Journées qui promettent d’être passionnantes tant le destin de ce prince est hors norme (s). Sans doute y aura t’il de actes, du moins est-ce à souhaiter…
Aramis, vous ne trouvez pas insultant que l’artiste ait intitulé son œuvre « vagin de la Reine » ? Insultant et dégradant pour la personne atteinte, sûrement Marie-Antoinette. Ce n’est pas parce qu’elle est morte qu’il faut en profiter pour l’outrager de la sorte. Ceci insulte aussi la mémoire de Louis XIV et des deux autres monarques qui n’ont pas entretenu et développé le domaine de Versailles pour en faire un lieu d’imbécilités et de de grossièretés. Enfin, cette « œuvre » est un très mauvais exemple car les visiteurs, au lieu de se cultiver tout le long de leur promenade, auront droit à un moment à une vraie et pure connerie, qui les fera rire bêtement pour certains, d’autres pas du tout (et ils auront raison). Et puis, imaginez qu’un enfant lise le titre de l’œuvre…
J’ajoute aussi que je trouve désolant que la ministre de la Culture, au lieu d’attirer l’attention sur le fait que cette chose immonde est dégradante et qu’elle n’a rien de culturel et d’artistique, exprime son soutien à l’artiste.
L’oeuvre en question s’appelle Dirty Corner.
Son auteur, dans une interview, l’a qualifiée comme vous le dîtes, cela dans une forme de boutade un peu provocante; ce qui a suffi pour que ses détracteurs s’emparent de ce terme et le prennent comme étendart de leur dénigrement et de leur dégoût.
Le probleme n’est pas la, Aramis.
Il est dans le fait que les grandes institutions publiques se croient obligees de faire la promotion de vedettes de l’art contemporain qui n’en ont pas besoin puisque le marché de l’art les propulse déjà des sommets inégalés, financierement parlant.
Qu’apporte à jeffrey Koons ou Ashna Kapoor une exposition à Versailles ou à Pompidou?pas grand chose. Par contre, on peut regretter que les dites institutions se transforment en agent commercial des dits artistes.
Hors sujet; je viens de voir l’article hôtel place Merano publié lundi dernier et… en tapant sur les images (sur mon I-Pad), je réussi à grossir les images ;-))). Merci Régine pour cette nouveauté! FdC
Merci d’avoir signalé ce colloque qui se place dans la préparation d’une exposition qui aura lieu au château de Versailles sur Louis-Philippe et Versailles en 2018-2019.
Ces deux journées de septembre ont été organisées par le château et le Centre de recherche du château de Versailles dans la salle des Colonnes de la Grande Écurie avec des historiens, des historiens de l’art et des conservateurs les plus spécialisés et ont réuni une vingtaine de chercheurs internationaux à propos
des collections de Louis-Philippe,
de l’entourage de Louis-Philippe,
des résidences privées et des résidences royales
et des Galeries Historiques de Versailles.
Les thèmes abordés ont été : après l’accueil par Béatrix Saule, directeur du musée national des châteaux de Versailles et de Trianon, d’abord sous la présidence de Jean-Michel Leniaud, directeur de l’École nationale des chartes : Des Penthièvre aux Orléans : la transmission d’un goût ? par Mathieu Deldicque, conservateur au musée Condé, domaine de Chantilly, Une constellation de bibliothèques : les livres de Louis-Philippe et des palais de la Couronne (1814-1848) par Charles-Éloi Vial, conservateur à la Bibliothèque nationale de France, L’art classique comme objet de collection : Louis-Philippe et la peinture française du XVIIe siècle par Tatiana Senkevitch, Rice University, Houston, Texas, Géricault sans Louis-Philippe par Bruno Chenique, docteur en histoire de l’art, historien d’art indépendant,
puis sous la présidence de Thomas W. Gaehtgens, directeur du Getty Research Institute de Los Angeles, Louis-Philippe parmi les historiens par Laurent Theis, historien, Jean Vatout, fidèle et ombrageux collaborateur de Louis-Philippe par Hervé Robert, magistrat, maître de conférences à l’Institut d’études politiques de Paris, Le roi des Français et le « peintre des rois » : Louis-Philippe et François Gérard par Kathryn Galitz, Metropolitan Museum of Art de New York, Louis-Philippe et Horace Vernet par Valérie Bajou, conservateur en chef au château de Versailles,
sous la présidence de Christophe Charle, professeur à l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, Les scènes de la conquête de l’Algérie sous la monarchie de Juillet dans les salles d’Afrique du château de Versailles par Jérôme Louis, docteur en histoire, La place de la sculpture au sein du musée historique de Versailles par Alexandre Maral, conservateur en chef au château de Versailles, Louis-Philippe et Fontaine : le roi et l’architecte par Thibaut Trétout, doctorant en histoire, Centre de recherche en histoire du XIXe siècle, université Paris 1 Panthéon-Sorbonne,
enfin sous la présidence d’Anne Dion-Tenenbaum, conservateur en chef au département des Objets d’art du musée du Louvre, Le château d’Eu, résidence d’été du roi Louis-Philippe par Alban Duparc, directeur du musée Louis-Philippe, château d’Eu, Louis-Philippe à Compiègne par Marc Desti, conservateur en chef au palais impérial de Compiègne, Exposition d’une vie privée (1830-1848) par Grégoire Franconie, doctorant en histoire contemporaine, université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.
Le tableau que nous voyons est signé d’Auguste Vinchon (né à Paris en 1789, mort à Ems, duché de Nassau en 1855), Le roi Louis-Philippe et la famille royale visitant les Galeries historiques du musée de Versailles, 1848, Versailles, châteaux de Versailles et de Trianon. La statue est bien sûr celle de Jeanne d’Arc par la princesse Marie d’Orléans, princesse de Wurtemberg, qui était décédée.
Je pense :
G.I.P. Centre de recherche du château de Versailles
Château de Versailles – Pavillon de Jussieu
RP 834 – 78008 Versailles Cedex
France
Ou Conservation du château de Versailles
RP834 – 78008 Versailles Cedex – France
Tél. : 01 30 83 78 00
mailto:colloques@chateauversailles.fr
La scène se passe en 1839 quelques semaines après le décès début janvier de la princesse Marie. Nous sommes dans la galerie de pierre, dans l’aile nord du Louvre, qui rassemble les figures emblématiques de la période médiévale parmi lesquelles Jeanne d’Arc. C’est la nui, la famille royale, le roi et la reine au centre, admirent la statue de Jeanne que des domestiques dans la livrée rouge des Orléans éclairent à l’aide de lampes à réflecteurs tenues à bout de bras au-dessus des têtes dans une atmosphère recueillie.
Un sentiment de piété émane de la statue de la Pucelle debout, l’air humble, la tête penchée, le visage empreint d’une grande sérénité et d’une grande douceur et qui serre sur son cœur, les mains jointes, l’épée de sainte Catherine de Fierbois qui prend des allures de crucifix. Des effets de lumière qui nimbent la frêle jeune fille. C’est déjà une sainte que Marie a représentée, dans cette statue qui sera reproduite à des milliers d’exemplaires dans tant d’églises de France. Au XVIIIe siècle la figure de Jeanne avait été remise au goût du jour. Dans la première partie du XIXe siècle d’importants ouvrages furent publiés sur Jeanne.
Plus tard des statues furent érigées. Mais déjà Bonaparte avait tenu à s’associer à la jeune fille comme sauveur de l’État et instaurateur de la paix religieuse avec une statue à Orléans (1803-1804), Louis XVIII acheta en 1818 la maison de Domrémy. Et Louis-Philippe commande donc une statue à sa fille et une Entrée de Jeanne d’Arc à Orléans à Ary Scheffer en 1847 (pour la galerie des Batailles).
Louis-Philippe dans sa volonté de réunir les Français le 1er septembre 1833 avait décidé d’ouvrir à Versailles un musée historique dédié « À toutes les gloires de la France » en même temps qu’il sauvait le château. Les travaux durèrent quatre ans écoutèrent 20 millions de francs qui furent payés sur la cassette royale. Le musée fut inauguré le 10 juin 1837 peu après le mariage du duc d’Orléans avec Hélène de Mecklembourg-Schwerin.
Dans le tableau que nous voyons et qui date de 1848 le duc d’Orléans est présent puisque la scène remonte à 1839 mais l’évocation du duc d’Orléans mort en 1842, et de Marie, rend encore plus émouvant ce moment.
Les salles des Croisades elles furent inaugurées en 1843.
Hier après-midi, je suis allé voir l’exposition des objets mis en vente chez Sotheby’s par la famille d’Orléans :
Quelques très beau meubles, un peu de vaisselle mais surtout beaucoup de tableaux, de portraits (surtout Louis-Philippe, bien sûr) ; certains très beaux.
Quelques pièces (Louis XIII par Philippe de Champaigne ou la duchesse d’Orléans par Elisabeth Vigée Lebrun, par exemple) ne sont pas dans la vente car « trésors nationaux ».
La Banque de France voudraient les acheter sans doute sur demande de l’exécutif. Pour les places en son hôtel ou dans des palais nationaux ce qui est plus vraisemblable. L’accord serait conclu ou presque dit-on.
Philippe gaind'enquin
16 septembre 2015 @ 10:38
Journées qui promettent d’être passionnantes tant le destin de ce prince est hors norme (s). Sans doute y aura t’il de actes, du moins est-ce à souhaiter…
Albane
16 septembre 2015 @ 14:03
Au fait, Régine, quelle est cette surprise dont vous nous avez parlé pendant la maintenance de N&R ?
Albane
16 septembre 2015 @ 14:05
Ah, le château de Versailles nous fait parler de lui autrement que pour cet ignoble « vagin de la reine ».
Aramis
17 septembre 2015 @ 07:23
Vous voulez parler sans doute des ignobles graffitis antisémites apposés sur cet objet ?
Marnie
17 septembre 2015 @ 13:45
L’objet lui-même est hautement criticable.
Albane
17 septembre 2015 @ 15:21
Aramis, vous ne trouvez pas insultant que l’artiste ait intitulé son œuvre « vagin de la Reine » ? Insultant et dégradant pour la personne atteinte, sûrement Marie-Antoinette. Ce n’est pas parce qu’elle est morte qu’il faut en profiter pour l’outrager de la sorte. Ceci insulte aussi la mémoire de Louis XIV et des deux autres monarques qui n’ont pas entretenu et développé le domaine de Versailles pour en faire un lieu d’imbécilités et de de grossièretés. Enfin, cette « œuvre » est un très mauvais exemple car les visiteurs, au lieu de se cultiver tout le long de leur promenade, auront droit à un moment à une vraie et pure connerie, qui les fera rire bêtement pour certains, d’autres pas du tout (et ils auront raison). Et puis, imaginez qu’un enfant lise le titre de l’œuvre…
J’ajoute aussi que je trouve désolant que la ministre de la Culture, au lieu d’attirer l’attention sur le fait que cette chose immonde est dégradante et qu’elle n’a rien de culturel et d’artistique, exprime son soutien à l’artiste.
Pierre-Yves
18 septembre 2015 @ 08:33
L’oeuvre en question s’appelle Dirty Corner.
Son auteur, dans une interview, l’a qualifiée comme vous le dîtes, cela dans une forme de boutade un peu provocante; ce qui a suffi pour que ses détracteurs s’emparent de ce terme et le prennent comme étendart de leur dénigrement et de leur dégoût.
marie.françois
17 septembre 2015 @ 19:11
Le probleme n’est pas la, Aramis.
Il est dans le fait que les grandes institutions publiques se croient obligees de faire la promotion de vedettes de l’art contemporain qui n’en ont pas besoin puisque le marché de l’art les propulse déjà des sommets inégalés, financierement parlant.
Qu’apporte à jeffrey Koons ou Ashna Kapoor une exposition à Versailles ou à Pompidou?pas grand chose. Par contre, on peut regretter que les dites institutions se transforment en agent commercial des dits artistes.
Amicalement.
Francine du Canada
16 septembre 2015 @ 20:10
Hors sujet; je viens de voir l’article hôtel place Merano publié lundi dernier et… en tapant sur les images (sur mon I-Pad), je réussi à grossir les images ;-))). Merci Régine pour cette nouveauté! FdC
Tessa
17 septembre 2015 @ 10:05
Merci Francine pour l’info .
Donc , sur l’ordi : rien de nouveau , mais c’est déjà bien.
Bon jeudi !
Gérard
17 septembre 2015 @ 18:16
Merci d’avoir signalé ce colloque qui se place dans la préparation d’une exposition qui aura lieu au château de Versailles sur Louis-Philippe et Versailles en 2018-2019.
Ces deux journées de septembre ont été organisées par le château et le Centre de recherche du château de Versailles dans la salle des Colonnes de la Grande Écurie avec des historiens, des historiens de l’art et des conservateurs les plus spécialisés et ont réuni une vingtaine de chercheurs internationaux à propos
des collections de Louis-Philippe,
de l’entourage de Louis-Philippe,
des résidences privées et des résidences royales
et des Galeries Historiques de Versailles.
Le programme : http://chateauversailles-recherche.fr/IMG/pdf/carton_bd.pdf.
Les thèmes abordés ont été : après l’accueil par Béatrix Saule, directeur du musée national des châteaux de Versailles et de Trianon, d’abord sous la présidence de Jean-Michel Leniaud, directeur de l’École nationale des chartes : Des Penthièvre aux Orléans : la transmission d’un goût ? par Mathieu Deldicque, conservateur au musée Condé, domaine de Chantilly, Une constellation de bibliothèques : les livres de Louis-Philippe et des palais de la Couronne (1814-1848) par Charles-Éloi Vial, conservateur à la Bibliothèque nationale de France, L’art classique comme objet de collection : Louis-Philippe et la peinture française du XVIIe siècle par Tatiana Senkevitch, Rice University, Houston, Texas, Géricault sans Louis-Philippe par Bruno Chenique, docteur en histoire de l’art, historien d’art indépendant,
puis sous la présidence de Thomas W. Gaehtgens, directeur du Getty Research Institute de Los Angeles, Louis-Philippe parmi les historiens par Laurent Theis, historien, Jean Vatout, fidèle et ombrageux collaborateur de Louis-Philippe par Hervé Robert, magistrat, maître de conférences à l’Institut d’études politiques de Paris, Le roi des Français et le « peintre des rois » : Louis-Philippe et François Gérard par Kathryn Galitz, Metropolitan Museum of Art de New York, Louis-Philippe et Horace Vernet par Valérie Bajou, conservateur en chef au château de Versailles,
sous la présidence de Christophe Charle, professeur à l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, Les scènes de la conquête de l’Algérie sous la monarchie de Juillet dans les salles d’Afrique du château de Versailles par Jérôme Louis, docteur en histoire, La place de la sculpture au sein du musée historique de Versailles par Alexandre Maral, conservateur en chef au château de Versailles, Louis-Philippe et Fontaine : le roi et l’architecte par Thibaut Trétout, doctorant en histoire, Centre de recherche en histoire du XIXe siècle, université Paris 1 Panthéon-Sorbonne,
enfin sous la présidence d’Anne Dion-Tenenbaum, conservateur en chef au département des Objets d’art du musée du Louvre, Le château d’Eu, résidence d’été du roi Louis-Philippe par Alban Duparc, directeur du musée Louis-Philippe, château d’Eu, Louis-Philippe à Compiègne par Marc Desti, conservateur en chef au palais impérial de Compiègne, Exposition d’une vie privée (1830-1848) par Grégoire Franconie, doctorant en histoire contemporaine, université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.
Gérard
17 septembre 2015 @ 18:47
Le tableau que nous voyons est signé d’Auguste Vinchon (né à Paris en 1789, mort à Ems, duché de Nassau en 1855), Le roi Louis-Philippe et la famille royale visitant les Galeries historiques du musée de Versailles, 1848, Versailles, châteaux de Versailles et de Trianon. La statue est bien sûr celle de Jeanne d’Arc par la princesse Marie d’Orléans, princesse de Wurtemberg, qui était décédée.
marie.françois
18 septembre 2015 @ 19:14
Gerard
Ou peut on se procurer cette plaquette reproduisant cette toile ?
Gérard
19 septembre 2015 @ 21:05
Je pense :
G.I.P. Centre de recherche du château de Versailles
Château de Versailles – Pavillon de Jussieu
RP 834 – 78008 Versailles Cedex
France
Ou Conservation du château de Versailles
RP834 – 78008 Versailles Cedex – France
Tél. : 01 30 83 78 00
mailto:colloques@chateauversailles.fr
Gérard
18 septembre 2015 @ 12:47
La scène se passe en 1839 quelques semaines après le décès début janvier de la princesse Marie. Nous sommes dans la galerie de pierre, dans l’aile nord du Louvre, qui rassemble les figures emblématiques de la période médiévale parmi lesquelles Jeanne d’Arc. C’est la nui, la famille royale, le roi et la reine au centre, admirent la statue de Jeanne que des domestiques dans la livrée rouge des Orléans éclairent à l’aide de lampes à réflecteurs tenues à bout de bras au-dessus des têtes dans une atmosphère recueillie.
Un sentiment de piété émane de la statue de la Pucelle debout, l’air humble, la tête penchée, le visage empreint d’une grande sérénité et d’une grande douceur et qui serre sur son cœur, les mains jointes, l’épée de sainte Catherine de Fierbois qui prend des allures de crucifix. Des effets de lumière qui nimbent la frêle jeune fille. C’est déjà une sainte que Marie a représentée, dans cette statue qui sera reproduite à des milliers d’exemplaires dans tant d’églises de France. Au XVIIIe siècle la figure de Jeanne avait été remise au goût du jour. Dans la première partie du XIXe siècle d’importants ouvrages furent publiés sur Jeanne.
Plus tard des statues furent érigées. Mais déjà Bonaparte avait tenu à s’associer à la jeune fille comme sauveur de l’État et instaurateur de la paix religieuse avec une statue à Orléans (1803-1804), Louis XVIII acheta en 1818 la maison de Domrémy. Et Louis-Philippe commande donc une statue à sa fille et une Entrée de Jeanne d’Arc à Orléans à Ary Scheffer en 1847 (pour la galerie des Batailles).
Louis-Philippe dans sa volonté de réunir les Français le 1er septembre 1833 avait décidé d’ouvrir à Versailles un musée historique dédié « À toutes les gloires de la France » en même temps qu’il sauvait le château. Les travaux durèrent quatre ans écoutèrent 20 millions de francs qui furent payés sur la cassette royale. Le musée fut inauguré le 10 juin 1837 peu après le mariage du duc d’Orléans avec Hélène de Mecklembourg-Schwerin.
Dans le tableau que nous voyons et qui date de 1848 le duc d’Orléans est présent puisque la scène remonte à 1839 mais l’évocation du duc d’Orléans mort en 1842, et de Marie, rend encore plus émouvant ce moment.
Les salles des Croisades elles furent inaugurées en 1843.
Zeugma
19 septembre 2015 @ 09:26
Hier après-midi, je suis allé voir l’exposition des objets mis en vente chez Sotheby’s par la famille d’Orléans :
Quelques très beau meubles, un peu de vaisselle mais surtout beaucoup de tableaux, de portraits (surtout Louis-Philippe, bien sûr) ; certains très beaux.
Quelques pièces (Louis XIII par Philippe de Champaigne ou la duchesse d’Orléans par Elisabeth Vigée Lebrun, par exemple) ne sont pas dans la vente car « trésors nationaux ».
marie.françois
19 septembre 2015 @ 20:34
Il n’y a qu’une piece de mobilier et pas de vaisselle mais de la porcelaine de Copenhague.
Gérard
19 septembre 2015 @ 21:08
La Banque de France voudraient les acheter sans doute sur demande de l’exécutif. Pour les places en son hôtel ou dans des palais nationaux ce qui est plus vraisemblable. L’accord serait conclu ou presque dit-on.
marie.françois
20 septembre 2015 @ 12:46
Tiens, tiens .
La Banque de France n’est pas un musée,pourtant.
Merci pour les adresses.