-elle du « qu’en-dira-t-on ».
juliette1807
17 septembre 2015 @ 07:41
C’est une personne très timide, naturelle en terme de maquillage et de mode. Elle n’aime ni le maquillage ni les bijoux mais elle adore les étoles et les ballerines. Lorsque vous cherchez son nom sur la toile vous tombez sur des photos souriantes d’elle ….et oui elle se moque du « qu’en-dira-t-on » , ce qui est, ma foi, pas plus mal….
geneviève
16 septembre 2015 @ 13:59
Cette personne, tu la rencontres en ville, tu ne te retournes pas sur son passage ; c’est parce qu’elle s’appelle Borroméo qu’on en fait tout un flan !
j21
16 septembre 2015 @ 18:22
Etre l’épouse de John Elkann est encore plus prestigieux que de s’appeler Borromeo
Laure-Marie Sabre
16 septembre 2015 @ 19:12
On se retourne sur son passage parce qu’elle mesure 1m80 et doit peser environ 50kg. Par ailleurs, est-on réellement susceptible de la rencontrer en ville ?
bianca
25 septembre 2015 @ 20:38
1m80 pour 50 kgs, elle doit ressembler à une tringle à rideau
Trianon
16 septembre 2015 @ 21:11
Perso je ne me retourne jamais sur quî que ce soit..:)
Marie de Cessy
16 septembre 2015 @ 14:27
Je me pose une question : Est ce que de temps à autre Lavinia Borromeo Elkann sourit ?
Car sur chaque photo que je vois d’elle elle tire une de des tronches !!!
Quel contraste avec sa sœur Béatrice qui a un très joli sourire.
Patricia
16 septembre 2015 @ 15:50
Je ne connais pas cette personne mais j’ose imaginer, même avec toute la fortune dont elle dispose, à quel point ces commentaires peuvent être blessants pour elle. Qui sait ? Peut-être est-elle la plus sympathique de toutes les soeurs Borroméo ? Que fait-elle dans la vie ? Quelles études a-t-elle fait ?
Laure-Marie Sabre
16 septembre 2015 @ 19:25
Elle a suivi sa scolarité à Milan, d’abord à l’International school, puis au lycée Giacomo Leopardi, où elle a obtenu un bac linguistique. Elle a ensuite obtenu une maîtrise en sciences politiques auprès de l’Université Catholique. Elle a créé un sac pour Trussardi, dessiné des modèles pour Bottega Veneta, travaillé chez Giorgio Armani, fondé une maison de couture pour enfants (BLav) et dessine des objets de décoration pour la marque Poltrona Frau depuis 10 ans.
Violette
16 septembre 2015 @ 21:35
Quelle différence entre John et son frère Lapo.
La comtesse Lavinia n’est en effet pas très souriante et moins gracieuse que Beatrice, mais j’aime son élégance toute i…….e, comme dirait marielouise :)
Gibbs
17 septembre 2015 @ 08:06
Elle ne riait pas le jour de son mariage …
Les quatre filles du seigneur Borromeo
Elles sont belles, blondes et bien nées. Et elles sont toutes les quatre liées à des héritiers, choisis au sein des plus prestigieuses familles princières ou des dynasties industrielles européennes. Un clan féminin chic et glamour qui focalise désormais tous les regards. Le récit de Point de Vue.
Avant elles, il y eut les célèbres soeurs Mitford, et plus récemment, les soeurs Miller. Aujourd’hui, la presse transalpine ne parle plus que des quatre filles de Carlo Borromeo, flamboyant aristocrate italien, et qui, chacune à leur tour, ont affolé les plus beaux partis d’Europe. Il y eut d’abord Lavinia. Non pas l’aînée, mais la première des quatre soeurs à unir son destin à celui de l’héritier en titre de l’une des plus célèbres familles d’Italie. Le clan Agnelli, aux commandes du groupe Fiat, a presque valeur de famille royale dans la péninsule.
Lavinia et John Elkann
En septembre 2004, la seconde fille de Carlo Borromeo et de Marion Zota, au physique élégant et racé, épouse John Elkann, petit-fils de Gianni Agnelli et successeur désigné pour reprendre les rênes de l’entreprise turinoise, ce qu’il a fait depuis. Devant plus de mille convives, parmi lesquels Carla Bruni et Henry Kissinger, dans le cadre idyllique d’Isola Madre, propriété de la famille Borromeo depuis le XVIIe siècle, le mariage fait la une des gazettes transalpines. Longilignes et discrets, les deux amoureux ont en commun leur bonne éducation, un goût prononcé pour les voyages et pour le sport. Et pour la création. Passionnée de mode, Lavinia a créé une marque de vêtements pour enfants, et dessiné un berceau futuriste et design pour la marque Guzzini. Depuis leur union, ces jeunes gens au physique digne d’un film de Visconti ont eu deux garçons et une fille aux prénoms olympiens: Leone, Oceano et Vita.
En septembre 2004, Lavinia épouse John Elkann, futur président de la Fiat, sur Isola Madre.
En septembre 2004, Lavinia épouse John Elkann, futur président de la Fiat, sur Isola Madre.
Isabella et Ugo Brachetti Peretti
Un an après, c’est au tour d’Isabella, la première-née, de reprendre le chemin de l’autel installé dans la chapelle baroque d’Isola Madre, au milieu des paons blancs qui évoluent librement sur les jardins en terrasses. Au bras de son père, elle va rejoindre Ugo Brachetti Peretti, son futur mari. Ce séduisant quadragénaire, habitué des soirées mondaines, est à la tête de l’API, le plus gros groupe pétrolier italien, fondé par son grand-père maternel. Comme sa soeur, Isabella arbore une robe signée Valentino, un ami de la famille.
Si elle ne dédaigne pas les premiers rangs des défilés, c’est plutôt sur les tapis rouges des premières de cinéma que la jeune mariée aime porter ses stilettos. Réalisatrice et productrice, elle cale son agenda en fonction des festivals de Cannes et Venise. À ces noces fastueuses en 2005, et même si le nombre des invités était moitié moins important que pour celles de Lavinia et John, on croise alors une petite fille de quelques mois, baptisée Angera comme le palais familial, et qui n’est autre que la fille des mariés, rejointe depuis par Ludovico, en 2008.
En septembre 2005, Isabella Borromeo épouse Ugo Brachetti Peretti, vice-président de API (Anonima Petroli Italiana).
En septembre 2005, Isabella Borromeo épouse Ugo Brachetti Peretti, vice-président de API (Anonima Petroli Italiana).
À chacun de ces mariages, Beatrice fut la plus ravissante des demoiselles d’honneur. Petite dernière de cette fratrie hors du commun, c’est aussi la seule fille née de la liaison de Carlo Borromeo avec Paola Marzotto. Ce seigneur italien a en effet partagé sa vie entre sa première femme Marion Zota, mère d’Isabella, Lavinia et Matilde, et sa maîtresse Paola Marzotto, avec laquelle il eut d’abord Carlo, puis Beatrice. Un triangle amoureux qui aurait pu inspirer Stendhal. Au final, la famille recomposée s’entend fort bien, même si elle a généré des caractères très différents.
Matilde et Antonius de Fürstenberg
La sauvage Matilde, qui a choisi de travailler dans la société familiale d’élevage et de production de lait, a renoué avec le cycle des mariages en 2011. Cette fois-ci, le marié est issu de l’une des plus illustres lignées d’Allemagne. Antonius de Fürstenberg descend d’une famille princière originaire de Souabe par son père et des princes de Windisch-Graetz par sa mère. Ses parents, Heinrich et Maximiliane de Fürstenberg, vivent toujours dans le château de Donaueschingen et possèdent aussi la résidence de Heiligenberg. Là encore, c’est dans le cadre enchanteur d’Isola Madre que le gotha européen se presse pour assister à un mariage aussi spectaculaire que romantique. Et pour la troisième fois, la mariée porte une robe du couturier romain.
En unissant son destin à celui de Pierre Casiraghi, 7e dans l’ordre de succession au trône monégasque, le 1er août prochain, Beatrice la rebelle ne fera finalement que mettre ses pas dans ceux de ses soeurs. Reste à savoir si sa robe sera signée Valentino…
Isabella et Matilde Borromeo à l’ouverture d’une boutique Stella McCartney à Milan, en avril 2010.
Gibbs
17 septembre 2015 @ 08:09
Fratrie
Béatrice est la fille de Carlo Ferdinando Borromeo, comte d’Arona (né en 1935), lui-même fils de Vitaliano Borromeo-Arese, 2e prince d’Angera, et de sa compagne de longue date, la comtesse Donna Paola Marzotto (née en 1955).
Elle a un frère aîné, Carlo Ludovico Borromeo Arese Taverna, qui a épousé la couturière italienne, Marta Ferri, le 30 juin 2012 sur l’île de Pantelleria.
Beatrice a trois demi-sœurs plus âgées du premier mariage de son père avec le modèle allemand, Marion Sybil Zota :
Isabella, (née Isabella Borromeo Arese Taverna le 3 février 1975) épouse du comte Ugo Brachetti-Peretti ;
Lavinia, (née Lavinia Ida Borromeo Arese Taverna le 10 mars 1977) qui a épousé John Elkann ;
Matilde, (née Matilde Borromeo Arese Taverna le 8 août 1983) qui a épousé le prince Antonius von und zu Fürstenberg.
Sa grand-mère maternelle était Marta Marzotto, ex-épouse du comte Umberto Marzotto. Son oncle, le comte Matteo Marzotto était l’ancien président et directeur de la maison de couture Valentino au moment celle-ci appartenait au Groupe Marzotto.
Tessa
17 septembre 2015 @ 10:41
Beau couple , main dans la main .